Chez l’homme, le dichloroacétate de sodium (DCA) permet de lutter efficacement contre les cancers, sans léser les cellules saines.
Les chercheurs médicaux de l'Université de l'Alberta ont prouvé en 2010 que le dichloroacétate de sodium ((DCA) une molécule non brevetable) permet de traiter un des cancers des plus meurtriers de tous les cancers chez l'homme: une forme de cancer du cerveau appelée glioblastome. L’article a été publié à la revue Science translational medicine, une revue de l'Association américaine de l'avancement de la science (1).
En 2007, une équipe de l’Université d’Alberta, dirigée par le Dr ED Michelakis, publie des données qui démontrent que le DCA renverse la croissance des cellules cancéreuses aussi bien chez les animaux de laboratoire que in vitro dans des tubes à essais (2). L'équipe montre ensuite que les effets anti-cancer du DCA s’exercent en modifiant le métabolisme d’oxydation des sucres des cellules cancéreuses, ce qui active les mécanismes de suicide de celles-ci. En effet, les tumeurs solides développent une résistance à la mort cellulaire, à cause d’un arrêt de la phosphorylation oxydative mitochondriale pour la glycolyse cytoplasmique. Ce changement métabolique est accompagné d’une hyperpolarisation de la membrane interne des mitochondries. Or le DCA rétablit la phosphorylation oxydative dans ces cellules tumorales, augmentant ainsi la concentration des radicaux libres, et induit leur apoptose (c’est à dire leur suicide cellulaire). Cela est d’autant plus intéressant que le DCA est inoffensif pour les cellules saines. Depuis lors, plusieurs groupes indépendants à travers le monde ont confirmé les conclusions de l'équipe de l'Alberta.
Ensuite l’équipe du Dr Michelakis se propose de montrer que le DCA fonctionne chez de réels patients de la même façon que sur des modèles animaux ou dans des éprouvettes. De plus, les chercheurs voulaient être certains que l’usage du DCA était sécuritaire et efficace chez des patients très malades atteints d'un cancer du cerveau.
En extrayant les glioblastomes de 49 patients sur une période de 2 ans et en les étudiant dans les minutes suivant leur exérèse, l'équipe a montré que les tumeurs modifient bien leur métabolisme d’oxydation du glucose en présence du DCA. Puis, l'équipe a traité 5 patients atteints d'un glioblastome en phase terminale et examiné le comportement de ce cancer avant et après la thérapie de DCA. En comparant les deux, l'équipe a montré que le DCA travaille sur ces tumeurs exactement comme cela avait été observé lors des expériences en tubes à essais. Ceci est très important parce que souvent les résultats sur des modèles animaux testés en laboratoire ne sont pas en accord avec les résultats obtenus chez les patients. En outre, l'équipe a montré que le DCA a des effets anticancéreux même sur les cellules souches du cancer du glioblastome, des cellules considérées comme responsables des récidives de cancer.
Chez ces 5 patients testés, le DCA a pris 3 mois pour atteindre des niveaux sanguins suffisamment élevés pour modifier le métabolisme de la tumeur. Au départ du traitement, les patients recevaient, durant un mois, 12,5 mg de DCA par kg de poids corporel à raison de deux prises par jour (matin et soir); ensuite cette dose a été doublée à 25 mg de DCA par kg de poids corporel, deux fois par jour. À ces niveaux, il n'y avait pas d'effets négatifs significatifs; aucune toxicité hématologique, hépatique, rénale ou cardiaque durant les 15 mois de traitement. Cependant, lorsque les doses étaient plus élevées, le DCA pouvait provoquer un dysfonctionnement du nerf périphérique, c'est-à-dire des engourdissements des orteils et des doigts, en de telles circonstances les doses étaient progressivement diminuées à 12,5 mg puis à 6,25 mg/kg. La neuropathie périphérique du DCA est dépendante de sa dose et est réversible. Le plus important chez certains patients, c’est qu’il y avait également des preuves de bénéfices cliniques; soit il y avait une régression de la taille des tumeurs (3 des 5 patients) soit au moins un arrêt de toute croissance supplémentaire durant l'étude de 18 mois. Cette thérapie au DCA active également l’anti-oncogène p53 et inhibe l’angiogenèse, aussi bien in-vitro qu’in-vivo.
À ce stade ci, aucune conclusion ne peut être faite quand à savoir si le DCA est sûr et efficace chez les patients atteints de cette forme de cancer du cerveau, en raison du nombre très limité de patients testés. Les chercheurs soulignent que l'utilisation du DCA par les patients ou les médecins sans surveillance clinique étroite par des équipes médicales expérimentées dans un cadre d'essais de recherche, est non seulement inapproprié, mais peut aussi être dangereux. Les résultats sont encourageants et confirment la nécessité pour de plus grands essais cliniques avec DCA. Cette recherche est également originale puisqu’elle soutient l'idée émergente que la modification du métabolisme des tumeurs peut provoquer leur mort. C’est une nouvelle direction dans le traitement du cancer.
L'équipe de recherche espère obtenir des fonds supplémentaires pour poursuivre les essais en cours avec DCA à l'Université de l'Alberta. D'autres études sont prévues qui prévoient des recherches sur un plus grand nombre de patients atteints d'un cancer, et l’examen de la combinaison du DCA avec les chimiothérapies standard.
Une remarque importante à faire concernant cette recherche, c’est qu’elle a été financée en grande partie par des dons publics, y compris les fondations philanthropiques et des particuliers.
Références
1) Michelakis ED, Sutendra G, Dromparis P, Webster L, Haromy A, Niven E, Maguire C, Gammer TL, Mackey JR, Fulton D, Abdulkarim B, McMurtry MS, Petruk KC. Metabolic modulation of glioblastoma with dichloroacetate. Sci Transl Med. 2010 May 12;2(31):31ra34.
2) Bonnet S, Archer SL, Allalunis-Turner J, Haromy A, Beaulieu C, Thompson R, Lee CT, Lopaschuk GD, Puttagunta L, Bonnet S, Harry G,Hashimoto K, Porter CJ, Andrade MA, Thebaud B, Michelakis ED. A mitochondria-K+ channel axis is suppressed in cancer and its normalization promotesapoptosis and inhibits cancer growth. Cancer Cell. 2007 Jan;11(1):37-51.
Source
Les chercheurs médicaux de l'Université de l'Alberta ont prouvé en 2010 que le dichloroacétate de sodium ((DCA) une molécule non brevetable) permet de traiter un des cancers des plus meurtriers de tous les cancers chez l'homme: une forme de cancer du cerveau appelée glioblastome. L’article a été publié à la revue Science translational medicine, une revue de l'Association américaine de l'avancement de la science (1).
En 2007, une équipe de l’Université d’Alberta, dirigée par le Dr ED Michelakis, publie des données qui démontrent que le DCA renverse la croissance des cellules cancéreuses aussi bien chez les animaux de laboratoire que in vitro dans des tubes à essais (2). L'équipe montre ensuite que les effets anti-cancer du DCA s’exercent en modifiant le métabolisme d’oxydation des sucres des cellules cancéreuses, ce qui active les mécanismes de suicide de celles-ci. En effet, les tumeurs solides développent une résistance à la mort cellulaire, à cause d’un arrêt de la phosphorylation oxydative mitochondriale pour la glycolyse cytoplasmique. Ce changement métabolique est accompagné d’une hyperpolarisation de la membrane interne des mitochondries. Or le DCA rétablit la phosphorylation oxydative dans ces cellules tumorales, augmentant ainsi la concentration des radicaux libres, et induit leur apoptose (c’est à dire leur suicide cellulaire). Cela est d’autant plus intéressant que le DCA est inoffensif pour les cellules saines. Depuis lors, plusieurs groupes indépendants à travers le monde ont confirmé les conclusions de l'équipe de l'Alberta.
Ensuite l’équipe du Dr Michelakis se propose de montrer que le DCA fonctionne chez de réels patients de la même façon que sur des modèles animaux ou dans des éprouvettes. De plus, les chercheurs voulaient être certains que l’usage du DCA était sécuritaire et efficace chez des patients très malades atteints d'un cancer du cerveau.
En extrayant les glioblastomes de 49 patients sur une période de 2 ans et en les étudiant dans les minutes suivant leur exérèse, l'équipe a montré que les tumeurs modifient bien leur métabolisme d’oxydation du glucose en présence du DCA. Puis, l'équipe a traité 5 patients atteints d'un glioblastome en phase terminale et examiné le comportement de ce cancer avant et après la thérapie de DCA. En comparant les deux, l'équipe a montré que le DCA travaille sur ces tumeurs exactement comme cela avait été observé lors des expériences en tubes à essais. Ceci est très important parce que souvent les résultats sur des modèles animaux testés en laboratoire ne sont pas en accord avec les résultats obtenus chez les patients. En outre, l'équipe a montré que le DCA a des effets anticancéreux même sur les cellules souches du cancer du glioblastome, des cellules considérées comme responsables des récidives de cancer.
Chez ces 5 patients testés, le DCA a pris 3 mois pour atteindre des niveaux sanguins suffisamment élevés pour modifier le métabolisme de la tumeur. Au départ du traitement, les patients recevaient, durant un mois, 12,5 mg de DCA par kg de poids corporel à raison de deux prises par jour (matin et soir); ensuite cette dose a été doublée à 25 mg de DCA par kg de poids corporel, deux fois par jour. À ces niveaux, il n'y avait pas d'effets négatifs significatifs; aucune toxicité hématologique, hépatique, rénale ou cardiaque durant les 15 mois de traitement. Cependant, lorsque les doses étaient plus élevées, le DCA pouvait provoquer un dysfonctionnement du nerf périphérique, c'est-à-dire des engourdissements des orteils et des doigts, en de telles circonstances les doses étaient progressivement diminuées à 12,5 mg puis à 6,25 mg/kg. La neuropathie périphérique du DCA est dépendante de sa dose et est réversible. Le plus important chez certains patients, c’est qu’il y avait également des preuves de bénéfices cliniques; soit il y avait une régression de la taille des tumeurs (3 des 5 patients) soit au moins un arrêt de toute croissance supplémentaire durant l'étude de 18 mois. Cette thérapie au DCA active également l’anti-oncogène p53 et inhibe l’angiogenèse, aussi bien in-vitro qu’in-vivo.
À ce stade ci, aucune conclusion ne peut être faite quand à savoir si le DCA est sûr et efficace chez les patients atteints de cette forme de cancer du cerveau, en raison du nombre très limité de patients testés. Les chercheurs soulignent que l'utilisation du DCA par les patients ou les médecins sans surveillance clinique étroite par des équipes médicales expérimentées dans un cadre d'essais de recherche, est non seulement inapproprié, mais peut aussi être dangereux. Les résultats sont encourageants et confirment la nécessité pour de plus grands essais cliniques avec DCA. Cette recherche est également originale puisqu’elle soutient l'idée émergente que la modification du métabolisme des tumeurs peut provoquer leur mort. C’est une nouvelle direction dans le traitement du cancer.
L'équipe de recherche espère obtenir des fonds supplémentaires pour poursuivre les essais en cours avec DCA à l'Université de l'Alberta. D'autres études sont prévues qui prévoient des recherches sur un plus grand nombre de patients atteints d'un cancer, et l’examen de la combinaison du DCA avec les chimiothérapies standard.
Une remarque importante à faire concernant cette recherche, c’est qu’elle a été financée en grande partie par des dons publics, y compris les fondations philanthropiques et des particuliers.
Références
1) Michelakis ED, Sutendra G, Dromparis P, Webster L, Haromy A, Niven E, Maguire C, Gammer TL, Mackey JR, Fulton D, Abdulkarim B, McMurtry MS, Petruk KC. Metabolic modulation of glioblastoma with dichloroacetate. Sci Transl Med. 2010 May 12;2(31):31ra34.
2) Bonnet S, Archer SL, Allalunis-Turner J, Haromy A, Beaulieu C, Thompson R, Lee CT, Lopaschuk GD, Puttagunta L, Bonnet S, Harry G,Hashimoto K, Porter CJ, Andrade MA, Thebaud B, Michelakis ED. A mitochondria-K+ channel axis is suppressed in cancer and its normalization promotesapoptosis and inhibits cancer growth. Cancer Cell. 2007 Jan;11(1):37-51.
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Commentaire
À ce point il semble évident que
l'industrie médicale ne trouvera jamais de traitement contre le cancer.
Pourquoi ? Simplement parce qu'il y a tellement d'argent fait par cette industrie ! Et malheureusement ses « meilleurs » traitements comme la chimiothérapie ne fonctionnent pas et peuvent même aggraver le cancer.
Cependant, tout n'est pas perdu ! Alors que le cancer est une maladie compliquée et qu'il y a probablement de multiples facteurs en jeu et pas de remède miracle, la compréhension des causes profondes du cancer est une clé pour être capable de le guérir.
Aspect émotionnel du cancer
Tout d'abord, il est probable que dans chaque cas de cancer, il y a des blessures émotionnelles non guéries mais dont on doit s'occuper. Le stress chronique à long terme et l'incapacité de dire non peuvent représenter des facteurs significatifs dans le développement du cancer en raison d'un stress oxydatif prolongé que subissent les cellules du fait du stress et d'une immunité compromise. Il y a en effet un lien entre le bien-être émotionnel et le système immunitaire, le système nerveux et l'appareil hormonal. Le Dr Gabor Maté expose ce lien dans son livre Quand le corps dit non : le stress qui démolit.
Extrait de notre article Dr Gabor Maté :
Cependant, tout n'est pas perdu ! Alors que le cancer est une maladie compliquée et qu'il y a probablement de multiples facteurs en jeu et pas de remède miracle, la compréhension des causes profondes du cancer est une clé pour être capable de le guérir.
Aspect émotionnel du cancer
Tout d'abord, il est probable que dans chaque cas de cancer, il y a des blessures émotionnelles non guéries mais dont on doit s'occuper. Le stress chronique à long terme et l'incapacité de dire non peuvent représenter des facteurs significatifs dans le développement du cancer en raison d'un stress oxydatif prolongé que subissent les cellules du fait du stress et d'une immunité compromise. Il y a en effet un lien entre le bien-être émotionnel et le système immunitaire, le système nerveux et l'appareil hormonal. Le Dr Gabor Maté expose ce lien dans son livre Quand le corps dit non : le stress qui démolit.
Extrait de notre article Dr Gabor Maté :
Le docteur Gabor Maté, qui officie à Vancouver, soutient que trop de médecins semblent avoir oublié ce qui était autrefois une hypothèse commune, que les émotions sont profondément impliquées, à la fois dans le développement de la maladie, et dans la restauration de la santé. Se basant sur des études médicales et sur sa propre expérience avec des patients atteints de maladies chroniques dans l'Unité de Soins Palliatifs à l'hôpital de Vancouver, où il a été le coordinateur médical pendant sept ans, le Dr Gabor Maté observe qu'il existe des liens importants entre l'esprit et le système immunitaire. Il trouve que le stress et le maquillage émotionnel individuel jouent un rôle essentiel dans un éventail de maladies, y compris le cancer, les maladies cardiaques, le diabète, le syndrome du côlon irritable, la sclérose en plaques et l'arthrite. Donc dire « non » et prendre le temps et l'énergie pour guérir les traumatismes émotionnels passés, que ce soit par la thérapie, l'écriture pour guérir, le travail du corps, les techniques de réduction du stress et/ou d'autres méthodes pour traiter et guérir les traumatismes pourraient à la fois guérir le cancer et également aider une personne à faire des choix de vie différents. Cela les extraira des situations toxiques qui contribuent au cancer, tout en les mettant dans des situations plus saines.
[...]
Toxicité environnementale et cancer
Ensuite, après les situations toxiques, les personnes toxiques, et les émotions toxiques, on a les toxines environnementales. En raison de l'industrialisation et de nombreuses méga-corporations à la mentalité psychopathique et ne se souciant pas de polluer la planète, le monde est devenu hautement toxique. Il existe un large éventail de toxines environnementales allant des produits chimiques de synthèse, des édulcorants artificiels, des arômes et des matières grasses, des éléments radioactifs (provenant des déchets nucléaires et des explosions nucléaires), des métaux lourds, des toxines naturelles dégagées de l'industrie de l'énergie et des usines de fabrication, jusqu'aux toxines dues aux microorganismes parasites qui se trouvent dans nos corps, et même nos propres déchets issus des processus métaboliques de notre corps. Ces toxines mettent une charge de stress sur le corps et provoquent des dysfonctionnements d'organes, voire des dommages. Dès lors, réduire et éliminer l'introduction de toxines dans le corps est une clé pour guérir celui-ci.
La première étape du processus de réduction à l'exposition aux toxines est donc d'éviter les aliments toxiques. Cela inclut TOUS les fast-foods, la grande majorité des aliments emballés (vérifier les ingrédients) et les aliments qui contiennent des anti-nutriments. Parmi ces derniers, les plus gros coupables sont surtout le blé, mais en fait toutes les céréales en général, les produits laitiers à l'exception du beurre et du ghee, le soja, les légumineuses et les solanacées (pomme de terre, tomate, aubergine, poivron, piment). Les fast-foods sont chargés de toxines agricoles (principalement produites par Monsanto) et de métaux lourds, d'où une charge toxique importante s'accumulant dans le corps. En outre, les aliments tout-prêts, les plats préparés sont inflammatoires et manquent de valeur nutritive : en plus de mettre le stress dans le corps, ils ne fournissent pas la nutrition dont le corps a besoin pour pouvoir guérir. D'autre part, la réduction des toxines dans votre environnement immédiat (nettoyants ménagers, produits de soin du corps, savons, shampooings, parfums, ustensiles antiadhésifs, etc.) — tout ce que vous utilisez dans votre maison, votre voiture, votre bureau et surtout ce que vous mettez sur votre peau — aidera également à réduire la charge toxique imposée à votre corps. Détoxifier et améliorer le fonctionnement des organes (en particulier le foie et les reins) sera un point essentiel dans la guérison du cancer.
Pour plus d'information sur la détoxification :
► Détoxique-toi ou meurs : thérapies naturelles de protection contre les retombées radioactives de Fukushima.
Le cancer se nourrit de sucre
Le lien entre le cancer et la consommation de sucre est très fort. Pour un bref aperçu de certains des articles que nous avons sur le sujet :
Comment le sucre et les féculents donnent le cancer
Cancer : ces molécules de sucre qui dopent la croissance tumorale
En anglais :
Cancer et Sucre — Stratégie pour affamer le cancer
Le sucre illumine les cancers sur les IRM
parmi tant d'autres que vous trouverez sur notre site.
Le sucre a des effets qui sont considérablement néfastes au corps humain. Il augmente le stress oxydatif et puisque le cancer est l'état final du stress oxydatif et de l'inflammation, il doit être évité, voire entièrement éliminé pour certains. Compte tenu des quantités énormes de sucre que consomme la personne moyenne, ce qui est beaucoup, beaucoup plus que nos ancêtres n'auraient même jamais imaginé consommer, il n'est pas surprenant que nous voyions des cas de cancer de plus en plus élevés dans le monde, et surtout en Amérique où la consommation de grandes quantités de sucre est devenue la norme. Réduire ou éliminer le sucre permet de réduire le stress oxydatif du corps et de réduire l'inflammation, ce qui améliore le fonctionnement des organes et prive le cancer de sa source de nourriture, donc limite sa capacité à croître.
La pollution électromagnétique liée à l'augmentation des cas de cancer
La pollution par les ondes électromagnétiques a également été liée à une augmentation de nombre de cas de cancer. Le corps a son propre champ électromagnétique et comme le corps est continuellement exposé aux ondes Wifi, aux téléphones cellulaires, à la puissance d'AC dite sale (AC pour Courant Alternatif), et à d'autres sources de rayonnement électromagnétique, il perturbe l'homéostasie du champ électromagnétique du corps de façon négative, ce qui peut causer une variété de problèmes de santé. Il est donc préférable d'éviter les rayonnements électromagnétiques autant que possible, en utilisant des connexions Internet câblées au lieu du Wifi, en limitant l'utilisation du téléphone cellulaire et en utilisant un appareil mains libres filaire (puisque les sans-fil aussi émettent une radiodiffusion électromagnétique). Avec ces précautions, on limite l'exposition du cerveau aux rayonnements électromagnétiques. Dans le même ordre de précaution, il est utile de se tenir aussi loin que possible des « compteurs intelligents » sans fil et de réduire toute puissance sale dans la maison autant que possible (considérez un détecteur EMF* pour trouver toutes les sources de puissance « sale »). Cela peut également améliorer le sommeil, qui est nécessaire pour la réparation et le rajeunissement du corps. La mise à la terre (grounding ou earthing en anglais) peut également vous aider.
* EMF = electromagnetic field (champ électromagnétique, en anglais)
Pour plus d'informations sur les rayonnements électromagnétiques et leur lien avec le cancer :
►Pollution électromagnétique — Qu'est-ce qu'un champ électromagnétique ?
► Un rapport scientifique alerte sur les risques de santé liés aux ondes
► Radiofréquences et cancer : évidences et mécanismes
► Radio-Canada découverte — Dangers des ondes électromagnétiques
► La Nasa sait depuis trente ans que les ondes électromagnétiques peuvent nuire à la santé
► Les téléphones portables ? Toujours aussi nocifs
► Wi-Fi cancérigène, ou quand le danger est au bout du sans fil
► Compteurs intelligents : un risque sérieux pour la santé, selon une sommité internationale
Le lien entre le cancer et les proliférations fongiques/levures (champignons microscopiques)
Compte tenu de l'importance du sucre pour la croissance à la fois du cancer et des champignons dans le corps, il semble logique de soupçonner un lien entre les deux dans certains cas. Il y a des preuves à l'appui de ceci :
► Apprenez l'importance de gagner la bataille contre le candida
► Maladie de Crohn : un champignon impliqué ?
► Mourir d'une infection fongique (en anglais, celui-ci)
À tout le moins, une surcroissance fongique est très susceptible d'accompagner le cancer, ainsi tester et traiter cela améliore le fonctionnement global du corps. Considérant que les champignons peuvent produire des composés parmi les plus toxiques pour le corps humain jamais observé, en supprimant la prolifération des champignons on aide le corps à se détoxifier. En outre, d'autres agents pathogènes (parasites, bactéries et virus) pourraient également être présents et réduire la capacité du corps à fonctionner correctement et à guérir lui-même, de sorte que ces questions devraient être prises en considération.
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