« L’antisémitisme n’est pas une variété de racisme, il faut le comprendre pour le combattre », a-t-il prétendu*, brocardant à la fois « l’islamisme radical » et « le vieux monstre » datant du régime de Vichy.
Selon Bernard Henri-Lévy, « les racines de l’antisémitisme ne sont pas nécessairement dans le monde arabe » mais « l’ONU doit utiliser son immense pouvoir pour déconstruire les hystéries antisionistes de Durban » ; « Même si le peuple palestinien se voyait attribuer l’État qui lui revient de droit, l’antisémitisme ne disparaîtrait pas », a-t-il tenté de faire valoir.
Au cours de cette session extraordinaire, la première du genre dans l’histoire de l’instance internationale,le secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon, a estimé que les Nations unies « avaient pour devoir de lutter contre l’antisémitisme si elles voulaient rester fidèles à leur idéal et à leur principe fondateur ».
Pour terminer, je vous laisse apprécier (ou non) cette saillie verbale de l’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Ron Prosor, qui a lancé aux participants que « dans les années 1930, les antisémites scandaient ‘Les Juifs en Palestine !’, alors qu’aujourd’hui ils scandent ‘Les Juifs hors de Palestine ! »…
Raphaël Berland
* « L’antisémitisme n’est pas une variété de racisme ». Sur ce sujet, j’ai rédigé deux articles, un en réponse à BHL, et le second en réponse à Cindy Léoni (SOS Racisme)
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