Aujourd'hui, ces combattants partis en Syrie ou en Irak et revenus en France sont systématiquement interpellés et placés en détention en attendant leur jugement. En tout, ils sont 258 majeurs (184 hommes et 74 femmes). Certains ont déjà été jugés... et libérés.
C'est ce que révélera le CAT (Centre d'analyse du terrorisme) dans un rapport prévu pour courant mai sur le traitement judiciaire des "revenants". Son président, Jean-Charles Brisard, dévoile à RTL.fr que parmi ces 93 jihadistes jugés pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, 59% seront libérés avant 2020.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.