18 août 2015

Les Français, étrangers dans leur propre pays

Le dernier bateau-mouche en croisière sur la Seine
Non, la politique n’est pas morte. Une suite de mauvais choix a transformé la capitale en paradis des riches et des pickpockets (tout amalgame sera sévèrement critiqué). Les hitlériens, qui ont heureusement disparu, auraient dit « en paradis des juifs, des homosexuels et des communistes », ce qui est trop exagéré. En effet, nous avons - par exemple - hérité de socialistes. Le vrai natif parisien, qui sortirait aujourd’hui de 30 ans de prison (pour une vanne antisioniste, par exemple), ne reconnaîtrait plus sa ville. Postulat extrapolable : en lui imposant le modèle mondialiste israélo-américain, à tous points de vue (politique, culturel, économique et financier), l’élite contemporaine a fait du Français un étranger dans son propre pays. Voilà pourquoi tant de jeunes Français ne rêvent plus de France, mais d’ailleurs.

Chacun sait que les socialistes, comme toujours, ont dépensé plus qu’il n’y avait en caisse. Leurs programmes, qui ne sont même pas sociaux (ce à quoi on pourrait s’attendre avec des « socialistes »), sont honteusement libéraux. La gauche ne sert plus qu’à ça : à faire avaler la pilule libérale à un peuple qui se croit gouverné… à gauche. Énorme entube trop douloureuse à imaginer, à admettre. C’est pourquoi elle fonctionne encore, malgré tous les voyants qui sont au rouge : les Français ont moins de fric (c’est la mondialisation, madame), de vacances, de considération, de justice, de sécurité. Ils ont perdu sur TOUS les tableaux, sans exception. Alors qu’avant, on savait que telle politique entraînait tels avantages, et tels inconvénients. Par exemple le franc fort, face au choix inflationniste. La politique concurrente produisait des avantages et des inconvénients différents. Aujourd’hui, tout cela est balayé : le pouvoir fait globalement honte, ses choix géopolitiques sont désastreux (épisode des Mistral), sa soumission à l’axe du Bien totale, ses engagements extérieurs douteux (les bombardements anti-Daesh en Syrie ou en Irak), sa justification intérieure pitoyable (antiracisme, anti-homophobisme et anti-antisémitisme), bref, on est gouvernés par des larbins qui coulent le pays. Ô combien puissante doit être la puissance qui gouverne ceux qui nous gouvernent, pour que nos larbins, de droite ou de gauche, n’aient pas le choix de « leur » politique ! Il n’y a qu’une politique, chers amis : celle que l’on subit.

Le journal de la mairie
Il y a 30 ans, Paris avait encore des pauvres assumés, des artistes qui travaillent (pas les sujets soumis à la spéculation et à la dégradation esthétique qui font fuir et grogner le public), et des journalistes non-alignés. En 2015, on assiste à une quart-mondisation massive de la voiture-balai sociale, à une injection d’immigrés déboussolés, un torrent de déracinés sans morale compatible ni contact possible avec la population hôte - et ça inclut le superriche international qui « expulse » les vieilles familles avec du cash estampillé finance internationale (eh oui, ça existe, demandez à des banquiers honnêtes) -, à la ghettoïsation des quartiers juifs (19ème et 17ème), à une homosexualisation outrancière de la ville, qui ne rapporte que quolibets et remarques blessantes, pour les Parisiens et les homosexuels eux-mêmes, sans oublier ces cyclistes à l’air victorieux, signe d’un écologisme déplacé dans une ville inadaptée au vélo. Les Allemands et Néerlandais ont depuis un demi-siècle déjà pensé la ville sans voiture, et se déplacent le plus possible à vélo. Des bécanes solides, que personne ne vole. Nous, à Paris, on n’a ni le beurre, ni l’argent du beurre. La direction prise est un échec total, et ce ne sont pas quelques programmes sociaux « Potemkine », annoncés à grand renfort de trompettes (l’instrument socialiste par excellence), qui vont changer grand-chose à cette évolution (a)sociale dure. Et puis, chacun sait qu’une partie des logements sociaux gagnés sur le parc rénové, finissent attribués en douce à des copines de la mairie. Là, on a de la tromperie au carré : si la droite trompe par définition le pauvre, la gauche le trompe doublement !

Chaque matin, le Banlieuroduc, dit aussi « RER », déverse des milliers de travailleurs forcés à Paris

On ne reviendra pas sur le visage de la capitale, qui vire putain à consommateurs, avec ses boutiques et ses marques, qui s’imposent partout. Adieu commerces hors mode, échoppes et artisans. Le secteur associatif, lui, est tout bonnement inexistant. Il n’y a plus de spontanéité, de gratuité, de légèreté : le fric et la morgue ont tout bouffé. La majorité des restaurants sont des arnaques, et la lourdeur de l’addition ne constitue pas une garantie de qualité, contrairement à la province : un resto pas à la hauteur à Bourgoin-Jallieu signerait son arrêt de mort, alors qu’à Paris, la pression démographique enverra toujours des bataillons de proies béates dans les innombrables pièges. Exemple : les « grandes » brasseries traditionnelles, qui sont devenues la honte de ce secteur. Choucroutes indécentes (Chez Jenny), plateaux de fruits de mer rachitiques (Chez Wepler), sens du service perdu (les brasseries de nuit après le théâtre)… Heureusement pour ces établissements, les cars de touristes déchargent directement leur cargaison de viande solvable devant la porte. Quant à ceux qui brandissent sous notre nez les chiffres de la fréquentation en hausse des musées, qu’ils s’intéressent aux peintures et sculptures les plus prisées : elles datent toutes d’avant la spéculation, initiée par les Américains pour nous piquer le marché de l’Art, avec l’assentiment masochiste des Français. Là aussi, l’admiration de l’Amérique fait des dégâts. Vade retro, Burenas ! Si l’on osait, on dirait que Paris est la ville de l’Encule, mais ça serait mal perçu.

Encore un massacre de militants LGBT : cela ne finira donc jamais ? Il en reste combien encore ?

Malgré ces considérations un tantinet négatives, qui pourraient générer un spontané « y a rien à sauver ? », ou un « tout ce qui est excessif est insignifiant », qui permet en passant de blanchir les plus grosses saloperies, les socialistes doivent savoir que le pire est à venir : en rejetant les populations indésirables hors des murs de la capitale, à savoir les Noirs, les Arabes et les petits Blancs, moins les esclaves de service (concierges, femmes de ménage, nounous et petits réparateurs chez les riches), c’est-à-dire tout ce qu’exècre le bobo, fondamentalement raciste comme pas deux, et qui se sert de l’argent pour éloigner l’Autre, eh bien selon la loi de l’action-réaction bien connue, ces populations reviendront – qu’on le veuille ou pas - retrouver leur vraie place dans la ville. Les Mexicains ne reviennent-ils pas naturellement, et soi-disant illégalement, sur les terres de leurs ancêtres, volées par les Américains ? Quand un appartement est attribué à une famille pauvre dans le 4ème arrondissement, l’opération fait l’objet d’un énorme battage médiatique, relayé par les médias frères : oyez, voyez, nous sommes de gauche ! Mais quand les pauvres reviennent par la banlieue, de derrière le Mur de l’Argent, alors là c’est pas la même saucisse : on envoie les renforts, les CRS, les policiers municipaux, car il faut contenir la barbare invasion. On notera que sans cette partition sociale, qu’on croirait calquée sur les colonisations juives en Palestine (kof, kof), il n’y aurait pas de pression naturelle au mélange… interhumain. Basée sur ce racisme social et (donc) racial, la politique socialiste est non seulement amorale, mais condamnée. Car l’Histoire nous apprend – ouf - que tout ce qui est amoral est condamné, c’est comme ça. Ça peut prendre du temps, la réponse du Ciel, de Dieu, de Là-Haut, de la Justice immanente, du Temps, de la Logique… mais la punition finit toujours par tomber. Tchac. C’est ça qui nous donne de l’espoir : de savoir que les salauds vont payer, et que Dieu est avec nous.


En attendant, il faut sauver Paris, qui brûle sous les feux croisés des sionistes, des socialistes et des LGBT, qui ont raison des âmes simples en exploitant les sentiments humains les plus nobles. Pour les détourner à leur profit, et n’en laisser que la peau, avec le goût violent de l’amertume au fond de la gorge. Leur chance, à ces tenants de la bienpensance, c’est que l’amertume, ou le prix de la gourmandise, n’apparaît que plus tard, quand le mal est fait. Sodome et Gomorrhe, on y est, et ça finit mal. Petit rappel pour ceux qui n’auraient appris l’Histoire que dans les manuels révisionnés par les pédogogues post-68tards (mince, on y va fort là, mais les formules bousculent la délicatesse) : ces deux villes bibliques ont été rasées par Dieu, bombardées par des escadrilles de B52 de l’époque (Dieu est maître du Ciel), parce que l’homosexualité avait fini par y devenir la norme et que les étrangers n’y étaient plus reçus selon les règles de l’hospitalité en vigueur. Un dévoiement des mœurs, avec le fatras de vices qui en découle : orgueil, luxure, ébriété, inceste… En gros, les visiteurs s’y faisaient enculer, au sens propre et au sens figuré. Toute ressemblance avec le Paris d’aujourd’hui serait fortuite et considérée par le ministre de la Judstice, Maître Cukierman 1er, comme de l’anti-hidalgoisme primaire. Le plus drôle, c’est que des penseurs de l’Antiquité ont ajouté dans la besace du dieu vengeur la stérilité des habitants de ces deux villes maudites : ainsi, la branche de ceux qui s’écartent de la morale divine (les 10 commandements) est destinée à s’éteindre. Elle sèchera et brûlera dans la Géhenne… Le premier qui rapproche cette prophétie de la GPA, du commerce et de l’exploitation de l’enfant… L’Histoire a de ces hoquets : nous voilà revenus dans les temps reculés.


« Le soleil se levait sur la terre quand Lot entra dans le Tsoar. Alors l’Éternel fit tomber sur Sodome et sur Gomorrhe une pluie de soufre et de feu ; ce fut l’Éternel lui-même qui envoya du ciel ce fléau. Il détruisit ces villes et toute la plaine, et tous les habitants de ces villes. »


Après l’affaire du lion Cecil, sur laquelle les journalistes épris de contre-pied (la faim en Afrique doit-elle interdire de s’émouvoir de la mort d’un animal) se sont fait les dents, l’affaire Tel-Aviv sur Seine a secoué les consciences. Une gifle non seulement pour l’indépendance de la France, ou ce qu’il en reste, mais aussi pour les partisans de la paix. C’est bien un acte de guerre et un message fort envoyé par la mairie : nous sommes sionistes, que vous le vouliez ou pas, et au besoin, les (500) CRS rétabliront l’ordre (sioniste). À ce propos, ayant récemment visionné un documentaire de Canal+ sur cette bonne vieille ville de Tel-Aviv, nous nous sommes demandé si il n’y avait pas anguille sous roche, c’est-à-dire politique promotionnelle avec effet d’étau. On sait tous que le cinéma israélien dit « de gauche » remporte un franc succès dans nos… médias. Le film israélien propalestinien ou légèrement antisioniste (on critique la guerre ou la colonisation des territoires) permet de donner à Israël l’image d’une démocratie. La critique d’Israël est confisquée, comme d’habitude, par des mains israéliennes. On sent bien derrière ce cinéma autorisé l’intérêt des « responsables de la culture » à l’ambassade d’Israël à Paris… Voici donc la chronique de ce reportage, qui tombe à point nommé. Et que nous avons renommé, avec le mauvais esprit qui est le nôtre. On est sur Canal, la chaîne subversive, oui ou merde ?

Connasse à Tel-Aviv

Alexandra danse le judaïsme

En ce mois d’août 2015, la chaîne qui a perdu le foot (parti chez Bein Sports), l’humour (parti à la Main d’Or) et le cinéma (parti chez Netflix et autres diffuseurs plus ou moins légaux), tente de sauver la face avec une série de documentaires humanistes, le catéchisme Canal à l’assaut de l’étranger. C’est très involontairement drôle, et ça montre à la fois une méconnaissance profonde des pays visités, et l’idéologie de la chaîne, c’est-à-dire de ses décideurs… réels. La propagandiste donne son nom au « reportage » : Alexandra Leroux à Tel-Aviv. La marionnette cool & fun commence fort :

« J’crois qu’chuis prête pour explorer les tendances et les mouvements émergents à Tel Aviv, allez on y va ! […] À seulement quatre heures de vol ([Hi hi hi, NDLR] de Paris, Tel-Aviv figure dans le top 10 des villes à visiter dans le monde… Une ville qui aime la culture et le street art. »

Traduction : une ville comme Paris, avec plein de liberté et de gens de gauche à l’intérieur. La colonisation et les chars sont loin. Alexandra, dont le niveau de comprenette global avoisine le zéro absolu, s’exalte :

« Aujourd’hui une dizaine d’artistes participent à cet évènement dont Maya Gelfman, une artiste réputée qui cartonne dans le milieu de l’art. Son sujet de prédilection : faire des cœurs. »

Maya explique le concept :

« J’ai choisi les cœurs parce que ça symbolise l’essence de ce qu’on est. »

En Israël, la culture représente 0,15% du budget national (photo : « œuvre » de Maya Gelfman)

Alors qu’on commençait à descendre vraiment très bas du point de vue artistique (le niveau de création proposé équivaut à du bricolage de maternelle), Alexandra aborde courageusement le sujet de la religion. Elle s’ébaubit devant un disciple de Rabbi Nachman qui danse comme les pieds-tendres qui se font allumer dans Lucky Luke, afin de promouvoir un judaïsme heureux et bienfaisant :

« Dieu a ordonné aux juifs de répandre la lumière ! »

Alex jugeant cela un peu ringard, elle décide de changer de tocards :

« Je file de l’autre côté de la ville pour explorer un mouvement émergent : la renaissance du judaïsme chez les jeunes Tel-Aviviens. »

Là, c’est pire : soirée chabbatique de trentaires baba cool avec guitare sèche et grosses qui s’émeuvent sur Yahvé. On se croirait dans Paris Dernière, mais sans le sexe. La présentatrice française est éprouvante, on sent sa capacité d’analyse très réduite. Les juifs doivent bien se foutre de sa gueule. Justement, c’est la minute shoah, sur laquelle Alexandra remarque, avec finesse :

« C’est unique à Israël hein ? »

Son guide israélien (de gauche) explique la minute « freeze » :

« Tout le monde va prendre deux minutes pour se rappeler la souffrance qu’on a connue il y a 70 ans. »

Alexandra :

« Avant de venir ici, je n’avais pas conscience que l’Holocauste était encore à ce point présent dans vos vies ici. »

Le guide :

« Tout le monde vient de l’Holocauste. Ce pays n’existerait pas s’il n’y avait pas eu l’Holocauste. »

Alexandra pose alors une question terrible :

« Et toi tu as de la famille qui est morte dans les camps ?
Oui, mon père a perdu beaucoup d’oncles dans l’Holocauste. »


Inconsciente ou provocatrice, Alex porte un tee-shirt ananas, le fruit défendu. Ça sent l’admonestation du CRIF.

Après cet échange émouvant, une fois les larmes mémorielles séchées, on a été consulter la fiche de la « journaliste » :

« Née en 1974, Alexandra Leroux possède un DEA d’économie des ressources humaines et des politiques sociales. Chroniqueuse et journaliste, elle se passionne pour la société et ses mutations. »


Qui a refilé un DEA à cette nouille ? Sans déconner, l’université française ne sort pas grandie de ce publi-reportage. Heureusement, sept minutes avant la fin du doc (de 54 minutes), on aborde le vrai problème. Alexandra a trouvé un Palestinien qui a pardonné aux Israéliens la mort de son frère quand il avait 9 ans.

Aziz :

« Quand j’ai connu des gens comme Uval [son partenaire dans une association de rapprochement pacifique], il a fallu que j’apprenne beaucoup de choses sur l’histoire israélienne, des choses comme l’Holocauste… »

Le second Palestinien, ou Arabe israélien à témoigner, Ayed Fadel, compte sur la musique pour rapprocher les deux peuples :

« On ne peut occulter ni le conflit ni l’occupation… On en a eu marre d’être montrés dans les médias comme des victimes, comme des cadavres, des numéros tués par l’armée israélienne. Non, on est des Palestiniens, on existe, on a nos valeurs, notre intelligence, on a fait des études, on est musiciens, on est créatifs, eh oui, on veut montrer cette face du nouveau Palestinien. […] Et j’espère que l’autre côté finira par comprendre qu’ils sont des victimes aussi. »

Shoah sur Seine

Conclusion : le rapprochement économique israélo-parisien décidé en mai 2015 lors de la visite d’Anne Hidalgo en Israël (sans le consentement de la population goy), l’opération « Tel-Aviv sur Seine » qui rappelle la provocation de Sharon qui lança la seconde Intifada sur l’esplanade des Mosquées en septembre 2000, et la diffusion du documentaire canalien cucul la praline, font penser que le gouvernement israélien, très décrié, communique indirectement à travers Tel-Aviv, sa ville pseudo-rebelle (avec des artistes, des pacifistes, des laïcs et des homosexuels), afin de réparer son image chez auprès des Parisiens, des Français, et, par extension, des habitants du monde entier. Car Paris est une ville-monde. Une opé politique qui n’a pas demandé leur avis aux Parisiens, littéralement pris en otages. On en arrive même à se demander, tant l’image de la capitale et de la France a morflé (elle a choisi le camp d’Israël, donc de la guerre), s’il n’y aurait pas un deal financier dans l’affaire. C’est-à-dire que, très endettée, Paris aurait été achetée, contre une publicité mondiale pour le sionisme. Si c’est le cas, c’est abject. Sinon, c’est encore pire : la clique hidalgoiste nous fait passer pour des suppôts de Netanyahu et ce, sans aucune contrepartie ! Quant à nous, il faudra nous payer très cher pour qu’on devienne sionistes : il faudra nous demander pardon.

 
On appréciera le commentaire « Paris est liée par des pactes d’amitié… » (photo tirée du site The times of Israel)
Eh merde, on voulait vous parler de Paris, Ville Lumière, et voilà qu’on parle de sionisme. Il faut dire que plus de la moitié des 600 000 juifs français ou Français d’origine juive, vit en région parisienne. C’est pas nous qui le disons, dans un fantasme judéo-omnipotent, mais bien Jacques Attali, dans un ouvrage à la gloire des juifs, décrétés lumières du monde. Une vision du monde talmudiste que les goys feraient bien de lire.

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