La Liberté guidant le peuple - Delacroix
Mise à Jour: 17:15 (heure de Paris)
Sans doute 1,5 million de personnes à Paris - 600.000 personnes manifestent en région.
Mise à Jour: 16:35 (heure de Paris)
Outre la gigantesque marche à Paris, de nombreux défilés et rassemblements contre le terrorisme réunissaient déjà plus de 600.000 personnes ailleurs en France dimanche en début d'après-midi, dont près d'un tiers à Lyon, troisième ville française, selon un décompte de l'AFP.
Entre 150.000 et 200.000 manifestants à Lyon, au moins 100.000 à Bordeaux (sud-ouest), plus de 60.000 à Rennes (ouest) ou Marseille (sud-est) défilaient, au lendemain d'une journée qui a déjà vu 700.000 personnes manifester dans tout le pays.
A Lyon, l'itinéraire initial a dû être rallongé pour accueillir tout le monde. "Je suis Charlie, pour la liberté d'expression", clamait une banderole portée par des journalistes et des policiers, en hommage à l'équipe du journal satirique décimée dans un attentat mercredi.
A Marseille, deuxième ville de France où une première manifestation avait rassemblé 45.000 personnes samedi, quelque 60.000 personnes, selon la préfecture, ont défilé près du Vieux Port.
"Je suis là pour beaucoup de choses, pour la liberté de la presse, pour le respect de l'autre...", confiait Aziz Malki, 66 ans, qui se disait empli de "tristesse".Environ 60.000 personnes ont également marché à Saint-Etienne (centre) pour la liberté d'expression et contre le fanatisme derrière une large banderole noire portant l'inscription "Nous sommes Charlie".
Enorme mobilisation aussi à Perpignan (sud) où 40.000 des 110.000 habitants ont défilé dans un silence interrompu par des salves d'applaudissements.
A Bordeaux, les 100.000 manifestants ont observé une minute de silence, dans l'une des plus grandes manifestations qu'ait connue la ville depuis la fin de la Seconde guerre mondiale.Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées dans le calme à Strasbourg (est). Beaucoup sont venus avec leurs enfants. "Je suis Charlie, je suis toutes les victimes de la bêtise humaine", lisait-on sur des pancartes.
A Clermont-Ferrand (centre), au moins 30.000 personnes défilaient avec en main des dessins de caricaturistes divers ou des drapeaux français. En tête de cortège, une grande banderole blanche proclamant en noir "liberté.égalité.fraternité".
Décalage horaire oblige, le premier rassemblement dominical a eu lieu en Nouvelle-Calédonie, territoire français d'Océanie, où 4.000 personnes se sont réunies à Nouméa.
Mise à Jour: 16:27 (heure de Paris)
La présidente du FN Marine Le Pen a été acclamée lors d'un rassemblement qui a réuni, de source policière, un millier de personnes à Beaucaire, ville du Gard dirigée depuis mars par un élu FN, ont constaté dimanche des journalistes de l'AFP.
"Merci d'être là pour rappeler les valeurs de la liberté", a lancé Marine Le Pen lors d'une brève intervention depuis le balcon de l'hôtel de ville sur lequel flottait une bannière "Je suis Charlie - Hommage aux victimes du terrorisme islamiste". "On est chez nous!", lui ont alors répondu.
Mise à Jour: 16:17 (heure de Paris)
François Hollande quitte la manifestation pour retourner à l'Elysée.
Mise à Jour: 16:02 (heure de Paris)
Le défilé des responsables étrangers participant à la marche contre le terrorisme à Paris s'est achevé dimanche vers 14H45 GMT, le président français François Hollande restant de son côté sur place pour saluer les familles des 17 morts et de la vingtaine de blessés victimes des attaques jihadistes.
Les chefs d'Etat et de gouvernement qui formaient une rangée compacte et soudée autour du chef de l'Etat français se sont arrêtés après une minute de silence, salués individuellement par M. Hollande qui a ensuite rejoint le groupe des proches des victimes de trois jihadistes français, tués dans des assauts des forces de l'ordre.
Mise à Jour: 15:44 (heure de Paris)
Les chefs d'Etat observent une minute de silence.
Mise à Jour: 15:38 (heure de Paris)
La marche contre le terrorisme et pour la liberté, à laquelle participent de nombreux responsables étrangers, s'est ébranlée place de la République à Paris dimanche peu avant 14H30 GMT, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Les familles des dix-sept victimes des attentats jihadistes cette semaine en France ont ouvert un premier cortège, qui doit être rejoint par celui formé par une cinquantaine de dirigeants étrangers aux côtés du président François Hollande et de nombreuses personnalités politiques françaises.
Mise à Jour: 15:36 (heure de Paris)
Le ministre américain de la Justice Eric Holder a déclaré dimanche qu'il n'y avait "pas d'information crédible" attestant qu'Al-Qaïda soit derrière les attentats de Paris.
"A ce stade, nous n'avons pas d'information crédible qui puisse nous permettre de déterminer quelle organisation est responsable" de ces attaques, a déclaré le ministre sur ABC depuis Paris, où il a participé à une réunion internationale contre le terrorisme. Il a jugé qu'Al-Qaïda au Yemen et l'Etat islamique "posaient clairement une menace aux Etats-Unis ainsi qu'à leurs alliés".
Mise à Jour: 15:34 (heure de Paris)
Le président François Hollande et de nombreux chefs d'Etat et de gouvernement ont commencé à défiler mercredi lors de la "marche républicaine" contre le terrorisme à Paris, applaudis par la foule massée aux fenêtres des immeubles environnants.
Le chef de l'Etat était notamment entouré du président malien Ibrahim Boubacar Keita et des plus hauts dirigeants européens, l'allemande Angela Merkel, le britannique David Cameron, l'espagnol Mariano Rajoy, l'italien Matteo Renzi, ou encore le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker.
Leur arrivée a été saluée par des applaudissements nourris de la foule. M. Cameron, cité sur la chaîne Sky News, a rappelé que la Grande-Bretagne faisait face à la même menace de "l'extrémisme fanatique" qui a frappé la France cette semaine.
"Cette menace est présente depuis de nombreuses années et je pense qu'elle le sera pour encore beaucoup d'années", a-t-il déclaré.
Mise à Jour: 15:31 (heure de Paris)
Plus de 60.000 personnes étaient rassemblées contre le terrorisme dimanche à Rennes, selon la préfecture, et la foule continuait à affluer, ont constaté des journaliste.
"Il y a du monde partout, dans les rues aux alentours, et le monde afflue" vers l'esplanade du centre-ville où le rendez-vous avait été fixé à 15H00, et "qui est déjà saturée", a témoigné un de ces journalistes.
Les gens sont venus en groupes, en familles, portent des panneaux ou des pancartes "Je suis Charlie".
Mise à Jour: 15:25 (heure de Paris)
Début de la marche des chefs d'Etat.
Mise à Jour: 15:19 (heure de Paris)
Les responsables politiques de tous les pays se mettent en place.
Mise à Jour: 15:12 (heure de Paris)
La menace extrémiste va être présente "pour encore beaucoup d'années", a déclaré dimanche à Paris le Premier ministre britannique David Cameron, avant de participer à la marche contre le terrorisme.
M. Cameron, cité sur la chaîne Sky News, a rappelé que la Grande-Bretagne faisait face à la même menace de "l'extrémisme fanatique" qui a frappé la France cette semaine. "Cette menace est présente depuis de nombreuses années et je pense qu'elle le sera pour encore beaucoup d'années", a-t-il déclaré.
Mise à Jour: 15:03 (heure de Paris)
L'Europe va gagner le "défi contre le terrorisme" a déclaré dimanche le chef du gouvernement italien Matteo Renzi à des journalistes.
"L'Europe est plus forte que la peur (...) et nous sommes ici tous ensemble pour donner le message que l'Europe va gagner le défi contre le terrorisme", a déclaré M. Renzi. Il fait partie des nombreux chefs d'Etat ou de gouvernement qui participent à Paris à une "marche républicaine" à l'invitation du président français François Hollande, en réaction aux attentats.
Mise à Jour: 14:57 (heure de Paris)
Outre la gigantesque marche à Paris, de nombreux défilés et rassemblements contre le terrorisme réunissaient déjà plus de 150.00 personnes ailleurs en France, dimanche en début d'après-midi, au lendemain d'une journée qui a déjà vu 700.000 personnes manifester dans tout le pays.
A Saint-Etienne (centre) environ 60.000 personnes ont marché pour la liberté d'expression et contre le fanatisme derrière une large banderole noire portant l'inscription "nous sommes Charlie", en hommage à l'équipe du journal satirique décimée dans un attentat mercredi.
Enorme mobilisation aussi à Perpignan (sud) où 40.000 des 110.000 habitants ont défilé dans un silence interrompu par des salves d'applaudissements.De nombreux rassemblements étaient également prévus à Lyon, la troisième ville de France, Bordeaux (ouest), ou Reims (nord-est).
Décalage horaire oblige, le premier rassemblement dominical a eu lieu en Nouvelle-Calédonie, territoire français d'Océanie, où 4.000 personnes se sont réunies à Nouméa.
Les mobilisations déjà impressionnantes, samedi, dans les grandes villes de province - 700.000 personnes en tout, selon le ministère de l'Intérieur -, semblaient augurer de chiffres de participation énormes, d'autant que le temps est au beau fixe.
Mise à Jour: 14:55 (heure de Paris)
La cinquantaine de chefs d'Etat et de gouvernement rassemblés autour du président François Hollande dimanche ont quitté l'Elysée en autocars pour rejoindre la marche partie de la place de la République.
Mise à Jour: 14:52 (heure de Paris)
Une foule compacte convergeait de partout dans Paris dimanche en début d'après-midi vers une marche historique contre le terrorisme à laquelle participe une cinquantaine de responsables étrangers, ont constaté les journalistes de l'AFP.
Point de départ de la manifestation, la place de la République était noire de monde bien avant le départ, prévu à 14H00 GMT. Métros saturés, personnes marchant sur la chaussée, y compris dans les rues où la circulation n'était pas coupée: par milliers, les manifestants continuaient d'affluer, se dirigeant souvent vers d'autres points du parcours.
Mise à Jour: 14:26 (heure de Paris)
Le Britannique David Cameron, l'Allemande Angela Merkel et l'Israélien Benjamin Netanyahu, et de nombreux autres dirigeants étrangers, sont arrivés dimanche à l'Elysée où ils ont été reçus par le président François Hollande, avant de se rendre à la grande marche parisienne contre le terrorisme.
Le Premier ministre turc Ahmet Davitoglu, l'Espagnol Rariano Rajoy et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov sont également arrivés au palais présidentiel, où une collation attend les dirigeants de monde entier, dont la participation commune à une manifestation constitue une première historique.
Mise à Jour: 14:16 (heure de Paris)
Les familles des victimes de Charlie Hebdo arrivent à la marche contre le terrorisme à Paris.
Mise à Jour: 13:56 (heure de Paris)
Près de 10.000 personnes ont défilé dimanche en criant "Charlie! Charlie!" à Dammartin-en-Goële, selon le maire de cette petite ville qui a vécu en état de siège et dans la peur quand les frères Kouachi s'y sont retranchés vendredi, avant d'être tués. Dans cette bourgade de 8.000 habitants de Seine-et-Marne, plantée au milieu des champs, on n'avait "jamais vu" autant de monde dans les rues.
Mise à Jour: 13:53 (heure de Paris)
Quelque 60.000 personnes ont participé à la marche républicaine pour la liberté d'expression et contre le fanatisme qui, dimanche, a rallié la gare de TGV de Saint-Etienne à l'Hôtel-de-ville, selon la police.
Mise à Jour: 13:21 (heure de Paris)
La place de la République, dans le centre de Paris, était noire de monde dimanche deux heures avant le début prévu d'une marche historique contre le terrorisme après une série d'attentats en France, où 17 personnes ont été tués dans des attaques jihadistes, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Mise à Jour: 13:10 (heure de Paris)
François Hollande à ses ministres: "Paris est aujourd'hui la capitale du monde" . "Le pays tout entier va se lever vers ce qu'il a de meilleur", a poursuivi le chef de l'Etat.
© Photo : Sputnik
Mise à Jour: 12:50 (heure de Paris)
Plus de trois heures avant le début de la grande marche contre le terrorisme des milliers de personnes avaient déjà commencé à se rassembler dimanche, ont constaté des journalistes de l'AFP.
"Brandissez vos stylos" ou "Liberté, égalité, dessinez, écrivez", peut-on lire sur des pancartes en hommage aux 17 personnes tuées dans les attentats cette semaine, à Charlie Hebdo.
© Photo: REUTERS/Philippe Laurenson
© Photo : Sputnik
Mise à Jour: 12:15 (heure de Paris)
Selon Europe 1, des pistolets automatiques, détonateurs, papiers d'identité et téléphones de Coulibaly ont été retrouvés dans un appartement de Gentilly.
Mise à Jour: 12:14 (heure de Paris)
Selon BFMTV, François Hollande a appelé le dirigeant des Supermarchés Hypercacher et le héros de Vincennes Lassana Bathil.
Mise à Jour: 11:40 (heure de Paris)
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) "respecte" la décision des Juifs qui partent en Israël mais juge qu'il faut "combattre en France" les "ennemis du judaïsme", a déclaré son président, Roger Cukierman, à l'issue d'un entretien avec François Hollande.
"Ceux qui prennent la décision de partir vers Israël, nous ne pouvons que respecter leur décision mais nous estimons que nous devons combattre en France contre tous les ennemis du judaïsme", a-t-il dit, interrogé sur les propos du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui avait estimé qu'Israël était le "foyer" des Juifs de France.
Mise à Jour: 11:35 (heure de Paris)
L'ancien avocat de Coulibaly, Me Damien Brossier, a confirmé au Monde que Amedy Coulibaly était bien l'homme qui s'exprimait sur cet enregistrement, ainsi que le parquet de Paris.
Mise à Jour: 11:20 (heure de Paris)
Un homme ressemblant à Amedy Coulibaly a revendiqué l'attaque qui a coûté la vie à une policière jeudi à Montrouge, en se réclamant de l'organisation Etat islamique, dans une vidéo postée dimanche sur internet. Cet homme s'exprimant face à la caméra dit être "sorti contre la police", tandis qu'un texte incrusté dans le montage l'identifie comme Amedy Coulibaly et précise qu'il a notamment tué une policière à Montrouge et commis vendredi l'attaque de la supérette casher de l'Est de Paris. "On arrive à se synchroniser pour sortir en même temps", poursuit-il après avoir évoqué l'attaque de Charlie Hebdo mercredi par les "frères" Kouachi. Amedy Coulibaly a été tué vendredi par les policiers.
Mise à Jour: 11:12 (heure de Paris)
François Hollande se rendra à la Grande synagogue de Paris, après la manifestation parisienne, pour un hommage aux victimes.
Mise à Jour: 11:00 (heure de Paris)
Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Roger Cukierman, a annoncé que les écoles juives et les synagogues seraient protégées "si nécessaire" par l'armée, à l'issue d'un entretien avec François Hollande à l'Elysée. "Il nous a été dit que toutes les écoles, toutes les synagogues seraient protégées, si nécessaire, au-delà de la police, par l'armée", a-t-il déclaré sur le perron du palais présidentiel.
Mise à Jour: 10:34 (heure de Paris)
Roger Cukierman:"Il est intolérable que sur les réseaux sociaux, il y ait eu un hashtag disant je suis Kouachi, cet assassin, et que ce "hashtag ait eu 18.000 tweets".
"C'est de l'apologie de meurtre et ça relève du pénal", a dénoncé le président du Crif, estimant que les réseaux sociaux doivent apprendre "à ne pas contribuer à la haine".
"Il faut aussi travailler sur les réseaux (télévisés) satellites qui diffusent la haine des juifs sur des réseaux arabes, il faut aussi que les prisons cessent d'être des lieux de formation de jihadistes"
Mise à Jour: 10:05 (heure de Paris)
Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Roger Cukierman, a évoqué une "situation de guerre" avant d'être reçu avec d'autres représentants de la communauté juive dimanche par François Hollande à l'Elysée.
Mise à Jour: 09:29 (heure de Paris)
Les représentants de la communauté juive sont arrivés à l'Elysée pour y rencontrer François Hollande, à l'aube d'une très longue journée qui verra ensuite une cinquantaine de dirigeants et responsables étrangers rejoindre le palais présidentiel et participer à la marche silencieuse organisée à Paris.
Le grand rabbin de France, Haïm Korsia, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Roger Cukierman, et le président du Consistoire israélite de France, Joël Mergui, ont été reçus par le chef de l'Etat, accompagné du Premier ministre, Manuel Valls, ainsi que des ministres de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, et de la Justice, Christiane Taubira.
Contenu réalisé à partir d'informations émanant de sources ouvertes.
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