04 octobre 2014

Ebolagate - Comment répandre efficacement une maladie sur toute la planète...

 
Mise à jour 1 : quatre membres d'une famille de Dallas qui ont été en contact avec le patient zéro sont confinés chez eux sous surveillance armée pendant 21 jours.

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D'abord un petit récapitulatif de "l'Ebolagate" ou comment répandre la peur (ce que font très bien certains médias américains actuellement).

Après l'annonce que finalement l'Ebola serait transmissible par voie aérienne et qu'il pourrait y avoir des millions de cas en janvier 2015.

Je reprends les gros titres du site The Extinction Protocol qui suffiront pour suivre les événements depuis l'annonce du "patient zéro", comme on l'appelle, aux US.

30 septembre : impensable réalité, le 1er cas d'Ebola diagnostiqué aux US à Dallas au Texas (c'est faux, il y a eu le cas du Dr Kent Brantly fin août, il aurait guéri, on n'entend plus parler de lui). Le Centre de Contrôle des Maladies (CDC) promet d'empêcher une épidémie à Dallas. Ce patient est revenu du Liberia le 20 septembre. (voir photo ci-dessous)
1er octobre : Le patient zéro de Dallas aurait été renvoyé chez lui avec des antibiotiques, une erreur de diagnostic qui aurait exposé un nombre innombrable de gens au virus (
La promesse du CDC tombe à l'eau : 'Il n'est pas impossible que d'autres personnes aux US aient pu contracter l'Ebola' dit un officiel du CDC. Le patient zéro se trouvait aux US 10 jours avant d'être diagnostiqué.
Un spécialiste des maladies infectieuses : "plusieurs personnes ont été exposées, d'autres le seront à cause du cas de Dallas"
Une deuxième personne sous surveillance qui a eu un contact avec le patient zéro (son nom est révélé, Thomas Eric Duncan)
2 octobre :Fiasco sanitaire : le patient avec l'Ebola vomissait dans l'ambulance, cinq enfants de 4 écoles différentes ont été exposés ; il a pris au moins 3 vols différents pour rentrer du Liberia
3 octobre : 100 contacts potentiels reliés au patient de Dallas


Le "patient zéro", Thomas Eric Duncan, qui ne semble pas vraiment malade (photo Daily Mail)

Par ailleurs, l'OMS aurait déclaré qu'il n'y a pas eu de nouveaux cas en Afrique de l'ouest depuis plusieurs semaines. La scène se déplace aux US.

Enfin, pour confirmer l'orchestration du scénario catastrophisme, un article vient d'être publié sur Global Research disant que le déclenchement du scénario américain se ferait en octobre.

Traduction :

L'Ebola aux US : "Les équipes d'intervention aux catastrophes avaient été avisées il y a des mois qu'elles entreraient en activité en octobre"

Un tweet public venant d'un gros fournisseur du gouvernement de produits de réponse d'urgence spécialisé en "événements à haut risque" dit que les équipes d'intervention aux catastrophes [DART =: disaster assistance response teams] avaient été prévenues de se préparer à agir au mois d'octobre. Cette révélation choquante, faite sur la page Twitter sous le pseudo de Goldenstate Fire/EMS [EMS = Emergency Medical Service : Service médical d'urgence], suggère que d'une part quelqu'un savait que le virus Ebola atteindrait l'Amérique, mais qu'ils savaient exactement quand cela se produirait.

"Ce qu'on entend aujourd'hui n'est que le sommet de l'iceberg en ce début d'octobre", a noté un membre de la société sur Twitter. "Le virus Ebola va encombrer et paralyser les services médicaux d'urgence et les hôpitaux".
Quand Future Money Trends, un abonné de la page Twitter, a demandé ce qu'il voulait dire par cette déclaration, Goldenstate Fire/EMS a répondu avec une révélation choquante.

"Les équipes du DART ont été avisées il y a des mois qu'elles entreraient en activité en octobre. Le timing semble bizarre. Source : un membre actuel du DART".
On soupçonne que ce cas d'Ebola à Dallas n'est pas de l'Ebola. On a dit aux équipes du DART qu'elles seraient activées en octobre.
— GoldenStateFIRE/EMS (@GoldenStateEMS) September 30, 2014
L'échange Twitter complet est disponible ici et une capture d'écran a été archivée.


Avec la confirmation aujourd'hui du virus Ebola sur le sol américain, les spéculations vont bon train sur la manière dont il est arrivé ici et sur le nombre possible de personnes l'ayant contracté. Le mode de pensée traditionnel ici est que le virus a fait son chemin vers les US simplement avec un individu infecté venant en contact avec un autre et ainsi de suite. Mais un chœur grandissant de chercheurs contradicteurs suggère une autre possibilité – le virus Ebola a pu devenir une arme de guerre aux mains du gouvernement ou par une cellule terroriste solitaire et il aurait été déployé comme arme biologique.

Cela peut paraître abracadabrant, mais en août, SHTFplan.com a posté une vidéo sur les remarques d'un officiel du département d'état à des journalistes sur le développement en Afrique. Dans sa déclaration, une des journalistes a parlé spécifiquement de la crise croissante comme d'une "attaque Ebola", suggérant non seulement que le virus était une arme de guerre, mais que le gouvernement US savait que ce n'était pas un événement survenant de manière naturelle.

Bien qu'une telle militarisation soit difficile à réaliser, selon le Dr Joe Alton, elle reste une possibilité certaine.

Comme l'a noté Kurt Nimmo, qui cite un rapport du Journal Global Policy de 2013, si quelqu'un avait les ressources pour le faire se produire, ce serait probablement possible :

Bien qu'une militarisation de l'Ebola soit complexe et improbable, des experts de ce domaine disent que la transmission du virus par l'air s'est produite entre animaux. Ils pensent "grâce à des connaissances avancées à la manière de manipuler des virus, que les caractéristiques qui rendent difficile de militariser ces agents de la fièvre hémorragique pourraient devenir un obstacle de plus en plus contournable".
De plus, un "système génétique perturbé procure un moyen pour produire des virus mutés hautement virulents à but de guerre biologique ou de terrorisme biologique", pensent les scientifiques, selon la recherche de Teckman. Dave Hodges du site The Common Sense Show note que l'armée américaine est intimement impliquée dans la recherche sur l'Ebola, ajoutant plus loin de quoi alimenter les soupçons par le fait que l'armée a servi à développer de nouveaux systèmes d'armes biologiques :

Le fait est que l'Institut de Recherche Médicale de l'armée américaine pour les maladies infectieuses soit impliquée suggère que le virus Ebola, ou que le vaccin, ou les deux, sont devenus des armes de guerre.
Arme de guerre mis à part, il existe une troisième possibilité et c'est que le virus s'est répandu par effet naturel de contagion, mais que son entrée aux US a été facilité par les politiques laxistes des frontières et par pratiquement l'absence de procédures de dépistage dans les aéroports, quelque chose qui a terrifié les officiels de l'immigration et des douanes. Au cours de ces dernières années, le gouvernement américain a préparé activement le scénario d'une crise de grande ampleur. Que cette crise soit l'Ebola ou quelque chose d'autre reste à voir. Mais ce que nous savons est qu'ils ont stocké non seulement des armes et des munitions mais des dizaines de milliers de tenues spéciales pour matières dangereuses, des housses mortuaires et ce qu'on croit être des millions de cercueils jetables pour la FEMA.

En outre, le président a demandé ces dernières années des amendements concernant plusieurs ordres exécutifs autorisant, entre autres, des quarantaines et regroupements forcés dans l'éventualité d'une urgence pandémique et une appropriation des ressources privées comme de quoi manger, de l'eau et une répartition de tâches.

Qu'un fournisseur majeur d'équipement d'urgence du gouvernement en soit venu ouvertement à prétendre que sa source avait anticipé une mobilisation d'intervention d'urgence aux catastrophes devant survenir aux US en octobre de cette année, est un développement stupéfiant si on prend en compte ce qui a transpiré ces dernières 72 heures.

Sources: Goldenstate Fire/EMS, Future Money Trends, Infowars, Steve Quayle, The Daily Sheeple, Hagmann and Hagmann, The Common Sense Show, Survival Medicine

par Hélios


Commentaire

Le cas du Dr Kent Brantly est différent. Il a été rapatrié aux US pour y être traité. Sa maladie ne s'est pas déclarée là bas, donc le patient zéro c'est bien celui-ci.

Dans la mesure ou il a dit qu'il venait du Liberia, c'est bien plus qu'une erreur de diagnostic, c'est une faute, une négligence énorme qui peut avoir de lourdes conséquences. Eux qui disaient qu'ils ont tout sous contrôle, c'est faux. N'importe qui peut rentrer aux US infecté et n'avoir les symptômes qu'une ou deux semaines après, donc ils rien du tout n'est sous contrôle. C'est au petit bonheur la chance et visiblement, ils ne sont pas très au point encore.

Il ne s'agit pas d'alarmer inutilement les gens. Il y a aujourd'hui de sérieuses raisons de s'inquiéter je trouve :

D'après un document déclassifié de l'armée américaine, le nano-argent peut neutraliser le virus Ebola

http://fawkes-news.blogspot.fr/2014/10/dapres-un-document-declassifie-de.html

Dans l'article, le Dr confirme qu'Ebola peut déjà s'attraper par des gouttelettes en suspension dans l'air.

Dieu sait que je pensais au début que tour ça n'était que du fear mongerging pour mieux vendre leurs vaccins. Cette fois je pense qu'ils veulent vraiment faire le grand ménage. La meilleure stratégie à adopter pour le moment à mon avis c'est d'être ni trop confiant ni trop fataliste, attendons de voir comment ça goupille dans les prochaines semaines...

Pour le gouvernement américain, cette épidémie, c'est du pain béni.

ça leur permet :

- De mieux contrôler les gens.
- Avancer dans leur agenda d'état policer.
- Tuer massivement s'ils le veulent mais de manière sélective vu qu'ils ont le remède.
- Tout en se faisant de l'argent via la vaccination.

ça m'étonnerais qu'ils ratent l'occasion cette fois encore.


Source 
 
Paul : Si l'on voulait répandre Ebola en occident, ou le faire croire, on ne s'y prendrait pas autrement.
Le bon sens voudrait qu'un hôpital soit installé ou réquisitionné en Afrique ou sur une île proche, afin d'y soigner les occidentaux suspectés d'avoir la maladie. Toutes les armées occidentales possèdent des hôpitaux mobiles équipés à cet effet...
Il y a donc volonté d'instaurer un état de peur chez les citoyens.
 
Objectif(s) :

1) Vendre des vaccins ? 
2) Promulguer des lois liberticides qui ne seraient pas acceptées autrement ? 
3) Détourner l'attention des populations de l'écroulement économique en cours, ou d'un évènement proche ?
4)  Provoquer le chaos ?
 
Il faut noter que l'activation des virus et le développement des épidémies sont liés à des conditions climatiques, les saisons, à l’hygiène de vie, à l'affaiblissement des défenses immunitaires, aux passages cométaires, aux rayonnements...
 
Comme pour le H1N1, il ne s'agit pas que cette "épidémie" soit effective, il suffit juste que les médias l'affirment...
 

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