16 décembre 2013

Temples de lumière

Avec des blocs de pierre énormes, les Atlantes ont construit des temples de lumière. Ces vestiges d'une trop lointaine surhumanité ont été longtemps confondus avec des ruines antiques. Il est temps de changer de lunettes.

Avant l'antiquité déjà lointaine dans nos souvenirs scolaires, avant les Grecs et les Romains, avant l'Egypte, avant la Chine, avant Sumer, il y eut une longue, très longue prériode de barbarie. L'âge de bronze. Entre les colonnes vivantes, l'initié attendait la foudre, la terreur du tonnerre, et les boules de feu blanc qui roulent. Homme il est entré, Dieu il en sortira. A contempler ces murs cyclopéens, les blocs de pierre dure aux arêtes multiples évoquent les pièces d'un maxi-puzzle en 3D. A moins qu'ils ne soient les rouages d'une machine?



 
Rappelons que les blocs géants sont assemblés au millimètre, sans mortier, parfaitement ajustés. Et qu'ils s'emboîtent selon des formes biscornues comptant jusqu'à quinze arêtes, prouesse architecturale que nous serions bien en peine de réaliser aujourd'hui. Se donne-t-on tant de mal sans raison ? Ces pierres avaient besoin d'un tel poids et d'un tel ajustage pour résister non seulement aux séismes de façon passive, mais aux multiples impacts de la foudre et de façon active…



Il y a une vingtaine d'années, Castaneda a présenté des passes magiques de sorciers, qu'il appela tenségrité. Le mot vient de l'architecture, mélange de tension et d'intégrité. C'est "la propriété des structures squelettiques mettant en jeu des éléments continus en tension et des éléments discontinus en compression de telle façon que chaque élément fonctionne avec le maximum d'efficacité et d'économie". En architecture, c'est l'art et la manière de faire tenir des structures légères avec un minimum d'effort.

 
L'architecture moderne semble le découvrir, mais ce principe est bien connu des nomades, partisans des constructions légères, facilement démontables, qui tiennent en tension. Gustave Eiffel l'a utilisé aussi, sans en faire un fromage, pour construire sa tour. Pour Castaneda, la tenségrité désigne un type de yoga magique, qui sert à "déplacer le point d'assemblage", c'est à dire, pour faire simple, à entrer dans des mondes parallèlles. Euréka !! C'est ici que la lumière a surgi dans mon esprit.


Les structures mégalithiques sont bien des machines, les murs cyclopéens sont une application de la tenségrité aux structures lourdes. La tension des câbles ou la torsion des tiges minces est remplacée par l'imposante pression des blocs cyclopéens. Teotihuacan, Cuzco, Tiahuanaco et les autres sont autant d'exemples réussis de cette merveilleuse tenségrité lourde qui n'est pas sans rapport avec la gravitologie, science atlante aux applications multiples. Ces villes paratonnerres furent des centrales d'énergie fulgurale.



 
Puis elles sont devenues les laboratoires-refuges où furent mises au point les techniques qui devaient permettre aux hommes de redémarrer une civilisation après le déluge. Souvenons-nous que la galipette du déluge avait fait perdre aux Atlantes leur principale source d'énergie : la géo-électricité. La priorité était donc de trouver une énergie de remplacement. Ils choisirent le feu du ciel, qu'ils utilisaient depuis longtemps à des fins d'éveil spirituel. Car les Atlantes étaient les maîtres de la foudre.


 
Ni les dolmens, ni les pyramides ne sont des tombeaux. Ce sont des machines. Les rouages d'usines. Des centrales électriques et des temples initiatiques. A Teotihuacan, au Mexique, les anciens dieux avaient bâti des monuments impressionnants. "Selon les nombreuses légendes locales transmises de génération en génération, ces monuments ont été construits par des géants et leur fonction était de transformer les hommes en dieux." (source)

Transformer les hommes en dieux ? Comment s'y prenaient-ils ? Ils n'y allaient pas par quatre chemins. Nous avons vu comment Gilgamesh avait équipé le temple d'Uruk d'un paratonnerre, afin de capter la foudre, bénédiction du ciel qui fait de nous des dieux. Salomon avait fait de même à Jérusalem, et Héliogabale à Rome. Mais ces paratonnerres n'ont rien à voir avec les nôtres. Si on les appelle des paratonnerres, ce n'est pas par analogie avec les nôtres, qui détournent la foudre des tours ou des clochers pour la remettre à la terre. Le paratonnerre de Gilgamesh fait exactement le contraire.



Il s'appellerait mieux un capteur de foudre, car c'est là sa fonction. Une batterie électrique -ou tout autre dispositif- maintient sa polarité pour qu'il attire la foudre en permanence. A Téotihuacan, la base des pyramides est isolée par du mica. Alors, sans arrêt certains jours, le tonnerre antique roulait et les éclairs tombaient sur le capteur, faisant vibrer le temple jusqu'à ses fondations, illuminant la pyramide sommitale où des boules de feu blanc ruissellaient jusqu'au Saint des Saints. C'est ce Saint des Saints que reproduit, à moindre échelle, et d'une toute autre façon, l'arche d'alliance de Moïse.


Le Saint des Saints est le point le plus sacré du temple ; il existe en Asie, en Amérique, en Egypte, et dans tout le Moyen-Orient. Il existe en Europe antique avec les temples grecs et latins, et en Europe médiévale avec le gothique et le roman. Mais d'abord et avant tout, on le retrouve dans des ensembles mégalithiques comme celui d'Avebury, avec l'allée couverte de West Kennet. Nous l'avons baptisée la loge d'éveil. Dans le Saint des Saints, ou tout près de lui, sont installées des loges d'éveil, sous une forme ou l'autre, dans tous les temples antiques à travers le monde.



 
Dans la Grande Pyramide attribuée à Khéops, le saint des Saints est la Chambre du Roi, bien mal nommée : son vrai nom est Chambre d'Isis. C'est là que s'accomplissait l'étape finale de l'initiation aux mystères d'Isis, l'effusion de la foudre. Dans cette chambre d'Isis, la loge d'éveil est le pseudo-sarcophage où s'allongeait l'impétrant. Il y a des initiations plus confortables, mais peu qui soient aussi efficaces. Quand on y survit… La grande pyramide aurait été bâtie à cette fin : transformer l'homme en dieu.

Les initiés y recevaient un traitement d'électrothérapie fulgurale. La chambre d'Isis, alias chambre du Roi, avec son tombeau vide et les prétendus "arcs de décharge" qui le surplombent sont la plus parfaite réalisation de piège à foudre sur cette planète. L'appareillage des arcs de décharge avait une fonction électro-initiatique surpuissante. Il éclatait l'éclair en dizaines de boules de foudre que l'impétrant recevait, allongé nu dans le tombeau. Il pouvait acquérir de nombreux pouvoirs psys, ces fameux pouvoirs perdus qui font des hommes les égaux des dieux.



M. Baygent prétend, à la suite d'Edgar Cayce, que Jésus lui-même aurait reçu cette initiation ici, en Egypte. La foudre est acheminée par des tiges métalliques jusqu'aux arcs de décharge, qui l'éclatent en boules. Dans son tombeau, le futur éveillé attend la survenue des boules de foudre. Bientôt le ballet de lumière va illuminer la chambre d'Isis. S'il en réchappe, l'initié sera investi d'une puissance quasi-divine. Il recevra les pleins pouvoirs. C'est ce qui est arrivé à Jésus. Marie l'a mis au monde, mais sa vraie mère est Isis, qui lui donna la lumière.



Par la suite, d'autres techniques d'éveil ont été développées, moins dangereuses, en tout cas plus simples à mettre en oeuvre. Ainsi l'Arche d'Alliance que Yahveh donna à Moïse aurait été un condensateur électrique capable de générer des éclairs létaux mais aussi des lueurs d'éveil. Les armes des dieux d'avant, tels le vajra d'Agni, l'uraeus des pharaons ou le foudre de Zeus, avaient la même double fonction : éveiller ou endormir à jamais.

Et puis, d'autres bâtisseurs géniaux ont capté non plus la foudre, mais le vril, cette énergie électromagnétique et plus encore, qui est tout autour de nous. Leurs temples ont fonctionné comme des cages de Faraday, capables de protéger les fidèles de toute radiation nocive, et d'amplifier l'énergie bénéfique du lieu. Ce savoir architectural particulier remonte à l'Atlantide, il a été mis en oeuvre dans les dolmens et allées couvertes d'Europe. Par un saut singulier à travers le temps, la construction sacrée va réapparaître au 10e siècle EC avec les bâtisseurs de cathédrales et de cryptes, véritables machines d'éveil.



 
L'homme a ce choix :
laisser entrer la lumière
ou garder les volets fermés.

Henry Miller


Source

12 commentaires:

  1. Excusez-moi, mais je pense qu'il y a pas mal de choses fausses et d'imagination un peu débridée dans cet article..
    je vous conseille ce livre qui fut un best seller au Brésil, qui complètera les dernières pièces du puzzle , lisez le comme un roman et vous verrez vous-mêmes si cela vous parle...[style..la pyramide fut au départ entièrement recouverte de marbre sur lequel, effectivement , avait été gravé une prophétie pour notre époque actuelle..et surtout comment la pyramide a réellement été construite..et l' explication des couloirs intérieurs, représentant en fait un couloir temporel prophétique indiquant à l' humanité les dates clefs de son histoire...fascinant,cela défiera tout ce que vous avez pu imaginer...le livre date de 1995..tout de même 15 ans déjà

    voici un commentaire d'un lecteur que j' ai trouvé.

    http://www.amazon.fr/product-reviews/8572790322/ref=dp_top_cm_cr_acr_txt/280-3006587-5236411?ie=UTF8&showViewpoints=1

    et un lien ou vous pouvez vous le procurer...

    http://etudeloisnature.fr/detail_livre.php?id_livre=6

    et voici un dernier lien si vous vouliez aller beaucoup beaucoup plus loin après...

    [Roselis VonSass-l' auteur du livre ayant déclaré qu'elle n' aurait jamais pu avoir écrit ce livre sans avoir lu auparavant ceci...

    http://www.fr.abdrushin.name/

    voilà , j' espère que vous pourrez en tirer autant de profit que j' ai pu le faire moi-même.
    Bonnes découvertes.
    Cordialement

    PS je l'ai en fichier informatique..
    celui qui le veut peut me le demander gracieusement, je l'envoie avec plaisir.

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    1. Oui, j'ai été voir. Je n'apprécie pas. On se croirait dans un manuel militaire.

      Bien trop carré !!!!

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    2. Oui merci de ta proposition pour l'envoi en fichier informatique...
      steph-annick@orange.fr

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    3. Bonsoir,
      J'aimerai bien le recevoir aussi en fichier informatique. Merci d'avance : bobi0471@aol.com
      Bonne continuation.

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    4. Merci NOISYBATS pour m'envoyer le fichier: bourdonpierre52@gmail.com

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    5. voilà qui est fait pour vous deux
      cordialement

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    6. Oui, je veux bien recevoir cet ouvrage en fichier informatique. Mille merci!
      hhannan@hotmail.fr

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  2. Ce ne sont pas des pierre au sens strict. Elles sont constituées d'un béton spécial dont nous avons perdu le secret. Faire des coffrages et ensuite tailler les irrégularités est une technologie simple et relativement bon marché, bien plus accessibles que de tailler et déplacer des blocs gigantesques. Regardez bien les photos. La granulométrie est homogène. C'est encore plus visible in situ.

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    1. citation Anonyme 16 décembre 2013 14:54
      "Faire des coffrages et ensuite tailler les irrégularités est une technologie simple "

      Notre Anonyme sait-il seulement comment et avec quoi on confectionne un coffrage ?
      S'il le savait il reconnaîtrait que la technique du coffrage de BOIS pour les sites tels
      que le Machu Pichu
      ne tient pas debout puisqu'il n'y a AUCUNE MARQUE de VEINAGE du BOIS
      sur les blocs !
      Par conséquent ces monuments titanesques n'ont pu être construit
      qu'avec une technologie antigravitationnelle ,
      donc non humaine ...ce qui est le cas de la plupart des sites antiques .

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    2. L'antigravité est une technologie humaine très ancienne, liée au son.

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    3. Pour moi , non .
      Ces sons ,
      les fameux ME ne sont pas d'origine humaine
      et n'ont jamais été utilisés par les humains.

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    4. Vibration ne serait-il pas un mot plus approprié ?

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