08 avril 2018

Plan Kalergi : génocide des peuples européens


’immigration de masse est un phénomène dont les causes sont habilement cachées par le Système, et la propagande « multiethnique » s’efforce de nous persuader qu’elle est inévitable. Dans cet article, nous voulons vous démontrer une fois pour toute que cette immigration n’est pas un phénomène spontané. Ce que l’on voudrait nous faire croire comme étant une conséquence inéluctable de l’histoire est en réalité un plan étudié sur papier et préparé depuis des dizaines d’années pour détruire complètement le visage du Vieux continent.

LA PANEUROPE

Peu de gens savent qu’un des principaux protagonistes du processus européen est aussi celui qui a planifié et programmé le génocide des peuples européens. Il s’agit d’un obscur personnage dont les masses ignorent l’existence, mais que les « puissants » considèrent comme étant le père fondateur de l’Union Européenne. Son nom est Richard Coudenhove Kalergi. En coulisse, loin des projecteurs, il a réussi a attirer dans ses filets les plus importants chefs d’Etat. Ils soutiendront et feront la promotion de son projet d’unification européenne [1]. En 1922, il fonda à Vienne le mouvement « Paneuropéen », qui visait l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial basé sur une Fédération de Nations dirigée par les Etats-Unis. L’unification de l’Europe aurait été le premier pas vers un unique Gouvernement Mondial. Avec la montée du fascisme en Europe, le Plan a du être momentanément stoppé, et l’Union Paneuropéenne contrainte de se dissoudre. Mais, après la seconde guerre mondiale, Kalergi, grâce à une frénétique et infatigable activité, grâce aux appuis de Winston Churchill, de la loge maçonnique B’nai B’rith et d’importants quotidiens comme le New York Times, réussit à faire accepter son projet au gouvernement des USA.

L’ESSENCE DU PLAN KALERGI

Dans son livre « Praktischer Idealismus », Kalergi déclare que les habitants des futurs « Etats Unis d’Europe » ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux. Il affirmait, sans demi-mesure, qu’il était nécessaire de « croiser » les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir.

Voilà comment Gerd Honsik décrit l’essence du Plan Kalergi :

« L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Egyptiens, remplacera la multiplicité des peuples [...] [2]

Kalergi proclama qu’il fallait abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes ou l’immigration allogène de masse.

Pour que les élites puissent dominer l’Europe, il prévoyait de transformer les peuples homogènes en un peuple métissé ; il attribuait aux métis des caractéristiques de cruauté et d’infidélité, entre autres. Ce peuple, selon lui, devait être créé et ce nouveau peuple métissé permettrait à l’élite de lui être supérieure.

En éliminant d’abord la démocratie, à savoir le pouvoir du peuple, et ensuite le peuple lui-même avec le métissage, les Blancs devaient être remplacés par une race métissée facile à dominer.

En abolissant le principe d’égalité de tous devant la loi et en préservant les minorités de toute critique, avec des lois extraordinaires les protégeant, on réussirait à contrôler les masses. Les politiques de l’époque ont écouté Kalergi, les puissances occidentales se sont basées sur son Plan, les journaux et les services secrets américains ont financé ses projets. Les leaders de la politique européenne savent bien que c’est lui l’instigateur de cette Europe dirigée par Bruxelles et Maastricht. Kalergi, inconnu de l’opinion publique, [...] est considéré comme le père de Maastricht et du multiculturalisme. Ce qui est révolutionnaire dans son Plan, est qu’il ne préconise pas un génocide pour atteindre le pouvoir, mais qu’il prévoit de créer des « sous-humains » qui, en raison de caractéristiques négatives comme [l'incapacité] et l’instabilité, toléreront et accepteront cette « noble race » [3] (ndt noble race = élite).

DE KALERGI À NOS JOURS

Bien qu’aucun livre d’école ne parle de Kalergi, ce sont ses idées qui ont inspiré l’Union Européenne d’aujourd’hui. Sa conviction que les peuples européens devaient être métissés avec les Noirs et les Asiatiques pour détruire leur identité et créer une unique race métissée, est à la base de toute la politique européenne face à l’intégration et à la défense des minorités.

Tout cela n’est pas décidé pour des raisons humanitaires. Ces directives sont promulguées, avec une détermination impitoyable, pour réaliser le plus grand génocide de l’histoire.

Le prix européen Coudenhove-Kalergi a été institué en son honneur. Tous les deux ans, il récompense les européistes qui se sont particuliè- rement distingués dans la poursuite de son Plan criminel. Parmi eux, nous trouvons des personnes du calibre d’Angela Merkel ou d’Herman van Rompuy.

La Société Européenne Coudenhove-Kalergi a décerné le premier prix européen à Angela Merkel en 2010.

Le 16 novembre 2012 le prix Coudenhove-Kalergi a été décerné au président du Conseil européen Herman von Rompuy pendant un congrès spécial qui s’est déroulé à Vienne pour célébrer les 90 ans du mouvement paneuropéen. Derrière lui on pouvait voir le symbole de l’union paneuropéenne : une croix rouge qui domine un soleil doré, symbole qui était celui de l’ordre de la Rose-Croix.

L’ONU pousse au génocide par ses constantes exhortations à accueillir des millions d’immigrés pour compenser la baisse de natalité en Europe. Un rapport de la « Population Division » des Nations Unies à New-York (datant de janvier 2000), est intitulé : « Migrations de remplacement : une solution pour les populations vieillissantes et en déclin ».

Selon ce rapport, l’Europe aurait besoin d’ici 2025 de 159 millions d’immigrés. On se demande comment il est possible de faire des estimations aussi précises, à moins que l’immigration ait été prévue et étudiée « sur papier ».

En fait, il est sûr que la baisse de natalité chez nous pourrait facilement être inversée avec des mesures adaptées de soutien aux familles. Et il est tout aussi évident que ça n’est pas avec l’apport d’un patrimoine génétique différent que l’on protègera le patrimoine génétique européen, et qu’en agissant ainsi, on accélère sa disparition.

Ainsi, l’unique but de ces mesures est de dénaturer complètement un peuple, de le transformer en un ensemble d’individus sans plus aucune cohésion ethnique, historique et culturelle.

Bref, les thèses du Plan Kalergi ont constitué et constituent jusqu’à aujourd’hui la base de la politique officielle des gouvernements qui poussent au génocide des peuples européens à travers l’immigration de masse.

G.Brock Chisholm, ex-directeur de l’OMS, nous montre qu’il a parfaitement appris la leçon de Kalergi quand il affirme :

« Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (interraciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale » [4]

CONCLUSION

Si nous regardons autour de nous, le Plan Kalergi semble s’être pleinement réalisé. Nous sommes au-devant d’une vraie tiersmondialisation de l’Europe.

L’axiome de la « Nouvelle citoyenneté », c’est le multiculturalisme et le métissage forcé. Les Européens sont les naufragés du métissage, submergés par des hordes d’immigrés africains et asiatiques. Les mariages mixtes produisent chaque année des milliers d’individus métis : les « enfants de Kalergi ».

Sous la double poussée de la désinformation et de l’abêtissement du peuple, grâce aux moyens de communication de masse, on a poussé les Européens à renier leurs propres origines, à oublier leurs propres identités ethniques. Les partisans de la globalisation s’efforcent de se convaincre que, renoncer à sa propre identité, est un acte progressiste et humanitaire, que le « racisme » est erroné, mais uniquement parce qu’ils aimeraient faire de nous des consommateurs aveugles.

http://www.dailymotion.com/video/x2v9don

https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Nikolaus_de_Coudenhove-Kalergi

https://sitamnesty.wordpress.com/plan-kalergi/

http://fr.sputniknews.com/french.ruvr.ru/radio_broadcast/no_program/279173069/

NOTE : (pas traduites en français, ndt)

[1] Tra i suoi seguaci della prima ora si incontrano i politici cechi Masarik e Benes, così come il banchiere Max Warburg che ha messo a sua disposizione i primi 60.000 marchi. Il cancelliere austriaco Monsignor Ignaz Seipel e il successivo presidente austriaco Karl Renner si incaricarono successivamente di guidare il movimento Paneuropa. Kalergi stesso indicava che alti politici francesi approvavano il suo movimento per reprimere la ripresa della Germania. Così il primo ministro francese Edouard Herriot e il suo governo, come i leaders britannici di tutti gli ambiti politici e, tra loro, il redattore capo del Times, Noel Baker, caddero nelle macchinazioni di questo cospiratore. Infine riuscì ad attrarre Winston Churchill. Nello stesso anno, quello che più tardi si trasformerà nel genocida ceco di 300.000 tedeschi dei Sudeti, Edvard Benes, fu nominato presidente onorario. Egli ha finora quasi disconosciuto Kalergi, ma negoziava anche con Mussolini per restringere il diritto di autodeterminazione degli austriaci e favorire ancora di più le nazioni vittoriose, ma fallì. Nell’interminabile lista degli alti politici del XX secolo, c’è da menzionare particolarmente Konrad Adenauer, l’ex ministro della giustizia spagnolo, Rios, e John Foster Dulles (EEUU). Senza rispettare i fondamenti della democrazia e con l’aiuto del New York Times e del New York Herald Tribune, Kalergi presentò al Congresso Americano il suo piano. Il suo disprezzo per il governo popolare lo manifestò in una frase del 1966, nella quale ricorda la sua attività del dopoguerra : << I successivi cinque anni del movimento Paneuropeo furono dedicati principalmente a questa meta : con la mobilitazione dei parlamenti si trattava di forzare i governi a costruire la Paneuropa >>. Aiutato da Robert Schuman, ministro degli esteri francese, Kalergi riesce a togliere al popolo tedesco la gestione della sua produzione dell’acciaio, ferro e carbone e la trasferisce a sovranità sovranazionale, ossia antidemocratica. Appaiono altri nomi : De Gasperi, il traditore dell’autodeterminazione dei tirolesi del sud, e Spaak, il leader socialista belga. Finge di voler stabilire la pace tra il popolo tedesco e quello francese, attraverso gli eredi di Clemenceau, quelli che idearono il piano genocida di Versailles. E negli anni venti sceglie il colore azzurro per la bandiera dell’Unione Europea. Il ruolo guida di Kalergi nella creazione dell’Europa multiculturale e nella restrizione del potere esecutivo dei parlamenti e dei governi, è evidente ai giorni nostri, e si palesa col conferimento del premio “Coudenhove Kalergi” dal cancelliere Helmut Kohl come ringraziamento per seguire questo piano, così come l’elogio e l’adulazione del potente personaggio da parte del massone e polito europeo il primo ministro del Lussemburgo, Junker. Nel 1928 si aggiunsero celebri politici e massoni francesi : Leon Blum (più tardi primo ministro), Aristide Briand, E. M. Herriot, Loucheur. Tra i suoi associati si incontrava gente molto diversa come lo scrittore Thomas Mann e il figlio del Kaiser, Otto d’Asburgo. Tra i suoi promotori, a parte i già menzionati Benes, Masarik e la banca Warburg, si incontrava anche il massone Churchill, la CIA, la loggia massonica B’nai B’rith, il “New York Times” e tutta la stampa americana. Kalergi fu il primo a cui fu assegnato il premio Carlomagno nella località di Aachen ; e quando lo ricevette Adenauer, Kalergi era presente. Nel 1966 mantiene i contatti con i suoi collaboratori più importanti. Tutti coloro che sono stati insigniti di questo premio fanno parte del circolo di Kalergi e della massoneria, o si sforzarono di rappresentare gli interessi degli USA in Germania. Nell’anno 1948 Kalergi riesce a convertire il “Congresso degli europarlamentari” di Interlaken in uno strumento per obbligare i governi a tornare a occuparsi della “questione europea”, vale a dire, a realizzare il suo piano. Proprio allora si fonda il Consiglio europeo e in cima alla delegazione tedesca troviamo Konrad Adenauer appoggiato dalla CIA. (Gerd Honsik, “Il Piano Kalergi”)

[2] Kalergi, Praktischer Idealismus : "L’homme du futur sera le produit de différentes races. Les races et classes d’aujourd’hui disparaîtront progressivement par l’élimination des espaces, du temps et des préjugés. La race eurasienne-négroïde du futur, similaire en apparence aux anciens égyptiens, remplacera la diversité des peuples et celle desindividus. Plutôt que de détruire le judaïsme européen, l’Europe, contre sa volonté, éduque ce peuple et le conduit à son futur statut de leader de ce processus artificiel. Ce n’est pas surprenant que le peuple qui s’est échappé des ghettos-prisons devienne la noblesse spirituelle de l’Europe. Ainsi cette attention particulière de l’Europe a donné naissance à une nouvelle race d’aristocrates. Cela est dû à l’anéantissement de l’aristocratie féodale européenne qui s’est effondrée au moment de l’émancipation des juifs [En raison de la révolution française]."

[3] Honsik, op.cit.

[4] « USA Magazine », 12/08/1955

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