Et la France ?

La ligne des climats infernaux se situe à 4,9 millions de yards du centre des anciens navigateurs d’Ellesmere, beaucoup plus haut que le tropique. Paris en est à la limite et l’eau deviendra progressivement inaccessible en deçà. Il y a à croire que la puissance du cycle n’a pas grande importance, puisque la mesure était précisée des anciens. Je n’en sais qu’au-delà, existait une terre incapable de supporter la vie par sa sécheresse, ce qui est corroboré par les différents monuments anciens. Des périodes ou il ne reste plus que des villages en hautes montagnes, ou au bord de la mer. Cette sécheresse/chaleur était si intense, qu’elle interdisait durant de grandes périodes la communication entre les deux hémisphères. Quant à la vitesse des évènements, tel que je le décris dans la chaîne d’évènements du Quinquennal, le changement est débuté, il n’y a qu’à constater les problèmes d’alimentation en eau du Moyen Orient et les efforts qu’ils ont mis pour nous protéger des rayonnements néfastes, les chemtrails. Le niveau des mers s’abaissera, libérant les hauts-fonds submergés sur le pourtour des mers qui deviendront des terres fertiles, sur lesquels s’installeront de nouvelles cités. Il y aura des reprises et la baisse des eaux devrait se poursuivre durant un moment, si nous sommes effectivement à l’aube d’un âgé d’or millénaire. Si cela était, la baisse du niveau des eaux devrait atteindre le plancher océanique. Dans tous les cas, ça se termine par un brutal retour des eaux inondant tout.
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Concernant la très ancienne histoire de la terre, il n’y a aucune histoire qui relate ce que les dormeurs géants montrent. Je ne peux que constater qu’il y en a partout au fond de toutes les mers et à toutes profondeurs. J’en distingue même sur le long de la fosse de Porto-Rico à plus de 6000 mètres de profondeur. Les détails ne sont pas très visibles sous la mer et je n’arrive pas à déterminer l’ancienneté des plus profonds, mais des générations différentes apparaissent dans les hauts-fonds et cela implique qu’il y a eu des reprises assez récentes. Les Açores, le Cap-Vert, les Bermudes sont sur des hauts-fonds qui, autrefois immergés faisaient partie de la nation appelée les Hespérides. L’Île-chef des Hespérides se situait dans l’Atlantique Nord, sur les hauts fonds entourés par le bassin Edora, à 600 kilomètres de la côte irlandaise. Au contraire de ce que le nom présume, le bassin n’est pas un bassin, mais un haut fond et si le nom « Edora » ne vous dit rien, je vous rappelle qu’il était un territoire de la Terre du Milieu du Seigneur des Anneaux. Incidemment, les noms des territoires de la terre du Milieu y apparaissent tous et ont prétendument été donnés en témoignage. Ce qu’ils ne disent pas, c’est que la géographie apportée par Tolkien y correspond avec une assez bonne précision. La seule nation qu’ils n’ont pas identifiée était le Mordor, dont la géographie particulière est visible au 55°25'53.50"N - 19°59'31.72"O.

L’ensemble des deux grandes terres submergées constitue un territoire qui fut appelé une Gorgone, ou méduse, aussi dite la dernière génération préolympienne avant les Grecs. C’est Persée qui trancha la tête de la méduse. Persée dont la constellation et le territoire se situent sur le golfe Saint-Laurent. La première année des Olympiades s’étant produites en 776 av. J.-C., la nation perse entreprend sa vie autour de 500 av. J.-C. sous Darius, les poteries grecques nous instruisent sur cette histoire à partir de 300 av. J.-C.. Puisque la guerre à l’origine des récits de Tolkien était intraterritoriale, elle se passait à une époque antérieure à 776 av. J.-C. . Comme la fin de la Gorgone fut sans doute la lancée de la nation perse, il faut en déduire que le niveau de la mer en 500 av. J.-C. était d’environ 1200 mètres de moins qu’il ne l’est en ce moment, libérant de grandes terres dans l’Atlantique.

Suivant le grand déluge qui a détruit la cité d’Or et malgré les cycles, l’eau a toujours continué à monter. Les Hespérides étaient à l’origine un continent dans l’Atlantique, celui-ci, dont la forme correspond plus ou moins au niveau -4000 mètres, dont il n’est resté que les Hespérides jusqu’à ce que la Perse puisse la gagner.

PDC