« Je suis rapporteur d’une mission sur les services publics face à la radicalisation. J’ai vu des fonctionnaires qui m’ont expliqué à plusieurs reprises que, dans la gendarmerie, l’armée, la police, il y a des trous dans la raquette. Ça veut dire que ces services publics sont infiltrés par des islamistes radicalisés qui peuvent devenir des terroristes », a-t-il affirmé.
L’élu a tenu à préciser qu’ils sont « identifiés et surveillés ». Jean-Marc Morandini a alors demandé pourquoi ils sont toujours dans la police. « Il faut des preuves. Parfois, pour révoquer certains policiers, il faut trouver des faits annexes (…) Quand on identifie un douanier à l’aéroport et qu’il se radicalise, on le met dans un bureau. Est-ce que c’est la solution ? il y a un vide juridique pour les personnes qui se radicalisent dans les services publics », a déclaré Eric Diard.
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