Cette classe ultra-riche se maintient au plus haut niveau grâce à une solidarité d’entraide très étroite.
La surpopulation menace le pouvoir des riches. Plus il y a d’hommes plus il y a de pollution et plus se réduit la part de ressources naturelles (eau, nourriture, énergie) et plus le risque de non contrôle de la minorité dirigeante est grand. Une guerre sociale est déclarée : c’est une guerre d’élimination d’une partie de la population devenue trop nombreuse et inutilement coûteuse. Des solutions sont envisagées par les dominants. En premier, avec le contrôle de l’énergie. Parvenir à un contrôle entièrement automatisé de la production. Remplacer l’ensemble des salaries par des machines. Première arme silencieuse : grâce à la robotisation, à l’ informatique à l’intelligence artificielle la production sera effectuée entièrement par des systèmes automatiques seul compte le bon fonctionnement de la productivité et qu’importe le chômage les licenciements et les familles condamnées à la pauvreté et à la misère. Deuxièmement, le contrôle des corps.
Les pauvres doivent être gros et gras ce qui entraîne des maladies comme l’obésité, le diabète, les maladies cardio-vasculaires, les cancers et cette arme silencieuse est facile : il suffit de vendre des aliments avec trop de sel, trop de sucre, trop de graisses, des colorants et autres additifs dangereux en organisant des carences en zinc en sélénium, en magnésium. Une malnutrition qui élimine lentement mais sûrement une partie de la population.
Troisièmement, l’arme la plus pernicieuse, les forces de l’argent et les politiques contrôlent et manipulent les esprits, les cerveaux via la publicité (tout entière dévouée aux riches), les médias, télé, radio, afin que l’effet destructeur échappe à la conscience et ne suscite pas d’opposition.
Donc soumission du peuple par un libéralisme qui s’emploie à réduire les allocations chômage, baisser les retraites, démanteler les systèmes d’éducation et de santé publique et entraîner la jeunesse vers des guerres inutiles. C’est le nouvel esclavage : les pauvres, les précaires, les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète pour le plus grand bonheur des oligarchies qui nous dirigent Le meilleur des mondes ? Vous croyez rêver : vous y êtes.
Personne n'est plus à l’abri !
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