Guerilla nous entraîne dans la pire des guerres, celle que l'on craint par-dessus tout, la guerre civile. Il a suffi d'une étincelle pour que les quartiers populaires et les villes s'enflamment, que des terroristes profitent du chaos pour plonger la France dans l'apocalypse. Laurent Obertone, qui imagine l'embrasement de notre pays après un épiphénomène, tente de nous alerter sur le caractère dangereux des relations entretenues entre les pouvoirs publics et les populations issues des franges défavorisées. Le roman ne développe aucune thèse manichéenne, il tire un signal d'alarme.
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