La vrai lignée
du Graal a commencé avec les Dieux Anunnaki au sud du
Pays de Sumer il y a au moins 6000 ans et elle s'est perpétuée
grâce à l'ingestion d'une substance appelée
"le feu céleste".
Cela fait maintenant presque
quatre ans que mon livre, Bloodline of the Holy Graal
(titre français : Le Graal et la Lignée du Christ
)-, a été publié, et pour ceux d'entre
vous qui ne l'ont pas lu, l'étude porte essentiellement
sur la lignée messianique telle qu'elle s'est perpétuée
à travers la famille de Jésus-Christ jusqu'à
aujourdhui. Elle se charge aussi de comparer les évangiles
du Nouveau Testament avec les premiers comptes-rendus historiques
de l'époque, tels qu'ils sont faits à la fois dans
les archives romaines et juives. A cet égard, elle donne
des détails sur la façon dont la Haute Eglise Chrétienne,
venue par la suite, a altéré et manipulé
les premiers documents pour les adapter à son propre programme
politique.
Malgré la doctrine imposée
selon laquelle Jésus serait né d'une vierge et
serait "le seul" et unique fils de Dieu (définitions
qui ne figuraient pas dans les textes originaux préromains),
les évangiles de Matthieu et de Luc du Nouveau Testament
donnent en fait des détails sur le lignage de Jésus
depuis David d'Israël et les Rois de Juda. Ceci a conduit
à la question que l'on m'a le plus posée au cours
de ces derniers mois (sous diverses formes) : qu'y avait-il de
si spécial dans cette lignée au départ ?
Etant donné que la succession
dynastique à partir de Jésus a eu une nette influence
dans les affaires monarchiques et politiques pendant 2000 ans
- la famille soutenant toujours la démocratie constitutionnelle
contre le contrôle de l'Eglise établie - son statut
se base sur le fait que Jésus était un descendant
du roi David.
Mais qu'est-ce qui a rendu
la lignée de David si importante et si différente
de toute autre ? Cette question m'a mis sur la piste de mon prochain
livre, Genesis of the Grail Kings (La Génèse
des Rois du Graal) (pas encore traduit en Français), qui
raconte l'histoire de la lignée messianique depuis le
tout début.
La Bible explique que l'histoire
de la lignée a commencé avec Adam et Eve, dont
le troisième fils, Seth, fut le premier d'une lignée
qui se perpétua à travers Mathusalem et Noé,
et finalement jusqu'à Abraham qui devint le Grand Patriarche
de la nation hébraïque. Elle raconte ensuiste qu'Abraham
a déplacé sa famille de Mésopotamie (aujourd'hui
l'Irak) vers l'ouest jusqu'à la terre de Canaan (ou Palestine),
d'où certains de ses descendants partirent pour l'Egypte.
Quelques générations plus tard, ils revinrent à
Canaan où, en son temps, leur descendant David de Bethléem
devint roi du tout nouveau royaume d'Israël.
Considérée telle
qu'elle est présentée dans les écritures,
c'est une saga fascinante ; mais rien nulle part n'indique que
la lignée ancestrale de David et des ses héritiers
était spéciale d'une façon ou d'une autre.
En fait, c'est exactement le contraire. On dépeint ses
ancêtres comme une succession de chercheurs de territoires
errants auxquels on n'a pas donné beaucoup d'importance
jusqu'à l'époque du Roi David. Leur histoire biblique
n'a rien de comparable avec, par exemple, les pharaons contemporains
de l'Egypte ancienne. Leur importance, nous dit-on, vient du
fait que (depuis l'époque d'Abraham) on les désignait
comme "le peuple élu de Dieu". Mais même
ceci nous laisse perplexes, parce que, selon les écritures,
leur Dieu ne les a conduit qu'à une succession de famines,
de guerres et de difficultés en tous genres - et devant
ces épreuves, ces premiers Hébreux ne semblent
pas avoir été trop glorieux !
Deux possibilités s'offrent
donc à nous. Soit David ne descendait pas du tout d'Abraham
et il fut simplement ajouté à la liste par des
auteurs plus récents. Soit nous a-t-on présenté
une version très altérée de l'origine de
cette famille - version dont le but spécifique était
de soutenir la foi juive émergente, plutôt que de
représenter un fait historique.
En considérant ceci,
je me suis souvenu précisément de ce que j'avais
trouvé dans le Nouveau Testament. Les textes des Évangiles
qui ont été offerts au public depuis des siècles
n'ont pas grand-chose à voir avec les premiers comptes
rendus de l'époque. Le Nouveau Testament, tel que nous
le connaissons, a été composé par les évêques
du 4ème siècle afin de soutenir la foi chrétienne
récemment établie. Et si les scribes juifs avaient
fait exactement la même chose auparavant ?
Évidemment, j'ai dû remonter
aux écritures les plus anciennes afin de détecter
des anomalies. Le problème est que, même si ceci
était possible, les écritures hébraïques
les plus anciennes (qui furent remaniées plusieurs siècles
plus tard) ne furent elles-mêmes écrites qu'entre
le 6ème et le 1er siècle avant Jésus-Christ.
Elles n'étaient donc pas censées être si
authentiques que cela dans leur récit d'une histoire remontant
à des milliers d'années auparavant. A vrai dire,
il était clair que ce devait être le cas, parce
que quand ces livres ont été écrits pour
la première fois, leur objectif était de transmettre
une histoire qui soutenait les principes de la foi juive - foi
qui n'a pas émergé avant un stade avancé
de l'histoire ancestrale.
Etant donné que le premier
groupe de ces livres a été écrit pendant
que les Juifs étaient retenus prisonniers dans la ville
mésopotamienne de Babylone au 6ème siècle
avant Jésus-Christ, il semble bien que ce soit à
Babylone que les premiers documents aient été détenus.
En fait, depuis l'époque d'Adam, à travers quelques
19 générations supposées jusqu'à
Abraham, l'histoire patriarcale de l'Ancien Testament était
entièrement mésopotamienne.
Plus précisément,
l'histoire venait de Sumer dans le sud de la Mésopotamie,
où les anciens sumériens qualifiaient en effet
les prairies du delta de l'Euphrate de Paradis.
Lorsque je faisais des recherches
pour mon livre La Lignée du Saint Graal, j'ai découvert
que différents textes et évangiles qui n'avaient
pas été inclus dans le Nouveau Testament canonique
constituaient de bonnes sources d'information générale.
Il se pourrait, ai-je pensé, qu'il en soit de même
pour l'Ancien Testament. Les livres d'Hénok et de Jubilé,
par exemple, n'y étaient pas inclus.
Le livre de Jasher est un autre livre auquel les textes
de Josué et de Samuel prêtent une attention particulière
dans l'Ancien Testament. Mais, malgré son apparente importance
aux yeux des écrivains hébreux, il n'a pas été
inclus dans la version finale. Deux autres œuvres sont aussi
citées dans la Bible. Les Nombres attirent notre
attention sur le livre des Guerres de Jehovah et le
livre du Seigneur.
Que sont ces livres ? Où
sont-ils ? Ils sont tous mentionnés dans la Bible (ce
qui signifie qu'ils sont tous antérieurs à l'Ancien
Testament) et on les cite tous comme étant importants.
Alors, pourquoi les éditeurs ont-ils jugé bon de
les exclure au moment de la sélection ?
En recherchant une réponse
à cette question et en étudiant la substance de
l'Ancien Testament avant qu'il n'ait été altéré,
un fait est apparu de plus en plus clair : dans les Bibles écrites
en Anglais, l'appellation Seigneur est utilisée dans un
contexte général, alors que dans les textes plus
anciens, une nette distinction est faite entre Jehovah et le
Seigneur.
On s'est souvent demandé
pourquoi le dieu biblique des Hébreux les a conduit vers
des épreuves et des tribulations, des déluges et
des désastres, alors que (de temps en temps) il semble
avoir agi avec une personnalité tout-à-fait contraire
et miséricordieuse. La réponse est que, bien que
les églises juive et chrétienne semblent aujourd'hui
les englober sous "l'unique Dieu", il existait à
l'origine une distinction entre le personnage de Jehovah et celui
du Seigneur. C'était, en fait, deux divinités tout
à fait différentes. Le dieu désigné
sous le nom de Jehovah était par tradition un dieu de
la tempête, un dieu de colère et de vengeance, tandis
que le dieu désigné sous le nom du Seigneur était
un dieu de fertilité et de sagesse.
Alors, quel était le
nom donné au Seigneur dans les premières écritures
? C'était, tout simplement, le mot hébreu courant
pour Seigneur et ce mot était Adon. En ce qui concerne
le vrai nom apparent de Jehovah, il n'était pas employé
autrefois, et même la Bible dit que le dieu d'Abraham s'appelait
El Shaddai, ce qui signifie haute montagne.
Le nom apparent de Jehovah
venait, en fait, du radical hébreu d'origine YHWH qui
signifiait "Je suis ce que je suis" - supposé
être une déclaration faite par Dieu à Moïse
sur le mont Sinaï, des centaines d'années après
l'époque d'Abraham. Jehovah n'était donc pas du
tout un nom, et les textes anciens font simplement référence
à El Shaddai et à son opposé, Adon.
Pour les Cananéens,
ces dieux s'appelaient respectivement El Elyon et Baal
- ce qui voulait dire exactement la même chose (haute montagne
et Seigneur).
Dans nos bibles modernes, les
appellations Dieu et Seigneur sont employées et mélangées
continuellement, comme si elles ne désignaient qu'un seul
et même personnage, mais à l'origine ce n'était
pas le cas. L'un était un dieu vengeur (qui détestait
les gens), et l'autre était un dieu amical (qui soutenait
les gens) et ils avaient chacun femme et enfants (garçons
et filles).
Les écritures anciennes
nous disent que, pendant toute l'ère patriarcale, les
Israélites se sont efforcés de soutenir Adon, le
Seigneur, mais à chaque fois El Shaddai (le dieu de la
tempête, Jehovah) rétorquait par des déluges,
des tempêtes, des famines et des destructions. Même
dans les tout derniers temps (autour de l'an 600 avant Jésus-Christ),
la Bible explique que Jérusalem fut renversé sur
l'ordre de Jehovah et que des dizaines de milliers de Juifs furent
faits prisonniers à Babylone simplement parce que leur
roi (un descendant du roi David) avait érigé des
autels à la gloire de Baal, Adon.
C'est au cours de cette captivité
que les Israélites s'affaiblirent et finirent par céder.
Ils décidèrent de succomber au Dieu de la colère
et développèrent une nouvelle religion par pure
peur de son châtiment. C'est à cette époque
que le nom de Jehovah est apparu pour la première fois
- et ce n'était que 500 ans avant l'époque de Jésus.
Par la suite, l'Eglise chrétienne a aussi adopté
Jehovah, l'appelant simplement Dieu et tous le concepts sociaux
d'Adon qui existaient jusqu'alors furent complètement
abandonnés. Ces deux religions étaient désormais
toutes deux des croyances dues à la peur. Même aujourd'hui,
leurs disciples sont classés comme "craignant Dieu".
Alors, où en est-on
? On en reste à la certitude qu'à l'intérieur
d'un panthéon global de dieux et de déesses (la
plupart de ceux qui sont en fait nommés dans la Bible),
il existait deux dieux prédominants et opposés.
Dans des cultures différentes, on les a connus sous le
nom de EL Elyon et Baal ; El Shaddai et Adon; Arhiman et Mazda
; Jehovah et Seigneur ; Dieu et Père. Mais ces appellations
sont toutes des titres donnés ; ce ne sont pas leurs vrais
noms.
Alors qui étaient-ils
précisément ? Pour trouver la réponse, nous
ne devons pas chercher plus loin qu'à l'endroit
où ces dieux opéraient réellement, et les
anciens textes cananéens (découverts en Syrie dans
les années 1920) nous disent qu'ils résidaient
dans la vallée du Tigre-Euphrate en Mésopotamie,
dans le delta du Paradis sumérien du golfe Persique.
Mais comment les anciens Sumériens
appelaient-ils ces deux dieux ? Quel était leur vrai nom
? Nous pouvons remonter jusqu'au alentours de l'an 3700 avant
Jésus-Christ dans les documents écrits sumériens
qui nous rapportent que les dieux en question étaient
frères. A Sumer, le dieu de la tempête qui devint
par la suite connu sous le nom de Jehovah était appelé
Enlil ou Ilu-kur-gal (signifiant chef de la montagne),
et son frère, qui devint Adon, le Seigneur, était
appelé Enki. Ce nom est vraiment important pour
notre histoire parce que Enki veut dire "archétype".
Les textes nous apprennent
que c'est Enlil qui apporta le Déluge ; c'est Enlil qui
détruisit Ur et Babylone, et c'est Enlil qui s'opposa
sans cesse à l'éducation et à l'instruction
de l'humanité. En vérité, les anciens textes
syriens nous disent que c'est Enlil qui raya de la carte les
villes de Sodome et de Gomorrhe sur la Mer Morte - non pas parce
que c'était des lieux de méchanceté, comme
on nous l'apprend, mais parce que c'était de grands centres
de sagesse et d'instruction.
C'est Enki qui, d'un autre
côté, malgré la colère de son frère,
accorda aux Sumériens l'accès à l'arbre
de connaissance du bien et du mal et à l'arbre de vie.
C'est Enki qui élabora la stratégie de fuite pendant
le Déluge et c'est Enki qui remit les tables de la Loi
consacrées - tables de lois scientifiques qui devinrent
la base des premières Ecoles du mystère
en Egypte.
De nombreux livres parlent
de l'école hermétique de Tuthmosis III d'Egypte,
qui régna aux environs de l'an 1450 avant Jésus-Christ.
Mais on ne sait généralement pas que l'école
dont il descendit à l'origine était la cour royale
du Dragon. Celle-ci avait été fondée par
les prêtres de Mendès aux alentours de l'an 2200
avant Jésus-Christ et elle fut par la suite adoptée
par la reine Sobeknefru de la douzième dynastie.
Cet Ordre monarchique et sacerdotal
est passé d'Egypte aux rois de Jérusalem ; aux
princes de Scythia de la Mer Noire et dans les Balkans - notamment
à la Maison Royale de Hongrie, dont le roi Sigismund a
rétabli la cour il y a juste 600 ans. Aujourd'hui, il
existe sous le nom de la Cour royale et impériale de
la souveraineté du Dragon, et après quelques
4000 ans, il s'agit de la cour de souverains la plus ancienne
du monde.
Mais quel étaient les
tout premiers objectifs et ambitions de cet ordre à l'époque
pharaonique ? Il était censé perpétuer et
faire progresser la force alchimique de la lignée royale
depuis le Seigneur Enki, l'archétype. Pour leur sacre,
les rois de la première génération (qui
ont régné à Sumer et en Egypte avant de
devenir rois d'Israël) furent oints avec la graisse du Dragon
(le crocodile sacré). En Egypte, on désignait cette
noble bête par le nom de Messeh (d'où est
venu le verbe hébreu oindre), et l'on a toujours désigné
les rois de cette succession dynastique par "Dragons",
ou "Messies" (signifiant "ceux qui ont été
oints"). En temps de guerre, quand les armées de
différents royaumes étaient réunies, un
chef était choisi pour l'ensemble et on l'appelait le
Grand Dragon (Le Roi des rois) - ou mieux connu sous son ancienne
forme celtique, le Pendragon.
L'un des points intéressants
des archives de la Cour du Dragon concerne l'origine du mot royauté
(Kingship en anglais). Il vient du tout début de
la culture sumérienne, où royauté était
identique à parenté (kinship en anglais)
- et kin signifiait parent par le sang, kinship
était initialement kainship. Et le premier roi
de la succession messianique du Dragon était le biblique
Caïn (Kaïn), chef de la maison sumérienne
de Kish.
En admettant ceci, on peut
immédiatement voir la première anomalie de l'histoire
traditionnelle de la Génèse, car la lignée
historique de David et de Jésus ne venait pas du tout
du fils d'Adam et Eve, Seth. Elle venait du fils d'Eve, Caïn,
dont les descendants répertoriés (bien qu'on leur
ait donné peu de place dans l'Ancien Testament) furent
les premiers grands rois de Mésopotamie et d'Egypte (l'anglais
Kings -Rois en français - venant alors de la forme
Kains).
Deux autres traits plus importants
apparaissent ensuite quand on relit la Bible en gardant cela
à l'esprit. Nous avons tous tendance à considérer
Caïn comme le premier fils d'Adam et Eve, or ce n'était
pas le cas. Même la Génèse nous dit qu'il
n'était pas le premier et confirme qu'Eve a dit à
Adam que le père de Caïn était le Seigneur.
Qui était le Seigneur ? Le Seigneur était Adon,
et Adon était Enki. Même en dehors de la Bible,
les écrits hébreux du Talmud et du Midrash nous
font bien comprendre que Caïn n'était pas le fils
d'Adam.
Alors que nous a-t-on encore
appris de faux sur cet aspect particulier de l'histoire ? La
Génèse (dans sa traduction anglaise) nous dit que
Caïn "cultivait la terre". Mais ce n'est pas du
tout ce que dit le texte original. Ce qu'il dit, c'est que Caïn
"dominait la Terre" - ce qui est tout autre chose si
l'on considère son statut de roi.
En fait, les traducteurs de
la Bible semblent avoir eu un problème constant avec le
mot "Terre", souvent traduit par la terre, la glaise
ou la poussière. Mais les premiers textes parlaient en
fait de la "Terre". Même dans le cas d'Adam et
Eve, les traducteurs se sont trompés. La Bible dit : "Il
les créa homme et femme et les appela Adam".
Les écritures plus anciennes emploient le mot plus complet
d'Adama, qui signifie "de la Terre". Mais ceci
ne signifie pas qu'ils furent créés avec de la
terre ; cela signifie qu'ils étaient "de la Terre"
- ou comme l'explique la Bible hébraïque d'Anchor
avec des termes extrêment précis, c'était
des terriens.
Il y a beaucoup à dire
sur l'histoire d'Adam et Eve et sur la façon dont ils
résultèrent d'un clonage clinique. Des écrivains
tel que Zechariah Sitchin ont beaucoup écrit sur ce point,
et mon nouveau livre approfondit encore beaucoup plus le sujet.
Je ne vais pas m'attarder sur ce point particulier maintenant
parce que je veux passer plus directement à l'alchimie
de la lignée messianique des premiers rois du Dragon.
Je dirais simplement que les documents sumériens affirment
qu'il y a environ 6000 ans, Adam et Eve (alors connus sous les
noms d'Attaba et d'Ava, et ensemble sous le nom
d'Adama) furent conçus spécialement en vue
d'être rois dans la Maison de Shimti par Enki et sa soeur
et femme Nin-khursag. En sumérien, le mot Shi-im-ti
signifiait "air-vent-vie".
Adam n'a certainement pas été
le premier homme sur terre mais il a été le premier
de la descendance royale conçu de façon alchimique.
Nin-khursag était appelée "la Dame de la fécondité"
ou la "Dame de Vie", et elle fut la mère-porteuse
d'Attaba et d'Eva qui furent créés à partir
d'un oeuf humain fécondé par le Seigneur Enki.
C'est à cause du titre
de Nim-khursag, la Dame de Vie, que les Hébreux ont plus
tard donné le même titre à Ava. En effet,
on a dit par la suite que le nom d'Ava (ou Eve) signifiait Vie.
Et il y a ici un parallèle intéressant, parce que,
en sumérien, la traduction de Dame de Vie était
Nin-tî (Nin signifiant Dame et tî
signifiant Vie). Cependant, un autre mot sumérien, ti
(avec la plus longue prononciation, tee) signifiait côte
; et c'est à cause de la méprise des Hébreux
entre ces deux mots, tî et ti, que l'on a
associé de façon erronée Eve à la
côte d'Adam.
Enki et Nin-khursag (avec leur
frère Enlil, le futur Jehovah) appartenaient tous deux
à un panthéon de dieux et de déesses appelé
l'Anunnaki, signifiant "le Paradis est venu sur Terre".
En fait, la Grande Assemblée de l'Anunnaki (plus tard
appelée la Cour de l'Elohim) est mentionnée dans
le psaume 82 lorsque Jehovah demande le pouvoir suprême
sur les autres dieux.
Selon la tradition du Dragon,
l'importance de Caïn est due au fait qu'il était
le produit direct de Enki et Ava, donc il avait les trois-quarts
de sang Anunnaki. Ses demi-frères Hevel et Satanael (mieux
connus sous les noms d'Abel et Seth) étant la progéniture
d'Attaba et d'Ava (Adam et Eve) n'étaient même pas
Anunnaki pour moitié.
Le sang Anunnaki de Caïn
était d'une si grande qualité que l'on dit qu'en
comparaison le sang de son frère Abel était terre-à-terre.
Caïn, a-t-on dit dans les écritures, s'est élevé
bien au-dessus d'Abel de sorte que le sang de son frère
a été englouti dans le sol. Mais cette description
originale a été vraiment mal traduite dans notre
Bible moderne, et on nous dit aujourd'hui que "Caïn
s'est dressé contre Abel et a répandu son sang
sur le sol". Ce n'est pas du tout la même chose.
confus et apostat
RépondreSupprimersans grand interet
Pour vous...
SupprimerTrès intéressant au contraire !!!!
SupprimerMerci Paul
https://sites.google.com/site/akkadsumerien/
RépondreSupprimerwww.lelivredevie.com
RépondreSupprimerSur ce site vous avez toutes les reponses.....
Bonne lecture :-)
Christ-off
" On n'obtient rien par la seule volonté. Et on n'obtient rien en abandonnant la responsabilité à une autorité supérieure. La foi c'est l'action d'être vivant, car être en vie c'est croire - et la Volonté est le véhicule essentiel du Moi".
RépondreSupprimerBon ! J'avoue que je suis sceptique, que ce soit concernant la lignée de David, les annunakis, les dieux de toute sorte...
RépondreSupprimerEn fait, ce qui m'intéresse le plus, c'est le moment où je vis, et ce que je fais de cette vie.
Pour le reste, si nous connaissons vraiment un jour la vérité, avec des preuves... Je crois bien que j'ai une petite ressemblance avec St-Thomas, en fait. ^^
Si je m'en réfère à ce récit, les annunakis ne seraient pas 'méchants' du tout ?
Bah ! je suis (très) paumée dans tout ça.
Mais ce n'est pas inintéressant du tout. (ça m'éclaire sur les commentaires de ... Ploz, je crois ?)
Je te suis ,on ne sais plus vraiment si il y a des gentils et des méchants mais plutôt des entités avec des tâches différentes ou divergente .Les détails ne sont pas utile ,c'est ce qu'on en retient qui compte :Comment je souhaite vivre .
SupprimerMathieu
L'hormone des ténèbres
RépondreSupprimerCe n'est que très récemment que les scientifiques médicaux ont identifié la sécrétion hormonale de l'épiphyse, finissant par l'isoler en 1968. Cette essence a été appelée mélatonine, ce qui signifie "travailleur de nuit" (du grec, melos, signifiant noir, et tosos, signifiant travail). Ceux qui ont un fort taux de mélatonine réagissent très mal au soleil parce qu'il affecte leur capacité mentale ; ils ne sont opérationnels que la nuit. La mélatonine est appelée "l'hormone des ténèbres" car elle n'est produite que la nuit ou dans l'obscurité. Une exposition excessive au soleil fait en réalité diminuer la taille de l'épiphyse et affaiblit la conscience spirituelle, alors que l'obscurité et une forte activité de l'épiphyse améliorent le savoir intuitif pénétrant de l'esprit subtil tout en réduisant le stress.
Dans page trois
Voilà que je viens de comprendre pourquoi je vie la nuit et me couche a l'aube et que le soleil m'endort ^^
Mathieu
Bonjour Elba, les dieux sont comme vous,
RépondreSupprimerToujours interrogatifs, car eux aussi sont les sujets des nombres.
Ont ils deux côtés?
Oui ils sont commes les deux côtés de l'homme autour du 23, qui oeuvrent pour le centre des reflets de l'univers en 99 dans un temps de 11.
23 c'est nous tous avant d'être chacun.
Saviez vous qu'ils sont nos invités, parcequ'ils sont nos parties ?
Ils remplissent leurs instructions, chacun à leur tour, par ce qu'ils sont: des existences entères, comme les hommes.
Dans cet article est juste évoqué un ouvrage, il s'appelle le livre des nombres.
Il ne se soucie pas de savoir si vous utilisez un alphabet doté de 26 lettres.
Il ne se soucie pas de tous vos savoirs scientifiques,
Il ne se soucie pas de connaître vos religions,
Il ne peut comporter la moindre erreur, car tous les premiers sont unanimes envers du jour d'UN.
Et lorsque chacun voit 5, il s'incline et retrouve son chemin.
Je ne parle pas de religion, et pourtant, pourquoi ont ils tous recopié les nombres sans vraiment savoir d'ou ils venaient ?
Je n'y étais pas mais voyant l'homme d'aujourd'hui, je crains bien de n'observer que l'homme d'hier.
La vérité ne s'encombre pas de mots.
Les nombres ne s'encombrent pas de mensonges,
E= mc2 ou le mur de planck sont des vues courtes et dénuées de toute intelligence dimensionelle .
Après tout, ça ne fait que quelques millers d'années que ça dure.
Voilà,
Un commentaire supplémentaire au fond d'un poche oubliée en quelque sujets, au rythme du travail de Paul.
Chacun criant le reflet des ses miroirs,
Aucun n'aura songé à regarder les miroirs de tous.
Amitiés
Ploz
fascinant pour moi qui ne supporte plus l'ignorance et l'impuissance qui en découle...ce texte est une piste !je vois qu'il y en a qui font un travail de recherhe laborieux,merci à eux!Je constate aussi que ,coupés de nos racines par des traductions peu scrupuleuses,nous sommes sérieusement paumés aujourd'hui (c'était le but apparemment...)Mais les choses cachées se dévoilent les une après les autres pour mon plus grand bonheur!la lobba
RépondreSupprimerVous allez me donner envie d'aller voir du côté des nombres, Ploz. ^^
RépondreSupprimerParce que là, je ne comprends pas grand-chose à ce que vous dites.
Z'auriez pas une petite adresse internet à me proposer pour que je me forme un peu ? Mais un truc du genre b a - ba pour commencer... Mon cerveau est parfois un peu lent à comprendre.
Merci beaucoup d'avance.
En tout cas, Dieux ou pas, nombres ou pas, je sais comment je veux vivre : je veux faire sourire les gens, et pas les faire pleurer. C'est trop triste de voir quelqu'un pleurer.
...Tout ça me fait penser en souriant à la chanson de Brassens 'le mécréant'... :)
Bonjour Elba,
SupprimerPeut-être que les videos faîtes par d'autres, mises sur mon site à partir de l'adresse:
http://unite.comeze.com/#ultralumiere
Vous aideront à vous poser d'autres questions suivez le chemin des videos si vous en avez le temps.
Je trouve que c'est un bon commencement.
Amitiés
Ploz
Merci, Ploz. ^^ Wow ! Il y a de la lecture et de l'écoute en perspective, sur ce site.
SupprimerJ'aurai du temps. Le temps nous appartient. Ou plutôt il nous appartient d'en faire ce que bon nous semble.
Mais pour ce soir, je vais rejoindre ce bon vieux Morphée. Bon week-end à vous.
effectivement, on s'y noie... ce texte est-il de Anne Gévaudan ? je me perds dans ce fatras, et l'auteur tourne, tourne, tourne autour du pot, et celui-ci s'appelle : KUNDALINI. phénomène que je vis depuis 30 ans...et le vivre est tout à fait autre chose que de le mentionner.
RépondreSupprimerTexte d'une conférence de Sir Laurence Gardner, Anne Gévaudan n'a rien à voir avec ce texte.
SupprimerSir Laurence Gardner ? un autre agent du N.O.M
RépondreSupprimerMalgré une présentation nouvelle de l'histoire de l'Humanité
elle reste calée sur l'histoire officielle véhiculée
par son cheval de Troie : la bible .
ENKI n'est pas "jésus"
ENLIL n'est pas "jehovah"
En revanche
ANU , le père d'ENKI et ENLIL est bien "jehovah"
celui qui fit ,
dit-on ,
le sacrifice de son fils qui n'est rien d'autre qu'un artifice
pour mieux enchaîner ...