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Après avoir découvert, suite à une autopsie demandée par la justice, que leurs enfants victimes de l'attentat de Nice du 14 juillet 2016 avaient été enterrés sans leurs organes, les parents les réclament.
Sophie*, mère d'une fillette qui avait perdu la vie dans l'attaque au camion du 14 juillet 2016, s'est adressée à la justice pour demander de lever les scellés et afin de récupérer les organes de sa fille, sans lesquels cette dernière avait été enterrée suite à son autopsie.
«Ma fille a été assassinée deux fois, d'abord par un malade mental avec son camion et ensuite par la médecine légale», a déclaré Sophie, dont le nom a été changé à sa demandé, citée par Le Figaro.
«Le cœur, le cerveau, le foie, les reins, les poumons, ils ont tout pris, mais pourquoi?», s'est-interrogée Sophie.
Il a été assuré à Sophie que les scellés étaient toujours conservés à l'institut médico-légal du CHU Pasteur de Nice. Elle a confié n'avoir qu'un seul souhait, que sa fille «repose en paix».
En mai dernier, Sophie a appris que sa fille avait subi des prélèvements d'organes. Quelques mois plus tard, en novembre 2018, elle interpelle les juges antiterroristes parisiens qui se sont déplacés à Nice. Au total, treize autopsies, sur 86 victimes, avaient été effectuées, notamment sur des personnes dont le décès a été déclaré à l'hôpital.
Quant à Samira et Mickaël, parents de Yanis, enfant de 4 ans également tué dans l'attentat du 14 juillet 2016 à Nice, ils n'ont découvert que la semaine dernière que les organes de leur fils avaient été prélevés avant son enterrement, rapporte Nice-Matin.
Sophie*, mère d'une fillette qui avait perdu la vie dans l'attaque au camion du 14 juillet 2016, s'est adressée à la justice pour demander de lever les scellés et afin de récupérer les organes de sa fille, sans lesquels cette dernière avait été enterrée suite à son autopsie.
«Ma fille a été assassinée deux fois, d'abord par un malade mental avec son camion et ensuite par la médecine légale», a déclaré Sophie, dont le nom a été changé à sa demandé, citée par Le Figaro.
«Le cœur, le cerveau, le foie, les reins, les poumons, ils ont tout pris, mais pourquoi?», s'est-interrogée Sophie.
Il a été assuré à Sophie que les scellés étaient toujours conservés à l'institut médico-légal du CHU Pasteur de Nice. Elle a confié n'avoir qu'un seul souhait, que sa fille «repose en paix».
En mai dernier, Sophie a appris que sa fille avait subi des prélèvements d'organes. Quelques mois plus tard, en novembre 2018, elle interpelle les juges antiterroristes parisiens qui se sont déplacés à Nice. Au total, treize autopsies, sur 86 victimes, avaient été effectuées, notamment sur des personnes dont le décès a été déclaré à l'hôpital.
Quant à Samira et Mickaël, parents de Yanis, enfant de 4 ans également tué dans l'attentat du 14 juillet 2016 à Nice, ils n'ont découvert que la semaine dernière que les organes de leur fils avaient été prélevés avant son enterrement, rapporte Nice-Matin.
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