14 juin 2012

Le feu Céleste - L'or des dieux


Conférence présentée par Sir Laurence Gardner lors du colloque NEXUS 1998 à Sydney (Australie).
La vrai lignée du Graal a commencé avec les Dieux Anunnaki au sud du Pays de Sumer il y a au moins 6000 ans et elle s'est perpétuée grâce à l'ingestion d'une substance appelée "le feu céleste".


Cela fait maintenant presque quatre ans que mon livre, Bloodline of the Holy Graal (titre français : Le Graal et la Lignée du Christ )-, a été publié, et pour ceux d'entre vous qui ne l'ont pas lu, l'étude porte essentiellement sur la lignée messianique telle qu'elle s'est perpétuée à travers la famille de Jésus-Christ jusqu'à aujourdhui. Elle se charge aussi de comparer les évangiles du Nouveau Testament avec les premiers comptes-rendus historiques de l'époque, tels qu'ils sont faits à la fois dans les archives romaines et juives. A cet égard, elle donne des détails sur la façon dont la Haute Eglise Chrétienne, venue par la suite, a altéré et manipulé les premiers documents pour les adapter à son propre programme politique.
Malgré la doctrine imposée selon laquelle Jésus serait né d'une vierge et serait "le seul" et unique fils de Dieu (définitions qui ne figuraient pas dans les textes originaux préromains), les évangiles de Matthieu et de Luc du Nouveau Testament donnent en fait des détails sur le lignage de Jésus depuis David d'Israël et les Rois de Juda. Ceci a conduit à la question que l'on m'a le plus posée au cours de ces derniers mois (sous diverses formes) : qu'y avait-il de si spécial dans cette lignée au départ ?
Etant donné que la succession dynastique à partir de Jésus a eu une nette influence dans les affaires monarchiques et politiques pendant 2000 ans - la famille soutenant toujours la démocratie constitutionnelle contre le contrôle de l'Eglise établie - son statut se base sur le fait que Jésus était un descendant du roi David.
Mais qu'est-ce qui a rendu la lignée de David si importante et si différente de toute autre ? Cette question m'a mis sur la piste de mon prochain livre, Genesis of the Grail Kings (La Génèse des Rois du Graal) (pas encore traduit en Français), qui raconte l'histoire de la lignée messianique depuis le tout début.
La Bible explique que l'histoire de la lignée a commencé avec Adam et Eve, dont le troisième fils, Seth, fut le premier d'une lignée qui se perpétua à travers Mathusalem et Noé, et finalement jusqu'à Abraham qui devint le Grand Patriarche de la nation hébraïque. Elle raconte ensuiste qu'Abraham a déplacé sa famille de Mésopotamie (aujourd'hui l'Irak) vers l'ouest jusqu'à la terre de Canaan (ou Palestine), d'où certains de ses descendants partirent pour l'Egypte. Quelques générations plus tard, ils revinrent à Canaan où, en son temps, leur descendant David de Bethléem devint roi du tout nouveau royaume d'Israël.
Considérée telle qu'elle est présentée dans les écritures, c'est une saga fascinante ; mais rien nulle part n'indique que la lignée ancestrale de David et des ses héritiers était spéciale d'une façon ou d'une autre. En fait, c'est exactement le contraire. On dépeint ses ancêtres comme une succession de chercheurs de territoires errants auxquels on n'a pas donné beaucoup d'importance jusqu'à l'époque du Roi David. Leur histoire biblique n'a rien de comparable avec, par exemple, les pharaons contemporains de l'Egypte ancienne. Leur importance, nous dit-on, vient du fait que (depuis l'époque d'Abraham) on les désignait comme "le peuple élu de Dieu". Mais même ceci nous laisse perplexes, parce que, selon les écritures, leur Dieu ne les a conduit qu'à une succession de famines, de guerres et de difficultés en tous genres - et devant ces épreuves, ces premiers Hébreux ne semblent pas avoir été trop glorieux !
Deux possibilités s'offrent donc à nous. Soit David ne descendait pas du tout d'Abraham et il fut simplement ajouté à la liste par des auteurs plus récents. Soit nous a-t-on présenté une version très altérée de l'origine de cette famille - version dont le but spécifique était de soutenir la foi juive émergente, plutôt que de représenter un fait historique.
En considérant ceci, je me suis souvenu précisément de ce que j'avais trouvé dans le Nouveau Testament. Les textes des Évangiles qui ont été offerts au public depuis des siècles n'ont pas grand-chose à voir avec les premiers comptes rendus de l'époque. Le Nouveau Testament, tel que nous le connaissons, a été composé par les évêques du 4ème siècle afin de soutenir la foi chrétienne récemment établie. Et si les scribes juifs avaient fait exactement la même chose auparavant ?
Évidemment, j'ai dû remonter aux écritures les plus anciennes afin de détecter des anomalies. Le problème est que, même si ceci était possible, les écritures hébraïques les plus anciennes (qui furent remaniées plusieurs siècles plus tard) ne furent elles-mêmes écrites qu'entre le 6ème et le 1er siècle avant Jésus-Christ. Elles n'étaient donc pas censées être si authentiques que cela dans leur récit d'une histoire remontant à des milliers d'années auparavant. A vrai dire, il était clair que ce devait être le cas, parce que quand ces livres ont été écrits pour la première fois, leur objectif était de transmettre une histoire qui soutenait les principes de la foi juive - foi qui n'a pas émergé avant un stade avancé de l'histoire ancestrale.
Etant donné que le premier groupe de ces livres a été écrit pendant que les Juifs étaient retenus prisonniers dans la ville mésopotamienne de Babylone au 6ème siècle avant Jésus-Christ, il semble bien que ce soit à Babylone que les premiers documents aient été détenus. En fait, depuis l'époque d'Adam, à travers quelques 19 générations supposées jusqu'à Abraham, l'histoire patriarcale de l'Ancien Testament était entièrement mésopotamienne.
Plus précisément, l'histoire venait de Sumer dans le sud de la Mésopotamie, où les anciens sumériens qualifiaient en effet les prairies du delta de l'Euphrate de Paradis.
Lorsque je faisais des recherches pour mon livre La Lignée du Saint Graal, j'ai découvert que différents textes et évangiles qui n'avaient pas été inclus dans le Nouveau Testament canonique constituaient de bonnes sources d'information générale. Il se pourrait, ai-je pensé, qu'il en soit de même pour l'Ancien Testament. Les livres d'Hénok et de Jubilé, par exemple, n'y étaient pas inclus.
Le livre de Jasher est un autre livre auquel les textes de Josué et de Samuel prêtent une attention particulière dans l'Ancien Testament. Mais, malgré son apparente importance aux yeux des écrivains hébreux, il n'a pas été inclus dans la version finale. Deux autres œuvres sont aussi citées dans la Bible. Les Nombres attirent notre attention sur le livre des Guerres de Jehovah et le livre du Seigneur.
Que sont ces livres ? Où sont-ils ? Ils sont tous mentionnés dans la Bible (ce qui signifie qu'ils sont tous antérieurs à l'Ancien Testament) et on les cite tous comme étant importants. Alors, pourquoi les éditeurs ont-ils jugé bon de les exclure au moment de la sélection ?
En recherchant une réponse à cette question et en étudiant la substance de l'Ancien Testament avant qu'il n'ait été altéré, un fait est apparu de plus en plus clair : dans les Bibles écrites en Anglais, l'appellation Seigneur est utilisée dans un contexte général, alors que dans les textes plus anciens, une nette distinction est faite entre Jehovah et le Seigneur.
On s'est souvent demandé pourquoi le dieu biblique des Hébreux les a conduit vers des épreuves et des tribulations, des déluges et des désastres, alors que (de temps en temps) il semble avoir agi avec une personnalité tout-à-fait contraire et miséricordieuse. La réponse est que, bien que les églises juive et chrétienne semblent aujourd'hui les englober sous "l'unique Dieu", il existait à l'origine une distinction entre le personnage de Jehovah et celui du Seigneur. C'était, en fait, deux divinités tout à fait différentes. Le dieu désigné sous le nom de Jehovah était par tradition un dieu de la tempête, un dieu de colère et de vengeance, tandis que le dieu désigné sous le nom du Seigneur était un dieu de fertilité et de sagesse.
Alors, quel était le nom donné au Seigneur dans les premières écritures ? C'était, tout simplement, le mot hébreu courant pour Seigneur et ce mot était Adon. En ce qui concerne le vrai nom apparent de Jehovah, il n'était pas employé autrefois, et même la Bible dit que le dieu d'Abraham s'appelait El Shaddai, ce qui signifie haute montagne.
Le nom apparent de Jehovah venait, en fait, du radical hébreu d'origine YHWH qui signifiait "Je suis ce que je suis" - supposé être une déclaration faite par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï, des centaines d'années après l'époque d'Abraham. Jehovah n'était donc pas du tout un nom, et les textes anciens font simplement référence à El Shaddai et à son opposé, Adon.
Pour les Cananéens, ces dieux s'appelaient respectivement El Elyon et Baal - ce qui voulait dire exactement la même chose (haute montagne et Seigneur).
Dans nos bibles modernes, les appellations Dieu et Seigneur sont employées et mélangées continuellement, comme si elles ne désignaient qu'un seul et même personnage, mais à l'origine ce n'était pas le cas. L'un était un dieu vengeur (qui détestait les gens), et l'autre était un dieu amical (qui soutenait les gens) et ils avaient chacun femme et enfants (garçons et filles).
Les écritures anciennes nous disent que, pendant toute l'ère patriarcale, les Israélites se sont efforcés de soutenir Adon, le Seigneur, mais à chaque fois El Shaddai (le dieu de la tempête, Jehovah) rétorquait par des déluges, des tempêtes, des famines et des destructions. Même dans les tout derniers temps (autour de l'an 600 avant Jésus-Christ), la Bible explique que Jérusalem fut renversé sur l'ordre de Jehovah et que des dizaines de milliers de Juifs furent faits prisonniers à Babylone simplement parce que leur roi (un descendant du roi David) avait érigé des autels à la gloire de Baal, Adon.
C'est au cours de cette captivité que les Israélites s'affaiblirent et finirent par céder. Ils décidèrent de succomber au Dieu de la colère et développèrent une nouvelle religion par pure peur de son châtiment. C'est à cette époque que le nom de Jehovah est apparu pour la première fois - et ce n'était que 500 ans avant l'époque de Jésus. Par la suite, l'Eglise chrétienne a aussi adopté Jehovah, l'appelant simplement Dieu et tous le concepts sociaux d'Adon qui existaient jusqu'alors furent complètement abandonnés. Ces deux religions étaient désormais toutes deux des croyances dues à la peur. Même aujourd'hui, leurs disciples sont classés comme "craignant Dieu".
Alors, où en est-on ? On en reste à la certitude qu'à l'intérieur d'un panthéon global de dieux et de déesses (la plupart de ceux qui sont en fait nommés dans la Bible), il existait deux dieux prédominants et opposés. Dans des cultures différentes, on les a connus sous le nom de EL Elyon et Baal ; El Shaddai et Adon; Arhiman et Mazda ; Jehovah et Seigneur ; Dieu et Père. Mais ces appellations sont toutes des titres donnés ; ce ne sont pas leurs vrais noms.
Alors qui étaient-ils précisément ? Pour trouver la réponse, nous ne devons pas chercher plus loin qu'à l'endroit où ces dieux opéraient réellement, et les anciens textes cananéens (découverts en Syrie dans les années 1920) nous disent qu'ils résidaient dans la vallée du Tigre-Euphrate en Mésopotamie, dans le delta du Paradis sumérien du golfe Persique.
Mais comment les anciens Sumériens appelaient-ils ces deux dieux ? Quel était leur vrai nom ? Nous pouvons remonter jusqu'au alentours de l'an 3700 avant Jésus-Christ dans les documents écrits sumériens qui nous rapportent que les dieux en question étaient frères. A Sumer, le dieu de la tempête qui devint par la suite connu sous le nom de Jehovah était appelé Enlil ou Ilu-kur-gal (signifiant chef de la montagne), et son frère, qui devint Adon, le Seigneur, était appelé Enki. Ce nom est vraiment important pour notre histoire parce que Enki veut dire "archétype".
Les textes nous apprennent que c'est Enlil qui apporta le Déluge ; c'est Enlil qui détruisit Ur et Babylone, et c'est Enlil qui s'opposa sans cesse à l'éducation et à l'instruction de l'humanité. En vérité, les anciens textes syriens nous disent que c'est Enlil qui raya de la carte les villes de Sodome et de Gomorrhe sur la Mer Morte - non pas parce que c'était des lieux de méchanceté, comme on nous l'apprend, mais parce que c'était de grands centres de sagesse et d'instruction.
C'est Enki qui, d'un autre côté, malgré la colère de son frère, accorda aux Sumériens l'accès à l'arbre de connaissance du bien et du mal et à l'arbre de vie. C'est Enki qui élabora la stratégie de fuite pendant le Déluge et c'est Enki qui remit les tables de la Loi consacrées - tables de lois scientifiques qui devinrent la base des premières Ecoles du mystère en Egypte.
De nombreux livres parlent de l'école hermétique de Tuthmosis III d'Egypte, qui régna aux environs de l'an 1450 avant Jésus-Christ. Mais on ne sait généralement pas que l'école dont il descendit à l'origine était la cour royale du Dragon. Celle-ci avait été fondée par les prêtres de Mendès aux alentours de l'an 2200 avant Jésus-Christ et elle fut par la suite adoptée par la reine Sobeknefru de la douzième dynastie.
Cet Ordre monarchique et sacerdotal est passé d'Egypte aux rois de Jérusalem ; aux princes de Scythia de la Mer Noire et dans les Balkans - notamment à la Maison Royale de Hongrie, dont le roi Sigismund a rétabli la cour il y a juste 600 ans. Aujourd'hui, il existe sous le nom de la Cour royale et impériale de la souveraineté du Dragon, et après quelques 4000 ans, il s'agit de la cour de souverains la plus ancienne du monde.
Mais quel étaient les tout premiers objectifs et ambitions de cet ordre à l'époque pharaonique ? Il était censé perpétuer et faire progresser la force alchimique de la lignée royale depuis le Seigneur Enki, l'archétype. Pour leur sacre, les rois de la première génération (qui ont régné à Sumer et en Egypte avant de devenir rois d'Israël) furent oints avec la graisse du Dragon (le crocodile sacré). En Egypte, on désignait cette noble bête par le nom de Messeh (d'où est venu le verbe hébreu oindre), et l'on a toujours désigné les rois de cette succession dynastique par "Dragons", ou "Messies" (signifiant "ceux qui ont été oints"). En temps de guerre, quand les armées de différents royaumes étaient réunies, un chef était choisi pour l'ensemble et on l'appelait le Grand Dragon (Le Roi des rois) - ou mieux connu sous son ancienne forme celtique, le Pendragon.
L'un des points intéressants des archives de la Cour du Dragon concerne l'origine du mot royauté (Kingship en anglais). Il vient du tout début de la culture sumérienne, où royauté était identique à parenté (kinship en anglais) - et kin signifiait parent par le sang, kinship était initialement kainship. Et le premier roi de la succession messianique du Dragon était le biblique Caïn (Kaïn), chef de la maison sumérienne de Kish.
En admettant ceci, on peut immédiatement voir la première anomalie de l'histoire traditionnelle de la Génèse, car la lignée historique de David et de Jésus ne venait pas du tout du fils d'Adam et Eve, Seth. Elle venait du fils d'Eve, Caïn, dont les descendants répertoriés (bien qu'on leur ait donné peu de place dans l'Ancien Testament) furent les premiers grands rois de Mésopotamie et d'Egypte (l'anglais Kings -Rois en français - venant alors de la forme Kains).
Deux autres traits plus importants apparaissent ensuite quand on relit la Bible en gardant cela à l'esprit. Nous avons tous tendance à considérer Caïn comme le premier fils d'Adam et Eve, or ce n'était pas le cas. Même la Génèse nous dit qu'il n'était pas le premier et confirme qu'Eve a dit à Adam que le père de Caïn était le Seigneur. Qui était le Seigneur ? Le Seigneur était Adon, et Adon était Enki. Même en dehors de la Bible, les écrits hébreux du Talmud et du Midrash nous font bien comprendre que Caïn n'était pas le fils d'Adam.
Alors que nous a-t-on encore appris de faux sur cet aspect particulier de l'histoire ? La Génèse (dans sa traduction anglaise) nous dit que Caïn "cultivait la terre". Mais ce n'est pas du tout ce que dit le texte original. Ce qu'il dit, c'est que Caïn "dominait la Terre" - ce qui est tout autre chose si l'on considère son statut de roi.
En fait, les traducteurs de la Bible semblent avoir eu un problème constant avec le mot "Terre", souvent traduit par la terre, la glaise ou la poussière. Mais les premiers textes parlaient en fait de la "Terre". Même dans le cas d'Adam et Eve, les traducteurs se sont trompés. La Bible dit : "Il les créa homme et femme et les appela Adam". Les écritures plus anciennes emploient le mot plus complet d'Adama, qui signifie "de la Terre". Mais ceci ne signifie pas qu'ils furent créés avec de la terre ; cela signifie qu'ils étaient "de la Terre" - ou comme l'explique la Bible hébraïque d'Anchor avec des termes extrêment précis, c'était des terriens.
Il y a beaucoup à dire sur l'histoire d'Adam et Eve et sur la façon dont ils résultèrent d'un clonage clinique. Des écrivains tel que Zechariah Sitchin ont beaucoup écrit sur ce point, et mon nouveau livre approfondit encore beaucoup plus le sujet. Je ne vais pas m'attarder sur ce point particulier maintenant parce que je veux passer plus directement à l'alchimie de la lignée messianique des premiers rois du Dragon. Je dirais simplement que les documents sumériens affirment qu'il y a environ 6000 ans, Adam et Eve (alors connus sous les noms d'Attaba et d'Ava, et ensemble sous le nom d'Adama) furent conçus spécialement en vue d'être rois dans la Maison de Shimti par Enki et sa soeur et femme Nin-khursag. En sumérien, le mot Shi-im-ti signifiait "air-vent-vie".
Adam n'a certainement pas été le premier homme sur terre mais il a été le premier de la descendance royale conçu de façon alchimique. Nin-khursag était appelée "la Dame de la fécondité" ou la "Dame de Vie", et elle fut la mère-porteuse d'Attaba et d'Eva qui furent créés à partir d'un oeuf humain fécondé par le Seigneur Enki.
C'est à cause du titre de Nim-khursag, la Dame de Vie, que les Hébreux ont plus tard donné le même titre à Ava. En effet, on a dit par la suite que le nom d'Ava (ou Eve) signifiait Vie. Et il y a ici un parallèle intéressant, parce que, en sumérien, la traduction de Dame de Vie était Nin-tî (Nin signifiant Dame et signifiant Vie). Cependant, un autre mot sumérien, ti (avec la plus longue prononciation, tee) signifiait côte ; et c'est à cause de la méprise des Hébreux entre ces deux mots, et ti, que l'on a associé de façon erronée Eve à la côte d'Adam.
Enki et Nin-khursag (avec leur frère Enlil, le futur Jehovah) appartenaient tous deux à un panthéon de dieux et de déesses appelé l'Anunnaki, signifiant "le Paradis est venu sur Terre". En fait, la Grande Assemblée de l'Anunnaki (plus tard appelée la Cour de l'Elohim) est mentionnée dans le psaume 82 lorsque Jehovah demande le pouvoir suprême sur les autres dieux.
Selon la tradition du Dragon, l'importance de Caïn est due au fait qu'il était le produit direct de Enki et Ava, donc il avait les trois-quarts de sang Anunnaki. Ses demi-frères Hevel et Satanael (mieux connus sous les noms d'Abel et Seth) étant la progéniture d'Attaba et d'Ava (Adam et Eve) n'étaient même pas Anunnaki pour moitié.
Le sang Anunnaki de Caïn était d'une si grande qualité que l'on dit qu'en comparaison le sang de son frère Abel était terre-à-terre. Caïn, a-t-on dit dans les écritures, s'est élevé bien au-dessus d'Abel de sorte que le sang de son frère a été englouti dans le sol. Mais cette description originale a été vraiment mal traduite dans notre Bible moderne, et on nous dit aujourd'hui que "Caïn s'est dressé contre Abel et a répandu son sang sur le sol". Ce n'est pas du tout la même chose.

17 commentaires:

  1. confus et apostat
    sans grand interet

    RépondreSupprimer
  2. https://sites.google.com/site/akkadsumerien/

    RépondreSupprimer
  3. www.lelivredevie.com

    Sur ce site vous avez toutes les reponses.....
    Bonne lecture :-)

    Christ-off

    RépondreSupprimer
  4. " On n'obtient rien par la seule volonté. Et on n'obtient rien en abandonnant la responsabilité à une autorité supérieure. La foi c'est l'action d'être vivant, car être en vie c'est croire - et la Volonté est le véhicule essentiel du Moi".

    RépondreSupprimer
  5. Bon ! J'avoue que je suis sceptique, que ce soit concernant la lignée de David, les annunakis, les dieux de toute sorte...

    En fait, ce qui m'intéresse le plus, c'est le moment où je vis, et ce que je fais de cette vie.

    Pour le reste, si nous connaissons vraiment un jour la vérité, avec des preuves... Je crois bien que j'ai une petite ressemblance avec St-Thomas, en fait. ^^
    Si je m'en réfère à ce récit, les annunakis ne seraient pas 'méchants' du tout ?
    Bah ! je suis (très) paumée dans tout ça.

    Mais ce n'est pas inintéressant du tout. (ça m'éclaire sur les commentaires de ... Ploz, je crois ?)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je te suis ,on ne sais plus vraiment si il y a des gentils et des méchants mais plutôt des entités avec des tâches différentes ou divergente .Les détails ne sont pas utile ,c'est ce qu'on en retient qui compte :Comment je souhaite vivre .

      Mathieu

      Supprimer
  6. L'hormone des ténèbres
    Ce n'est que très récemment que les scientifiques médicaux ont identifié la sécrétion hormonale de l'épiphyse, finissant par l'isoler en 1968. Cette essence a été appelée mélatonine, ce qui signifie "travailleur de nuit" (du grec, melos, signifiant noir, et tosos, signifiant travail). Ceux qui ont un fort taux de mélatonine réagissent très mal au soleil parce qu'il affecte leur capacité mentale ; ils ne sont opérationnels que la nuit. La mélatonine est appelée "l'hormone des ténèbres" car elle n'est produite que la nuit ou dans l'obscurité. Une exposition excessive au soleil fait en réalité diminuer la taille de l'épiphyse et affaiblit la conscience spirituelle, alors que l'obscurité et une forte activité de l'épiphyse améliorent le savoir intuitif pénétrant de l'esprit subtil tout en réduisant le stress.

    Dans page trois

    Voilà que je viens de comprendre pourquoi je vie la nuit et me couche a l'aube et que le soleil m'endort ^^

    Mathieu

    RépondreSupprimer
  7. Bonjour Elba, les dieux sont comme vous,
    Toujours interrogatifs, car eux aussi sont les sujets des nombres.
    Ont ils deux côtés?
    Oui ils sont commes les deux côtés de l'homme autour du 23, qui oeuvrent pour le centre des reflets de l'univers en 99 dans un temps de 11.
    23 c'est nous tous avant d'être chacun.
    Saviez vous qu'ils sont nos invités, parcequ'ils sont nos parties ?
    Ils remplissent leurs instructions, chacun à leur tour, par ce qu'ils sont: des existences entères, comme les hommes.
    Dans cet article est juste évoqué un ouvrage, il s'appelle le livre des nombres.
    Il ne se soucie pas de savoir si vous utilisez un alphabet doté de 26 lettres.
    Il ne se soucie pas de tous vos savoirs scientifiques,
    Il ne se soucie pas de connaître vos religions,
    Il ne peut comporter la moindre erreur, car tous les premiers sont unanimes envers du jour d'UN.
    Et lorsque chacun voit 5, il s'incline et retrouve son chemin.
    Je ne parle pas de religion, et pourtant, pourquoi ont ils tous recopié les nombres sans vraiment savoir d'ou ils venaient ?
    Je n'y étais pas mais voyant l'homme d'aujourd'hui, je crains bien de n'observer que l'homme d'hier.
    La vérité ne s'encombre pas de mots.
    Les nombres ne s'encombrent pas de mensonges,
    E= mc2 ou le mur de planck sont des vues courtes et dénuées de toute intelligence dimensionelle .
    Après tout, ça ne fait que quelques millers d'années que ça dure.

    Voilà,
    Un commentaire supplémentaire au fond d'un poche oubliée en quelque sujets, au rythme du travail de Paul.
    Chacun criant le reflet des ses miroirs,
    Aucun n'aura songé à regarder les miroirs de tous.

    Amitiés
    Ploz

    RépondreSupprimer
  8. fascinant pour moi qui ne supporte plus l'ignorance et l'impuissance qui en découle...ce texte est une piste !je vois qu'il y en a qui font un travail de recherhe laborieux,merci à eux!Je constate aussi que ,coupés de nos racines par des traductions peu scrupuleuses,nous sommes sérieusement paumés aujourd'hui (c'était le but apparemment...)Mais les choses cachées se dévoilent les une après les autres pour mon plus grand bonheur!la lobba

    RépondreSupprimer
  9. Vous allez me donner envie d'aller voir du côté des nombres, Ploz. ^^
    Parce que là, je ne comprends pas grand-chose à ce que vous dites.
    Z'auriez pas une petite adresse internet à me proposer pour que je me forme un peu ? Mais un truc du genre b a - ba pour commencer... Mon cerveau est parfois un peu lent à comprendre.

    Merci beaucoup d'avance.

    En tout cas, Dieux ou pas, nombres ou pas, je sais comment je veux vivre : je veux faire sourire les gens, et pas les faire pleurer. C'est trop triste de voir quelqu'un pleurer.
    ...Tout ça me fait penser en souriant à la chanson de Brassens 'le mécréant'... :)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Elba,
      Peut-être que les videos faîtes par d'autres, mises sur mon site à partir de l'adresse:
      http://unite.comeze.com/#ultralumiere
      Vous aideront à vous poser d'autres questions suivez le chemin des videos si vous en avez le temps.
      Je trouve que c'est un bon commencement.

      Amitiés
      Ploz

      Supprimer
    2. Merci, Ploz. ^^ Wow ! Il y a de la lecture et de l'écoute en perspective, sur ce site.
      J'aurai du temps. Le temps nous appartient. Ou plutôt il nous appartient d'en faire ce que bon nous semble.

      Mais pour ce soir, je vais rejoindre ce bon vieux Morphée. Bon week-end à vous.

      Supprimer
  10. effectivement, on s'y noie... ce texte est-il de Anne Gévaudan ? je me perds dans ce fatras, et l'auteur tourne, tourne, tourne autour du pot, et celui-ci s'appelle : KUNDALINI. phénomène que je vis depuis 30 ans...et le vivre est tout à fait autre chose que de le mentionner.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Texte d'une conférence de Sir Laurence Gardner, Anne Gévaudan n'a rien à voir avec ce texte.

      Supprimer
  11. Sir Laurence Gardner ? un autre agent du N.O.M
    Malgré une présentation nouvelle de l'histoire de l'Humanité
    elle reste calée sur l'histoire officielle véhiculée
    par son cheval de Troie : la bible .
    ENKI n'est pas "jésus"
    ENLIL n'est pas "jehovah"
    En revanche
    ANU , le père d'ENKI et ENLIL est bien "jehovah"
    celui qui fit ,
    dit-on ,
    le sacrifice de son fils qui n'est rien d'autre qu'un artifice
    pour mieux enchaîner ...

    RépondreSupprimer

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.