24 août 2017

De tout côté on n’entend plus que ça!


Jusqu’à un certain point on peut ironiser, quitte à se forcer un peu. Toutefois, ainsi que l’observait fort judicieusement Pierre Dac (celui qui m’a dégouté à tout jamais de l’antisémitisme systématique) « quand les bornes sont franchies, il n’y a plus de limite ». Elles me semblent désormais bel et bien franchies, les bornes, et du coup, pour rigoler comme avant ça va devenir très dur. Voilà: de tout côté on n’entend plus que ça…et pas un air nouveau qui nous vient de là bas, c’est moi qui vous le dis… (Pour les moins de soixante-dix ans, cette sorte de citation-réminiscence (1) un peu niaise n’évoque rien, bien sûr, sauf que les non-initiés doivent me prendre pour un gatouillard radoteur, mais bon, aux quelques autres, aux survivants des années soixante qui n’ont pas encore chopé Alzheimer, ces couillonnades doivent rappeler quelque chose. C’est toujours ça.)
Mais revenons à nos moutons, foin des digressions parasites propres à déliter le fil d’un raisonnement déjà passablement ténu et dont l’intérêt même me semble, à moi, c’est dire, grave sujet à caution. De tout côté, disais-je, on ne parle plus que de fourgons ou de BMW qui foncent dans les foules, d’attaques au couteau, de machines infernales, de cellules djihadistes, de radicalisation indétectable, de revendications par un État Islamique agonisant, de « Français » qui reviennent de Syrie avec la ferme intention de nous faire la peau, bref des manifestations belliqueuses de la haine inexpiable vouée à la Chrétienté par une proportion indéfinie des Musulmans vivant en Terre ex.Chrétienne. Car c’est bien de cela qu’il s’agit: la détestation sourdement nourrie à l’encontre des « Croisés » par des hurluberlus cantonnés au fin fond du Moyen-Age et qui se foutent bien pas mal de ce que nous autres n’ayons plus aujourd’hui grand chose à voir avec Godefroy de Bouillon et ses potes. Et c’est bien regrettable d’ailleurs, car si nous trimballions encore aujourd’hui les couilles de ces chevaliers mal dégrossis, les espèces de saloperies importées qui nous bouffent la vie par les deux bouts retourneraient vite fait dans leurs gourbis d’origine, la queue basse et bien contents encore de s’en sortir à peu près indemnes.
Hélas, question couilles force est de reconnaître que nous avons dû les oublier en quelque endroit maudit, peut être sur les barbelés de l’Argonne ou dans les marécages puants de Dien Bien Phu,, allez savoir! Le fait apparaît dans toute son horreur: en guise de baloches, nous autres Européens de l’Ouest -les principaux intéressés- il ne nous reste plus que les Droidlom avec leur Cour Européenne et leur cortège de prétextes à abandon du terrain sans combattre. Des mous, des molassons, des poltrons, des poules mouillées, des dégonflés, des pétochards, voilà ce que nous sommes, et des irresponsables, aussi, surtout! Car non seulement nous léguons le malheur à nos enfants mais encore leur apprenons nous le renoncement dans les écoles de merde que nous finançons à grands frais, pour le plus grand bonheur des humanitaristes de tout poil, nos maîtres à penser et à nous laisser sodomiser sans rien dire.
On le voit bien, puisqu’il est trop tard désormais pour endiguer une invasion totalement installée et inexpugnable, il importerait à tout le moins d’organiser dare-dare les opérations visant au nettoyage manu-militari des foyers d’infection salafistes, d’arrêter les terroristes potentiels, de les stocker en quelque endroit désert et si possible hors du territoire métropolitain, de détruire les mosquées dangereuses, d’expulser à grands coups de botte dans le cul leurs prédicateurs à la con, bref de vider les abcès et de bien désinfecter tout autour. Et s’il fallait pour cela remplacer l’état d’urgence foutaise, par l’état de siège, le couvre-feu ou tout ce que vous voudrez, histoire de s’éviter la somme des encombres découlant de nos illusions bisounoursiques, de nos lois permissives et de l’aveuglement idéologique des juges-dhimmis, il serait de notre devoir de le faire aussitôt, afin d’accorder à nos pays une petite chance de préserver leur civilisation et leur art de vivre.
Hélas, je parle pour ne rien dire, en brandissant comme un sabre de pacotille quelques vœux pieux tout juste bons à me faire couvrir d’excréments par la Bien-Pensance Universelle. Ce n’est pas avec des Macron, ni avec des Merkel, ni même avec des Rajoy que nous parviendrions à envisager si peu que ce soit de telles mesures de salubrité publique. Eux se contentent de condamner avec la plus grande fermeté, et de rendre hommage aux victimes en respectant allègrement des minutes de silence… Au point où nous voilà rendus, ce ne sont plus des minutes qu’il faudrait respecter, mais des heures, voire des jours entiers…Tenez, moi je propose un truc qui passerait peut être, allez savoir, une fois n’est pas coutume: le 1er. Janvier prochain on décrète carrément une semaine de silence et comme ça on est tranquille pour toute l’année 2018, il y a de grandes chances que ça couvre et en plus ça nous ferait du repos… Sept jours pleins sans entendre les âneries de nos politicards, de nos journalopes et des « experts » verbeux de BFM et LCI! Un pur bonheur, dites donc… Vu qu’il y a de fortes chances que nos djihadistes hexagonaux nous fassent péter la « trêve des confiseurs » ça compenserait un peu…

A côté de ça, les Macrouille-Barbapoux-Collombo, eux, sans doute pour corser encore un peu le comique macabre de notre situation, ils créent la « Police de Sécurité du Quotidien »! Avec une denrée de ce calibre on est tranquille! Il s’agirait, si j’ai bien compris de larguer de pauvres poulets à demeure dans les quartiers, afin qu’ils se fassent insulter, compisser, cracher dessus, voire molester par la racaille. Dix-mille condés se verraient ainsi, dès la fin de l’année, offerts en victimes expiatoires à la furie malfaisante des jeunes générations de sauvages urbains. Sans parler, bien entendu, des caïds-droguistes dont on imagine l’accueil qu’ils réserveront à ces nouveaux-venus théoriquement affectés à la surveillance paisible de leurs activités. Chaque jour que Dieu fait, aujourd’hui, la vie des banlieues se trouve émaillée d’incidents plus ou moins graves au cours desquels les flics, succombant sous le nombre, s’enfuient en désordre pour tenter de sauver leurs peaux. Pas plus tard qu’avant-hier soir, dans l’illustre « Cité des Trois-Mille » d’ Aulnay Sous-Bois, trois braves policiers (un pour mille, quoi) en patrouille, manifestèrent l’audace de vouloir contrôler un « jeune » lequel s’enfuit sans plus attendre, non sans avoir pris soin au préalable de coller une bonne châtaigne dans la gueule d’un des keufs mal-intentionnés. Deux de ces derniers se lancèrent crânement à la poursuite du jouvenceau, laissant leur collègue, une femme, seule pour garder leur bagnole. Inutile de décrire ce que la malheureuse a pu ramasser dans les instants qui ont suivi, assaillie par une dizaine d’anthropoïdes sortis de nulle part, elle a réussi à se blottir au fond de l’auto pendant que ses agresseurs faisaient main basse sur les armes défensives qui s’y trouvaient. L’arsenal de la cité-repaire de ce cher vieux Théo y aura quelque peu gagné, c’est toujours ça que les kouffar n’auront plus!
Voilà, grosso-modo, le sort de la future « Police du Quotidien », sauf que celle-là résidera par construction au cœur des cités, il lui faudra donc assumer le contact permanent avec la faune sauvage, les dealers, les salafistes, les désœuvrés sans nombre à qui les nouveaux parias en uniforme fourniront un amusement bienvenu. Il y aura tout intérêt à les choisir masochistes, les sécuritaires du quotidien, sans quoi, eussent-ils la chance d’échapper au lynchage, on les voit mal conserver longtemps leur santé mentale; ça fera du policier en maladie au quotidien, en attendant le classement en invalidité ce qui les rapprochera encore un peu plus des populations en cause…

Nous voilà donc, nous autres Franchouilles et Européens, de plus en plus noyés sous une multitude dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle ne nous veut aucun bien. Nous le voyions venir depuis belle lurette, enfin pour ce qui concerne les moins aveugles d’entre nous, mais nous n’avons absolument rien fait pour nous en préserver. Au contraire! Et nous continuons, avec un entêtement prodigieux, à laisser entrer chez nous par milliers, ces gens qui viendront grossir et parachever l’envahissement de nos pays. Pourquoi? Je ne détiens pas la réponse, juste quelques vagues lueurs susceptibles d’éclairer un petit bout du mystère. Les Gauchiards qui voulaient susciter l’apparition d’un nouveau prolétariat pour succéder à l’ancien embourgeoisé… Ils ont bien vu, pourtant, à quel point ils se foutaient le doigt dans l’oeil, alors pourquoi persister. Et puis il y a la bêtise rousseauiste et droidlommiste, celle qui prétend à l’universalisme de l’Humanité, tous frères, tous chez eux partout…surtout les autres chez nous, bien sûr.
Cependant n’oublions pas non plus cette espèce de coalition occulte, de ces puissants sans visage qui jouent un jeu subtil et inaccessible au vulgum pecus. Ceux, notamment qui, depuis l’élection du camarade Donald à la Présidence des Etats-Unis, ont décidé sa perte, son élimination et son remplacement rapide par quelqu’un de convenable. Il a tellement de casseroles accrochées au derche, ce pauvre Trump, qu’il aura bien du mal à tenir le choc encore longtemps. Notamment, ce type a voulu, à titre préventif, essayer d’empêcher les Muz d’entrer aux States, partant du principe, parfaitement justifié au demeurant, que si tous les Musulmans ne sont pas djihadistes, tous les djihadiste sans exception émargent à la religion mahométane. En somme il voulait tout bêtement appliquer le principe de précaution, le rouquemoute! Pour lui faire rentrer ses idées saugrenues dans la tronche, on commence par lui casser les pattes, ce qui dès à présent, l’empêche d’aller plus avant dans la réalisation du programme pour lequel il fut élu naguère, et ensuite on lui collera un bon gros impeachment dans les gencives, comme à Nixon dans le temps, même motif, ou à peu près, même punition! Il y a des moments où la sacro-sainte Démocratie doit savoir se plier aux impératifs dictés par la logique supérieure de ceux qu’on ne voit pas. Non mais des fois!

Je vous souhaite à tous une chouette semaine avec le moins possible d’attentats djihadistes.
Amitiés.

Et merde pour qui ne me lira pas.

NOURATIN

(1) Un tube de 1962: « La leçon de twist« …Pas de quoi fouetter un chat sauvage mais un vieux souvenir…un souvenir de vieux.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.