Bouddhistes et musulmans s'étripent. Le monde du mensonge titre : "Violences religieuses en Birmanie".
C'est faux et mensonger, ce qui est naturel dans le monde du mensonge et de la falsification. Ni les "bouddhistes" ni les "musulmans" qui s'étripent ne sont bouddhistes ou musulmans. Ce sont des fous et des malheureux.
D'ailleurs, il est impossible d'être bouddhiste ou musulman, pas plus que chrétien, car ça n'a aucune réalité. On ne peut être qu'un esclave, aveugle et soumis à toutes les autorités, dites bouddhistes, musulmanes ou chrétiennes, et c'est sans doute ce que sont ou étaient ces gens qui s'étripèrent aussi sauvagement, pour de vils conflits de territoire; en dehors de cette servitude opaque, on peut être sincèrement en quête de la vérité, encore tiraillé entre la liberté pressentie et ces conflits archaïques, auquel cas le pardon, ou lâcher-prise que permet une telle occurence doit servir de booster.
Dernière hypothèse : parce qu'il se trouvait là, l'un des massacrés était effectivement un buddha ou un arif, qui tous les deux désignent un être accompli, qui détient la "connaissance", dans chacune de ces traditions, et dans ce cas, il est maintenant définitivement accompli et ça ne change rien pour lui.
Mais en aucun cas, il ne s'agit d'une guerre religieuse. Ou alors, on parle de ce que la religion est de plus bas : une association de singes incultes menés par des singes tout aussi incultes mais beaucoup plus malfaisants, parce qu'ils ont pour eux la malignité d'un mental dévoyé, avide de pouvoir.
C'est ce que sont toutes les guerres du monde, y compris celle que livrent en Syrie les gorilles de l'otan, soit-disants laïcs ou chrétiens contre les orang-outans prétendus musulmans, au nom de la vertu et de l'humanisme.
Une seule chose est sûre, c'est que parmi de nombreux singes, une certain nombre de chercheurs trouvera réponse et occasion de pardonner à ce monde sa sauvagerie. Pour les autres, ceux qui savent déjà, ce ne sera qu'un tour de plus.
Je trouve la comparaison avec le peuple des singes très dure pour eux. Ils n'ont rien fait qui mérite une telle méchanceté à leur égard .
RépondreSupprimerSardou l'avait bien compris : "J'accuse les hommes je veux qu'on les condamne
Au maximum qu'on arrache leur âme
Et qu'on la jette aux rats et aux cochons
Pour voir comment eux ils s'en serviront".