« Alors comme ça, les mecs, vous continuez tranquillement, vous évoluez pépère, vous pratiquez le changement dans la continuité comme disait Pompidou au temps de ma jeunesse folle (1), vous laissez flotter les rubans, en somme…ma foi, c’est vous qui décidez, pas vrai ? Seulement après faut pas s’étonner de vous faire écrabouiller les arpions et le reste par des camions musulmanisés, vous savez, on récolte toujours ce qu’on sème, et vous autre, pour semer vous ne craignez personne, mais faut voir quoi… Je viens de faire un tour en ville là, depuis le temps que je n’avais pas foutu les pieds, ici… enfin dans ce bled, on peut vraiment dire comme ça maintenant…bullshit! Entre les fatmas voilées, les jeunes, barbus ou pas, qui se parlent en arabe, les zigotos en djellabas, les boutiques hallal, les restos à kébabs et tout le toutim vous avez le bonjour de la Côte d’Azur, dites donc! La Côte d’Azul, oui à la rigueur! Franchement vous déconnez les amis, ça fait peine à voir, vous savez, ça vire même carrément à la fucking tragedy, maintenant…c’est la dernière fois que vous me voyez, trop triste, trop lamentable, ugly, dégueulasse, obscène! Et, le mieux de tout, vos motherfuckers de journalistes de merde qui se permettent de taper à bras raccourcis sur Trump, l’homme à abattre! Tu parles: il veut fermer le pays aux mahométans, le Donald! Il a dû faire un tour par chez vous pour trouver l’idée, non, vous ne pensez pas? »
Qu’est-ce que vous voulez qu’on lui objecte, à Hank Hulley? Il a eu la courtoisie – un peu la curiosité aussi- de faire le voyage, pour essayer de comprendre, pour déceler ce qui avait bien pu transformer un coin de paradis en antichambre de l’enfer d’Allah… Il a décelé, en effet, pas de problème, on comprend vite une fois qu’on baigne dans l’ambiance, pas besoin d’avoir étudié l’ethnologie, un petit tour et on a saisi… un petit tour et puis s’en vont… donc ils se barrent les Amerloques, les Chinetoques, les Japonouilles et même les Ruskofs, dites donc! Le Djihad très peu pour eux, ça déprime le touriste. Il va là où ça reste civilisé, le touriste, en Croatie (y a un mur), en Bulgarie ou en Roumanie (les « réfugiés » évitent)… Ces pays-là ont intérêt à investir dare-dare, à s’équiper grave: il va leur falloir des infrastructures d’accueil vous pouvez me croire!
Alors, comme ça, nous autres, Derrière Napoléon, un peu piteux nous l’écoutions, Hank, nous balancer son constat à travers la gueule, sans complaisance, en toute franchise… consterné, le type, sincèrement… pas tant que nous mais ça fait quelque chose tout de même.
Jeannot remet une tournée, histoire de restaurer un peu la sérénité conviviale; Ricard, pour ça il n’a pas son pareil! Un bienfaiteur de l’humanité c’était le Popaul, paix à son âme…
Celui, toutefois, qui reste un addict indéfectible du demi-pression et qui, par conséquent, échappe à la douce euphorie anisée, c’est le vieux Maurice. Du coup, n’étant pas homme à tolérer la critique fût elle parfaitement judicieuse, il vient au renaud, lui, et pas pour rigoler!
-« Dites donc, Mistère Enculé, je vous trouve sympa de venir nous raconter comme quoi on serait des découillés à se laisser envahir sans rouspéter! Un peu comme si on vous reprochait, à vous, d’avoir mis l’autre mal-blanchi comme président de la Maison pas de la même couleur, avec tous les malheurs et toutes les calamités qui s’en sont suivies, à commencer par Dayèche, bordel de merde, y z’existaient pas ces ordures-là avant l’arrivée de votre joli bronzé qu’a foutu le camp d’Irak pour leur laisser la place! Sans ça, nous autres on vivrait encore bien tranquilles à l’ombre des oliviers et des platanes, à taper la pétanque ou le carton sans risquer de se déguster une rafale de fusil soviétique ou de se fumer un dix-neuf tonnes directement dans la pipe! Alors venez pas trop nous donner des leçons: les champions de la démocratie qui fout la merde partout c’est vous, les Amerloques, à vouloir l’imposer à toute force dans les coins les plus saugrenus, juste pour semer le malheur et puis rentrer à la maison, tranquilles, et comptabiliser les bénefs! »
-« Ben oui, intervient Jean Foupallour déjà complètement pété, il a raison Maumau, surtout que moi, par exemple, toute ma vie j’ai toujours voté Le Pen (voir http://onefoutus.over-blog.fr/article-democrassie-62752698.html ). Bon d’accord c’est revenu comme de chier dans une contrebasse mais quand même, en guise de position de principe ça fait sens quoi, ainsi qu’il faut dire aujourd’hui -va savoir pourquoi- au moins ça exonère de toute accusation de complicité comme dirait Maître Trentasseur qu’heureusement il prend ses vacances à la montagne, celui-là, ça nous évitera le préchi-précha socialo comme quoi les envahisseurs c’est l’avenir radieux d’une France qui gagne… à ne pas être connue, comme vous diriez si bien M’sieur Sodomisé! »
Finalement, bon bougre et plein de bienveillance pastissière, il se contente d’en rigoler, Hank, tout en précisant qu’en effet il porte sur son président un jugement en comparaison duquel l’opinion du père Maurice passerait pour un discours de remise de Prix Nobel. -« Venez pas m’en causer de ce machin-là! Quand je pense qu’on se l’est coltiné pendant huit ans, les testicules m’en tombent dans les santiags! Dieu merci là on voit le bout du tunnel (celui du combat… vous savez), encore six mois et il débarrasse le plancher pour toujours… oui parce que nous, au moins, quand c’est fini c’est fini…pas comme certains qui reconduisent à l’écurie les vieux chevaux de retour au lieu de les diriger vers l’abattoir…Non, non, je ne vise personne, laissez tomber.
« Et puis je vais vous en apprendre une bonne: vous savez, faut pas croire ce que racontent vos media de mes burnes, la vieille Clinton personne n’en veut, elle peut toujours se brosser pour revenir poser son tricot à White House, on l’a assez vue, elle et son gros baisouilleur de mari à la con. C’est pas pour rien qu’on assiste en ce moment à une campagne effrénée anti-Trump, avec tous les prétexte les plus tordus, comme quoi le type serait complètement sinoque à enfermer, qu’il aurait simulé un bobo au pied pour pas faire son service militaire ou que sa gonzesse, après avoir copié-collé le discours de Mistress Bamboula, continuerait dans la même veine en accumulant les gaffes et les bévues. Ils veulent tous noyer le clébard Donald, alors ils lui diagnostiquent la rage! Eh bien croyez moi, plus ils en font dans cette veine-là et plus les braves gens envisagent de choisir Trump… Rien qu’à voir la tronche d’Hillary (comme une baleine) l’électeur moyen préfèrerait encore voter pour un chimpanzé… et intellectuellement parlant le gros rouquemoute apparaît sans conteste très supérieur au chimpanzé moyen. Ou alors faudrait aller chercher le Bonobo, peut être, et encore… »
« Hé ben moi vous me voyez cent pour cent sur votre longueur d’onde Monsieur Enfilé! En ce qui me concerne, y a aucun doute, déclare tout à trac Marcel Grauburle en déglutissant la dernière gorgée du petit jaune qui précède l’imminent suivant, non seulement on a joué au con depuis des décennies mais encore vous avez, vous autres de l’Amérique, des chances de vous en sortir si vous prenez l’autre Trompe Éléphantesque comme big boss. Y me plaît bien moi, ce mec là, et puis vous savez, un type sur qui tout le monde déballe les pires saloperies ça cache forcément quelque chose de pas clair…faut pas qu’il passe, on dirait, probablement que ça gênerait des tas de gens… Ça vous poserait un problème qu’il finisse patron du monde, vous, le falabraque en question? Ben moi pas du tout, au contraire, même s’il déclare haut et fort que nous autres Franchouilles nous sommes des couillons pas fréquentables pleins de préjugés imbéciles et de populations ingérables… ben quoi c’est vrai, non? Y a qu’à regarder, comme vous l’avez fait vous même, Monsieur Empafé, nions pas l’évidence, ça ne sert à rien! Prenez le votre Trompe d’Eustache et faites-en bon usage, même à supposer qu’il trimballe un gros grain, il vous évitera les pires conneries que tous les politicards sensés et bien-pensants accumulent depuis des temps immémoriaux… et, souvenez vous-en, c’est tout de même un Démocrate, et je dirais même un grand démocrate, qui a balancé deux bombes atomiques sur des centaines de milliers d’innocents voilà septante et un ans bien sonnés. Si ça ne vous donne pas à réfléchir ça… »
Et puis, conclut l’ancêtre Blaise Sanzel (voir notamment http://onefoutus.over-blog.fr/article-blaise-sanzel-101765338.html ) profitant d’une prise de parole visant à ordonnancer sa tournée personnelle, vous ne risquez pas grand chose à nommer cette espèce de hurluberlu chef de l’Oncle Sam. Au pire il vous foutra des murailles de partout pour empêcher les autres de vous faire subir ce que vous infligeâtes jadis à ces pauvres Indiens, au mieux il fera son possible pour vous débarrasser de tout ce fatras de convenances politiquement-correctes qui ont réduit l’Occident à quia depuis la fin de la guerre-froide. Qu’il réussisse ou non, ça vous évitera toujours de vous farcir cette pintade déplumée de Mistress Clinton… ne serait-ce que pour cela il s’agit d’une question de salubrité publique! J’ai suffisamment pratiqué la bien-pensance au cours de mon interminable existence pour vous conjurer, tous, de l’éviter comme la peste, la chtouille et le choléra réunis!
« Et puis aussi, essayez donc de regarder un peu au delà de ce que vous apercevez au premier plan…. vous voyez des burqas et des djellabas, certes, mais en scrutant un peu vous voyez aussi, omniprésent dans le discours médiatique, l’Islam de France, surtout depuis l’efflorescence des attentats dits « islamistes »…et à tout bout de champs on vous sort « attention, faites gaffe, padamalgam, ça n’a rien à voir »… foutaise, bien sûr, ça a tout à voir sans quoi on n’en parlerait même pas! Vous voyez juste, cher Monsieur, le pays auquel vous faites l’honneur de rendre visite glisse doucement vers l’islamisation et la Charia… et quand je dis doucement il s’agit d’une simple clause de style, vous savez, cela s’accélère tellement que je le verrai sans doute avant de fêter mon siècle… Quand je pense à l’avant-guerre…
Islam de France,
Doux pays de mon enfance…
Vous avez raison, Sir, c’est à pleurer! »
Fini l’apéro, on rentre… en faisant bien attention: y a une marche blanche immobile autour du kiosque à musique sans musiciens, ce matin. Alors, on ne sait jamais…
Bon Dimanche quand même.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
(1) Dans les années 69/70 Hank Hulley vivait à Paris, il y effectuait une sorte de stage…c’est d’ailleurs à cette époque-là que nous fîmes connaissance.
Qu’est-ce que vous voulez qu’on lui objecte, à Hank Hulley? Il a eu la courtoisie – un peu la curiosité aussi- de faire le voyage, pour essayer de comprendre, pour déceler ce qui avait bien pu transformer un coin de paradis en antichambre de l’enfer d’Allah… Il a décelé, en effet, pas de problème, on comprend vite une fois qu’on baigne dans l’ambiance, pas besoin d’avoir étudié l’ethnologie, un petit tour et on a saisi… un petit tour et puis s’en vont… donc ils se barrent les Amerloques, les Chinetoques, les Japonouilles et même les Ruskofs, dites donc! Le Djihad très peu pour eux, ça déprime le touriste. Il va là où ça reste civilisé, le touriste, en Croatie (y a un mur), en Bulgarie ou en Roumanie (les « réfugiés » évitent)… Ces pays-là ont intérêt à investir dare-dare, à s’équiper grave: il va leur falloir des infrastructures d’accueil vous pouvez me croire!
Alors, comme ça, nous autres, Derrière Napoléon, un peu piteux nous l’écoutions, Hank, nous balancer son constat à travers la gueule, sans complaisance, en toute franchise… consterné, le type, sincèrement… pas tant que nous mais ça fait quelque chose tout de même.
Jeannot remet une tournée, histoire de restaurer un peu la sérénité conviviale; Ricard, pour ça il n’a pas son pareil! Un bienfaiteur de l’humanité c’était le Popaul, paix à son âme…
Celui, toutefois, qui reste un addict indéfectible du demi-pression et qui, par conséquent, échappe à la douce euphorie anisée, c’est le vieux Maurice. Du coup, n’étant pas homme à tolérer la critique fût elle parfaitement judicieuse, il vient au renaud, lui, et pas pour rigoler!
-« Dites donc, Mistère Enculé, je vous trouve sympa de venir nous raconter comme quoi on serait des découillés à se laisser envahir sans rouspéter! Un peu comme si on vous reprochait, à vous, d’avoir mis l’autre mal-blanchi comme président de la Maison pas de la même couleur, avec tous les malheurs et toutes les calamités qui s’en sont suivies, à commencer par Dayèche, bordel de merde, y z’existaient pas ces ordures-là avant l’arrivée de votre joli bronzé qu’a foutu le camp d’Irak pour leur laisser la place! Sans ça, nous autres on vivrait encore bien tranquilles à l’ombre des oliviers et des platanes, à taper la pétanque ou le carton sans risquer de se déguster une rafale de fusil soviétique ou de se fumer un dix-neuf tonnes directement dans la pipe! Alors venez pas trop nous donner des leçons: les champions de la démocratie qui fout la merde partout c’est vous, les Amerloques, à vouloir l’imposer à toute force dans les coins les plus saugrenus, juste pour semer le malheur et puis rentrer à la maison, tranquilles, et comptabiliser les bénefs! »
-« Ben oui, intervient Jean Foupallour déjà complètement pété, il a raison Maumau, surtout que moi, par exemple, toute ma vie j’ai toujours voté Le Pen (voir http://onefoutus.over-blog.fr/article-democrassie-62752698.html ). Bon d’accord c’est revenu comme de chier dans une contrebasse mais quand même, en guise de position de principe ça fait sens quoi, ainsi qu’il faut dire aujourd’hui -va savoir pourquoi- au moins ça exonère de toute accusation de complicité comme dirait Maître Trentasseur qu’heureusement il prend ses vacances à la montagne, celui-là, ça nous évitera le préchi-précha socialo comme quoi les envahisseurs c’est l’avenir radieux d’une France qui gagne… à ne pas être connue, comme vous diriez si bien M’sieur Sodomisé! »
Finalement, bon bougre et plein de bienveillance pastissière, il se contente d’en rigoler, Hank, tout en précisant qu’en effet il porte sur son président un jugement en comparaison duquel l’opinion du père Maurice passerait pour un discours de remise de Prix Nobel. -« Venez pas m’en causer de ce machin-là! Quand je pense qu’on se l’est coltiné pendant huit ans, les testicules m’en tombent dans les santiags! Dieu merci là on voit le bout du tunnel (celui du combat… vous savez), encore six mois et il débarrasse le plancher pour toujours… oui parce que nous, au moins, quand c’est fini c’est fini…pas comme certains qui reconduisent à l’écurie les vieux chevaux de retour au lieu de les diriger vers l’abattoir…Non, non, je ne vise personne, laissez tomber.
« Et puis je vais vous en apprendre une bonne: vous savez, faut pas croire ce que racontent vos media de mes burnes, la vieille Clinton personne n’en veut, elle peut toujours se brosser pour revenir poser son tricot à White House, on l’a assez vue, elle et son gros baisouilleur de mari à la con. C’est pas pour rien qu’on assiste en ce moment à une campagne effrénée anti-Trump, avec tous les prétexte les plus tordus, comme quoi le type serait complètement sinoque à enfermer, qu’il aurait simulé un bobo au pied pour pas faire son service militaire ou que sa gonzesse, après avoir copié-collé le discours de Mistress Bamboula, continuerait dans la même veine en accumulant les gaffes et les bévues. Ils veulent tous noyer le clébard Donald, alors ils lui diagnostiquent la rage! Eh bien croyez moi, plus ils en font dans cette veine-là et plus les braves gens envisagent de choisir Trump… Rien qu’à voir la tronche d’Hillary (comme une baleine) l’électeur moyen préfèrerait encore voter pour un chimpanzé… et intellectuellement parlant le gros rouquemoute apparaît sans conteste très supérieur au chimpanzé moyen. Ou alors faudrait aller chercher le Bonobo, peut être, et encore… »
« Hé ben moi vous me voyez cent pour cent sur votre longueur d’onde Monsieur Enfilé! En ce qui me concerne, y a aucun doute, déclare tout à trac Marcel Grauburle en déglutissant la dernière gorgée du petit jaune qui précède l’imminent suivant, non seulement on a joué au con depuis des décennies mais encore vous avez, vous autres de l’Amérique, des chances de vous en sortir si vous prenez l’autre Trompe Éléphantesque comme big boss. Y me plaît bien moi, ce mec là, et puis vous savez, un type sur qui tout le monde déballe les pires saloperies ça cache forcément quelque chose de pas clair…faut pas qu’il passe, on dirait, probablement que ça gênerait des tas de gens… Ça vous poserait un problème qu’il finisse patron du monde, vous, le falabraque en question? Ben moi pas du tout, au contraire, même s’il déclare haut et fort que nous autres Franchouilles nous sommes des couillons pas fréquentables pleins de préjugés imbéciles et de populations ingérables… ben quoi c’est vrai, non? Y a qu’à regarder, comme vous l’avez fait vous même, Monsieur Empafé, nions pas l’évidence, ça ne sert à rien! Prenez le votre Trompe d’Eustache et faites-en bon usage, même à supposer qu’il trimballe un gros grain, il vous évitera les pires conneries que tous les politicards sensés et bien-pensants accumulent depuis des temps immémoriaux… et, souvenez vous-en, c’est tout de même un Démocrate, et je dirais même un grand démocrate, qui a balancé deux bombes atomiques sur des centaines de milliers d’innocents voilà septante et un ans bien sonnés. Si ça ne vous donne pas à réfléchir ça… »
Et puis, conclut l’ancêtre Blaise Sanzel (voir notamment http://onefoutus.over-blog.fr/article-blaise-sanzel-101765338.html ) profitant d’une prise de parole visant à ordonnancer sa tournée personnelle, vous ne risquez pas grand chose à nommer cette espèce de hurluberlu chef de l’Oncle Sam. Au pire il vous foutra des murailles de partout pour empêcher les autres de vous faire subir ce que vous infligeâtes jadis à ces pauvres Indiens, au mieux il fera son possible pour vous débarrasser de tout ce fatras de convenances politiquement-correctes qui ont réduit l’Occident à quia depuis la fin de la guerre-froide. Qu’il réussisse ou non, ça vous évitera toujours de vous farcir cette pintade déplumée de Mistress Clinton… ne serait-ce que pour cela il s’agit d’une question de salubrité publique! J’ai suffisamment pratiqué la bien-pensance au cours de mon interminable existence pour vous conjurer, tous, de l’éviter comme la peste, la chtouille et le choléra réunis!
« Et puis aussi, essayez donc de regarder un peu au delà de ce que vous apercevez au premier plan…. vous voyez des burqas et des djellabas, certes, mais en scrutant un peu vous voyez aussi, omniprésent dans le discours médiatique, l’Islam de France, surtout depuis l’efflorescence des attentats dits « islamistes »…et à tout bout de champs on vous sort « attention, faites gaffe, padamalgam, ça n’a rien à voir »… foutaise, bien sûr, ça a tout à voir sans quoi on n’en parlerait même pas! Vous voyez juste, cher Monsieur, le pays auquel vous faites l’honneur de rendre visite glisse doucement vers l’islamisation et la Charia… et quand je dis doucement il s’agit d’une simple clause de style, vous savez, cela s’accélère tellement que je le verrai sans doute avant de fêter mon siècle… Quand je pense à l’avant-guerre…
Islam de France,
Doux pays de mon enfance…
Vous avez raison, Sir, c’est à pleurer! »
Fini l’apéro, on rentre… en faisant bien attention: y a une marche blanche immobile autour du kiosque à musique sans musiciens, ce matin. Alors, on ne sait jamais…
Bon Dimanche quand même.
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
(1) Dans les années 69/70 Hank Hulley vivait à Paris, il y effectuait une sorte de stage…c’est d’ailleurs à cette époque-là que nous fîmes connaissance.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.