04 mai 2015

"Vivre ensemble" en Lorraine : neuf jeunes condamnés à de la prison avec sursis pour viols avec tortures..

Dix jeunes mineurs au moment des faits étaient jugés par le Tribunal pour enfants de Briey (Meurthe-et-Moselle) pour avoir imposé à deux jeunes filles des relations sexuelles sous la contrainte et la menace. Les faits reprochés sont particulièrement sordides. La justice a décidé de les condamner seulement à de la prison avec sursis.

Dans les ZUP, les «tournantes» sont un phénomène "culturel". En 2011, dix mineurs âgés à l’époque de 13 à 17 ans avaient été mis en examen pour agressions sexuelles en réunion, soupçonné d’avoir fait vivre un calvaire sexuel à deux victimes, mineures également.

Dans un garage de Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle), les jeunes sont soupçonnés d’avoir forcé leurs victimes à pratiquer des fellations sous la contrainte de bâtons et menaces de coups.

Des fellations imposées "sous la contrainte"

Les faits jugés par le Tribunal pour enfants sont particulièrement sordides. Outre, les fellations forcées, les victimes étaient passées à tabac. Pluie de coups de pieds et de coups de poing constatés au moment des dépôts de plainte. Les «tournantes» étaient également filmées puis diffusées sur les téléphones portables de nombreux jeunes dans les établissements scolaires. Une sorte de jeu et de défis relevés par les accusés.

Une troisième victime affirme quant à elle avoir été rackettée sous la menace physique sans toutefois être livrée dans ces tournantes. Les dix prévenus jugés par le tribunal pour enfants en raison de leur "excuse de minorité" au moment des faits ont été placés sous contrôle judiciaire dès leur mise en examen en 2011. Ils nient leur implication et affirme que les relations sexuelles étaient consenties...

Les jeunes filmaient les tournantes

Les victimes se sont constituées parties civiles, représentées par leur avocat. Durant le procès, les jeunes filles n’ont pas témoigné, «traumatisées» par les faits présumés et «mis à l’abris» dans une autre région.

Les principaux prévenus ont été condamnés à 6 mois avec sursis simple. Deux autres, âgés de 13 ans à l’époque, ont écopé d’une remise à leurs parents, selon une source judiciaire, alors que le procès s’est tenu à huit-clos à l’écart des médias. Un dernier accusé a été relaxé, aucune charge n’a été retenue contre lui.

L’une des victimes va toucher 8 000 euros de dommages-intérêts de la part des prévenus. La condamnation du tribunal pour enfants est conforme aux réquisitions du parquet, qui n'avait demandé que de faibles peines de prison avec sursis.

Source

Mettez-vous à la place des victimes et de leurs parents ! Justice Socialo-Hollandienne...

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