09 juin 2013

« Jouir sans entrave »


Alors que la palme d’or de Cannes a été décernée, à la grande satisfaction générale, à un film qui montre les rapports sexuels lesbiens d’une jeune fille mineure, le Nouvel Obs a publié un article hallucinant où est racontée de manière romanesque une sombre histoire de pédophilie entre une professeure et son élève.
Les fillettes lesbiennes qui excitent les médias, c’est maintenant !

Aux États-Unis, le film « La Vie d’Adèle », qui montre de manière crue des rapports sexuels lesbiens entre deux adolescentes, sera vraisemblablement interdit aux moins de 1 7 ans et considéré comme un film érotique. En France on en fait un chef-d’œuvre du septième art. « La Vie d’Adèle » primé à Cannes (où DSK, Pierre Bergé, Frédéric Mitterrand et Roman Polansky sont reçus en grande pompe) : tout un symbole du délitement morale de notre société, où les repères sont détruits les uns après les autres.

Ainsi, un article scandaleux du Nouvel Observateur (et toujours en ligne !), rédigé par les soins du journaliste François Caviglioli, nous raconte avec une complaisance non assumée (voir la fin de l’article), comment une enseignante de 30 ans a eu des rapports sexuelles avec une fillette de 13 ans. Sans doute parce qu’il s’agit de rapports lesbiens, le journaliste a eu l’air de trouver l’affaire excitante.

Pour mieux comprendre ce scandale et pour réaliser l’état psychologique et idéologique des journalistes qui ont assuré le service après vente de la loi sur le mariage pour tous pendant 6 mois, rien ne saurait remplacer les mots mêmes de l’article.

Pour commencer, le titre qui a réellement été choisi par le Nouvel Observateur pour raconter ce fait divers sordide. « Yasmine, 12 ans, et sa prof, 30 ans : récit d’une passion interdite » (SIC). On vous laisse déguster la suite :

« Au début, c’est une danse pédagogique. Elle s’adresse à l’ensemble de ses classes. Mais bientôt, Mme Amadéo ne va plus danser que pour l’élève qu’elle a élue entre toutes. C’est une danse nuptiale. Elle est destinée à la jeune Yasmine qui ne le sait pas encore : elle a 12 ans. Mais elle regarde de tous ses yeux cette chorégraphie qui se fait de jour en jour plus sensuelle.

[...]

Mme Amadéo envoie à Yasmine un premier texto où elle l’assure de son amitié. La jeune élève est d’abord stupéfaite. Elle n’a pas l’habitude de telles attentions. [...] Les SMS de Mme Amadéo lui apportent ce qu’elle n’a jamais connu, une confiance en elle, et la métamorphosent peu à peu. Bientôt ils passent de l’amitié à l’affection. L’enseignante exaltée redécouvre les méandres et la géographie de la carte de Tendre. Après l’affection, l’estime, l’inclination pour finir au bout de deux ans par les appels du désir et tous les désordres de la passion.

[...]

Yasmine se laisse aimer et désirer. Elle apprend l’algèbre des sentiments, les exigences et les égarements du corps. Ce qui devait arriver arrive : un saphisme sans violence, mais aussi un amour condamné, une relation que les deux amantes savent maudite. Elles se retrouvent au domicile de l’enseignante, mais leur ardeur et leur impatience sensuelle sont telles qu’elles ne craignent pas de se livrer à l’intérieur du collège à des étreintes furtives pimentées par le risque d’être surprises. »

Évidemment, à la suite de son article répugnant et des commentaires indignés, le journaliste a dû écrire une note aux lecteurs, pour se justifier et nous jurer qu’il n’a fait que décrire l’affaire sans poésie aucune et qu’il ne fait pas l’apologie de la pédophilie. Encore une fois, les mots se passent de commentaires :

« NOTE AUX LECTEURS

Chercher à éclairer ce qui s’est passé entre cette collégienne et cette enseignante, tenter d’expliquer la nature d’une relation, même si la loi la réprime, n’est pas faire l’éloge de la pédophilie. Ceux qui savent encore lire ne me font pas ce reproche. Dans ce quartier de Lille-Sud dont les habitants se plaignent d’être abandonnés, et dans un collège où il est difficile d’accorder à chaque enfant l’attention qu’il mérite, une jeune élève s’est sentie pour la première fois exister sous le regard d’une enseignante qui ne ressemblait pas aux autres. La suite est l’affaire de la justice, mais je ne suis ni législateur, ni magistrat. »

On attend avec impatience que monsieur Caviglioli nous raconte les « passions interdites » d’Émile Louis, de Marc Dutroux ou de Michel Fourniret…

Que ceux qui pensent encore que l’idéologie libérale libertaire du « jouir sans entrave » progressiste de mai 68 (avec sa conséquence du moment, le mariage et l’adoption pour les homosexuels), ne conduit pas à la légitimation de la pédophilie, retournent voir les pétitions pro-pédophilie publiées, entre autres, dans le Nouvel Obs dans les années 80 et signées par les mêmes artistes engagés de gauche qui nous vendent aujourd’hui le mariage pour tous (articles sur le sujet à consulter , ou ) !

Source 

Voir aussi : 

Piere Bergé veut donner des préservatifs aux enfants

11 commentaires:

  1. Mon Paulo ! ( c'est affectif, non réducteur )

    La décadence est bien en cours et s'accélère, c'est à la fois rapide dans la destruction de valeurs morales dans le temps mais assez lent à travers les modes. C'est l’accélération exponentielle.

    Inimaginable en 60 ce qui arrivait en 68, inimaginable en 68 ce qui arrivait en 73, inimaginable en 73 ce qui arrivait en 81, inimaginable en 81 ce qui arrivait en 85

    Chaque jour apporte une révélation que le diable prépare sa venue.

    Au delà de ce qui arrive et est prévu, il est important de faire face avec calme, restant sur l’essentiel, ne pas céder à la folie et faire le bien autour de soi autant que possible ( donc pas comme des blaireaux aveugles en apportant des fleurs face à des fusils ... )

    Chaque pierre posée dans leur monde de dégénérés prouve que le "tout" va mal, et comme tout mal, ça a une limite et ne dure pas.

    Il est IMPORTANT et VITAL de ne pas céder au moutonisme et garder fièrement ses propres convictions, pour les moutons c'est l'esclavage et la mort de l'Âme.

    A l'heure du choix ...

    Asca.

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    1. On sent une sacrée accélération de leur Plan. Nous vivons des moments mémorables, une décadence parfaitement planifiée, où tout doit disparaitre. Quand je dis tout, cela inclus les humains, élevés en batterie afin d'être les esclaves serviles d'une minorité oligarchique. Des lignées qui survivent d'apocalypse en apocalypse, une poignée de dégénérés à éradiquer.
      C'est sur les grands changements climatiques, que leur plan est cadencé. la basse coure ne doit jamais prendre conscience de la réalité de ce qui va lui arriver. Les guerres, dissensions civiles, sont créées de toute pièce pour occuper le mouton, décérébré par les heures interminables passé devant la TV.
      Dans quelques années la planète sera méconnaissable et les humains ne possédant pas l'étincelle de vie au fond d'eux n'y survivront pas. Une sélection naturelle.
      Ceux qui survivrons, afin de porter la vie d'après, sont déjà prêts, ou sur le point, ils savent, c'est inscrit en eux. Parabole du bon grain et de l'ivraie...

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  2. Ceux qui survivrons seront des mad max, si la troisième guerre mondiale n’éclate pas avant, soyons réalistes si tu veux survivre il faut savoir chasser, pêcher, jardiner, faire du feu, s’abriter, qui sait faire ça de nos jours? de plus seul tu ne survivras pas il faut des groupes....

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    1. Les groupes se formeront le moment venu, par nécessité, mais aussi par affinités.
      Les Mad Max seront les horde jetés sur les routes, et ce qui restera de la police et de l'armée. Ceux qui survivront ne feront pas partie de ces hommes là !
      Se défendre, oui, mais avec intelligence, intuition, la force d'un groupe soudé, mais pas à n'importe quel prix. Les parasites seront éliminés, voir s'élimineront eux-même...
      Il seront contraints de manger de l'humain, l'étincelle de vie les abandonnera.

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    2. Arrête de délirer mec..

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    3. Sortie prochaine
      http://www.lexpress.fr/culture/cinema/le-tournage-de-mad-max-4-accuse-de-destructions-dans-le-desert-de-namibie_1226989.html

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  3. Merci Paul, même ligne.
    Et du courage :
    http://echelledejacob.blogspot.fr/2013/04/le-courage.html

    Edouard

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  4. Faire l'amalgame entre la liberté sexuelle des années 68 et la pédophilie est honteux!Pour avoir été jeune et "hippie" dans ces années là,je peux dire que les enfant étaient sacrés et que la pédophilie n'existait sous aucune forme ,meme pas en pensées!Visiblement quelques mauvais esprits se complaisent à dénigrer cet élan de liberté fort agréable au demeurant:une infidélité conjugale n'était pas sujette au scandale pour vexation égotique...on réfléchissait et assumait ses actes !La Loba

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    1. "je peux dire que les enfant étaient sacrés et que la pédophilie n'existait sous aucune forme" ben voyons.

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  5. Hello La Loba,

    Tu ne peux pas à partir de ton cas particulier et de tes expériences, illustrer tous les mouvements de cette époque.
    Il est indéniable qu'il a existé des mouvances favorisant des comportements que nous réprouvons.
    Voir les articles de Libé et les associations qui ont revendiqués des amours pédophiles.

    Un lien soft, tu trouveras plus hard sur le net :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Apologie_de_la_p%C3%A9dophilie

    Edouard


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  6. Sacré différence entre toi et com ben dite !!! Il y a quelque chose qui cloche non ???

    L'ours

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