28 novembre 2018

La Promesse du pire


J'avais lu "L'Horreur Économique", le livre de Viviane Forrester, en 1996 dès sa parution. Un essai à lire et à relire, tant il est visionnaire.

Nous sommes arrivés à ce point de notre histoire où ce qui est annoncé dans cet opus est en train de se réaliser sous nos yeux.

Le cynisme, le mépris de classe et maintenant la volonté affichée de changer de peuple via l'opération migration imposée, nous amènent à un constat : tout est à vendre, y compris les corps entiers ou en morceaux. Qui voudra des bras low cost pour une tâche ponctuelle, n'aura qu'à claquer des doigt pour choisir les plus aptes.

Lorsque le travail disparaît, reste l'esclavage. Pour cela, rien de mieux que la Dette qui rime avec Bête... immonde !

S'il ne restait qu'une seule demande à hurler sur les Champs Elysées, du fond des tripes des Gilets-Jaunes, ce serait : "ABROGATION DE LA DETTE, MAINTENANT !"

Les autres demandes ne sont que mendicité ou incompréhension de la gouvernance mondiale. Depuis 1973*, la Dette est planifiée pour étrangler les peuples des nations de moins en moins souveraines.

"La Promesse du Pire" est la suite de "L'Horreur Economique". Viviane Forrester est morte en laissant ces quelques pages : Livre en PDF ici

"Le chômage souci majeur officiel (au moins proclamé) : il était question en permanence de la priorité à accorder aux êtres humains vivants, à leurs corps, à leurs destins, à leur souffle. De souffrances et d’espoirs. De personnes. De leurs droits. Qui semble y croire, à présent ? Des entités abstraites, redondantes, évincent tout frémissement de vie : « la Crise, la Dette, la Crise de la Dette » obstruent tout l’espace, servent de réplique à toute réaction. Le chômage ? Inévitable. Un dommage collatéral."


*1973, Pompidou, ex directeur chez Rothschild, offre la Dette à la Banque, c'était les fiançailles contre-nature, presque secrètes.
Entre temps, le mariage a été consommé.
Macron, ancien liquidateur chez Rothschild tient maintenant la couronne mortuaire.
La balle est dans le camp du peuple, pas contre, pas encore. Tout est encore possible.
Une lectrice...

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