Etienne Chouard est doublement dérangeant : primo son idée de RIC est révolutionnaire et applicable. Secondo, contrairement à Soral parfois excessif, il est plus posé et pas encore ostracisé à coups de procès com'oriens. Mais ça vient, il a récemment été traité d'anti-inuit. La hauteur de ce dernier argument est à la mesure du danger que craint le véritable pouvoir financier esclavagiste et mortel. N'oublions pas l'opération "grand ménage" lors des suicides de banquiers.
A chaque coup porté contre le peuple Gilet-Jaune, on sent la haine qu'ils ont contre Etienne Chouard.
Il est à l'avant-poste, il risque de recevoir les saloperies habituelles dans les dents, mais l'idée ne peut pas être tuée. Vivant Chouard est gênant, mort il serait un martyr de la cause.
Pour prendre la température du temps, lisez régulièrement les menaces (il n'y a pas d'autre mot) d'Attali. Le monde complexe dont il se prévaut, évinçant le peuple abruti par essence, n'est qu'un écran qui masque la gigantesque escroquerie. Il sait que l'économie va s'effondrer et que ce sera un prétexte de plus pour asservir le monde : organisation de la pauvreté des masses, invasion migratoire. Les deux vont de paire. Même le gouvernement japonais vient d'accepter les flux migratoires ! Alors que les Japonais y sont opposés.
La finance a une puissance de feu considérable, seuls les peuples peuvent s'y opposer. La lutte sera sévère, dans le sens étymologique du terme : imposer aux autres, ce que l'on s'impose à soi-même. C'est aussi une définition de l'honnêteté.
Pour résumer de façon triviale la solution d'Attali : remplir les gamelles, pour que le peuple ferme sa gueule. Comme disait mon oncle à ma tante, lorsque nous étions enfants et un peu agités à table : "Sers-les d'abord, quand ils l'ont pleine, ils ne l'ont pas ouverte."
Liz
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