Fidèle à son ADN de gauche, voici la dernière trouvaille du « gouvernement de combat » de Messieurs Hollande et Valls pour ridiculiser la France aux yeux de la planète entière : faire assurer, sur le sol français, la protection des touristes chinois par des policiers chinois.
Cette mesure, qui n’est hélas pas un poisson d’avril, nous fait nous interroger sur la santé mentale de nos gouvernants.
Une première depuis la Gestapo
Que les puritains de gauche qui lieront ces lignes ne tombent pas immédiatement dans l’hystérie. Nous ne comparons en aucun cas la police chinoise à la funeste Gestapo.
Toutefois, si l’on regarde la situation avec recul, nous constatons que c’est la première fois depuis la Seconde guerre mondiale qu’une police étrangère est amenée à assurer le maintien de l’ordre sur le sol français.
Qui ne voit pas ce transfert de souveraineté comme une suprême humiliation pour notre pays confesse avoir abdiqué toutes ses fibres françaises et admet tout ignorer de l’honneur de la France. En d’autres termes, toute personne jugeant normale ou acceptable cette mesure orwellienne est de gauche.
La faillite de la police française
L’un des problèmes de fond mis en lumière par cette affaire est l’incapacité de la police française à accomplir sa mission. Il est vrai que depuis 2012, cette dernière est très occupée à réprimer la véritable opposition politique au gouvernement. On ne peut pas tout faire à la fois.
Cette explication conjoncturelle ne doit cependant pas nous faire oublier la cause structurelle de la faillite de la police française. Cette cause, c’est féodalisation de la France.
Sous l’effet grandissant de l’économie parallèle, certains territoires des ZD (zones défrancisées) ont été privatisés par les dealeurs. Ces zones, devenues de fait indépendantes de l’autorité publique française, sont des essaims de délinquance et d’assistanat. Les populations lombardes et bavaroises qui y vivent tirent l’essentiel de leurs revenus des transferts sociaux, du trafic de drogue et de la razzia du peuple de France, le tout étant net d’impôt, va sans dire.
Des hommes politiques dignes de ce nom, non soucieux d’appliquer les dogmes de la religion du politiquement correct, auraient dû être sensibles à ce problème et le régler le plus simplement du monde par une stratégie de répression sévère couronnée par la déchéance de nationalité puis l’expulsion des délinquants et criminels d’origine étrangère.
Il n’en fut et il n’en est toujours rien.
Par crainte de l’explosion de furie des racailles, les gouvernements qui se succèdent depuis des décennies laissent les bourreaux du peuple de France jouir d’un incroyable laisser faire. Des associations dites antiracistes vivant sous perfusion d’argent public menacent d’ailleurs de poursuite toute personne osant se plaindre de cet état de fait.
Ajoutons que les rares fois où les racailles sont prises par la patrouille, elles sont bien souvent relâchées par nos magistrats de gogôche à la bonne conscience. Rappelons-nous à titre d’exemple qu’aucune des racailles ayant dévalisées le RER D de Grigny n’a écopé de peine de prison ferme.
Comme si la question lombardo-bavaroise n’était pas suffisamment compliquée, depuis l’entrée dans l’UE de pays de l’Est, la France a tiré le gros lot avec la venue de Roms. Le lecteur suivra notre regard.
Au final, la police française est débordée. La politique migratoire suivie depuis 40 ans a fait littéralement exploser la délinquance. Les conditions de vie des Français ont été découpées à la hache par la pression quotidienne qui en résulte.
Au lieu de faire venir des policiers chinois, le gouvernement, s’il était vraiment soucieux du sort du peuple français, aurait dû revoir sa copie en matière migratoire.
Pour cela, ne rêvons pas, tant que la situation ne nous aura pas conduits à la catastrophe finale (émeutes de 2005 à la puissance 10 ?), il ne faut s’attendre à aucun changement de la part de notre classe politique.
Qui a ruiné l’image de la France à l’étranger ?
Même le plus bobo des bobos sait que nos hordes de racailles sont composés de Lombards et des Bavarois hostiles.
En matière d’immigration, le double effet Kisscool est la destruction de l’image de la France.
Par leurs exactions, les délinquants d’origines lombardes et bavaroises ont ruiné l’image que les touristes se faisaient de notre beau pays.
Le tourisme étant l’une des principales branches de notre économie, si le phénomène est amené à continuer, puis à s’accentuer, la facture se chiffrera bientôt en point de PIB.
A moins, bien sûr, que toutes les nations du monde ne se décident à envoyer leur police en France pour pallier au ridicule des forces de l’ordre françaises. Situation kafkaïenne que les représentants de l’Antifrance sont parfaitement capables de mettre en place.
Adrien Abauzit
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