Si nos sommes pris par les « élites » pour les imbéciles que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester. Plus largement informés, nous pouvons tirer le meilleur des événements, devenir plus forts et ainsi être en mesure d’aider ceux qui veulent progresser dans ce sens. Je m’efforce de contribuer à la prise de conscience du fait que si « tout va mal » autour de nous, c’est individuellement qu’il nous appartient de faire ce qu’il faut, pour que « tout aille mieux » collectivement. Le but de mes écrits n’est pas de vous faire peur, mais de vous préparer, car c’est en sachant les choses qu’on peut mieux les gérer. Je m’attache à avoir une réflexion factuelle, sur « un temps long » et à ne pas donner dans le catastrophisme, sans pour autant éluder les réalités « dérangeantes ». Les analyses que je vous propose étant l’expression de « ma vérité » au moment de leur rédaction, je vous donne l’accès à mes sources, afin que vous soyez en mesure d’avoir VOTRE appréciation, éventuellement différente des miennes et ainsi construire VOTRE vérité, la seule qui vaille à mes yeux.
Bonne lecture.
Comme promis dans mon billet du samedi 9 courant, nous reprenons ensemble l’énumération des principales pollutions actuelles. Nous en étions aux pollutions électromagnétiques qui, bien qu’invisibles, n’en sont pas moins toxiques et nuisent au bon équilibre vibratoire de tous les êtres vivants. Je complète donc les informations que je vous donnais, afin de vous prémunir des effets de cette dysharmonie. À ma connaissance, le livre de Jacques La Maya "La médecine de l’habitat" est le plus complet sur le sujet. Bien qu’ancien (l’auteur nous a quittés en 1997), cet ouvrage de référence a été réédité en collection de poche « J’ai Lu ». Il regorge de solutions faciles à mettre en œuvre. J’atteste de l’efficacité de celles que j’utilise depuis de nombreuses années.Bien que nous n’en prenions pas conscience, cette pollution sournoise affecte aussi le monde animal. Dans mon billet décembre 2017, je vous informais des méfaits de la pêche électrique, cette technique qui, au nom de la « rentabilité », envoie des décharges électriques dans les fonds marins pour ramener plus de poissons dans les filets. REN-TA-BI-LI-TÉ. Ces 5 syllabes, qui nous tuent directement autant qu’indirectement, sont « habilement » masquées par des « z’arguments » plus tendance… Comme les bateaux vont moins vite pour ce type de pêche massacre, ils consomment moins de carburant et donc émettent moins de CO2… c’est donc une « pêche durable » !!!
Il ne faut pas oublier la pollution engendrée par les émissions d’ondes de toutes sortes et notamment des sous-marins et autres balises ultrasonores à usage militaire. Même si le chiffre exact est « top secret », on estime le nombre des sous-marins opérationnels à plus de 530 unités réparties entre lanceurs de missiles nucléaires et « simples » sous-marins d’attaque. Les sonars équipant la quasi-totalité des navires qui sillonnent les mers et océans poussent les baleines « au suicide ». C’est avéré.
Plus surprenant, l’emploi de « répulsifs acoustiques » par certains bateaux de pêche pour éviter de capturer les dauphins dans leurs filets. Nous savons la sensibilité de ces mammifères aux ondes ultrasonores. Au cours des premières semaines de 2019, ce sont plus de 400 dauphins qui ont échoué sur nos côtes atlantiques. Une récente étude met en évidence le fait que les dauphins « simplifient » leurs communications ultrasonores, en raison du « bruit » des activités humaines en mer. Ne serait-il pas raisonnable d’examiner avec beaucoup énormément plus d’attention les effets collatéraux de chacune de nos innovations high-tech ??? Mais si, vous savez bien, le fameux fumeux « principe de précaution » dont nous laissons à nos « z’élites », le soin du choix des choses auxquelles il faut l’appliquer !!!
Il ne faut pas oublier la pollution engendrée par les émissions d’ondes de toutes sortes et notamment des sous-marins et autres balises ultrasonores à usage militaire. Même si le chiffre exact est « top secret », on estime le nombre des sous-marins opérationnels à plus de 530 unités réparties entre lanceurs de missiles nucléaires et « simples » sous-marins d’attaque. Les sonars équipant la quasi-totalité des navires qui sillonnent les mers et océans poussent les baleines « au suicide ». C’est avéré.
Plus surprenant, l’emploi de « répulsifs acoustiques » par certains bateaux de pêche pour éviter de capturer les dauphins dans leurs filets. Nous savons la sensibilité de ces mammifères aux ondes ultrasonores. Au cours des premières semaines de 2019, ce sont plus de 400 dauphins qui ont échoué sur nos côtes atlantiques. Une récente étude met en évidence le fait que les dauphins « simplifient » leurs communications ultrasonores, en raison du « bruit » des activités humaines en mer. Ne serait-il pas raisonnable d’examiner avec beaucoup énormément plus d’attention les effets collatéraux de chacune de nos innovations high-tech ??? Mais si, vous savez bien, le fameux fumeux « principe de précaution » dont nous laissons à nos « z’élites », le soin du choix des choses auxquelles il faut l’appliquer !!!
Pollution numérique.
La pollution électromagnétique nous amène très logiquement à… La pollution numérique !!! Pollution numérique ? Quelle pollution numérique ? Tout d’abord, il faut se rappeler que nos chers smartphones ainsi que nos non moins chers ordinateurs (portables ou non) fonctionnent grâce à des signaux numériques. Je demande pardon aux professeurs qui m’ont enseigné l’électrotechnique et l’électronique il y a déjà quelques années, mais je vais « faire simple ».
Les phénomènes naturels qui nous entourent varient de manière continue. Ils partent d’un niveau « minimum/bas » pour atteindre un « maximum/haut » et continuer ainsi, à l’exemple des saisons ou des marées. Si l’on illustre ce phénomène, il se présente sous la forme d’une sinusoïde. Appliqué à la transmission d’informations telle que le son, on parlera d’un enregistrement analogique (exemple d’une cassette audio ou vidéo, ou d’un disque vinyle).
Un signal prenant des valeurs bien définies telles que zéro ou un, comme en informatique, on parlera alors d’un signal numérique ou digital. En « découpant » un signal analogique en une multitude de signaux numériques, on va pouvoir reproduire une variation continue, à l’exemple d’un enregistrement sonore sur un DVD ou la transmission des images sur les téléviseurs numériques.
Maintenant que nous savons (presque) tout sur les signaux numériques, nous pouvons prendre du recul et constater que dans la nature, il y a des courbes, mais pas de lignes droites. Quel os de notre corps est-il de forme géométrique ? Dans sa quête de « maîtrise du monde », l’homme s’éloigne de plus en plus de la nature et de son harmonie. Sous prétexte de nous fournir davantage d’informations « utiles et pertinentes », de grandes entreprises multinationales nous « bombardent » de signaux numériques à des fréquences de plus en plus élevées, déréglant chaque jour un peu plus nos horloges circadiennes. Quand j’écris « nos », c’est que non seulement cela concerne aussi bien les animaux que les humains, mais aussi que chacun de nos organes a sa propre horloge biologique. La chronobiologie est une science récente, car c’est en 1976 qu’a été déterminé scientifiquement notre chronotype, autrement dit si nous sommes « du matin » ou plutôt « du soir ».
Si depuis le début des années 1900 et l’arrivée de l’électricité, nous avons perdu entre 1 et 2 heures de sommeil par nuit (la lumière a un impact très activateur avant le coucher, car elle repousse la sensation de fatigue et empêche l’endormissement), c’est la pollution massive de la lumière bleue qui actuellement dérègle grandement notre processus naturel d’endormissement. Celle-ci excite 100 fois plus les cellules photoréceptrices de la rétine qui sont impliquées dans la régulation du rythme circadien. En nous y exposant inconsidérément par le biais des écrans de téléphone, tablette, ordinateur ou téléviseur, nous polluons grandement le fonctionnement de nos horloges biologiques. Nous pouvons remédier à ces effets secondaires du prôôôgrès, c’est une simple affaire de bon sens. Par exemple en nous astreignant à diminuer drastiquement l’exposition à « la lumière bleue » le soir entre 30 minutes et 1 heure avant le coucher. Les adeptes de la télévision dans la chambre sont-ils bien conscients qu’en vivant ainsi ils enrichissent les laboratoires pharmaceutiques ? Pour l’ampoule de votre lampe de chevet, il est judicieux de favoriser les lumières de couleur orangée, plus favorables à l’endormissement. Cette notion de « température de couleur » est bien connue et parfaitement maîtrisée par les photographes et les cinéastes. Lorsque vous achetez une ampoule, sa puissance électrique en watt (W) n’est pas tout. Regardez aussi sa température de couleur (qui n’a rien à voir avec la température de son filament émetteur de lumière). Plus celle-ci est basse, entre 2 000 et 4 000 Kelvin (K), plus la couleur est rouge orangé. On parle alors de « couleur chaude ». Plus la couleur émise par l’ampoule est bleue et va vers le blanc (entre 5 000 et 6 500 K) et plus la couleur est dite « froide ».
Continuons avec les ordinateurs et les smartphones. Nous avons tous que les technologies WI-FI et Bluetooth nous permettent de nous « affranchir » des câbles !!! C’est pâbô des câbles pour relier un clavier ou une souris à son PC. C’est pâbô un câble pour relier son smartphone à son oreillette. C’est pâ bon d’utiliser ces technologies, car les fréquences employées pour ces transmissions numériques nous polluent en venant perturber le bon fonctionnement de nos ondes cérébrales. Cette pollution est connue et même quantifiée. Avez-vous entendu parler du débit d’absorption spécifique (DAS) ? Vérifiez cette donnée lors du choix de votre prochain smartphone. Plus le DAS est bas, « moins grave » c’est !!! Rassurez-vous, les « autorités compétentes » ont défini des seuils d’exposition à ne pas dépasser. Nous ne courrons aucun danger . Vous n’allez quand même pas croire que les constructeurs de tous ces appareils de haute technologie ont influencé les pouvoirs publics afin de mieux vendre leurs produits ? Si vous l’osier … Oui je sais, c’est nul, mais je n’ai pas pu me retenir. C’est de « l’humour pompier ». Je suis incorrigible.
Reprenons : si vous l’osiez, je n’hésiterais pas un seul instant à vous traiter de « complotiste », voire même de « Gilet jaune », non, mais !! Me permettrais-je de mettre en doute un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) qui nous affirme « que l’exposition à ces ondes, notamment générées par les téléphones portables, pouvait provoquer des modifications biologiques sur le corps, mais les données scientifiques disponibles ne montreraient pas «d’effet avéré» sur la santé » ? J’ai beau lire et encore lire, les révélations relatives à la viande avariée polonaise du début de ce mois de février 2019, notre célèbre « agence de sécurité alimentaire » est « curieusement » absente dans cette affaire !!!
Deviendrais-je pessimiste en prenant de l’âge ? Bien sûr que non !!! Je me réjouis par avance de l’annonce de la prochaine mise en service des réseaux de transmission numériques 5G, autrement dit, l’ensemble des technologies correspondant à la cinquième génération du standard pour la téléphonie mobile. Ce réseau IN-DIS-PEN-SA-BLE pour faire fonctionner le merveilleux monde des « objets connectés ». Déjà que des « journalistes séditieux » se permettent de critiquer les « bienfaits » des smartphones, v’latipa que d’autres, telle « une foule haineuse », osent évoquer pas moins de 11 raisons de s’inquiéter, relatives à la mise en service de cette 5G, ou pire : « Le déploiement de la cinquième génération de technologies cellulaires représente une expérience aventureuse avec la santé de l’espèce tout entière ». Haineux, je vous dis, haineux ces journalistes….
Il est ici utile de préciser « un détail de l’histoire ». La ville de Palm Beach en Floride est connue, entre autres, pour être le lieu de résidence de quelques « célébrités » au rang desquelles : le golfeur Tiger Woods, le chanteur Bruce Springsteen, l’industriel Bill Gates et un certain canard du nom de Trump. Vous n’allez pas le croire, mais cette commune proche de Miami, alors que dans tout l’état de Floride, une loi a été votée autorisant les opérateurs de téléphonie mobile à installer à l’avenir leurs antennes 5 G, même sans autorisation, a obtenu une dérogation !!! Le motif de celle-ci est… SA-VOU-REUX : « l’installation des antennes partout défigurerait le paysage urbain et que les habitants s’y opposent ». Contrairement à ce que l’on aurait pu croire, Palm Beach n’est donc pas un lieu de résidence de « progressistes ». Voilà une transition toute trouvée avec la pollution suivante…
Pollution politico-médiatique
Mais qu’arrive-t-il à notre ami Hubert ? Le voilà qui associe pollution, média et politique. Serait-il victime d’une trop forte exposition aux ondes électromagnétiques ? Que nenni chers amis lecteurs, que nenni. Je me contente de « revenir aux sources », c’est-à-dire à la définition de pollution. Comme nous l’avons vu dans mon dernier billet, le dictionnaire Larousse nous dit : « Dégradation de l’environnement par des substances (naturelles, chimiques ou radioactives), des déchets (ménagers ou industriels) ou des nuisances diverses (sonores, lumineuses, thermiques, biologiques, etc.). [Bien qu’elle puisse avoir une origine entièrement naturelle (éruption volcanique, par exemple), elle est principalement liée aux activités humaines.]
Quant au CNRTL , il nous dit : « L’action, le fait de souiller le milieu naturel avec des polluants ou des déchets, ainsi que l’état de dégradation et de perturbation de l’environnement, souvent nocif à l’homme et aux autres êtres vivants. »
Mon association pollution, média, politique vous semble osée ? Je pense qu’à minima, le matraquage « merdiatique » du discours « politiquement correct » pollue directement nos esprits et, par voie de conséquence, nos comportements qui ont, eux, un effet direct sur l’environnement. À titre d’exemple, les incitations gouvernementales à utiliser des moteurs diesel pendant des années pour récemment le condamner au profit des moteurs essence puis encore plus récemment, électriques, sans nous informer des « nouvelles pollutions » engendrées par cette filière. Encore plus récemment, il est dit que le diesel ne serait pas si dangereux que cela. Comme l’analyse Philbert Carbon pour l’IREF, toute cette pollution médiatique est au service de l’idéologie politique en vogue. J’y reviendrai tout à l’heure. Au bout du compte, nous n’avons fait que polluer notre environnement, de manière aussi grave au fur à mesure du temps, mais de manière différente.
Voilà pourquoi je vous propose de raisonner, comme le faisait en son temps l’économiste français Frédéric BASTIAT. Ceux d’entre vous qui me lisent depuis longtemps se souviennent de l’époque où mes billets étaient articulés en deux grandes parties « Ce que l’on voit » et « Ce que l’on ne voit pas », directement inspirées d’une de ses plus célèbres œuvres portant le même titre. Je ne puis résister à citer l’introduction de ce pamphlet, mon préféré, écrit en… juillet 1850, tellement il est toujours d’actualité, quand on voit se pavaner sur les plateaux de télévision, les hommes et femmes politiques de tous bords, qui s’évertuent à nous polluer l’esprit en débitant leurs poncifs « tendance » :
« Dans la sphère économique, un acte, une habitude, une institution, une loi n’engendrent pas seulement un effet, mais une série d’effets. De ces effets, le premier seul est immédiat ; il se manifeste simultanément avec sa cause, on le voit. Les autres ne se déroulent que successivement, on ne les voit pas ; heureux si on les prévoit. Entre un mauvais et un bon Économiste, voici toute la différence : l’un s’en tient à l’effet visible ; l’autre tient compte et de l’effet qu’on voit et de ceux qu’il faut prévoir. Mais cette différence est énorme, car il arrive presque toujours que, lorsque la conséquence immédiate est favorable, les conséquences ultérieures soient funestes, et vice versa. — D’où il suit que le mauvais Économiste poursuit un petit bien actuel qui sera suivi d’un grand mal à venir, tandis que le vrai économiste poursuit un grand bien à venir, au risque d’un petit mal actuel. »
Cela étant, je pousse le raisonnement plus loin que Philbert Carbon cité plus haut, en situant le haut degré de pollution des esprits et de l’environnement politique actuel, accompli par notre président Macron, dans le cadre de « sa mission ». Je cite ici la fin de mon billet de juin 2017, soit un mois et demi après son élection :
« Emmanuel MACRON se trouve actuellement dans une situation «très compliquée». Soit il «contente» ceux qui ont fait en sorte qu’il soit Président de la République française, soit il répond pleinement aux aspirations des personnes qui l’ont élu à cette fonction. À l’évidence, ce sont des routes opposées. Exercice de funambule, car s’il satisfait ses électeurs, ses «accoucheurs» chercheront par tous les moyens à lui faire payer. S’il satisfait ses accoucheurs, la déception et l’amertume de ses partisans d’aujourd’hui, amplifieront l’opposition existante et cela pourrait bien finir violemment dans la rue. »
Pour ce qui est de « la violence dans la rue », nous y sommes, et pour ce qui est du choix de contenter ou pas « ses accoucheurs », celui-ci m’apparaît comme évident. Les promesses du grand débat national au profit des Français sont un « magnifique » exemple d’opération de « pollution des esprits » de nos concitoyens. Quand un pouvoir use de tous les moyens, policiers, judiciaires, médiatiques merdiatiques, pour se maintenir en place, c’est qu’il n’a plus de « solutions politiques » et qu’il est condamné à disparaître. Comme bien évidemment, il ne saurait envisager cette éventualité, puisque se considérant « légitimement élu », deux voies s’ouvrent au peuple.
La première, démocratique, comme y travaille depuis de nombreuses années l’enseignant Étienne CHOUARD, « inventeur » du référendum d’initiative citoyenne (RIC), qui propose « simplement » que le peuple « écrive sa constitution », car celle actuellement en vigueur lui a, « par construction, été volée ». Une autre initiative est celle de l’association « Article 3 » qui se focalise sur la modification de l’article 3 de notre constitution pour arriver aux mêmes conclusions que « l’ami Étienne » d’une réécriture de cet article. François Asselineau, président du parti Union populaire républicaine (UPR), candidat « malheureux » à la dernière élection présidentielle, milite pour la destitution du président Macron qui est « juridiquement possible ». Nous n’en sommes pas informés, mais beaucoup de « Gilets jaunes » travaillent sur cette voie démocratique.
La deuxième, beaucoup moins « calme ». C’est tout simplement une révolte populaire de grande ampleur à laquelle se mêleront immanquablement toutes les mouvances anarchistes, fascistes, libertaires et « la racaille ». Autant le dire clairement, ce sera « la guerre civile ». Si elle ne me semble pas d’actualité et encore moins souhaitable, elle ne saurait raisonnablement être écartée à moyen terme, surtout si la voie démocratique continue de rencontrer une opposition « musclée » autant que liberticide.
À noter qu’Étienne et François militent aussi pour la sortie de la France de l’Union européenne… une idée qui fait « discrètement » son chemin et qui me semble indispensable si nous voulons pouvoir agir contre l’emprise de l’oligarchie mondialiste. C’est possible, mais pas gagné d’avance. Je reviendrai dans quelque temps sur ce phénomène qui va prendre de l’ampleur. En ce qui concerne « la mission » d’Emmanuel Macron, elle s’inscrit, à mon sens, quand on connaît une partie seulement de « ses financeurs », dans le projet de gouvernance mondiale dont je vous informe depuis longtemps, c’est-à-dire de « casser » les États pour instituer le pouvoir de l’oligarchie mondialiste. Voilà pour la pollution politico-médiatique.
Je vous donne rendez-vous dans mon prochain « grand billet du samedi », c’est-à-dire le 9 mars, pour aborder la « pollution financière » et découvrir ensemble « le dessous des cartes », puis comment tirer « notre épingle du jeu » face à toutes ces formes de pollution qui, en stricte application du principe du syndrome de la grenouille, nous mènent à notre perte, si nous continuons de rester passifs.
Chers lecteurs, soyez attentifs à prendre bien soin de vous. Je vous aime et vous salue.
Le billet d’Hubert
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