Panique à Prague où les huissiers tchèques ont voulu abuser de leur pouvoir en saisissant certains des monuments historiques de la ville.
Peur sur la ville. Les huissiers tchèques ont élargi leurs champs d'actions à la ville de Prague sans vraiment de raisons apparentes. En effet, sous prétexte qu'un employé municipal ne s'était pas acquitté d'un payement de 6400 euros, selon Mladá Fronta Dnes relayé par Courrier International, ils ont décidé de saisir les lieux les plus touristiques mais également les plus prestigieux de Prague, comme le Pont Charles dans le quartier historique de Malá Strana et la place Wenceslas.
Mais fort heureusement, leur pouvoir n'a pas été approuvé par le gouvernement qui a revu la législation, réduisant ainsi le pouvoir abusif des huissiers tchèques. La ville de Prague peut ainsi conserver la possession des deux lieux hautement historiques. Ainsi, les habitants peuvent souffler et continuer à se promener dans les magnifiques rues de la capitale.
Une fables des temps modernes...quand la bureaucratie envahissante, même privée ou privatisée (les huissiers sont des "libéraux") a un pouvoir de nuisance et anti-social énorme.
RépondreSupprimerLe fond de l'histoire, c'est une dette. Cela déclenche - c'est le prétexte - de l'arbitraire (bon, là le gouvernement aurait réagi dans le bon sens, mais c'est exceptionnel, d'habitude ce sont les banquiers qui commandent).
Hé bien en Grèce, voyez vous, c'est tout le pays qui est saisi par les huissiers du FMI, de la Banque Mondiale, des Eurocrates de l'UE...
On les appelle la "Troïka". Alors, fouette, fouette cocher ! et on retourne au monde concentrationnaire et de pénurie institutionnelle (pas pour l'Elite, la Nomenklatura, ouf!) de monsieur Josef (Staline).
L'Europe est censée protéger les peuples, la liberté, la paix, la démocratie, le "consommateur" (j'aime ce mot)...et elle nous assassine à petit feu sous la dette et la férule des banquiers, et sous une réglementation et des normes dignes de Kafka (un Tchèque, ça tombe bien).
Trop de lois, c'est le cimetière de la liberté et de la démocratie. Vous êtes toujours en faute pour quelque chose...
Ah, l'ANGSOC et la Novlangue...Georges Orwell, 1984. Vous aurez bientôt le "Télécran" chez vous.
L'ami Pierrot