L'hypothèse métamorphique n'est pas souvent développée, parce que le concept est encore peu répandu, mais elle s'offre comme une voie de recherches à part entière pour tenter d'expliquer le phénomène Ovni. Elle est déjà très présente dans les films et les séries TV.
Cet article en deux parties aborde le sujet sous l'angle des pratiques chamaniques et les connaissances obtenues pendant des séances avec l'Ayahuasca, "un breuvage à base de lianes consommé traditionnellement par les chamanes des tribus indiennes d'Amazonie."
"Le peintre et chamane péruvien Pablo César Amaringo (1943-16 novembre 2009) avait publié "Ayahuasca Visions, The Religious Iconography of a Peruvian Shaman", un recueil de ses peintures représentant des visions obtenues pendant des cérémonies avec l'ayahuasca. L'ouvrage fut réalisé en collaboration avec l'anthropologue Luis Eduardo Luna, Ph.D. Les Vaisseaux extraterrestres occupent une large part de ses motifs.
Lorsque la guérisseuse qui avait soigné sa soeur lui a fait prendre de l'Ayahuasca, Pablo vit une immense soucoupe volante dont le bruit effrayant l'avait paniqué (Vision 7). Don Manuel Amaringo, le frère ainé de Pablo, m'a raconté une histoire similaire. Les larmes aux yeux, il m'a raconté que le chant (Icaro) qu'il utilisait le plus souvent pour soigner des gens lui avait été donné par une fée nommée Altos Cielos Nieves Tenebrosas, qui était venue à bord d'un grand vaisseau bleu.
Bien qu'il ait souvent représenté des vaisseaux, Pablo n'en parlait pas très volontiers. Selon lui ces véhicules peuvent adopter toutes sortes de formes, ils sont capables de se déplacer à des vitesses prodigieuses, et de voyager sous les eaux et la terre.
Les êtres qui les utilisent sont comme des esprits, leurs corps sont plus subtils que les nôtres, ils ont la faculté d'apparaître et disparaître à volonté.
Ils font partie de civilisations extraterrestres avancées qui vivent en parfaite harmonie. De grandes civilisations amérindiennes telles que les Mayas, les Tiahuanacos, et les Incas étaient en contact avec ces êtres.
Pablo apprit pendant ses voyages avec l'ayahuasca que les Mayas connaissaient ce breuvage, et qu'ils sont partis vers d'autres mondes par ce moyen, mais qu'ils sont sur le point de revenir. Il expliquait que certaines des soucoupes volantes qu'on observe aujourd'hui sont pilotées par des sages Mayas.
Martti Parssinen, l'historien finlandais, m'a signalé un texte écrit par le Père Francisco de San José qui raconte une une curieuse manifestation observée par des missionnaires au confluent des rivières Pozuzo et Ucayali le 8 août 1767. Une nuit, le Père Francisco et ses compagnons étaient encerclés par un groupe de Conibos hostiles, qui leur lançaient des flêches, et ils tentaient de se défendre au pistolet :
"Pendant cette bataille, il s'est passé un évènement mémorable. Un globe de lumière plus brillant que la Lune a survolé la ligne des Conibos, éclairant toute la zone. Je ne sais si les Indiens ont perçu l'étrangeté de la situation, mais ils ont cessé de nous tirer des flêches..." (San José 1767:364)
Les Extraterrestres sont en contact avec les nina-runas (peuple du feu) qui vivent dans les volcans. Ils communiquent entre eux par télépathie.
On peut voir ces êtres et leurs véhicules grâce à l'ayahuasca, mais peu de pratiquants ont établi un contact avec eux.
Seuls quelques élus bénéficient des chants de pouvoir que ces extraterrestres enseignent, et c'est d'eux qu'ils reçoivent des informations utiles pour soigner leurs patients.
[Le chamane Guillermo Arevalo a témoigné dans le même sens lors d'une émission sur 'Radio Ici & Maintenant!' en septembre 2010]
L'anthropologue française Francoise Barbira-Freedman, qui a mené de nombreuses recherches parmi les Lamistas de la province de San Martin, m'a raconté que les visions de vaisseaux étaient fréquentes pendant les cérémonies d'ayahuasca.
Lorsque j'ai rendu visite à Don Manuel Shuna, l'oncle de Pablo, âgé de plus de 90 ans, je lui ai montré plusieurs photos des peintures de Pablo. Alors que j'attirais son attention sur la représentation d'une soucoupe volante, il m'a confié avec beaucoup d'émotion, et un certain stress, qu'il avait été harcelé pendant ces deux dernières années par des êtres qui sortaient de telles machines. Selon lui ces gens se déplacent légèrement au-dessus de la surface des eaux.
Don Manuel explique que leurs machines font environ 50 mètres de long, émanant des lumières qui dissipent la nuit. Au repos, elles ne touchent jamais le sol ni l'eau, mais se maintiennent en suspension dans l'air. Parfois, les êtres à bord de ces machines renversent des arbres qu'elles finissent par emporter. Don Manuel ajouta :
"Ils savent quand je vais boire de l'ayahuasca. Ils approchent et chantent toutes sortes de chants, de même que les icaros que je connais. Ils savent également comment prier.
Ils sollicitent mon amitié, parce qu'il y a des choses qu'ils ne savent pas encore. Ils aimeraient m'emmener avec eux, mais je refuse de les accompagner parce qu'ils se mangent entre eux.
Ils ont essayé de m'effrayer en faisant bouger la terre, ou en faisant tomber de grands arbres. Ils m'ont presque rendu fou. Mais ils ne s'approchent plus de moi, parce que je leur ai soufflé du mapacho (tabac de purification)."
Il est bien sûr très difficile d'apprécier ce témoignage. Il semble que les chamanes soient en permanence enclins à s'approprier symboliquement tout ce qu'il voient et entendent même si c'est inédit pour eux, utilisant ces éléments dans leurs visions comme des métaphores vivantes afin d'explorer toujours davantage les sphères de l'esprit, d'enrichir leur savoir, ou de se défendre contre des attaques surnaturelles."
Suite de l'article publié avant-hier, qui concerne les descriptions de soucoupes volantes et de leurs occupants par les chamanes d'Amazonie, en relation avec l'hypothèse métamorphique :
"Le fait de voler est l'un des thèmes parmi les plus récurrents dans toutes les pratiques chamaniques. Le chamane peut se métamorphoser en un oiseau, un insecte, ou un être ailé. Il peut être transporté par un animal ou une entité vers d'autres dimensions.
Pour exprimer l'idée de voler, les chamanes contemporains se servent parfois de métaphores empruntées à des innovations récentes.
C'est pourquoi il n'est pas étrange que le thème des Ovnis, lequel fait partie de l'imagerie moderne - peut-être sous l'angle proposé par Carl Gustav Jung (1959), ou comme une expression archétypale relative à notre époque - soit utilisé par les chamanes pour signifier le ravissement spirituel vers d'autres réalités.
Les soucoupes volantes, les entités extraterrestres, et les civilisations intergalactiques que représente Pablo Amaringo dans ses peintures ne doivent pas nécessairement être considérés comme des représentations inhabituelles ou étrangères au chamanisme amazonien; ils peuvent être des résurgences de thèmes anciens.
"Ils savent quand je vais boire de l'ayahuasca. Ils approchent et chantent toutes sortes de chants, de même que les icaros que je connais. Ils savent également comment prier.
Ils sollicitent mon amitié, parce qu'il y a des choses qu'ils ne savent pas encore. Ils aimeraient m'emmener avec eux, mais je refuse de les accompagner parce qu'ils se mangent entre eux.
Ils ont essayé de m'effrayer en faisant bouger la terre, ou en faisant tomber de grands arbres. Ils m'ont presque rendu fou. Mais ils ne s'approchent plus de moi, parce que je leur ai soufflé du mapacho (tabac de purification)."
Il est bien sûr très difficile d'apprécier ce témoignage. Il semble que les chamanes soient en permanence enclins à s'approprier symboliquement tout ce qu'il voient et entendent même si c'est inédit pour eux, utilisant ces éléments dans leurs visions comme des métaphores vivantes afin d'explorer toujours davantage les sphères de l'esprit, d'enrichir leur savoir, ou de se défendre contre des attaques surnaturelles."
Suite de l'article publié avant-hier, qui concerne les descriptions de soucoupes volantes et de leurs occupants par les chamanes d'Amazonie, en relation avec l'hypothèse métamorphique :
"Le fait de voler est l'un des thèmes parmi les plus récurrents dans toutes les pratiques chamaniques. Le chamane peut se métamorphoser en un oiseau, un insecte, ou un être ailé. Il peut être transporté par un animal ou une entité vers d'autres dimensions.
Pour exprimer l'idée de voler, les chamanes contemporains se servent parfois de métaphores empruntées à des innovations récentes.
C'est pourquoi il n'est pas étrange que le thème des Ovnis, lequel fait partie de l'imagerie moderne - peut-être sous l'angle proposé par Carl Gustav Jung (1959), ou comme une expression archétypale relative à notre époque - soit utilisé par les chamanes pour signifier le ravissement spirituel vers d'autres réalités.
Les soucoupes volantes, les entités extraterrestres, et les civilisations intergalactiques que représente Pablo Amaringo dans ses peintures ne doivent pas nécessairement être considérés comme des représentations inhabituelles ou étrangères au chamanisme amazonien; ils peuvent être des résurgences de thèmes anciens.
Les récits de voyages chamaniques sous l'influence de l'Ayahuasca et autres plantes psychotropes, même issus de tribus amazoniennes culturellement isolées, intègrent également l'idée qu'un chamane monte vers les cieux où il fréquente des entités célestes.
Dans certains cas, les chamanes expliquent que ces créatures spirituelles viennent se manifester sur le lieu de la cérémonie. (cf. Gomez 1969; Reichel-Dolmatoff 1971:43,173; Vickers & Plowman 1984:19; Ramirez de Jara & Pinzon 1986:173-4; Chaumeil 1982:40; Cipoletti1987;etc.).
Dans la mythologie Cuna, et les récits qui concernent les héros traditionnels, il y a de nombreuses références à ces soucoupes volantes. Cette notion s'est étendue au folklore, mais leurs descriptions concernent également des manifestations dans la vie courante. (Gomez 1969:67)
Jacques Vallée (1979) et Bertrand Méheust (1988) ont souligné le parallélisme qu'on peut constater entre les thèmes folkloriques, les voyages chamaniques, et les abductions par des soucoupes volantes. De même que les autres parties du monde, l'Amazonie d'aujourd'hui est constamment bombardée par de nouvelles images et des symboles venus d'ailleurs, qui s'intègrent rapidement aux croyances traditionnelles.
Dans certains cas, les chamanes expliquent que ces créatures spirituelles viennent se manifester sur le lieu de la cérémonie. (cf. Gomez 1969; Reichel-Dolmatoff 1971:43,173; Vickers & Plowman 1984:19; Ramirez de Jara & Pinzon 1986:173-4; Chaumeil 1982:40; Cipoletti1987;etc.).
Dans la mythologie Cuna, et les récits qui concernent les héros traditionnels, il y a de nombreuses références à ces soucoupes volantes. Cette notion s'est étendue au folklore, mais leurs descriptions concernent également des manifestations dans la vie courante. (Gomez 1969:67)
Jacques Vallée (1979) et Bertrand Méheust (1988) ont souligné le parallélisme qu'on peut constater entre les thèmes folkloriques, les voyages chamaniques, et les abductions par des soucoupes volantes. De même que les autres parties du monde, l'Amazonie d'aujourd'hui est constamment bombardée par de nouvelles images et des symboles venus d'ailleurs, qui s'intègrent rapidement aux croyances traditionnelles.
D'un autre côté, la connexion entre les Ovnis et la DMT a été amplement soulignée par Terence McKenna, lequel a démontré statistiquement qu'un grand nombre de personnes ayant absorbé 15mg de psilocybine, de manière "récréative" rapportent un contact extraterrestre.
Cette dose est suffisante pour déployer tout le spectre des effets psychédéliques (cf. McKenna 1984,1989). Des occidentaux ont témoigné dans le même sens après avoir pris de l'Ayahuasca, du Psilocybe Cubensis, ou de la diméthyltryptamine (DMT). "Certaines recherches tendent à montrer que la DMT est produite naturellement en très petites quantités par la glande pinéale, connue également sous le nom d'épiphyse."
Ainsi que Jacques Vallée l'a fait remarquer (1979:209-10), les Ovnis sont des manifestations physiques qu'on ne peut appréhender sans leurs références psychiques et symboliques. Le thème des Ovnis ne devrait pas être ignoré des anthropologues cognitifs, de la psychologie des profondeurs, et de tous ceux qui s'intéressent aux mythologies de l'homme d'aujourd'hui." - Source
Cette dose est suffisante pour déployer tout le spectre des effets psychédéliques (cf. McKenna 1984,1989). Des occidentaux ont témoigné dans le même sens après avoir pris de l'Ayahuasca, du Psilocybe Cubensis, ou de la diméthyltryptamine (DMT). "Certaines recherches tendent à montrer que la DMT est produite naturellement en très petites quantités par la glande pinéale, connue également sous le nom d'épiphyse."
Ainsi que Jacques Vallée l'a fait remarquer (1979:209-10), les Ovnis sont des manifestations physiques qu'on ne peut appréhender sans leurs références psychiques et symboliques. Le thème des Ovnis ne devrait pas être ignoré des anthropologues cognitifs, de la psychologie des profondeurs, et de tous ceux qui s'intéressent aux mythologies de l'homme d'aujourd'hui." - Source
Je ne sais pas trop quoi dire à tout ça, sinon que je me demande pourquoi c'est toujours sous l'effet de la drogue que des gens 'voient' ces phénomènes.
RépondreSupprimerCeux qu'on appelle "extra terrestres" : ils ont des 'corps subtils', peuvent apparaître ou disparaître à loisir. "Ils font partie de civilisations extraterrestres avancées qui vivent en parfaite harmonie" mais "...ils se mangent entre eux."
Ils essaient d'effrayer les gens, mais donnent des prières qui guérissent...
Tout cela me semble paradoxal. Et je finis par me demander si ces extraterrestres dont on nous parle ne sont pas les esprits de ceux qui ont déjà quitté la vie matérielle (mort).
Peut-être qu'un jour nous en saurons un peu plus...
J'ai fait ce genre d'expérience sans utiliser de produits, uniquement au tambour. L’intensité des vision est peut-être moins forte, mais les "visions" sont là : des mondes glauques et des mondes merveilleux...
SupprimerMais il m'est arrivé de "croiser" certains aliens, pas des gentils du tout, de façon accidentelle, la nuit. L'horreur ! Ceux que j'ai croisé paraissaient matériels mais ne l'étaient pas, d'autres restent invisibles, mais on sent leurs contours avec la main. Ils sont tous autour de nous !
J'attends toujours d'en voir des gentils, mais en vain. Je garde espoir !
POUr ceux que ça intéresse, voici le lien de l émission radio avec Guillermo :
RépondreSupprimerhttp://rim953.fr/?p=536
A écouter sans hésitation si le sujet vous titille.
Le passage suivant :
RépondreSupprimer"Les êtres qui les utilisent sont comme des esprits, leurs corps sont plus subtils que les nôtres, ils ont la faculté d'apparaître et disparaître à volonté.
Ils font partie de civilisations extraterrestres avancées qui vivent en parfaite harmonie."
Cela me paraît décrire ce qu'on appellerait l'univers des rêves ou une réalité de 4° Dimension (supérieure, lorsqu'il s'agit d'ET bienveillants, inférieure lorsqu'il s'agit des "copains" de Paul, les Reptiliens notamment).
L'ascension, dans le concept, serait une augmentation de fréquence vibratoire ou de niveau énergétique (ce qui correspond d'ailleurs à une réalité mesurable, ainsi qu'à des phénomènes observables, tels les bruits étranges).
La planète passerait en 4° dimension ce qui se traduirait par l'irruption dans notre réalité actuelle, des êtres spirituels (non incarnés) décrits par les Chamanes.
En réalité, par l'intermédiaire des drogues (ou d'autres stimulations, comme les sons: tambours, mantras...) qui agissent sur la "glande pinéale" ou "3° oeil", ou "Chakra du front", le Chamane expérimente une (forme de) décorporation lui permettant de s'immerger (par son corps astral) dans la 4° dimension (inférieure, ou supérieure, selon le cas).
Ce processus pourrait donc se généraliser prochainement, en tout cas pour les personnes les plus "sensibles" ou "réceptives" (Paulot c'est sûr, moi pas sûr), puisque le niveau énergétique global planétaire augmente sous l'effet du cosmos, mais aussi semble t-il, de changements énergétiques internes à la Terre.
L'ami Pierrot
J'ai pris deux fois l'ayahuasca (liane et feuilles d'un arbuste cuit longuement).
RépondreSupprimerL'Ayahuasca est un enthéogène et non hallucinogène et nous fait voyager à l'intérieur de nos faiblesses et forces, il nous transforme et nous guérit il nous permets de nous connecter à d'autres "mondes". Personnellement j'ai "vécu" la plante (l'arbuste) j'e suis devenue l'arbuste je "ressentis" la plante, sa croissance, sa sève qui circule, etc .. J'ai aussi été en présence de mon être Divin et pour bien intégrer la "leçon" j'ai plongée dans le monde opposé, la noirceur, la folie, la manipulation etc...
Je pouvais entendre les sons au loin, j'entendais des bruits à des km de distance et j'ai eue le bonheur de connaître ce que devenir Un avec l'autre signifiait et cela non pas pendant la séance d'ayahuasca, mais plusieurs semaines après, car les enseignements de "la" plante continuent même après.
Au Brésil l'Ayahuasca est une religion et n'est pas une drogue.
La "plante" nous enseigne, elle nous amènera aussi bien dans notre folie, nos perversions, nos faiblesses, nos peurs et alors on peut vivre des moments effrayants mais on à toujours la possibilité pendant les expériences de maîtriser ces peurs en les exceptant comme un enseignement un chemin vers la libération et la "plante" nous amène aussi vers notre Divin, vers des vies antérieures, vers notre évolution propre ou collective, elle nous aide aussi a communiquer avec d'autres civilisations. Lorsqu'on prends l'ayahuasca, on peut a tout moment rester maître des évènements (sauf si on vie la peur) on ferme les yeux et on vie les évènements, on ouvre les yeux et on est tout à fait présent et conscient (en tout cas en ce qui me concernais).
L'ayahusaca est un moyen de croissance spirituelle, on respecte la "plante" et on la consomme avec amour et avec foi dans ses enseignements sans la peur car elle nous aide à voir clair en nous et peut amener à la surface des choses très belles mais aussi très moches. L'ayahuasca guérit également physiquement car en nettoyant certains résidus psychiques, elle guérit en même temps les/la maladie(s) en rapport avec le "problème" psychique car les deux sont liés.
Il y a le livre: "Ainsi parle l'esprit de la plante" Jean-Marie Delacroix (psychothérapeute français) et il y a également Jérémy Narby "Le serpent cosmique" (Anthropologue) extrait conférence à l'Inrees: http://www.dailymotion.com/video/x6vst0_jeremy-narby-extrait-de-la-conferen_news
En bref, l'ayahuasca est un maître sacré et un sacré maître :) et ... il n'y a aucune dépendance à cette "plante" !
Merci à vous deux, "anonymes", pour vos précisions sur le sujet. L'interwiew (la première proposée) est un peu longue (2h) pour que je continue à la regarder ce soir, mais ça m'intéresse. ^^
RépondreSupprimerEn tout cas, je ne crois pas que j'aie envie d'avoir une expérience comme la votre, Paul. Elle fait un peu froid dans le dos. ^^ Cependant, même si je n'ai jamais eu de contact avec des êtres désincarnés, j'ai la sensation d'être entourée de 'protection'. Je ne sais pas bien définir ça. C'est seulement un ressenti qui me fait me sentir en sécurité, où que je me trouve, et à n'importe quel moment de la journée ou de la nuit.