Jeam-Marc Lassave, qui s’occupe de la Petite Enfance au sein de la communauté de communes Sud-Estuaire, nous explique « On n’est pas trop habitué, mais l’hôpital de Saint-Nazaire nous a expliqué qu’il traitait une vingtaine de cas par an en Loire-Atlantique », sur 4700 cas recensés par an. Et ce même si les causes restent nébuleuses – l’agente ne vient pas d’un pays à risque où des formes résistantes se sont développées, ni n’a voyagé récemment à l’étranger.
« On a déroulé la procédure habituelle, c’est à dire l’information des parents et le dépistage des enfants et des adultes en contact avec la personne », soit 274 enfants, en majorité scolarisés à la maternelle Saint-Joseph et 16 adultes, « sur les trois derniers mois, par précaution. D’abord une radio pulmonaire pour identifier si la maladie est installée, puis un test cutané pour en savoir plus ». Un enfant a déjà été signalé positif, d’autres devraient suivre car les dépistages ne sont pas achevés, prévient le comité de lutte anti-tuberculeux qui prévoit d’élargir son action au sein de l’école.
Louis-Benoît Greffe
Mais il n'y a aucun risque pour les enfants et les adultes, hormis pour les ressortissants étrangers, puisqu'ils sont tous vaccinés ! A moins que les vaccins ne protègent pas vraiment...
Les conditions sanitaires se dégradent rapidement en France, précarité galopante et immigration massive... Tout le monde sait que la diminution de la tuberculose et de beaucoup d'autres maladies est due avant tout à l'amélioration considérable des conditions d'hygiènes :
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