Les principaux éléments de la déclaration de Gaspard Glanz :
- rappelle qu’il gagne sa vie à 100% en tant que journaliste depuis dix ans (son statut est non reconnu actuellement),
- dénonce qu’on veuille lui interdire de filmer sur les prochaines manifestations parisiennes,
- couvrira les prochaines manifestations parisiennes que ses avocats réussissent à faire annuler la décision ou pas,
- regrette son doigt d’honneur,
- dément toute insulte,
- dit que dix secondes avant de recevoir la grenade entre les jambes il discutait encore avec le commissaire auprès de qui il voulait des explications,
- le commissaire avait initié cette conversation,
- rappelle que la police aussi perd son sang-froid sur les manifestations (doigts d’honneurs, insultes, jets de pierre...)
- dénonce que son interdiction de territoire à Calais soit toujours appliquée alors qu’elle cessait légalement en 2017,
- dénonce les conditions désastreuses de sa garde à vue (pires pour d’autres),
- dénonce les motifs de GAV des autres gardés à vue,
- dénonce les deux poids deux mesures de la justice en citant Alexandre Benalla,
- dénonce de s’être fait casser la moitié de son matériel à 15000€ (d’autres journalistes moins connus ne récupèrent pas le leur)
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