Sophie est récemment partie en vacances, laissant sa clé à la voisine pour qu'elle puisse arroser les plantes et donner à manger aux chats. Lorsqu'elle est rentrée, tous ses bijoux de valeur avaient disparu. Aucune trace d'infraction n'a pu être constatée où que ce soit. La voisine n'est, bien entendu, « au courant de rien ». 15 000 euros de perte et bien des soupçons plus tard, Sophie a du mal à lui reparler.
Marc, conseillé par un expert de Genève, a acheté des objets d'art à un tiers pour la somme de 150 000 euros. L'expert doit prochainement lui racheter le tout et Marc fera ainsi un joli bénéfice. Cependant, l'expert tarde à se manifester, et lorsque Marc finit par téléphoner au bureau d'expertise à Genève, une « secrétaire » lui dit que l'expert est entendu par la justice pour blanchiment d'argent. Marc se rend compte qu'il n'est finalement même pas certain de la valeur des objets achetés et qu'il a ainsi déboursé 150 000 euros pour un lot dont il n'a que la parole de l'expert en question pour savoir ce qu'il vaut. A présent, le bureau ne répond plus. Apparemment, le vendeur du lot et « l'expert » de Genève étaient de mèche.
Pierre est pâtissier. Il décide d'exporter son produit 100% français en Chine. Il a pour associé son meilleur ami, à qui il laisse la partie comptable pour se charger de ce qu'il connaît le mieux : la pâtisserie. Leur affaire marche bien et en un an, l'affaire est non seulement rentable, mais ils réalisent des profits. Du jour au lendemain, Pierre est renvoyé par son ami qui a pris soin de ne pas lui dire que l'entreprise n'a jamais été leur propriété commune mais uniquement la sienne. Pierre ne peut rien faire et doit rentrer au pays et tout reprendre à zéro.
Ce que ces gens ont en commun est évident : ils ont fait confiance à un psychopathe qui a profité de leur naïveté pour les arnaquer.
Arrêtez d'accuser la victime. La première réaction des gens quand ces histoires font surface est en général l'incrédulité. Elle est immédiatement suivie d'un autre sentiment, moins compréhensible peut-être : les gens incriminent la personne flouée. « C'est elle/lui qui était naïf, aussi ! Quelle idée de faire confiance à quelqu'un pour quelque chose d'aussi important ! Jamais je ne ferais confiance à qui que ce soit dans ce genre de situation ! Moi à sa place, j'aurais.... ». C'est un réflexe malheureusement courant : blâmer la victime [1] permet de se sentir moins en danger, de se rassurer sur ses propres capacités à éviter ce genre de situation déplaisante. La victime ne peut que l'avoir cherché, après tout. Sinon, dans quel monde vit-on ? Un monde où l'on peut se faire arnaquer par un proche ? Un monde dans lequel on ne peut faire confiance à (presque) personne ? Non, le problème est probablement ailleurs. Et ailleurs, c'est la victime. Elle doit être bête, naïve, l'avoir mérité. Car qui se fait voler par un ami ?
Eh bien apparemment, beaucoup de gens. En fait, beaucoup plus de gens qu'on ne pourrait le penser à l'origine puisque, par principe, être victime de ce type de situation est honteux. Il n'y a pas que les gens à qui l'on raconte ces histoires qui pensent que la victime est bête, naïve et l'a bien mérité. La victime aussi le pense. Elle a honte. Et donc elle ne portera pas forcément plainte. Ce n'est jamais agréable de raconter qu'on s'est fait arnaquer par une connaissance ou pire, un ami ou un membre de sa famille. On s 'imagine que les autres, eux, auraient compris. Et pourtant, lorsqu'on voit la facilité déconcertante avec laquelle ces arnaqueurs sévissent chaque jour, il faut croire que les autres ne comprennent pas non plus.
En compagnie des hommes : un film glaçant qui offre un portrait juste et réaliste du psychopathe. Et comment le pourrait-on ? Quand avez-vous lu pour la dernière fois un article, un livre ou vu un film qui traitait intelligemment et correctement de la psychopathie ? Parce que c'est bien de cela qu'il s'agit. Arnaquer sans conscience un ami, un voisin ou un membre de sa famille et ne montrer aucun signe de (véritable) remords en conséquence relève de la psychopathie. Les psychopathes constituant environ 6 à 10% de la population (mais les estimations divergent), vous êtes condamnés à en rencontrer (ou pire, en être victime) au moins un dans votre vie. Et pourtant, vous ne savez presque rien de ce type de personnes. Parce que ce qu'en disent les médias (et soyons honnêtes, c'est de là que la plupart des gens tirent l'essentiel de leurs « connaissances » sur le monde qui les entoure), c'est, à peu de choses près, qu'un psychopathe, c'est Hannibal Lecter. Un fou qui tue des gens.
Jamais les médias ne vous expliqueront qu'un psychopathe, c'est aussi un meilleur ami avec qui vous riez toutes les semaines au café du coin, c'est votre voisin qui sort toujours ses poubelles et soigne les animaux abandonnés (pour se donner une bonne image), c'est votre élu local ou la gardienne de votre immeuble (Paul : il peut être votre mari ou votre femme, un de vos enfants, un de vos parents !). Et pourtant, les psychopathes sont ces personnes avant tout. Et comme les médias ne nous donnent la plupart du temps que des caricatures ou des exemples extrêmes de psychopathes, nous sommes incapables de les repérer. Du moins pas avant qu'ils ne fassent des dégâts dans notre vie.
Et des dégâts, ils en font. Ils ne font même pratiquement que cela. Les psychopathes se reconnaissent souvent aux victimes qu'ils laissent derrière eux : femmes abandonnées après avoir été mises enceintes, amis volés, associés floués, parents grugés, etc. Sans parler des dettes accumulées, des pensions alimentaires non payées, des absences aux convocations au tribunal, des multiples récidives en tous genres. Le psychopathe ne fait que ce qu'il a envie de faire, et il a n'a pas souvent envie de faire ce que sa conscience lui dicte... tout simplement parce qu'il n'en a pas. C'est d'ailleurs ce qui est le plus difficile à avaler pour la plupart des gens : qu'un être humain en apparence semblable à eux puisse effectivement ne pas avoir de conscience. Ce concept relève de la science-fiction pour quiconque n'a pas (encore) été victime d'un psychopathe. Car dans la société judéo-chrétienne dans laquelle nous baignons, comment juger quelqu'un de la sorte ? Qui est-on pour décider qu'une personne a une conscience ou pas ? La peur de juger de peur d'être soi-même jugé joue certainement également un rôle dans cette politique de l'autruche. La peur de se tromper et de bannir une personne tout à fait innocente, la peur de colporter des ragots infondés, la pensée que si l'on est bons, tout le monde l'est également, et tout simplement, le choix de ne pas s'intéresser à ce type de problématique, bloquent encore davantage l'apprentissage de ce qu'est la psychopathie. Et étant donné que les informations disponibles sont déjà relativement rares, autant dire que la plupart des gens ne savent absolument rien sur le sujet.
Et c'est tragique. Parce que les psychopathes sont les premiers à en profiter. Tant que personne n'est capable de les reconnaître pour qui ils sont et pour ce qu'ils font, ils continuent d'agir en toute impunité. Et d'une certaine manière, ne pas vouloir ouvrir les yeux quand à ce qu'ils sont et ce qu'ils font équivaut à être complice. Dans les sociétés soi-disant plus primitives, dans certaines communautés à population restreinte, les psychopathes ont peu ou pas de chance de sévir. Parce qu'ils sont repérés tout de suite. Et certaines sociétés vont même jusqu'à les éliminer afin qu'ils ne mettent pas le groupe en danger. Car la survie du groupe EST bel et bien menacée lorsqu'elle est infectée par les psychopathes. Celui-ci peut être comparé à une tornade qui détruirait tout sur son passage. Toutefois, contrairement à ce que pensent ces sociétés qui les éliminent, les psychopathes, tout comme les tornades, ont le droit, d'exister. Ils sont une manifestation de la nature - ils en font partie, tout comme les animaux et les êtres humains. Mais rien ne nous force à rester dehors sans protection lorsque la tornade arrive, toute naturelle soit-elle. Rester dehors alors qu'une alerte a été lancée semble non seulement fou mais dangereux, personne n'en disconviendra. Pourquoi n'en est-il donc pas de même pour une catégorie de personnes qui, annuellement, fait probablement bien plus de victimes que toutes les tornades réunies ? Comme le dit le Dr Gunsberg dans son article essentiel, « Au-delà de la folie » :
Quand un chien attrape la rage, nous ne le tenons pas pour responsable du fait d'être enragé. Ce que nous faisons, pour nous protéger, c'est que nous tuons le chien AVANT qu'il ne nous morde, AVANT qu'il ne nous infecte.
Nous ne tenons pas le serpent à sonnettes pour responsable du fait d'avoir des crochets venimeux. Ce que nous faisons, pour nous protéger, c'est que nous tuons le serpent à sonnettes AVANT qu'il ne nous tue.
Idem avec les humanoïdes [psychopathes]. Nous devons nous tenir sur nos gardes au premier signe de meurtre des valeurs humaines.
Marc, conseillé par un expert de Genève, a acheté des objets d'art à un tiers pour la somme de 150 000 euros. L'expert doit prochainement lui racheter le tout et Marc fera ainsi un joli bénéfice. Cependant, l'expert tarde à se manifester, et lorsque Marc finit par téléphoner au bureau d'expertise à Genève, une « secrétaire » lui dit que l'expert est entendu par la justice pour blanchiment d'argent. Marc se rend compte qu'il n'est finalement même pas certain de la valeur des objets achetés et qu'il a ainsi déboursé 150 000 euros pour un lot dont il n'a que la parole de l'expert en question pour savoir ce qu'il vaut. A présent, le bureau ne répond plus. Apparemment, le vendeur du lot et « l'expert » de Genève étaient de mèche.
Pierre est pâtissier. Il décide d'exporter son produit 100% français en Chine. Il a pour associé son meilleur ami, à qui il laisse la partie comptable pour se charger de ce qu'il connaît le mieux : la pâtisserie. Leur affaire marche bien et en un an, l'affaire est non seulement rentable, mais ils réalisent des profits. Du jour au lendemain, Pierre est renvoyé par son ami qui a pris soin de ne pas lui dire que l'entreprise n'a jamais été leur propriété commune mais uniquement la sienne. Pierre ne peut rien faire et doit rentrer au pays et tout reprendre à zéro.
Ce que ces gens ont en commun est évident : ils ont fait confiance à un psychopathe qui a profité de leur naïveté pour les arnaquer.
Arrêtez d'accuser la victime. La première réaction des gens quand ces histoires font surface est en général l'incrédulité. Elle est immédiatement suivie d'un autre sentiment, moins compréhensible peut-être : les gens incriminent la personne flouée. « C'est elle/lui qui était naïf, aussi ! Quelle idée de faire confiance à quelqu'un pour quelque chose d'aussi important ! Jamais je ne ferais confiance à qui que ce soit dans ce genre de situation ! Moi à sa place, j'aurais.... ». C'est un réflexe malheureusement courant : blâmer la victime [1] permet de se sentir moins en danger, de se rassurer sur ses propres capacités à éviter ce genre de situation déplaisante. La victime ne peut que l'avoir cherché, après tout. Sinon, dans quel monde vit-on ? Un monde où l'on peut se faire arnaquer par un proche ? Un monde dans lequel on ne peut faire confiance à (presque) personne ? Non, le problème est probablement ailleurs. Et ailleurs, c'est la victime. Elle doit être bête, naïve, l'avoir mérité. Car qui se fait voler par un ami ?
Eh bien apparemment, beaucoup de gens. En fait, beaucoup plus de gens qu'on ne pourrait le penser à l'origine puisque, par principe, être victime de ce type de situation est honteux. Il n'y a pas que les gens à qui l'on raconte ces histoires qui pensent que la victime est bête, naïve et l'a bien mérité. La victime aussi le pense. Elle a honte. Et donc elle ne portera pas forcément plainte. Ce n'est jamais agréable de raconter qu'on s'est fait arnaquer par une connaissance ou pire, un ami ou un membre de sa famille. On s 'imagine que les autres, eux, auraient compris. Et pourtant, lorsqu'on voit la facilité déconcertante avec laquelle ces arnaqueurs sévissent chaque jour, il faut croire que les autres ne comprennent pas non plus.
En compagnie des hommes : un film glaçant qui offre un portrait juste et réaliste du psychopathe. Et comment le pourrait-on ? Quand avez-vous lu pour la dernière fois un article, un livre ou vu un film qui traitait intelligemment et correctement de la psychopathie ? Parce que c'est bien de cela qu'il s'agit. Arnaquer sans conscience un ami, un voisin ou un membre de sa famille et ne montrer aucun signe de (véritable) remords en conséquence relève de la psychopathie. Les psychopathes constituant environ 6 à 10% de la population (mais les estimations divergent), vous êtes condamnés à en rencontrer (ou pire, en être victime) au moins un dans votre vie. Et pourtant, vous ne savez presque rien de ce type de personnes. Parce que ce qu'en disent les médias (et soyons honnêtes, c'est de là que la plupart des gens tirent l'essentiel de leurs « connaissances » sur le monde qui les entoure), c'est, à peu de choses près, qu'un psychopathe, c'est Hannibal Lecter. Un fou qui tue des gens.
Jamais les médias ne vous expliqueront qu'un psychopathe, c'est aussi un meilleur ami avec qui vous riez toutes les semaines au café du coin, c'est votre voisin qui sort toujours ses poubelles et soigne les animaux abandonnés (pour se donner une bonne image), c'est votre élu local ou la gardienne de votre immeuble (Paul : il peut être votre mari ou votre femme, un de vos enfants, un de vos parents !). Et pourtant, les psychopathes sont ces personnes avant tout. Et comme les médias ne nous donnent la plupart du temps que des caricatures ou des exemples extrêmes de psychopathes, nous sommes incapables de les repérer. Du moins pas avant qu'ils ne fassent des dégâts dans notre vie.
Et des dégâts, ils en font. Ils ne font même pratiquement que cela. Les psychopathes se reconnaissent souvent aux victimes qu'ils laissent derrière eux : femmes abandonnées après avoir été mises enceintes, amis volés, associés floués, parents grugés, etc. Sans parler des dettes accumulées, des pensions alimentaires non payées, des absences aux convocations au tribunal, des multiples récidives en tous genres. Le psychopathe ne fait que ce qu'il a envie de faire, et il a n'a pas souvent envie de faire ce que sa conscience lui dicte... tout simplement parce qu'il n'en a pas. C'est d'ailleurs ce qui est le plus difficile à avaler pour la plupart des gens : qu'un être humain en apparence semblable à eux puisse effectivement ne pas avoir de conscience. Ce concept relève de la science-fiction pour quiconque n'a pas (encore) été victime d'un psychopathe. Car dans la société judéo-chrétienne dans laquelle nous baignons, comment juger quelqu'un de la sorte ? Qui est-on pour décider qu'une personne a une conscience ou pas ? La peur de juger de peur d'être soi-même jugé joue certainement également un rôle dans cette politique de l'autruche. La peur de se tromper et de bannir une personne tout à fait innocente, la peur de colporter des ragots infondés, la pensée que si l'on est bons, tout le monde l'est également, et tout simplement, le choix de ne pas s'intéresser à ce type de problématique, bloquent encore davantage l'apprentissage de ce qu'est la psychopathie. Et étant donné que les informations disponibles sont déjà relativement rares, autant dire que la plupart des gens ne savent absolument rien sur le sujet.
Et c'est tragique. Parce que les psychopathes sont les premiers à en profiter. Tant que personne n'est capable de les reconnaître pour qui ils sont et pour ce qu'ils font, ils continuent d'agir en toute impunité. Et d'une certaine manière, ne pas vouloir ouvrir les yeux quand à ce qu'ils sont et ce qu'ils font équivaut à être complice. Dans les sociétés soi-disant plus primitives, dans certaines communautés à population restreinte, les psychopathes ont peu ou pas de chance de sévir. Parce qu'ils sont repérés tout de suite. Et certaines sociétés vont même jusqu'à les éliminer afin qu'ils ne mettent pas le groupe en danger. Car la survie du groupe EST bel et bien menacée lorsqu'elle est infectée par les psychopathes. Celui-ci peut être comparé à une tornade qui détruirait tout sur son passage. Toutefois, contrairement à ce que pensent ces sociétés qui les éliminent, les psychopathes, tout comme les tornades, ont le droit, d'exister. Ils sont une manifestation de la nature - ils en font partie, tout comme les animaux et les êtres humains. Mais rien ne nous force à rester dehors sans protection lorsque la tornade arrive, toute naturelle soit-elle. Rester dehors alors qu'une alerte a été lancée semble non seulement fou mais dangereux, personne n'en disconviendra. Pourquoi n'en est-il donc pas de même pour une catégorie de personnes qui, annuellement, fait probablement bien plus de victimes que toutes les tornades réunies ? Comme le dit le Dr Gunsberg dans son article essentiel, « Au-delà de la folie » :
Quand un chien attrape la rage, nous ne le tenons pas pour responsable du fait d'être enragé. Ce que nous faisons, pour nous protéger, c'est que nous tuons le chien AVANT qu'il ne nous morde, AVANT qu'il ne nous infecte.
Nous ne tenons pas le serpent à sonnettes pour responsable du fait d'avoir des crochets venimeux. Ce que nous faisons, pour nous protéger, c'est que nous tuons le serpent à sonnettes AVANT qu'il ne nous tue.
Idem avec les humanoïdes [psychopathes]. Nous devons nous tenir sur nos gardes au premier signe de meurtre des valeurs humaines.
La solution face à la psychopathie est donc l'information et surtout le partage de cette information. Car si dans les exemples cités en début d'article, il n'est finalement question « que » d'arnaques financières, les psychopathes peuvent également être bien plus dangereux encore. Ils peuvent violer, torturer et tuer. Ils le font chaque jour, d'ailleurs. Il suffit de regarder les nouvelles. Il est d'ailleurs fascinant de voir à quel point l'on parle finalement des psychopathes à longueur de journée sans jamais mentionner ce qu'ils sont réellement. Sans jamais mentionner que ces arnaqueurs, violeurs, bourreaux et tueurs peuvent aussi - et surtout - être des gens très haut placés : des médecins, des policiers, des juges, des hommes politiques, des religieux. Et quand finalement une affaire impliquant un psychopathe éclate au grand jour, les médias s'empressent d'en faire un cas isolé. Parce que, bien sûr, il est absolument impossible et inimaginable que les psychopathes se contactent, s'associent en réseaux, s'échangent des informations ou même des fichiers ou des vidéos (par exemple à caractère pédopornographique).
Non, ça, les médias veulent vous faire croire que c'est impossible. Et si ces affaires émergent de temps à autre, on les considère comme des exceptions. Des exceptions qui sont finalement tellement fréquentes qu'elles constituent la règle. Mais les médias essaient quand même toujours de nous faire croire que vous n'avons affaire qu'à des « prédateurs isolés », des « pommes pourries » et que maintenant que ces prédateurs et ces pommes pourries sont sous les verrous, vous pouvez à nouveau dormir tranquilles. Parce qu'on veut tous dormir tranquilles, non ? Qui a vraiment envie de passer du temps à penser à tous ces psychopathes qui sévissent chaque jour ? Mieux vaut vite oublier tout ça pour pouvoir retourner à notre petite vie tranquille. Après tout, tant que nous ne sommes pas concernés directement par les agissements de l'un d'entre eux, pourquoi s'en mêler ? Et puis, que pouvons-nous vraiment y faire, de toutes façons?
Mais qu'est-ce qui nous différencie alors du psychopathe ? Après tout, se soucier uniquement de sa propre personne et n'avoir que faire de ce qui arrive aux autres n'est-il pas la première caractéristique du psychopathe ? Et c'est peut-être là qu'on comprend toute l'ampleur du mal que fait le psychopathe, non seulement aux personnes mais à la société toute entière : il nous infecte de sa maladie qui est le manque de conscience. Il est parvenu à faire croire à tout le monde qu'être narcissique, c'est avoir confiance en soi, que n'avoir aucun souci pour le bien-être des autres, c'est être un battant, qu'être individualiste, c'est la seule façon de réussir. Et que partager des informations sur les autres (sur lui, tout particulièrement), c'est colporter des ragots et que c'est donc mal. Il a pensé à toutes les options pour assurer ses arrières. Forcément, quand on n'a aucune conscience, ça laisse beaucoup de possibilités et d'occasions de réfléchir à comment arnaquer les autres. Et comme le psychopathe, par essence, ne peut que rarement se contenter de peu et que ne pas avoir de conscience est souvent un avantage pour arriver au sommet, il se retrouve très souvent en position de pouvoir. Alors, toujours envie de faire la sourde oreille et de dormir tranquille ?
La Connaissance, c'est le pouvoir (La Connaissance protège)Ainsi, réaliser que le fait de ne rien savoir, ou si peu, sur le psychopathe fait de vous, de vos enfants et de votre famille sa victime par excellence vous réveillera peut-être. Connaître, c'est se prémunir. C'est pouvoir anticiper. C'est se protéger. Si vous n'avez pas l'envie, le courage ni le temps de le faire pour vous, faites-le pour vos enfants. Après tout, les enfants sont bel et bien les victimes les plus faciles pour les psychopathes. La pédopornographie est l'un des business les plus rentables au monde. Et il ne faut pas être savants pour comprendre que si c'est le cas, c'est qu'il existe une énorme clientèle pour ce genre de produit. Ce qui invalide immédiatement la thèse des « prédateurs isolés ». Quelques prédateurs isolés ne feraient pas vivre à eux seuls une industrie aussi florissante. La demande existe, elle est bien réelle et elle est étendue. Aucun pays n'est exclu. Marc Dutroux, depuis sa cellule, a avoué fournir le monde entier en enfants, en produits à caractère pédopornographique de tous genres. Il ricanait en voyant à quel point nous étions tous idiots de croire au prédateur isolé. Arrêter quelques prédateurs isolés histoire de rassurer la population et lui faire croire que « les autorités s'en occupent, rendormez-vous » permet juste aux réseaux et aux psychopathes de continuer leurs activités lucratives immondes. Et cela n'est qu'un exemple parmi tant d'autres : comme vous le voyez, le psychopathe a une palette d'« activités » très variées à son actif, et nous sommes passés des arnaques à la pédopornographie en l'espace de quelques lignes. Vous imaginez tout ce qui se peut trouver entre ces deux extrêmes.
Se renseigner et surtout transmettre l'information sur les psychopathes, leurs agissements, leurs façons d'opérer est donc vital pour se protéger, protéger ceux qu'on aiment et protéger les autres. En faire moins que ça, c'est être complice. Sophie, Marc et Pierre le pensent aussi maintenant. Comme dirait Edmund Burke, « Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens bien. »
Alors, êtes-vous quelqu'un de bien ?
[1] Notons que cette tendance fort répandue, même chez les personnes normales (non psychopathiques) consistant à accuser la victime est le résultat direct de l'influence des psychopathes - nombre d'entre eux étant en position de pouvoir et donc de façonner la société - sur notre façon de penser. Les psychopathes rejettent toujours la responsabilité sur autrui. Notre culture, psychopathique à l'extrême, blâme le « faible » qui s'est fait avoir et glorifie le « fort », le loup aux dents longues qui a « réussi dans la vie » (en laissant de nombreuses victimes sur son chemin). Les exemples sont multiples : femmes violées qu'on accuse d'avoir provoqué l'agression de par leur tenue et leur comportement, employés qui font des tentatives de suicide parce que la pression que leur fait subir leur hiérarchie est intenable, mais qu'on accuse d'être « psychologiquement fragiles et inaptes à gérer le stress du boulot », femmes battues qu'on méprise parce que « si elles l'avaient vraiment voulu, elles auraient quitté leur mari, c'est qu'elles devaient aimer ça », et ainsi de suite. Les psychopathes font appel aux plus bas instincts des gens, au mépris de l'empathie, de la solidarité, de la compréhension, de l'entraide. C'est comme cela qu'ils arrivent à leur fin : en divisant pour mieux régner, en instillant le doute et la défiance entre les gens qui, si ils prenaient conscience du problème, s'uniraient contre leur véritable ennemi commun : le prédateur intraspécifique, le psychopathe - au lieu de se jalouser, de se blâmer mutuellement et s'étriper dans des guerres insensées orchestrées par ces mêmes psychopathes au pouvoir.
J'ai toujours du mal à croire que certaines personnes puissent ne pas avoir de conscience.
RépondreSupprimerJe pense qu'elles la font taire.
Mais peut-être ai-je tort de penser cela.
Une fois j'ai posé une question à un homme qui avait mal agi. Je lui ai demandé s'il était fier de lui. Sa réponse a été en souriant : "non, je ne suis pas fier de moi, mais c'est comme ça".
Je pense tout de même que mettre un terme de psychopathe à quelqu'un qui vous vole, à quelqu'un qui vous ment, c'est mettre vite un mot sur une chose qui n'est pas si facilement palpable.
Pour moi, le psychopathe agit avant tout par plaisir, par envie. C'est quelqu'un qui aime voir souffrir les autres.
Si je suis quelqu'un de bien ? Bah ! ce n'est pas à moi de répondre à cette question. ^^
Bonne soirée, Paul.
Ce n'est pas forcément une personne qui aime voir souffrir les autres, mais que cela indiffère ! Aucune empathie. Ces personnes sont souvent expertes pour simuler les sentiments, mieux, pour vous faire subtilement culpabiliser.
SupprimerIl serait dommage de transformer se savoir protecteur en une insulte arrangeante comme le terme d'antisémite .Dangereux pour la santé de l'esprit d'être amené a en voir partout .L'égo est je pense l'unique mode d'expression de ces individus ce qui ne leur retire en rien la conscience .
SupprimerLa conscience est de ce que j'en comprends la somme des informations/énergie de chaque cellule/matière qui compose le corps physique et éthérique .Cela doit être le reflet ou projection de ce que nous sommes sur une toile .Certainement le pouvoir donné de se regarder soi même (miroir intérieur),regarder son propre cerveaux .Si la pierre a sa propre conscience alors ... .
Je pense que ,comme il y a apparemment plusieurs niveau de conscience et sagesse de l'âme(??),comme les hommes pré-adamiques n'ont probablement pas trouvé la clés pour observer leur conscience ils restent soumis aux dicta du corps .Lorsque la conscience reflète les informations de la matière alors nous ne sommes que du pont de vue du corps mais lorsque la conscience est observé nous devenons cette conscience sans l'être car il reste encore ce qui observe la conscience .
Aussi je rejoins Paul sur le fait que les psychopathes ne sont pas forcément des monstres assoiffé de pouvoir et de sang mais n'ont malheureusement aucun monde intérieur a partager car ne le ressentent pas ,de véritable coquille vide pouvant devenir désagréable et inconfortable a côtoyer .
Les psychopathes n'ont pas encore trouvé leur jardin intérieur et ne sachant le cultiver ,récoltent la production des autres .
Mathieu
Normal, ils n'en ont pas, c'est votre jardin intérieur qu'ils désirent cultiver, ça fait très mal dans tête !
SupprimerComprendre la Bête Is Râ El
RépondreSupprimerhttp://presselibreinternationale.com/dossiers/environnement/fukushima-deception.pdf
Il est remarquable que les E-U soient dirigés par des psychopathes depuis des lustres. Ne parlons même pas de "GW Bush"..."Obama" est un Néron qui décide personnellement des suspects de terrorisme à faire assassiner par les drones et qui a mis en place tous les "Executive Orders" qui peuvent transformer les E-U du jour en lendemain en dictature sous "loi martiale".
RépondreSupprimer"Mitt Romney" est un mormon, (une secte) prédateur psychopathe milliardaire qui s'est enrichi par le spéculation financière et en dépeçant les entreprises en difficulté (comme naguère, Bernard Tapie...). Son ultra-sionisme guerrier il l'a annoncé clairement. Au menu donc, la guerre.
En France, nous avons eu les psychopathes Guéant et Sarkozy, l'homme de la guerre à la Lybie.
A présent, nous avons peut-être des personnalités moins dangereuses au premier abord, mais Fabius au ministère des affaires étrangères est le psychopathe responsable de la mort de milliers de personnes à cause du "sang contaminé".
Bref, le monde est bien dirigé, en grande partie, par des "leaders psychopathes".
Nous ne pouvons pas comprendre autrement le manque de compassion et d'empathie de ces dirigeants, qui nous entraînent vers la guerre, la ruine (pas pour eux...) et au final, vers la dictature mondiale du NWO.
Le problème, en effet, c'est que les psychopathes candidats au pouvoir ne sont pas dénoncés pour leur longue carrière de méfaits et de crime. L'exemple du prédateur violeur DSK est criant. Et ne parlons même pas de toutes les affaires dans lesquelles Sarkozy avait trempé avant d'être élu...de Karachi à ses relations avec les ultra-riches, avec la Franc maçonnerie, sa tentative en 2005 de mettre le pays sous loi martiale à cause des émeutes des banlieues suscitées par son arrogance (nettoyer les banlieues de la racaille au Kärcher...)
Bref, oui, cet article est parfaitement exact. Et nous (humains normaux, dotés d'une conscience) sommes collectivement lâches et irresponsables car nous avons démissionné de notre libre arbitre et de nos responsabilités de citoyens.
L'ami Pierrot
Le sentiment est exhibé bien souvent devant les autres, et simuler des sentiments est le lot de tous, de par notre éducation, et l'effet de mimétisme nous rangeant au rang du pigeon comme l'à montré le comportement skinérien.
RépondreSupprimerL'empathie est une forme avancée du sentiment intime et personnel qui ne s'exhibe pas et qui porte à aimer parcequ'on reconnait dans l'autre les parties de ce que nous sommes, ses forces et ses faiblesses.
Moi je n'ai vu qu'un seul chemin, celui de la sincérité.
Il montre tous les chemins, pour peu qu'on se donne la peine d'en chercher un.
Si la question ne vient pas de soi, alors la réponse est un leurre.
Amitiés
Ploz
Oui ,a vouloir trop se rapprocher d'un groupe avec ces normes/valeurs...nous fait perdre de vu ce que nous sommes et nous devenons piégé dans l'orientation du groupe .Il est plus facile de se rapprocher des idées et systèmes de croyance des autres que d'assumer les siennes et en être responsable .
SupprimerA trop vouloir plaire au autre en se faisant ainsi aimer pour ce que nous ne sommes qu'en parti fait de l'Homme un singe mimétique .
Mathieu
J'ai bien peur que le psychopathe, c'est en chacun de nous...
RépondreSupprimerLa surveillance de chacune de nos pensée ainsi que la lecture des intentions de son prochain est chose saine.
Choisir un chemin facile, tel est le chemin du psychopathe. Trouver le choix qui satisfasse toute les parties tel est le choix de celui qui se dit non psychopathe et ce chemin n'est pas facile du tout.
Le travail de chacun se situe à ce niveau.
J'en viens au même conclusion .Les individus a caractère psychopathique peuvent retrouver le sens de l'équilibre intérieur .Des individus qui ont choisi d'exprimer uniquement ou majoritairement l'intelligence du corp/égo sont devenus moins que des Hommes .Le fonctionnement de l'égocentrisme correspond de très prêt a la description du psychopathe et nous en avons tous un caché a l'intérieur de nous .
SupprimerMathieu
Les psychopathes sont physiologiquement différents des humains empathiques.
RépondreSupprimerLeur cerveau n'est pas agencé de la même manière, le psychisme est différent.
Il s'agit bien d'une autre humanité, à ne pas confondre avec des traits de caractères répandus comme l’orgueil, l'égocentrisme...
Ils n'ont aucun équilibre à retrouver, puisqu'ils sont tout à fait normaux selon les critères de leur "race" propre.
C'est pour cela que les humains empathiques se font rouler dans la farine à l'infini !!! Ils pensent avoir affaire à un alter égo qui des problèmes et que cela pourrait s'arranger un jour. J'ai côtoyé un psychopathe pendant 3 ans, du lourd ! Un homme formidable, gentil, cultivé, aimable. En fait, un tueur né, simulant toutes les émotions possible, rien ne le faisait reculer quand il décidait de nuire à quelqu'un, mensonge, fausses preuves, un nuisible hors paire.
Toujours prêt à s'approprier le bien d'autrui. Le roi du mensonge. Je n'avais jamais rencontré un type pareil. Un humain empathique ne fait pas le poids face à une engeance pareille. Son attitude mondaine était un masque savamment construit. Un vrai Terminator, mais dans la gentillesse.
Si on se réfère a la théorie selon laquelle les âmes incarnées sur terre viennent toutes de civilisation différente alors il n'y a pas de race humaine si ce n'est par sa forme et que il y a divers race ou disons prototype d'existence .Je n'aime pas l'idée de diviser ou séparer selon des normes car cela crée un trouble dans notre monde intérieur(nous contre eux) .Malgré mes propos ,je me suis séparé de certaine personne incohérente arrangeant l'histoire a leur satisfaction et n'ayant aucun souvenir de leurs nombreuses contradictions créant par leur comportement de la discorde entre des amitiés de longue date .
SupprimerCependant il se peut ,en parallèle aux anciennes connaissances ,que les individus psychopathiques soit belle et bien nos ancêtres ,notre ancienne façon de fonctionner ,les pré-adamiques .Pourquoi pas ?
La différence crée la diversité et la création ne fait jamais d'erreur donc au lieu de tergiverser sur leur nature ,le mieux a mon sens est de voir leurs utilités pour ceux sachant observer le monde .Ils participent a nous créer des Défenses y compris contre notre propre égo ,a mieux nous connaître ,nous oblige a prendre position face a certain excès et nous font grandir grâce a leur présence .Loin d'être des ennemis ,ils sont des alliés de l'évolution en cherchant insidieusement a nous mettre dans l'échec .Sans eux nous n'aurions aucun mal a créer notre paradis mais lorsque tout va bien il n'y a aucune remise en question solicité donc peu de moyen de comprendre et d'évoluer en posant notre regard sur les choses a défaut de les vivre pleinement .Ils nous permettent ,par contamination ou observation de leurs comportements ,de connaître ce que nous n'aurions jamais crée et de savourer le contraste .
Lorsqu'ils parviennent a nous détruire ,c'est que notre bâti était instable .Le service rendu du psycho est de ne jamais nous permettre de nous reposer sur nos lauriers et en utilisant nos faiblesses nous permet de nous renforcer en nous obligeant a un retour a l'équilibre .
Mathieu
@Mathieu :
SupprimerOn navigue insidieusement dans la philosophie consistant à tendre l'autre joue. Pas mon truc. De la part d'un psychopathe, la première baffe me suffit, effet de surprise. A la deuxième, celui qui tente de la donner en garde quelques souvenirs. Mais j'ai appris une chose à leur contact, ils n'apprennent pas, selon nos critères. Des machines de destruction psychique.
"Lorsqu'ils parviennent a nous détruire ,c'est que notre bâti était instable" : Les Libyens et les syriens l'expérimentent !
La souffrance ne me parait-pas un passage obligé, sauf pour les adeptes du judéo-christianisme.
Le psychopathe utilise nos principales faiblesses à ses yeux : notre humanité, votre capacité à aider autrui, notre compassion, notre générosité, notre capacité à penser qu'en fait c'est nous le problème ! Sont-ce des faiblesses à éradiquer ?
Il ne s'agit pas de tendre l'autre joue ou l'inverse ,la fuite en avant .Prenons les pour ce qu'ils sont et n'en faisons pas des ennemis a mettre a mort .Passer son temps a vouloir s'opposer a ce qui est n'est en rien une solution aux problèmes qu'ils nous imposent mais ce que je pense est qu'il est judicieux de s'appuyer sur ces expériences pour partir vers la réalisation de "Soi" .L'opposition est par principe une lutte ,une résistance qui laisse sur place comme figé celui qui la pratique alors que s'appuyer donne de l'élan .Lorsque le moment est venu de reconnaître les comportements d'un psycho comme étant inhumain alors a ce moment l'individu s'en libère ,la claque ne viendra plus car il a reconnu sa propre humanité ,il se connait mieux(capacité à penser qu'en fait c'est nous le problème n'est plus valide).
RépondreSupprimerLeur rôle :"Des machines de destruction psychique" .
Bien sûr ,ils détruisent tout ce qui ne vient pas de nos choix direct(le bâti) car ce qui nous porte et nous fait grandir ne peut être atteint mais seulement ce qui est superficiel ,fait pour autrui ,ce que nous ne sommes pas en essence .Le psycho nous atteint par son jeu de dupe car nous passons tout notre temps a vouloir plaire aux autres en recherchant du soutien ,de la validité ,de l'acquiescement .Donc ce que je dit c'est que construire a l'extérieur (au lieu de se convenir à soi)en voulant se faire aimer fait de nous des proies savoureuses ,la faiblesse est là et non notre humanité .(donc pour la comparaison aux guerres !!rien a voir)
La vision du judéo-christianisme rend coupable , peureux et irresponsable ,là je parle de prendre le taureau par les cornes .
Sont-ce des faiblesses à éradiquer ? Non,plutôt réajuster nos faiblesses en les repositionnant dans leurs fonctions premières(donc des forces/dons) et non comme on nous apprend a les utiliser pour vivre en société .
et je m'arrête ici
Mathieu
Mouais. Mouais! Honnêtement, d'où tenez vous toutes ces informations? Parce que scientifiquement, elles sont fausses... la psychopathie ne représenterait que 2 à 4 % de la population. voir moins... En outre, ces personnes ne sont pas 'inhumaines', bien au contraire. Elles rassemblent à elles seules bien des travers, mais ne sont pas inhumaines. Vouloir les faire sortir de la race humaine, c'est vouloir jeter dehors des gens de notre propre race. C'est aussi vouloir jeter au dehors de soi-même ses démons intérieurs. Or, je sens dans votre écriture une haine phénoménal. C'est terrible de vous lire! on a l'impression que l'humanité est remplie d'horreurs! Or ce n'est pas si vrai que cela! En plus, un psychopathe n'est pas irrécupérable. On préfère le croire, parce que c'est plus facile. Mais, souvent, vers 40 ans, les psychopathes ont tendance à être en 'rémission'. Bon, je ne parle pas de Fourniret, ni de Guy Georges. Il n'empêche que ...
RépondreSupprimerEt puis enfin, dans votre description peuvent aussi se reconnaitre nombre de borderline, de bipolaire, ou cyclothymique... Faites attention, parce que ces t roubles sont très différent!