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Les occidentaux vivent
en « immersion médiatique », où il leur est imposé une vision chaotique
du monde, sans autre espoir que d’accepter, voir demander, le contrôle total de
leur vie, seul salut proposé par les « élites dirigeantes et bien-pensantes ».
Les catastrophes
climatiques, technologiques, les révoltes, guerres, crises de tous ordres, ne
paraissent avoir aucune cause commune, justes des origines que des « experts
patentés » décrivent à longueur d’infos : course au profit, pétrole,
gaz, prosélytisme démocratique...
Les mêmes qui créent
les problèmes, terrorisme, crises économiques, accidents technologiques, vous
expliquent comment ils vont les résoudre…
La totalité de l’information
est sous contrôle, celle des médias officiels, valets des pouvoirs en place,
mais aussi celle des médias dits alternatifs, qui agissent inconsciemment en faire-valoir des
premiers.
Les mensonges, vérités
et contre-vérités sont tous manipulés. Tel qui crois détenir une vérité, ne
fait que participer à grossir l’arbre qui cache la forêt. Notre vision est
devenue trop étroite pour prendre du recul. Nous naviguons dans un brouillard où
nous prenons pour vérité la moindre lueur placée sur notre chemin.
Le « Plan »
élaboré pour mener ce monde n’est même pas dissimulé, il s’affiche
outrageusement au vu et au sus de tous. Le décodage, de ce qui apparaît comme un
chaos, passe par la perception des immenses enjeux liés au grand changement
climatique en cours. Non pas celui de la nouvelle religion du « réchauffement
climatique entropique », crée pour détourner les regards et occuper les
bonnes volontés, mais celui, cyclique, qui remodèle les régions fertiles de
notre globe et dévaste l’humanité.
Extrait du dernier livre
de Pierre de Châtillon « Les derniers blancs » :
« Après de longues périodes, les constellations et
les planètes qui circulent autour du soleil modifient la balance des énergies
qui alimentent la terre.
Comme le flotteur à pêche qui se penche dès qu’il y a une
petite tension sur la ligne à pêche, la terre réagit à ces modifications d’énergies
en changeant son écliptique. En peu de temps, l’angle de l’écliptique passe de
23° à 35°, modifiant radicalement les conditions de vie sur terre. Alors que la
société du moment possède un développement qui s’apparente approximativement au
nôtre, ces changements soudains apportent une expérience complètement
différente.
Le soleil ne se lève plus au même endroit, le Nord n’est
plus au même endroit, les migrations ne se font plus aux mêmes endroits. Les
vents changent de direction. Les mers varient prodigieusement. Les tempêtes
sont énormes.
« Il faudrait conclure qu’il existe dans la nature un mouvement
périodique, inconnu jusqu’à présent, qui fait rouler alternativement les eaux
de la mer d’un pôle à l’autre. »
Le soleil monte beaucoup plus haut dans le ciel d’été et
descend beaucoup plus bas dans celui d’hiver, un mouvement que les anciens
avaient comparé à celui d’un serpent. Les températures sont plus extrêmes.
« Il semble que cela soit dû à un aplatissement de la
terre », disait Varron. En rassemblant les débris épars d’un grand nombre de connaissances
humaines, Varron a dit expressément que la Terre est d’une sphéricité oblongue,
qu’il compare à celle d’un œuf.
Une croyance que partageait aussi Cassiodore le Romain. Et
les conséquences sont colossales.
Avec la sécheresse, les sources se tarissent et l’eau ne
suit plus. Elle manque cruellement, la nourriture manque, les matériaux manquent
et la maladie règne.
Les gens arrivent de partout. Les populations quittent le
centre des continents pour se regrouper au bord des affluents qui conduisent à
la mer, ou ils remontent vers le nord.
Pour se protéger débordements climatiques et des
attaques, les populations s’éloignaient des rives et construisaient leur cité
dans la montagne, prenant grand soin de récupérer toute l’eau qu’ils pouvaient.
Mais la mémoire humaine finissait par oublier et un jour
ou l’autre, ils redescendaient dans les vallées. »
Les évènements
nationaux et mondiaux, hyper-médiatisés, visent à monopoliser l’attention des
foules, afin de masquer cette réalité inexorable.
L’énergie et les
moyens mis en œuvre par les politiques, afin d’imposer aux populations de l’Hémisphère
nord « la mixité » et les « migrants », visent à combiner les
gênes, afin de créer un cotât d’humains capables de supporter les rayonnements nocifs
qui bombardent la terre crescendo. Il y a 20 à 30 ans, peu de gens s’enduisaient
aussi copieusement de crème solaire, les cancers étaient infiniment moins
nombreux…
Les élites dirigeantes
de ce monde connaissent les enjeux, elles auront besoin d’humains performants
et adaptés au nouveau climat, pour les servir. EIles savent très bien que,
comme le dit Pierre de Châtillon dans son livre, que :
« Jamais
aucune société, ni aucune cité aux prétentions multiculturelles de l’histoire,
n’a survécu plus de quelques siècles. Elles se terminent toutes dans des
histoires assassines et des révolutions intestines. »
C’est donc que le
temps est maintenant compté et que la fin justifie les moyens.
Regardez les
évènements de ce monde à travers le filtre de l’échéance des grands
changements terrestres. Vous constaterez que tout contribue à empêcher toute
objectivité des populations de l’hémisphère nord, en utilisant une de leur particularité :
l’hyperémotivité et les bons sentiments…
P.
Nouveau livre de
Pierre de Châtillon ici
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