Le général Antoine Martinez
Peut-être n’êtes-vous pas informée, Mme Florence Parly, car vous n’êtes ministre des Armées que depuis fort peu de temps, mais d’autres généraux se sont déjà opposés à ceux qui nous gouvernent, quand ils ont considéré que la Nation était en danger, qu’elle était trahie.
Sans remonter bien loin, l’exemple, en 1940, du général de Gaulle puis, plus récemment, en 1961, les généraux Challe, Salan, Jouhaux, Zeller, Gardy et des dizaines d’officiers de tous grades, des colonels aux lieutenants.
Certains sont morts, exécutés par celui-là même qui avait été également condamné à mort par le gouvernement de l’époque.
Le « devoir de réserve », que vous citez, ne doit plus exister quand la patrie est en danger.
L’armée et ses « chefs » sont le premier rempart quand la Nation est attaquée. Ce sont eux qui affrontent l’ennemi et non pas les « politicards », qui sont les premiers à prendre la fuite. Cela a été constaté maintes fois.
13 « chefs » militaires, qui effectivement incarnent le sommet de la hiérarchie militaire (manque encore la signature, qui ne saurait tarder, du général de Villiers) estiment que ce qui est nommé « Pacte de Marrakech », proposé par l’Europe, présente un danger pour la France et leur premier devoir est de défendre la France et non l’Europe car, si demain notre pays était menacé par un autre pays européen, ce serait eux qui se trouveraient face à cet ennemi.
Or, il s’avère qu’actuellement notre pays est menacé par deux ennemis : l’Islam et sa religion agressive d’une part et l’invasion de migrants clandestins d’autre part.
Or, contre ces deux ennemis, aucune défense n’est installée ni envisagée.
Cette lettre, adressée au président de la République, n’est qu’un avertissement, une mise en garde en quelque sorte, et au lieu de la juger « inadmissible et indigne », vous devriez en tenir compte car, comme vous le dites « Ils ont la charge de montrer l’exemple ». N’est-ce pas ce qu’ils font, « montrer l’exemple » ?
Gardez-vous bien, Madame la ministre des Armées, d’envisager des « sanctions disciplinaires ». Nous vous conseillons plutôt, puisque vous y réfléchissez, « d’apprécier l’opportunité de ne pas les prendre », dans les jours à venir.
Car, si vous échappez, momentanément, à la colère des Gilets jaunes, vous allez affronter celle de notre police nationale, alors ne rajoutez pas celle des officiers de nos armées.
Ne doutez pas une seule seconde que la très grande majorité du peuple de France sera derrière eux… contre vous !
Manuel Gomez
LETTRE DES GÉNÉRAUX À EMMANUEL MACRON
Monsieur le Président,
Vous vous apprêtez à approuver le 19 décembre prochain le « pacte mondial sur les migrations sûres, ordonnées et régulières » qui institue un véritable droit à la migration. Il pourra s’imposer à notre législation nationale par le biais de traités préexistants ou du principe de responsabilité commune fixé dans ce pacte.
Il nous apparaît que la seule souveraineté qui restera à la France consistera à fixer librement la façon dont les objectifs du pacte devront être mis en œuvre. Vous ne pouvez pas céder ce nouveau pan de la souveraineté nationale sans un débat public alors que 80 % de la population française considère qu’il faut stopper ou réguler drastiquement l’immigration. En décidant seul de signer ce pacte, vous ajouteriez un motif de révolte supplémentaire à la colère d’un peuple déjà malmené. Vous vous rendriez coupable d’un déni de démocratie, voire de trahison à l’égard de la nation.
Par ailleurs, les finances de notre pays sont exsangues et notre endettement progresse. Vous ne pouvez donc pas prendre le risque d’un appel d’air migratoire coûteux sans avoir démontré préalablement que vous ne serez pas obligé de recourir à plus d’impôts pour répondre aux objectifs du pacte. D’autre part, vous devez être capable, en terme sécuritaire, de juguler les conséquences liées à l’arrivée de populations extra-européennes. Enfin, vous ne pouvez pas ignorer que l’essence même du politique, c’est d’assurer la sécurité à l’extérieur et la concorde à l’intérieur. Or, cette concorde ne peut être obtenue qu’à la condition de maintenir une certaine cohérence interne de la société seule capable de permettre de vouloir faire ensemble, ce qui devient de plus en plus problématique aujourd’hui.
En effet, l’État français réalise un peu tard l’impossibilité d’intégrer des populations trop nombreuses, de surcroît de culture totalement différente, qui se sont regroupées au cours de ces quarante dernières années dans des zones qui ne se soumettent plus aux lois de la République.
Vous ne pouvez pas décider seul d’effacer nos repères civilisationnels et nous priver de notre patrie charnelle.
Nous vous demandons donc de surseoir à la signature de ce pacte et d’appeler par voie de référendum les Français à se prononcer sur ce document. Vous êtes comptable devant les Français de vos actions. Votre élection ne constitue pas un blanc-seing.
Général Antoine MARTINEZ
Président de l’association Volontaires pour la France
Nous soutenons l’initiative du général MARTINEZ contre l’adoption de ce pacte qui doit être approuvé par les États membres de l’Onu le 19 décembre prochain.
Charles MILLON – Ancien Ministre de la Défense
Général Philippe CHATENOUD
Général André COUSTOU
Général Roland DUBOIS
Général Daniel GROSMAIRE
Général Christian HOUDET
Général Michel ISSAVERDENS
Amiral Patrick MARTIN
Général Christian PIQUEMAL
Général Daniel SCHAEFFER
Général Didier TAUZIN
Colonel Jean Louis CHANAS
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