D'après ma théorie - issue de nombreuses années d'observations - notre vie fonctionne, tout au long, au moyen de pulsations régulières qui accompagnent chacun d'entre nous. ces pulsations ont tendance à influencer nos comportements au moyen de divers mécanismes, notamment un effet de pulsions et de désinhibition pour ce qui est de l'aspect psychique, et une incidence sur l'énergie de notre organisme, pour ce qui est de l'aspect physique.
Voici un essai de décrire ces rythmes et cycles, ainsi que leurs conséquences...
Il s'agit d'un mécanisme endogène, c'est à dire qui se produit à l'intérieur de notre organisme, sans l'influence ou l'apport de quelque chose d'extérieur... le fonctionnement est probablement hormonal et a la curieuse mais efficace particularité d'être lié à une horloge interne très précise... notre vie durant.
(ceci étant souligné parce que l'on compare parfois ma théorie des cycles à de l'astrologie ou de la numérologie avec lesquels elle n'a rien à voir).
Quels sont ces rythmes et cycles ?
Un certain nombre de cycles existent et fonctionnent chez tous les humains. ils nous influencent tout au long de notre vie. voyons tout d'abord ceux dont les effets sont les plus remarquables, ceux dont l'existence ne fait plus de doute pour moi, après une vingtaine d'années d'observations.
Il s'agit des cycles suivants :
- un cycle psychique et émotionnel septennal (cycle long)
- un cycle émotionnel hebdomadaire (cycle court)
- un cycle physique de six jours (cycle court)
- un cycle physique et psychique sextennal (cycle long)
- un cycle intellectuel de huit jours (cycle court)
d'autres sont suspectés et je les citerai plus loin.
ces cycles accompagnent tout humain depuis le jour de sa naissance, qui est leur point de départ, jusqu'à la mort.
depuis le jour de la naissance, parce que probablement il s'agit du point de départ de notre vie aérienne autonome.
les cycles courts, physique et psychique (émotionnel) ont été découverts aux alentours de 1900 en même temps par le médecin allemand Wilhelm Fliess et un autre médecin, autrichien, Herrman Swoboda. le cycle intellectuel a été découvert plus tard par Alfred Teltscher, un professeur autrichien en génie mécanique.
j'ai trouvé entretemps qu'il existe l'équivalent en cycles longs...
Intérêt
L'observation des rythmes et cycles humains permet d'analyser certains comportements ou événements passés, de comprendre le présent et de PREVENIR ET GERER CEUX, EVENTUELS, DU FUTUR.
- cycle psychique et émotionnel septennal : nous entrons dans un "état particulier" lors de chaque "période critique septennale"...
environ six mois avant un anniversaire septennal nous "changeons d'état" et entrons dans une période qui peut prendre différents aspects : il peut ne pas se passer grand chose voire rien du tout, mais il peut survenir des situations graves comme de sérieuses dépressions, des épisodes à risques de passage aux actes très divers en raison de pulsions qui vont nous pousser à agir, alors que s'atténuent, voire disparaissent parfois, nos inhibitions : sur des sujets qui nous préoccupent autrement de façon latente, nous allons avoir le courage et l'énergie agir, bouger, démarrer, de façon consciente ou subconsciente, des actes qui nous peuvent nous être profitables mais aussi nuisibles... (séparations, suicides, crimes, et même certaines maladies, etc...)
- jour critique émotionnel : un jour de "pulsions" et de tensions chaque septième jour de notre vie.
jour de pulsions psychiques et émotionnelles : c'est notre jour à risque de blues, déprime voire dépression fulgurante ou de colère. jour de passage à l'acte des suicidaires, criminels, jour des conflits conjugaux et autres...
- jour critique physique : un jour de "pulsions" ou de "débrayage" physiques, chaque sixième jour de notre vie...
c'est un jour de "contrôle technique" de notre organisme : notre mauvais état de santé a tendance à se manifester de préférence ce jour là, mais c'est aussi un jour de pulsions pouvant entraîner certains passages aux actes ou défaillances...
- cycle physique sextennal : il est l'équivalent du cycle physique de 23 jours des biorythmes. rapporté aux années il peut induire des "années de fatigue physique" lors de nos "années critiques physiques".
Ces cycles ETANT CONNUS A L'AVANCE, leur observation va pouvoir aider à gérer notre forme et nos émotions, et parfois, à éviter des drames :
- en sachant par exemple à l'avance que l'on peut très gravement déprimer à l'arrivée d'une période critique septennale- que la majorité des difficultés conjugales graves surgissent à ce moment là (séparations se soldant parfois par un drame)
- en sachant à l'avance que notre jour critique émotionnel (hebdomadaire) est notre jour "à risque de dérapage"...- en sachant à l'avance que c'est un multiple de sixième jour que nous pouvons être physiquement mal en point...- en sachant qu'une longue période d'épuisement peut avoir un lien avec une année critique physique.
Face à un problème sérieux, pensons à vérifier si nous ne sommes pas en situation "à risque"- en observant la position de nos cycles longs et courts.
cela peut parfois expliquer - au moins en partie - la survenance du problème, mais cela peut aussi aider à le gérer voire le maîtriser.
Repérez à l'avance, préventivement, vos périodes et jours critiques et ceux de votre entourage : cela permet de s'observer et mieux se connaître... mais aussi de comprendre, parfois d'aider, et ne pas être pris au dépourvu en cas de réaction éventuelle...
CYCLE PSYCHIQUE ET EMOTIONNEL SEPTENNAL
La particularité de ce cycle est qu'il comporte ce que j'ai appelé des "périodes critiques septennales" se situant autour de nos années de vie septennales, c'est à dire nos âges de la table de sept.
Les périodes critiques septennales les plus connues sont celle de l'adolescence et celle de l'entrée dans l'âge adulte.
Ce sont donc les période critiques septennales de 14 ans et de 21 ans. Ce type de période existe cependant pour tous nos âges septennaux, c'est à dire tous nos âges de la table de sept. (7 ans, 14 ans, 21, 28, 35, 42, 49, 56, 63, 70, 77, 84, 91, 98 ans).
Ces périodes critiques démarrent environ six mois avant l'anniversaire septennal et voici donc le calendrier des périodes critiques septennales liées à notre cycle psychique et émotionnel :
- de 6 ans et demi à 8 ans (1ère période, celle des 7 ans)
- de 13 ans et demi à 15 ans (2ème période, celle des 14 ans)
- de 20 ans et demi à 22 ans (3ème période, celle des 21 ans)
- de 27 ans et demi à 29 ans (4ème période, celle des 28 ans)
- de 34 ans et demi à 36 ans (5ème période, celle des 35 ans)
- de 41 ans et demi à 43 ans (6ème période, celle des 42 ans)
- de 48 ans et demi à 50 ans (7ème période, celle des 49 ans)
- de 55 ans et demi à 57 ans (8ème période, celle des 56 ans)
- de 62 ans et demi à 64 ans (9ème période, celle des 63 ans)
- de 69 ans et demi à 71 ans (10ème période, celle des 70 ans)
- de 76 ans et demi à 78 ans (11ème période, celle des 77 ans)
- de 83 ans et demi à 85 ans (12ème période, celle des 84 ans)
- de 90 ans et demi à 92 ans (13ème période, celle des 91 ans)
- de 97 ans et demi à 99 ans (14ème période, celle des 98 ans)
les périodes critiques septennales sont des périodes de changements lors desquelles nous faisons une sorte de "saut évolutif" dans notre vie. certaines sont de véritables épisodes de métamorphose (celle de l'adolescence est la plus remarquable, par exemple) mais d'autres sont un peu plus discrètes. toutes ont cependant leur importance et un rôle différent selon la période dont il s'agit. les particularités de chacune restent à étudier.
ce sont des périodes qui vont nous faire bouger, remettre en cause, réviser notre situation, parfois nous bousculer, et cela va donner lieu à des manifestations extrêmement diverses selon les individus et les situations : elles peuvent en effet revêtir des formes et des effets très individualisés, voire elles peuvent quasiment "ne pas se faire remarquer"...
mais c'est lors de ces périodes que peuvent surgir par exemple des problèmes dans un couple en raison des perturbations psychiques et du changement de personnalité qu'elles peuvent opérer : de nombreux conflits débouchant sur des séparations, et même des drames, sont liés à l'arrivée d'une période critique septennale d'une personne (on la retrouve très souvent lors d'une séparation, d'un drame familial ou conjugal, d'un infanticide, etc...)
ce sont des périodes de grands changements et de nouvelles entreprises (travail, région, partenaires, etc...) car nous sommes à la fois bousculés, et désinhibés, (il se produit un effet momentané de pulsions/désinhibition simultanément) c'est à dire que nous aurons moins peur d'opérer un changement, nous serons plus entreprenants. pour cela les périodes critiques septennales sont, par définition, des périodes de prise de risques... c'est notamment cet effet de pulsion/désinhibition qui explique les drames de toutes sortes qui peuvent arriver lors des périodes critiques septennales, (y compris des comportements criminels, la période critique septennale étant alors notre "période Hyde").
l'une des manifestations les plus courantes est la dépression septennale : c'est une grave dépression - parce que particulièrement importante et tenace - qui peut surgir à ce moment là, et parfois conduire certaines personnes jusqu'au suicide.
j'ai remarqué aussi que l'irruption d'un certain nombre de maladies coïncide souvent avec l'arrivée d'une période critique septennale et je suis persuadé qu'il y a un lien.
CYCLE EMOTIONNEL HEBDOMADAIRE
ce cycle est aussi un cycle psychique et émotionnel fonctionnant au moyen de pulsations, chaque septième jour. il induit un "jour critique émotionnel" chaque septième jour de notre vie à partir de notre jour de naissance. cela a pour résultat mathématique que ce jour critique émotionnel est et reste notre vie durant, toujours le même jour que celui de la naissance. né un lundi notre jour critique émotionnel sera définitivement le lundi, multiple de sept oblige.
le jour critique émotionnel est l'équivalent en modèle réduit de la période critique septennale décrite plus haut : c'est notre jour de réflexion et de remise en cause, et ce de fait de possible déprime voire dépression (parfois foudroyante), jour de possible mauvaise humeur et colère. aussi jour de pulsion/désinhibition nous retrouverons souvent le jour critique émotionnel lors de nombreux comportements "à risques", voire criminels : altercations, drames conjugaux et familiaux, passages à l'acte suicidaires et criminels. c'est, dans les situations extrêmes, notre "jour d'explosion". c'est notre "jour Hyde".
période critique septennale et jour critique émotionnel sont des "éléments déclencheurs" ou "élements moteurs" souvent présents lors de passages à l'acte très divers. ils ont d'ailleurs beaucoup de ressemblances : ils s'amplifient mutuellement lorsque par exemple le jour critique émotionnel se trouve situé dans la période critique septennale.
CYCLE PHYSIQUE ET EMOTIONNEL de six jours
ce cycle fonctionne de la même manière que le cycle précédent, induisant un jour critique physique chaque sixième jour de notre vie.
le jour critique physique est un jour de "débrayage" de l'énergie physique de notre organisme : il est de ce fait jour de fatigue et d'accidents de tous ordres, pouvant avoir un lien avec la défaillance humaine
(c'est le "jour des erreurs humaines"), mais aussi sportifs et médicaux. (jour des bébés secoués parce que bébé a tendance à pleurer ce jour là, aussi, exceptionnellement, jour de la mort subite du nourrisson en raison probablement de cet effet "débrayage de l'énergie physique de l'organisme", il est enfin fréquemment le jour du décès "naturel" de l'humain, pour ces mêmes raisons).
il peut à certains moments revêtir la forme d'un jour critique émotionnel et conduire à des coups de blues et du fait de pulsions physiques à des passages à l'acte criminels (viols et agressions sexuelles par exemple).
CYCLE PHYSIQUE SEXTENNAL
le cycle physique sextennal est l'équivalent du cycle physique de 23 jours des biorythmes : il est simplement transposé sur nos années de vie et il s'agit par conséquent d'un cycle de 23 ans. (il redémarre par une année 1 après la 23ème année).
période critique sextennale : c'est la période critique du cycle physique sextennal. elle est en général d'une année et semble pouvoir induire de très longues périodes (jusqu'à une année entière) de grand fatigue, voire épuisement.
nos années de vie critique physiques sont les suivantes : 6/7 - 12 - 18/19 - 24 - 29/30 - 35 - 41/42 - 47 - 52/53 - 58 - 64/65 - 70 - 75/76 - 81
attention ce sont les ANNEES DE VIE que je cite et non les âges : par exemple l'année de vie 24 démarre après le 23ème anniversaire. l'année de vie 58 démarre après le 57ème anniversaire.
j'ai par ailleurs remarqué que périodes et années critiques peuvent "coulisser" sur le calendrier en fonction de notre état physique et émotionnel, et d'événements extérieurs qui nous perturbent. ils peuvent par exemple se déclencher prématurément s'il y a un choc psychologique, et aussi tardivement alors que l'on croit qu'il ne se passe rien on peut être rattrapé dans les mêmes conditions s'il y a par exemple un cas de décès d'un proche, ou un autre stress (emploi, séparation,etc...etc...)
il en est d'ailleurs de même pour les périodes critique septennales du cycle psychique et émotionnel de 28 ans.
en tous cas, fatigue importante ou épuisement de longue durée que l'on arrive pas à expliquer, vérifiez à tout hasard si vous n'êtes pas dans une "année critique physique" ou à l'entrée dans une telle année... songez aussi qu'une méforme physique peut "taper sur le moral" et inversement...
M odification de nos paramètres
"modification de nos paramètres" à l'arrivée et au cours d'une période critique septennale et d'un jour critique émotionnel.
l'arrivée et l'entrée dans une période critique septennale peut considérablement "modifier nos paramètres" (j'ai repris cette expression informatique car elle me semble bien correspondre à ce qui peut parfois se passer, au niveau de notre personnalité... du moins c'est ainsi que je le perçois...) cela reste individuellement très variable, et j'ai essayé de l'exprimer en regardant de plus près certains de ces "paramètres".
le jour critique émotionnel étant une réplique réduite (courte) du phénomène, on pourra retrouver ces mêmes éléments au cours du jour critique émotionnel hebdomadaire, bien sûr adaptés quand même au fait que le jour critique émotionnel est d'une durée d'environ 24 heures alors que la période critique septennale est/peut être d'une durée de quelques mois à un an, à un an et demi... la particularité importante du jour critique émotionnel est qu'il est fréquent puisque hebdomadaire, il survient chaque semaine...
+ de sensibilité : nous allons être plus sensibles que d'ordinaire, ressentir de façon plus efficace et plus ample. nous pouvons donc être plus susceptibles, plus fragiles. nous sommes aussi de ce fait plus réactifs.
+ d'irritabilité : nous sommes plus facilement plus irritables (je dis parfois pour rire et faire comprendre, qu'une méthode pour trouver le jour critique émotionnel d'une personne, c'est que si vous la taquinez, ce sera le jour où elle se met réellement en colère :-)
+ de pulsions : passages à l'acte en tous genres plus faciles et fréquents à ce moment là. on a le petit + qui nous décide à agir. qui nous aide à déclencher l'action.
nous avons là l'un des éléments importants du phénomène jour/année septennaux : l'élément "pulsions" qui va nous "pousser à l'action" plutôt à ce moment-là qu'à un autre.
associé à un effet de désinhibition, autre élément clé, la paire va bien sûr être très efficace...
- moins d'inhibitions : on n'est moins inhibé pour opérer des passages à l'acte... ce qui explique beaucoup de drames en jour ou période critique (ensemble pulsions/désinhibition) suicide aussi : on n'a plus peur de mourir et on est vraiment décidé.. nous sommes désensibilisés (criminalité)...
on a dans un autre registre moins peur de déclarer sa flamme (nous sommes plus entreprenants), ou à l'inverse, d'envoyer ballader son partenaire... ou son patron... :-)
c'est le second élément important du phénomène jour/année septennaux : nos freins sont lâchés ou ne fonctionnent quasiment plus... alors en présence d'un effet simultané de pulsions, on voit ce que çà peut donner...
je compare parfois cet effet de désinhibition à une sorte d'ivresse (ivresse du jour critique émotionnel ou de la période critique septennale) car l'effet est un peu similaire à celle de l'alcool, à cela près que nous conservons quand même notre faculté de discernement : mais là aussi tout cela reste à étudier. (la question de l'abolition du discernement serait à revoir en fonction de la situation de nos cycles, de nombreux actes criminels ayant lieu en jour ou période critique du fait d'un effet de pulsions/désinhibition présent à ce moment-là, justement...)
- énergie + ou - (selon) : les pulsions nous donnent de l'énergie mais une chute dans la dépression peut nous anihiler...
la version dynamisante fait qu'une grande partie de l'actualité est le fait de "septennaux" : les "acteurs septennaux" (entendre par là "agir en jour ou période septennaux") ont envie consciemment ou subconsciemment de bouger, se démarquer, agir...
le Net est un autre endroit très fréquenté par les "acteurs septennaux" : on crée blogs et forums, on intervient, souvent en jour/année septennale... parce que l'on a envie de se manifester, on éprouve le besoin de s'extérioriser et de communiquer, on y vient aussi parce que l'on a des problèmes dans ces moments là...
j'arrive souvent à repérer au coup d'oeil un "acteur septennal" par la description de son comportement ou ses actes, dans les faits d'actualité, ou encore par la teneur de ses messages sur le Net...
- plus de prise de risque : comme nous sommes désinhibés nous n'avons pas peur, voire pouvons devenir très imprudents (accidents, passages à l'acte criminels, ou "osés"... qu'en temps ordinaire "on n'ose pas")
- plus d'agressivité : lien avec les pulsions ; jour (jour critique) ou période (période critique) de colère plus facile, voire selon les personnes fragilisées colère "à risque" de dérapage... notre jour critique émotionnel est notre "jour de colère"...
- plus d'imagination : c'est comme un déblocage ou une ouverture plus grande - beaucoup de découvertes, inventions, prouesses, bonnes idées, durant cette période momentanément "portail" sur "d'autres espaces"... période des "illuminés" (les gourous le deviennent souvent en période septennale) mais aussi périodes particulièrement productives pour les grands découvreurs... "eurêka ! j'ai trouvé..." pourrait être une expression de jour critique émotionnel ou de période critique septennale... :-)
jours et périodes critiques sont souvent, en quelque sorte, des jours et périodes "d'hyperactivité du cerveau"
- plus d'attachement voire fixation (on tombe amoureux), voire obsesssions et déviances (pédophilie), plus de sentiments : peuvent devenir excessifs (drames conjugaux, familiaux : ce qui explique la présence fréquente d'un jour critique ou d'une période critique lors de certains drames)
- moins de "raison" : nous sommes moins raisonnables (notre Conscience est en quelque sorte "diminuée") : nos valeurs habituelles peuvent être modifiées, devenir extensibles, lorsqu'il s'agit par exemple d'actes de délinquance...
- Jeckyll et Hyde : ils sont une illustration intéressante et bien adaptée à ce qui peut se passer un jour critique émotionnel et/ou une période critique septenale : ils sont nos jours/périodes Hyde... et ce dernier va parfois prendre le relais le temps d'un jour, dans le cas du jour critique émotionnel, ou pour une durée bien plus longue, dans le cas d'une période critique septennale... : c'est ce possible "changement de personnalité" qui est à l'origine de maintes mésententes, séparations et drames conjugaux mais autres aussi...
+ sensibles et fragiles psychiquement et physiquement : çà reste à déterminer précisément mais j'ai constaté que la période critique septennale correspond d'après de nombreux témoignages au moment de démarrage de pas mal de maux physique et psychiques, un peu comme s'il s'agissait d'un moment auquel nos défenses sont fragilisées... ou encore simplement d'un moment "porte d'entrée"...
sur certains forums consacré à des maux divers la majorité des "malades" sont des "septennaux" ou sont tombés malades à l'arrivée d'une période critique septennale... or une maladie qui se déclare en période critique septennale n'est pas - à mon avis - la même chose que la même maladie qui survient à un autre moment : je pense qu'elle a un lien avec notre psychisme et/ou notre état psychique du moment, notamment... mais comme je disais c'est une piste qui reste à voir de bien plus près.
c'est là une "liste" expérimentale et provisoire...
mais attention, en général et dans la grande majorité des cas, jours et périodes critiques se passent sans trop de perturbations et nous les assumons comme faisant partie de nos préoccupations quotidiennes...
ils sont toutefois des jours et périodes où nous pouvons être "un peu différents d'humeur et d'état d'esprit" : en fait ils sont censés nous faire réfléchir, et nous mobiliser pour parfois réviser nos situations, "pour que nous réglions nos affaires" en suspens ; car c'est surtout dans ces moments-là que celles-ci ont tendance à nous revenir à l'esprit... à la faveur d'une sorte d'hyperactivité cérébrale... ils sont aussi censés nous "donner envie" d'autre chose...
il peut arriver que face à une telle "séance de rappel", nous préférons l'ignorer ou remettre à plus tard, ou encore que nous soyons désemparés, nous sentions "bousculés", et ne sachions pas quelle direction prendre ; c'est cela qui peut alors donner lieu à des perturbations momentanées...
d'où l'intérêt de comprendre le mécanisme pour bien réagir le moment venu et même être un peu "préparé à l'avance"...
Famille, couple et chronopsychologie
Chronopsychologie ?
J'appelle ainsi les phénomènes psychologiques et comportements qui sont liés à une périodicité rythmique ou cyclique, et qui dans le cas du présent sujet, ont une incidence sur la vie d'un couple, sur la vie des familles.
Si l'on s'intéresse au sujet des rythmes et cycles humains, on en découvre un certain nombre qui jouent un rôle important tout au long de nos vies quotidiennes...
on trouve notamment :
- un cycle psychique et émotionnel hebdomadaire : il est d'une grande importance dans nos rapports quotidiens avec l'autre, les autres...
- un cycle psychique et émotionnel septennal : tout aussi important que le précédent, mais il fonctionne au moyen de "pulsations septennales"... donc plus étalé dans le temps. c'est un "cycle long".
ces cycles vont avoir leur mot à dire et nous influencer tout au long de nos vie mais aussi et surtout, dans le sujet qui nous intéresse, ils vont jouer un rôle pour nous retrouver et rencontrer les uns et les autres... pour nous séparer aussi (c'est là qu'ils sont particulièrement intéressants à prendre en considération)...
Alors comment çà marche ?
1) le CYCLE PSYCHIQUE ET EMOTIONNEL SEPTENNAL :
d'après ma théorie nous arrivons chaque septième année de notre vie (donc en fait les anniversaires de la table de sept, dans ce que j'ai appelé une "période critique septennale". (les dates - car çà démarre environ six mois avant la date anniversaire - sont mentionnées dans la marge de droite et ci-dessus dans la rubrique "période critique septennale"...)
ces périodes sont importantes à retenir et observer car il peut souvent ne pas s'y passer grand chose, mais dans certains cas elles vont donner lieu à de remarquables "changements" chez une personne, donc également dans un couple, et elles peuvcent aller jusqu'à le remettre en cause...
une grande partie des séparations sont en effet liées directement ou indirectement à l'arrivée ou à la situation en période critique septennale de l'un ou l'autre des partenaires d'un couple, ou parfois des deux... (ce qui a alors pour effet d'accentuer encore les problèmes en raison de la compatibilité qui en résulte, les deux ayant alors chaque fois des périodes critiques septennales communes).
si du fait d'un effet de pulsions/désinhibition (1) nous avons tendance à nous rencontrer à l'occasion d'une période critique septennale, celle-ci, à l'inverse, peut participer également à notre séparation... pour les mêmes raisons.
la période septennale est une période durant laquelle nous sommes poussés à bouger... à remettre en cause des tas de choses, y compris, s'il y a lieu, notre vie de couple et de famille, notre vie professionnelle aussi... nous pouvons nous métamorphoser, changer de personnalité : l'arrivée d'une période critique septennale (2) peut parfois déclencher l'incompréhension, la mésentente voire les hostilités dans un couple. elle peut engendrer parfois une longue et profonde dépression (tellement typique parmi les graves dépressions que je l'ai appelée la dépression septennale) de l'un des partenaires d'un couple, dépression qui peut aller jusqu'à remettre en cause le fonctionnement de l'union.(on ne reconnaît plus l'autre, on ne se comprend plus, l'autre a changé, le dialogue devient difficile, voire impossible).
si vous en êtes là commencez par vérifier si l'un des deux n'est pas à l'entrée de l'une de ses périodes critiques septennales... ou s'il ne se situe pas déjà à l'intérieur de celle-ci... (3)
Que peut-on faire ?
Le fait d'avoir connaissance à l'avance et de comprendre le mécanisme aide déjà énormément car on comprend alors l'origine du ou d'une partie des problèmes. le reste est ensuite une question de dialogue, d'aide et de compréhension mutuelles. mais ce dialogue se fait avec bien plus de facilité si l'on comprend la raison de la mésentente qui est l'état particulier et la transformation de l'autre.
je conseille pour cela de convenir à l'avance d'un pacte d'aide et de non-agression, sachant que les échéances possibles sont précisément connues.
Ensuite... la période critique septennale est une période "à durée déterminée" ce qu'il est important de savoir, car cela veut dire que dans de bonnes conditions les problèmes sont passagers, s'arrêtent ou se solutionnent avec la fin de la période septennale. cela veut dire que la "métamorphose" ou la situation "d'étranger", la grave dépression parfois (4), dans laquelle s'est enfoncé l'autre va prendre fin avec la fin de la période critique : il s'agit donc, en quelque sorte, de tenir jusque là, au moyen de patience et de dialogue, d'attention, de compréhension et d'efforts communs. quitte à se faire aider : la période critique septennale est un test qui va permettre de savoir si le couple tient bon. et elle peut gravement le mettre à l'épreuve. pourtant il ne s'agit que d'une étape chronobiologique de notre psychisme... résultat probable d'un cycle hormonal septennal naturel... mais dont le but de de tester.... le cas échéant, de faire bouger.
la période critique septennale peut aussi faire apparaître que l'aventure commune d'un couple est terminée, puisque l'on peut "changer de personnalité" et ne plus s'entendre ou se reconnaître. comprendre ce mécanisme devrait aider cependant à se séparer en bons termes. et là aussi un pacte d'entente et de non agression préalable peut aider : si on s'assemble par amour, on peut très bien se séparer par amour et en bons termes, par consentement mutuel si l'on voit que çà ne va plus et que c'est mieux pour tout le monde. (5)
il est cependant important de s'attacher scrupuleusement à respecter un "pacte" car en période de dépression on aura tendance à jeter à l'eau toutes les bonnes résolutions.
un couple jeune remarque assez rapidement s'il fonctionne ou pas... indépendamment des périodes critiques septennales.
une première épreuve aura lieu souvent avec l'arrivée de la période critique septennale de l'un ou de l'autre des partenaires. je ne sais encore l'expliquer mais la formation d'un couple peut aussi constituer une "entité" nouvelle, qui pourra voir surgir des difficultés après une durée de sept années de vie commune... il peut être utile d'en tenir compte.
mais là où les périodes critiques septennales peuvent parfois aussi faire des dégats, c'est dans un couple qui est ensemble et a bien fonctionné de longue date, ou même dans la vieillesse : subitement, après de longues années de vie commune, ce peut être la catastrophe...
souvent on ne comprend pas pourquoi : il faut alors chercher la période critique septennale...
et c'est à ce moment là que l'on peut encore sauver la situation... en prenant conscience en amont et dès l'apparition des premiers symptômes, du fait que l'un ou l'autre des partenaires en entrant dans sa période critique commence à "changer"... commence à devenir distant, déprimé, agressif, par exemple...
un couple peut être infernal et ne rien faire voir à l'extérieur, puis casser. mais il peut aussi fonctionner de façon parfaite depuis des décennies et subitement çà ne va plus : il est alors presque certain qu'il s'agit de l'arrivée d'une période critique septennale de l'un ou de l'autre des partenaires... et c'est alors à ce niveau là qu'il faut agir.
la "bombe à retardement" que peut constituer la période critique est cependant déjà partiellement désamorcée si l'on connaît le fonctionnement du mécanisme.
2) le CYCLE PSYCHIQUE ET EMOTIONNEL HEBDOMADAIRE :
il s'agit d'un cycle psychique et émotionnel simple et court : il induit chaque septième jour à partir de notre naissance un "jour critique émotionnel" qui va être notre "jour de susceptibilité" (de colère, de mélancolie, de blues et de tristesse - c'est notre jour du "verre à moitié vide", de mauvaise humeur, de possible passage à l'acte violent aussi, lorsqu'il devient notre jour "Hyde"...).
il est simple de se rappeler de son jour critique émotionnel puisque en raison de sa cyclicité de sept jour ce sera - du fait d'une règle mathématique - toujours le jour de la semaine où nous sommes nés... né un mardi... notre "jour à prendre avec des pincettes" sera toujours le mardi. (attention dès le lundi soir dans ce cas car la journée chronobiologique va de 18H la veille à 18H le soir).
en couple ou en famille il est intéressant que chacun connaisse et tienne compte du "jour critique émotionnel" de l'autre. cela peut éviter des disputes (qui ont tendance à arriver surtout ce jour là : il peut être prudent de remettre, d'un commun accord, les discussions à un autre jour), voire des drames (eux aussi ont tendance à arriver ce jour là : violences conjugales, familiales, suicides aussi ... arrivent le jour critique émotionnel car celui-ci est notre "jour soupape", notre jour "sensible" et comme c'est jour de pulsions/désinhibition, dans les cas extrêmes, il peut devenir jour de "disjonction" ou pour parler encore plus communément, "jour de pétage de plombs"...
cet effet de pulsion/désinhibition peut nous faire mettre en retrait ou oublier notre raison et nous faire dire et faire des bêtises que nous ne dirions pas ou ne ferions pas un autre jour...
si on le sait on peut en tenir compte et considérer les choses différemment : un scénario pourra alors se dérouler de façon moins pulsionnelle.
Situations de compatibilité :
- compatibilité de jours critiques : il y a compatibilité des jours critiques émotionnels si deux personnes sont natives du même jour de la semaine. par exemple deux personnes nées le jeudi pourront être mélancoliques ... ou en colère... toujours ensemble ce jour là, le même jour par conséquent. on voit aisément ce que cela peut donner au niveau de l'ambiance d'un couple, de la situation parent enfant (conséquence de nombreux différends parent enfant - voir ci-dessous au sujet des enfants septennaux) ou encore frère/soeur, et même ... mari(gendre) et belle-mère :-)
- compatibilité de périodes critiques : il y a compatibilité des périodes critiques septennales lorsque deux personnes sont ensemble dans un âge multiple de sept : mari et femme qui ont le même âge mais aussi qui ont 35 et 28 ans par exemple...
il en résultera également des situations à risque... épisodes de tensions... toujours ensemble au même moment, tout au long de la vie du couple, ce qu'il est très utile d'avoir compris...
une autre situation à compatibilité intéressante à prendre en compte, est celle des périodes critiques septennales successives : un mari de 42 ans va être "différent" voire avoir des problèmes durant sa période critique. lorsqu'il en sort - (on peut s'y embourber dans certaines conditions, mais en principe on en sort à 43 ans) si son épouse a à ce moment là ses 42 ans à elle... elle va prendre la relève dans cette période délicate qui peut être de dépression ou autres difficultés...
le fait de le savoir peut désamorcer les effets à risque ou au moins les atténuer...
enfants septenaux : un enfant septennal est un enfant conçu et né (eh oui les pulsions/désinhibition n'y sont pas étrangères) en période critique septennale. il sera un enfant septennal c'est à dire qu'il aura ses périodes critiques septennales toujours en même temps que l'un ou l'autre ou les deux parents... attention aux étincelles lorsque l'enfant sera, en raison de la compatibilité, dans un âge septennal "délicat" (sa période critique septennale à lui) à l'âge de 7 ans, 14 ans, 21 ans... alors que la situation sera tout aussi délicate pour le parent se retrouvant lui-même et au même moment dans sa propre période septennale - situation "à risque", donc... ce dont il peut être utile de se rappeler afin de voir venir et mieux gérer...
Dépression septennale
la dépression septennale est, parmi les dépressions, l'une des dépressions graves et de longue durée très courantes. elle survient, parfois sans raison précise (puisqu'elle est liée à un cycle psychique et émotionnel à pulsations septennales, probablement d'origine hormonales, je pense) au moment de l'approche ou de l'entrée dans un âge septennal, c'est à dire plus précisément six mois avant l'arrivée d'un âge de la table de sept. ou encore elle sévit autour de cet âge septennal, se décalant parfois en fonction des individualités et des situations. il s'agit en fait d'une dépression de la "période critique septennale".
c'est ainsi qu'une personne peut sombrer dans une profonde dépression et/ou devenir "différente", aux alentours de ses 13/14 ans, 20/21 ans, 27/28 ans, 34/35 ans, 41/42 ans, 48/49 ans, 55/56 ans, 62/63 ans 69/70 ans, 76/77 ans, 82/84 ans... phénomène qui va durer de quelques semaines à quelques mois mais qui peut parfois durer des années... ce sont des dépressions longues et graves qui, si elles ne sont pas bien comprises, peuvent parfois déboucher sur des drames (violences, suicides) et dans les familles elles sont la cause de nombreuses mésententes et séparations.
si leur particularité est la proximité d'un âge septennal, les symptômes sont ceux d'une grosse dépression, l'isolement et le renfermement sur soi, un sentiment d'inutilité, disparition de toute motivation et une envie de ne rien faire, tendance à dormir souvent, envie de suicide, tristesse, anxiété, angoisse... le changement de personnalité peut faire partie, au point "qu'on ne reconnaît plus la personne" (dans un couple par exemple) : la dépression septennale peut entraîner une sorte de métamorphose momentanée : il peut naître de l'irritabilité, de l'agressivité... on peut aussi devenir provocateur et destructeur, et dans les cas extrêmes c'est la période où certains peuvent "disjoncter" comme on dit parfois communément... .
la dépression septennale est parfois diagnostiquée comme de la schizophrénie ou un trouble bipolaire : il y a de cela mais la particularité est qu'elle arrive et persiste le plus souvent à une période pouvant durer de quelques mois à deux années, le début se situant souvent assez précisément six mois avant un anniversaire septennal... (voir les dates en marge de droite).
la dépression a tendance à se dissiper après la fin de la période critique septennale, sauf si la personne reste prisonnière dans une camisole "psychique" ou ... chimique, ce qui l'empêche alors de revenir à la réalité : c'est hélas parfois le cas. cela fait alors durer la dépression bien plus longtemps qu'elle ne le devrait... parfois même jusqu'à la période critique septennale suivante... (dans sept années !)
il peut aussi y avoir "rechute" (après une longue période de rétablissement), lors de l'arrivée de la période critique septennale suivante, mais ce n'est pas très courant.
les "downs" du trouble bipolaire correspondent souvent aux périodes critiques septennales, le trouble bipolaire étant entre autre un trouble de notre cycle psychique et émotionnel.
les "incidents" liés à la schizophrénie arrivent aussi fréquemment lors des périodes critiques septennales mais aussi surtout le jour critique émotionnel, cette maladie semblant également - comme nombre d'autres - avoir un lien étroit avec nos cycles psychiques.
nous passons tous par une dizaine de périodes critiques septennales tout au long de notre vie : l'une ou l'autre peut poser des problèmes plus sérieux, (c'est individuel et fonction des éléments et événements de notre vie) mais d'ordinaire, et dans l'ensemble heureusement, elles se passent sans trop de perturbations. la dépression septennale est l'un des aspects problématiques de la période critique septennale, mais cette dernière revêt souvent des aspects largement positifs aussi, puisqu'elle est en réalité destinée à nous "pousser à" bouger, changer, évoluer... à nous transformer... (l'exemple le plus impressionnant étant les perturbations et transformations opérées au moment de la période critique septennale de l'adolescence (période critique des 14 ans) : nos autres périodes critiques septennales sont un peu pareilles, mais en moins extrême, moins visible...)
nos périodes septennales sont, pour cela, accompagnées d'un effet de pulsions (qui va nous pousser, parfois nous "bousculer", et d'une désinhibition (qui va nous faciliter nos entreprises : nous avons moins peur d'entreprendre).
la dépression septennale (elle n'est heureusement pas systématique, bien sûr) peut survenir parfois sans raison apparente, le moment venu... mais elle survient probablement aussi parce que du fait de cet effet de pulsions nous sommes bousculés alors que nous ne savons peut-être pas vers où, vers quoi aller...
la dépression peut aussi être déclenchée s'il intervient un traumatisme lors d'un moment propice ou moment à risque (par exemple un deuil, un échec, ou autre événement qui va nous toucher...) elle peut rester "en sommeil" et être latente, puis se déclencher ensuite, ce qui explique certaines graves dépressions qui arrivent avant (prématurément en quelque sorte) ou après une période critique septennale (tardivement, donc). on peut faire le lien en général en raison de la gravité et de la ténacité d'une dépression.
la dépression septennale a la particularité que l'on peut la reconnaître et surtout la voir venir A L'AVANCE puisque l'on connait les moments où elle peut survenir. c'est un élément important de prévention que de connaître à l'avance le risque et le moment du risque, car cela peut aider à parfois l'atténuer voire le désamorcer... on peut se "préparer psychologiquement" à la situation...
la dépression septennale est aussi, dans les conditions habituelles, "à durée déterminée" (puisque liée aux pulsions momentanées de la "période critique septennale" de notre cycle psychique et émotionnel).
des études seraient instructives, qui prendraient en compte le moment de l'arrivée d'une dépression, (âge précis), sa durée, puis sa "disparition", ses causes éventuelles aussi... : cela permettrait certainement de faire apparaître la cyclicité dont je parle.
Les portes du suicide
de nombreux suicides interviennent lorsque certaines conditions sont réunies. Le mal-être couve, mais va avoir besoin à un moment ou un autre d'un "déclencheur" qui va aider au passage à l'acte, qui va nous aider, voire nous pousser à nous décider.
certains de ces éléments "déclencheurs" sont simples à déterminer : ils sont mathématiques et naturellement liés à deux cycles psychiques et émotionnels. ils provoquent et régissent nos "hauts" et nos "bas" et ce sont les "bas" qui arrivent sur nous à intervalles réguliers, qui pourront avoir un rôle prédominant lors de nos envies suicidaires. Nos inhibitions face à la mort sont, dans ces moment là, réduites voire disparues (cela fait partie de la chimie de nos "bas"...) et nous sommes totalement persuadés que d'en finir est la seule solution et la plus adaptée... c'est cette conviction qui s'empare d'un dépressif à certains moments qui rend difficile la lutte contre le suicide...
on peut donc analyser un suicide en regardant si certaines données sont présentes, et on les retrouvera souvent.
à l'inverse, connaissant ces données, on les voit arriver et on peut prévenir le risque de passage à l'acte puisqu'on sait qu'il peut avoir lieu à cette occasion.
Quels sont ces éléments ?
- notre jour critique émotionnel :
il est hebdomadaire du fait d'un cycle qui fonctionne au moyen de d'une pulsation chaque septième jour de notre vie. S'agissant d'un cycle de l'émotion de sept jours, c'est toujours le même jour de la semaine, celui où on est né. On a tendance à de suicider de préférénce le jour de la semaine où on est né, ou la veille de ce jour. (la veille parce que le jour de dépression en question démarre déjà la veille au soir aux alentours de 18H, la "journée chronobiologique" allant de 18H à 18H et non pas de 0H à 0H comme nos journées "officielles" (1).
ce serait probablement facile à confirmer au moyen de quelques statistiques simples : date de naissance/date de suicide. en tous cas on le retrouve dans beaucoup de cas. ainsi une personne née un mardi et qui est suicidaire, peut avoir tendance à vouloir passer à l'acte - de préférence - dès le lundi soir et jusqu'à mardi soir.
pour ce cycle il s'agit en fait d'un cycle psychique et émotionnel de 28 jours comportant quatre "jours critiques émotionnels" (E1 - E8 - E15 et E22 indiqués sur l'agenda ici http://biorythm.online.fr/w/ - E1 le premier jour du cycle est le plus "fort" des quatre jour critiques de ce cycle).
- notre période critique septennale :
c'est un autre cycle psychique et émotionnel (en fait une réplique "longue" du précédent) et qui engendre une période longue pouvant être de grave dépression. cette période démarre environ six mois avant un anniversaire de la table de sept, et se termine avec l'anniversaire suivant. Exceptionnellement la dépression, si elle se manifeste, peut se poursuivre au-delà de cette période si certains problèmes ne sont pas résolus. Elle peut parfois chez certaines personnes, mystérieusement apparaître et disparaître "sans raison", sans que l'on ait vraiment de soucis particuliers.
Mais c'est ainsi que - par exemple - on va plus se suicider à 27 ans et demi et dans la période qui se situe depuis ce moment là et jusqu'à 29 ans. c'est la "période critique septennale des 28 ans et il en est ainsi pour toutes les autres années septennales. (voir le tableau des périodes critiques dans la marge de droite).
(ce sont d'ailleurs les suicides de cette période critique des 28 ans qui ont fait naître le club des 27... (2)
- approche de la date anniversaire je ne peux l'expliquer que par le fait qu'il s'agit d'un cycle particulier des anniversaires (donc annuel), mais je trouve souvent la date anniversaire pas loin de certains suicides, surtout dans la période précédant l'anniversaire, un peu comme si la tension montait à ce moment là. la période pré-anniversaire est effectivement une période de possible dépression, ce dont doivent tenir compte les personnes qui y sont sensibles : certains sont systématiquement déprimés à l'approche de leur anniversaire.
- antécédents avec les mêmes critères : une personne qui a fait des tentatives de suicide son jour critique émotionnel risque de récidiver, le cas échéant, le même jour, lorsqu'elle se retrouvera de nouveau dans une mauvaise passe à ce moment là. Le jour critique émotionnel c'est quand même une "journée pulsions/désinhibition" chaque semaine. l'une des particularités est que la dépression d'un jour critique émotionnel peut être "foudroyante" : une décision de mettre fin à ses jours peut alors être prise "sur le champ" (sur un coup de tête, si l'on veut) sans que rien ne l'ai laissé présager. ce qui fait parfois l'étonnement et le choc de l'entourage... idem pour les années septennales, lors desquelles on peut "rechuter", mais qui sont toutefois espacées de sept ans.
- simultanéité du jour critique émotionnel et de la période critique septennale. c'est là une situation "à risque particulier"... et elle arrive régulièrement : une personne qui se trouve dans sa période critique septennale peut avoir à faire à de longues périodes de dépression. Et là dessus va venir se greffer, chaque semaine puisque hebdomadaire, son jour critique émotionnel. cela peut former alors la goutte qui fait déborder le vase.
Par exemple né le mardi... les mardis aux alentours de 27 ans et demi, 28 ans... vont être des moments particulièrement "à risque", si une personne est gravement dépressive.
j'ai analysé pas mal de suicides, et souvent on retrouve cette "clé" qui inclut les éléments cités ou l'un de ces éléments.
plus loin on peut encore examiner deux autres cycles, moins importants en matière de suicide, mais qui peuvent parfois jouer un rôle malgré tout, chez certaines personnes plus sensibles à ces cycles là :
- le jour critique physique : c'est un jour - aussi jour "pulsions" - où l'on peut être "mal fichu" physiquement et ce jour peut venir accentuer le fait d'en "avoir marre de la vie" s'il arrive au mauvais moment (car on peut avoir des jours doublement voire triplement critiques).(ce sont les jours marqués P sur l'agenda http://biorythm.online.fr/w/ )
il s'agit d'un cycle de l'énergie physique induisant un jour de "down" physique (qui peut parfois entraîner un down moral) chaque sixième jour de notre vie.
pour être précis, le cycle est de 23 jours, comptés de 1 à 23...
les jours critiques sont les jours - par ordre d'importance - P1 - P18/P19 - P12 - P6/P7
(P6/P7 et P18/P19 ont tendance à fonctionner par paire). P6/P7)
- et son équivalent "cycle long" correspondant à une année de down physique chaque sixième année de notre vie : des travaux statistiques seraient nécessaire mais il semblerait quand même que ce cycle explique les suicides intervenant lors de nos années de vie 18 et 19, 24, 47, etc... qui semblent être des "années critiques physiques" importantes.
voir aussi
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/p/annees-de-vie_31.html
alors comment essayer de prévenir ?
il n'est pas évident d'empêcher un suicidaire déterminé, de se suicider : il trouvera toujours un moment ou un moyen car on ne peut pas l'accompagner chaque minute pour le surveiller...
c'est donc plutôt en amont que l'on peut essayer d'agir, et c'est surtout la personne elle-même qui peut infléchir la situation.
idem pour les tentatives de suicide qui sont souvent des appels au secours mais qui ont tendance, en raison de nos cycles psychiques et émotionnels, à avoir lieu aux mêmes moments décrits ci-dessus : ces fameux "portails" que constituent le jour critique émotionnel et la période critique septennale...
les personnes qui sont en contact avec des gens qui ont des problèmes peuvent déjà discerner la sévérité du risque en examinant la situation dans laquelle se trouve la personne :
- la personne fait-elle une démarche de consultation, ou lance-t-elle un appel à l'aide (crise d'angoisse ou parfois carrément une tentative de suicide) à l'occasion d'un jour déclencheur que peut être le jour critique émotionnel ? se trouve-t-elle dans une période critique septennale ? une telle période est-elle en vue prochainement, etc...
ensuite c'est dans l'esprit que "un homme prévenu en vaut deux"... que cela peut aider une personne désespérée de savoir "comment çà marche" et pourquoi elle se trouve à tel moment précis dans un pic de désespoir : elle est même prévenue à l'avance... (avec certes aussi - cela dépend des personnes - le risque de paniquer ou d'avoir peur prématurément et peut-être inutilement...)
l'entourage aussi, s'il connaît la situation à risque d'un familier, peut plus efficacement soutenir, voire intervenir...
il faut retenir en outre que la dépression d'un jour critique émotionnel ou d'une période critique septennale est en général "à durée déterminée" : elle s'arrête après le jour ou la période critique. il est rassurant de savoir que nous n'avons à faire qu'à un "passage délicat" voire un "mauvais passage", mais momentané.
il faut observer ces cycles avec attention, car il peut arriver que certaines personnes sombrent dans la dépression à l'occasion de la survenance de l'une de leur périodes critiques septennales... et soient parties pour y rester jusqu'à la période critique suivante ce qui fait quand même sept années...
les jours et périodes de dépression de nos cycles psychiques ressemblent souvent à une sorte de mirage durant lequel nos problèmes vont paraître infinis et insurmontables, alors qu'en réalité ils ne le sont pas. on peut aussi "travailler" là-dessus à l'avance : je dis parfois qu'il faut s'apprêter, s'il y a lieu, à s'attacher au mât comme l'a fait Ulysse, le temps de passer les sirènes du suicide...
(1) l'explication que j'ai trouvée est que cette journée chronobiologique (18H - 18H) est "inscrite dans nos gènes"... et ce en raison du rythme de nos origines : à l'Equateur (d'où nous venons) la journée allait, durant des millions d'années (et aujourd'hui encore :-) de 18H à 18H...
(2) http://fr.wikipedia.org/wiki/Club_des_27
Compatibilité
il y a compatibilité lorsque deux personnes ont ensemble, en même temps, leurs périodes critiques septennales et/ou leurs jours critiques émotionnels ou physiques...
et si l'on vit ensemble çà n'est pas très pratique, ni très efficace d'être fatigués, de mauvaise humeur, ou déprimé... toujours en même temps...
période critique septennale : deux personnes de 28 ans ou de 35 et 42 ans, etc... auront toujours leurs périodes critiques ensemble au même moment... si elles vivent ensemble cela va se ressentir à chaque arrivée d'une période critique septennale.
(celle-ci peut être période de dépression, par exemple, ou encore de mauvaise humeur...) c'est tous les sept ans que çà arrive... c'est d'ailleurs à ce rythme qu'ont tendance à se faire beaucoup d'associations... et de séparations, pour les mêmes raisons.
jour critique émotionnel : les natifs d'un même jour ont leur jour critique émotionnel toujours ensemble le même jour de la semaine... par exemple une maman née un mardi qui a un enfant né aussi un mardi, aura sa vie durant son jour critique émotionnel en même temps que son enfant. sachant que ce jour est un "jour sensible" il faut en tenir compte.
jour critique physique : ce cycle a une moindre incidence en cas de compatibilité, mais il est bon quand même de le connaître et le savoir. il génère en effet des jours de fatigue - par exemple - possible (pas systématique) chaque sixième jour de notre vie : si deux personnes dans une famille par exemple ont le même cycle physique, elles pourront être fatiguées ensemble le même jour, ou encore insomniaques, et autrement sensibles...
Natifs du dimanche
Les natifs du dimanche (entendez les personnes qui sont nées un dimanche) vont avoir un petit problème tout au long de leur vie (et leur entourage aussi) du fait que leur "jour de blues, de mauvaise humeur, voire de possible colère, leur jour Bernard l’Hermite", je veux parler de leur jour critique émotionnel c'est toujours et leur vie durant... le dimanche, leur jour de naissance...
dimanche est notre jour des sorties, aussi jour de la famille, jour des rencontres et des visites : c'est ce jour là que la vie familiale est commune, que l'on fait souvent la ou les fêtes, que viennent ou que l'on va voir les amis, les parents, les grands parents, etc... etc...
hé bien c'est ce jour là justement que les personnes nées un dimanche vont malgré elles choisir pour "ne pas avoir envie" de tout cela... pour être parfois de fort mauvaise humeur... de sorte que toute l'ambiance peut en être affectée. une telle journée peut même parfois tourner au drame à cause de cela. ce peut être aussi jour de cafard... assez régulièrement.
si vous avez à faire à une personne qui n'est pas "commode" le week-end, parfois, vous pouvez déjà vérifier si elle est née un dimanche (les natifs du samedi sont aussi concernés mais dans une moindre mesure puisque ce jour-là est moins fréquemment un point d'orgue des activités communes du couple ou familiales : des activités du samedi pourront par contre en être affectées...)
le remède est surtout de prendre conscience de l'effet "jour critique émotionnel" de sorte que l'on peut gérer et bien mieux maîtriser la situation. on peut aussi faire certains arrangements au moyen d'un peu de bonne volonté réciproque.
il est d'ailleurs fort possible que l'effet gênant voire parfois dévastateur, du jour critique émotionnel d'un dimanche, car natif de ce jour là, que cet effet soit "désamorcé" parce que l'on comprend les raisons et les origines de notre blues, notre manque d'enthousiasme ou de notre mauvaise humeur.
(l'explication est ce fameux cycle de l'humeur hebdomadaire : en réalité un cycle de 28 jours fonctionnant au moyen d'une "pulsation" chaque septième jour. ni astrologie ni numérologie mais pure mathématique : la semaine étant de sept jours, un natif du dimanche aura sa vie durant son jour critique émotionnel le dimanche...
pour un natif du mercredi par exemple, le jour critique émotionnel sera toujours le mercredi : cela aura toutefois moins d'incidence dans la vie quotidienne puisque ce n'est pas un jour "spécial" (jour de la famille) mais un jour "ordinaire" où tout le monde travaille, en général...
il peut cependant aussi être important qu'un natif du mercredi sache pourquoi il a parfois de gros coups de blues le mercredi.
et cette règle est valable pour chaque jour de la semaine).
Enfant septennal
un enfant septennal est un enfant né durant ou "à la faveur" de la période critique septennale d'un ou des parents : ils sont probablement plus fréquents qu'on ne l'imagine car la période critique septennale, en raison des pulsions qu'elle produit, a pour fonction de faire bouger les gens : elle va nous faire nous rencontrer, et nous rapprocher, de sorte que souvent un enfant peut être conçu à ce moment-là, qui va naître neuf mois après : ce sera ce que j'appelle un enfant septennal.
il a donc la particularité d'être venu au monde au moment de la période critique septennale de l'un ou l'autre des parents voire des deux, parfois, mais cela va avoir pour conséquence mathématique que cet enfant aura sa vie durant ses propres périodes critiques toujours en même temps que son ou ses parents...
quand il sera plus grand pourront surgir des problèmes particuliers liés à cette compatibilité... c'est ainsi qu'un enfant de sept ans va passer par sa première période critique septennale à ce moment-là. il passera par l'adolescence sept années après à l'âge de 14 ans puis entrera dans l'âge adulte lors de la période critique septennale des 21 ans... ces périodes peuvent donner lieu à certains comportements ou problèmes particuliers, et c'est ainsi qu'un enfant de sept ans sera parfois qualifiés "d'hyperactif" à ce moment là, qu'un ado sera "difficile", etc...
si la naissance a eu lieu lorsque les parents avaient autour de 21 ans ou autour de 28 ans, par exemple, ce ou ces parents auront lors des périodes critiques de leur enfant, respectivement 28 ou 35 ans et se trouveront peut-être eux-mêmes, à ce moment précis dans une période sensible voire une période à problème...
on imagine alors l'ambiance et les tensions qui peuvent en résulter... : il y a eu des drames à cause d'une telle compatibilité : là aussi la clé pour résoudre les problèmes est dans la prise de conscience du fonctionnement de nos cycles et nos périodes critiques...
Bébé et ses rythmes
importants, les rythmes biologiques des bébés...
bébé est intéressant car il est tout neuf et c'est au moment de sa naissance que démarrent les rythmes : c'est la raison pour laquelle il est toujours nécessaire de connaître la date de naissance si l'on veut calculer une situation biorythmique : il faut pouvoir compter le nombre de jours écoulés depuis le jour de naissance... (voir plus loin un graphique concernant un bébé qui vient de naître - tiré de http://biorythm.online.fr/w/ )
les biorythmes permettent d'observer bébé et de mieux comprendre certaines de ses réactions et comportements... et cela peut être important puisque par exemple les pleurs de bébé sont souvent liés au jour critique physique lorsqu'ils sont importants et inhabituels : cela est dû au fait que le jour critique physique on se sent moins à l'aise, moins bien, parfois mal... et bébé ne pouvant parler, eh bien il pleure. et les pleurs ont tendance à démarrer dès le soir la veille du jour critique, puis ils peuvent se poursuivre pour une nuit d'insomnie : l'impossibilité de dormir est aussi une particularité du jour critique physique biorythmique, et par là, une cause des pleurs de bébé.
il y a aussi ce que certains appellent les "pleurs crépusculaires" ou "pleurs de délestage", parce qu'ils ont tendance à avoir lieu en soirée, souvent... cela demanderait bien entendu à être étudié de plus près, mais je pense que les pleurs "crépusculaires" sont liés à l'entrée dans une nouvelle journée biorythmique : c'est une sorte de pic physique et émotionnel par lequel nous passons tous aux alentours de 18 heures, le soir ; la journée biorythmique semble en effet aller de 18 H à 18 H et non pas de 0H à 0H comme notre journée officielle. nous finissons et démarrons donc notre journée "biologique" chaque soir vers 18 heures... et bébé encore très "nature", le ressent particulièrement...
la raison que j'ai trouvée pour ce décalage pourrait être assez simple : un vestige qui est resté "inscrit dans nos gènes" depuis notre "enfance de l'humanité" lorsque à l'équateur - d'où nous sommes récemment issus - la journée était de 12 heures de jour suivie de 12H de nuit avec une charnière placée à 6 heures et à 18 heures... avec de l'expérience on ressent d'ailleurs parfaitement la "charnière" de 6 heures du matin aussi.
Bébés secoués :
on a remarqué que statistiquement la courbe des bébés secoués correspondait à la courbe des pleurs de bébé : bien sûr puisque souvent le bébé est secoué par un parent ou un gardien qui craque, exaspéré par les pleurs incessants et impossibles à calmer... mais ce que l'on n'a pas encore remarqué c'est que la courbe des pleurs correspond au cycle physique des biorythmes de 23 jours et à ses quatre jours critiques.
l'observation de ces rythmes permet par conséquent d'éviter le syndrôme du bébé secoué : on sait à l'avance que bébé peut beaucoup pleurer ce jour là, qu'il peut ne pas avoir envie de dormir, et on peut donc en tenir compte sans s'énerver ni paniquer, puisqu'on est prévenu...
certains bébés donnent carrément l'impression d'être malades leur jour critique physique (certains ont un peu de fièvre ce jour là car il s'agit d'un jour de "remue-ménage" de l'organisme) : le problème est alors de savoir à partir de quel moment çà devient sérieux et qu'il faut aller consulter ; mais je trouve que l'on peut mieux estimer la situation quand même, si l'on connaît les réactions aux rythmes naturels de son bébé.
Mort Subite du Nourrisson (MSN) :
un autre élément important et plus inquiétant - mais fort heureusement exceptionnel (sauf erreur environ un bébé sur mille), c'est que la MSN (mort subite du nourrisson) est également liée au jour critique physique du cycle physique de 23 jours de nos biorythmes. je l'ai remarqué en analysant un certaiun nombre de cas que j'ai pu trouver : 70 à 80 % sinon plus, c'est selon l'interprétation) des MSN sont arrivées un jour critique physique ou autour de ce jour : cela me semble compréhensible dans la mesure où le jour critique physique est un "jour de débrayage de l'énergie de notre organisme". or l'organisme d'un petit bébé est, si l'on peut dire comme çà, encore "en rodage"... c'est ainsi que le jour critique physique peut être jour de pleurs et d'insomnies, mais il peut aussi être jour de "coup de barre"...
et bébé, comme nous tous, va passer chaque sixième jour par une sorte de "jour maillon faible". c'est à la science de déterminer ce qui fait fonctionner cette sorte d'électro-cardiogramme qu'est le cycle physique de 23 jours, avec ses "downs" réguliers chaque sixième jour : cela permettrait certainement de mieux comprendre pour quelles raisons arrivent les MSN.
surveiller bébé d'un peu plus près ses jours critiques physiques peut être très utile. et il y a diverses façons de procéder :
- on peut vérifier un graphique biorythmique en cas de problème. bébé pleure beaucoup et inhabituellement aujourd'hui et il ne veut pas dormir ?
regardons si son graphique biorythmique indique un jour en P (P1 - P6/P7 - P12 - P18/P19) : dans ce cas c'est "naturel" et il faudra être patient et le dorloter un peu plus, un peu moins l'abandonner dans son berceau ou son lit et le prendre contre soi : notre pile à nous, va aider bébé à se sentir moins seul... les anciens - certains peuples le font toujours - ne se séparaient pas de leur bébé et le lien ne s'arrêtait pas brutalement après l'accouchement : bébé restait en permanence fixé à sa maman... par portage... : le contact et le rythme du bercement, le mouvement et le bruit de la vie (plus que le silence et l'immobilité d'une chambre d'enfant, qui pourrait parfois être perçu comme un signal d'abandon) est important pour un nouvel être qui n'est pas encore tout à fait autonome.
- on peut repérer à l'avance les jours critiques de bébé : on ne sera donc guère surpris le jour où il pleurera un peu plus, voire beaucoup, et sera insomniaque...
- connaître à l'avance les jours critiques ou les vérifier en cas de situation à stress (pleurs importants) permet alors de comprendre et se maîtriser : surtout ne pas secouer bébé parce qu'il pleure... cela ne le calmera pas et c'est dangereux. patience : le jour critique physique est un état cyclique naturel qui dure de quelques heures à une journée. prudence en cas d'auto-médication certaines mamans ayant tendance à vouloir calmer le bébé au moyen de médicaments... un jour critique physique est une sorte de petit "coup de barre" pour bébé alors il n'est pas prudent - mais c'est là mon avis tout à fait personnel - de donner un coup de barre supplémentaire : consultez votre médecin (le problème... et le comble... étant qu'il ne connaît pas le mécanisme des biorythmes - auxquel la médecine ne s'intéresse pas aujourd'hui - alors que c'est pourtant un de ses collègues qui l'a découvert aux alentours de 1900 un peu grâce aux bébés qui pleuraient à intervalles réguliers :-).
personnellement encore, j'aurais tendance à ne pas faire vacciner bébé un jour critique physique ou juste avant (pour éviter coup de barre sur coup de barre, justement) certaines associations allemandes disant avoir fait un rapport entre certains cas de msn et la vaccination...
- et la msn ? il est difficile de prévoir et d'éviter une mort subite du nourrisson puisqu'elle arrive "par surprise", on ne sait pas encore pourquoi ni comment. mais comme j'ai constaté qu'elle avait tendance à arriver le jour critique physique on aura compris que l'observation de bébé ce jour là, la prise en compte de ses pleurs, fatigues ou insomnies au moyen d'un peu plus d'attention peut certainement apporter quelque chose. attention aussi de ne pas en arriver à la situation inverse et trop s'inquiéter... sachant que le jour critique physique de nos cycles humains fonctionne à la manière d'un tic tac régulier puisque nous en avons un chaque sixième jour de notre vie, quand même...
un exemple de rythme d'un bébé qui vient de naître, le 1er novembre 2009 :
http://biorythm.online.fr/w/
Ses "jours critiques physiques" (P) et donc "jours de pleurs inhabituels possibles" sont :
P 6 : (le 6ème jour après la naissance - jour non marqué mais situé avant son voisin suivant P7 : les deux sont à considérer comme fonctionnant par paire - c'est l'un ou l'autre et parfois les deux pour partie - cela reste à éclaircir)
P 7 : va de pair avec son voisin précédent P6 ci-dessus.
P12 - (jour du milieu du cycle qui comprend 23 jours)
P18 et P19 (ce dernier non marqué mais ce "couple" fonctionne comme P6 et P7)
P 1 : après le 23ème jour du cycle, tout recommence avec à nouveau un jour P1 premier jour d'un nouveau cycle et ainsi de suite... tout au long de la vie.
un mot au sujet des jours marqués E et I (i majuscule) :
E sont des jours importants également : ce sont nos "jours critiques émotionnels" ; ils sont hebdomadaire et fontion d'un cycle psychique et émotionnel qui induit un jour de "sensibilité émotionelle" chaque septième jour de notre vie. s'agissant d'un cycle psychique de sept jours, nous aurons tous notre "jour critique émotionnel" toujours le jour de la semaine où nous sommes nés, en raison de ce mécanisme de pulsation de sept jours.
bébé né un mardi aura sa vie durant son jour critique émotionnel un mardi : si ce jour a des conséquences moins visibles dans la vie d'un pêtit bébé (c'est son "jour de mélancolie") il prendre de plus en plus d'importance lorsque bébé grandira.
i ou plus précisément I sont nos "jours critiques intellectuels" : il s'agit d'un cycle qui régit la pensée et qui est très subtil chez un nnouveau né... c'est de toute façon un cycle qui demande encore à être étudié, et dont je ne sais pas grand chose.
et maman, papa... et les gardiens éventuels... ?
gagnent eux aussi à connaître leurs rythmes personnels... c'est même important... pourquoi donc ? (à suivre)
brièvement :
nos rapports avec bébé : nos cycles ont une incidence sur notre humeur, notre forme physique et psychique... et il est donc compréhensible qu'ils influent dans nos relations avec notre bébé, nos enfants...
observer nos cycles nous permet de comprendre et nous maîtriser lors de nos possibles moments d'angoisse... ou de mauvaise humeur... il n'y a pas de raison d'en faire bénéficier les autres...
bébé secoué : les bébés ont tendance à être secoués lorsque le parent ou le gardien "craque" or on peut craquer lorsque l'on se trouve en jour ou période critique, surtout... plus qu'à un autre moment. il est donc, là aussi, utile de connaître ses moments critiques afin de maîtriser toutes les situations.
Bébé secoué
importants, les rythmes biologiques des bébés...
bébé est intéressant car il est tout neuf et c'est au moment de sa naissance que démarrent les rythmes : c'est la raison pour laquelle il est toujours nécessaire de connaître la date de naissance si l'on veut calculer une situation biorythmique : il faut pouvoir compter le nombre de jours écoulés depuis le jour de naissance... (voir plus loin un graphique concernant un bébé qui vient de naître - tiré de http://biorythm.online.fr/w/ )
les biorythmes permettent d'observer bébé et de mieux comprendre certaines de ses réactions et comportements... et cela peut être important puisque par exemple les pleurs de bébé sont souvent liés au jour critique physique lorsqu'ils sont importants et inhabituels : cela est dû au fait que le jour critique physique on se sent moins à l'aise, moins bien, parfois mal... et bébé ne pouvant parler, eh bien il pleure. et les pleurs ont tendance à démarrer dès le soir la veille du jour critique, puis ils peuvent se poursuivre pour une nuit d'insomnie : l'impossibilité de dormir est aussi une particularité du jour critique physique biorythmique, et par là, une cause des pleurs de bébé.
il y a aussi ce que certains appellent les "pleurs crépusculaires" ou "pleurs de délestage", parce qu'ils ont tendance à avoir lieu en soirée, souvent... cela demanderait bien entendu à être étudié de plus près, mais je pense que les pleurs "crépusculaires" sont liés à l'entrée dans une nouvelle journée biorythmique : c'est une sorte de pic physique et émotionnel par lequel nous passons tous aux alentours de 18 heures, le soir ; la journée biorythmique semble en effet aller de 18 H à 18 H et non pas de 0H à 0H comme notre journée officielle. nous finissons et démarrons donc notre journée "biologique" chaque soir vers 18 heures... et bébé encore très "nature", le ressent particulièrement...
la raison que j'ai trouvée pour ce décalage pourrait être assez simple : un vestige qui est resté "inscrit dans nos gènes" depuis notre "enfance de l'humanité" lorsque à l'équateur - d'où nous sommes récemment issus - la journée était de 12 heures de jour suivie de 12H de nuit avec une charnière placée à 6 heures et à 18 heures... avec de l'expérience on ressent d'ailleurs parfaitement la "charnière" de 6 heures du matin aussi.
Bébés secoués :
on a remarqué que statistiquement la courbe des bébés secoués correspondait à la courbe des pleurs de bébé : bien sûr puisque souvent le bébé est secoué par un parent ou un gardien qui craque, exaspéré par les pleurs incessants et impossibles à calmer... mais ce que l'on n'a pas encore remarqué c'est que la courbe des pleurs correspond au cycle physique des biorythmes de 23 jours et à ses quatre jours critiques.
l'observation de ces rythmes permet par conséquent d'éviter le syndrôme du bébé secoué : on sait à l'avance que bébé peut beaucoup pleurer ce jour là, qu'il peut ne pas avoir envie de dormir, et on peut donc en tenir compte sans s'énerver ni paniquer, puisqu'on est prévenu...
certains bébés donnent carrément l'impression d'être malades leur jour critique physique (certains ont un peu de fièvre ce jour là car il s'agit d'un jour de "remue-ménage" de l'organisme) : le problème est alors de savoir à partir de quel moment çà devient sérieux et qu'il faut aller consulter ; mais je trouve que l'on peut mieux estimer la situation quand même, si l'on connaît les réactions aux rythmes naturels de son bébé.
Mort Subite du Nourrisson (MSN) :
un autre élément important et plus inquiétant - mais fort heureusement exceptionnel (sauf erreur environ un bébé sur mille), c'est que la MSN (mort subite du nourrisson) est également liée au jour critique physique du cycle physique de 23 jours de nos biorythmes. je l'ai remarqué en analysant un certaiun nombre de cas que j'ai pu trouver : 70 à 80 % sinon plus, c'est selon l'interprétation) des MSN sont arrivées un jour critique physique ou autour de ce jour : cela me semble compréhensible dans la mesure où le jour critique physique est un "jour de débrayage de l'énergie de notre organisme". or l'organisme d'un petit bébé est, si l'on peut dire comme çà, encore "en rodage"... c'est ainsi que le jour critique physique peut être jour de pleurs et d'insomnies, mais il peut aussi être jour de "coup de barre"...
et bébé, comme nous tous, va passer chaque sixième jour par une sorte de "jour maillon faible". c'est à la science de déterminer ce qui fait fonctionner cette sorte d'électro-cardiogramme qu'est le cycle physique de 23 jours, avec ses "downs" réguliers chaque sixième jour : cela permettrait certainement de mieux comprendre pour quelles raisons arrivent les MSN.
surveiller bébé d'un peu plus près ses jours critiques physiques peut être très utile. et il y a diverses façons de procéder :
- on peut vérifier un graphique biorythmique en cas de problème. bébé pleure beaucoup et inhabituellement aujourd'hui et il ne veut pas dormir ?
regardons si son graphique biorythmique indique un jour en P (P1 - P6/P7 - P12 - P18/P19) : dans ce cas c'est "naturel" et il faudra être patient et le dorloter un peu plus, un peu moins l'abandonner dans son berceau ou son lit et le prendre contre soi : notre pile à nous, va aider bébé à se sentir moins seul... les anciens - certains peuples le font toujours - ne se séparaient pas de leur bébé et le lien ne s'arrêtait pas brutalement après l'accouchement : bébé restait en permanence fixé à sa maman... par portage... : le contact et le rythme du bercement, le mouvement et le bruit de la vie (plus que le silence et l'immobilité d'une chambre d'enfant, qui pourrait parfois être perçu comme un signal d'abandon) est important pour un nouvel être qui n'est pas encore tout à fait autonome.
- on peut repérer à l'avance les jours critiques de bébé : on ne sera donc guère surpris le jour où il pleurera un peu plus, voire beaucoup, et sera insomniaque...
- connaître à l'avance les jours critiques ou les vérifier en cas de situation à stress (pleurs importants) permet alors de comprendre et se maîtriser : surtout ne pas secouer bébé parce qu'il pleure... cela ne le calmera pas et c'est dangereux. patience : le jour critique physique est un état cyclique naturel qui dure de quelques heures à une journée. prudence en cas d'auto-médication certaines mamans ayant tendance à vouloir calmer le bébé au moyen de médicaments... un jour critique physique est une sorte de petit "coup de barre" pour bébé alors il n'est pas prudent - mais c'est là mon avis tout à fait personnel - de donner un coup de barre supplémentaire : consultez votre médecin (le problème... et le comble... étant qu'il ne connaît pas le mécanisme des biorythmes - auxquel la médecine ne s'intéresse pas aujourd'hui - alors que c'est pourtant un de ses collègues qui l'a découvert aux alentours de 1900 un peu grâce aux bébés qui pleuraient à intervalles réguliers :-).
personnellement encore, j'aurais tendance à ne pas faire vacciner bébé un jour critique physique ou juste avant (pour éviter coup de barre sur coup de barre, justement) certaines associations allemandes disant avoir fait un rapport entre certains cas de msn et la vaccination...
- et la msn ? il est difficile de prévoir et d'éviter une mort subite du nourrisson puisqu'elle arrive "par surprise", on ne sait pas encore pourquoi ni comment. mais comme j'ai constaté qu'elle avait tendance à arriver le jour critique physique on aura compris que l'observation de bébé ce jour là, la prise en compte de ses pleurs, fatigues ou insomnies au moyen d'un peu plus d'attention peut certainement apporter quelque chose. attention aussi de ne pas en arriver à la situation inverse et trop s'inquiéter... sachant que le jour critique physique de nos cycles humains fonctionne à la manière d'un tic tac régulier puisque nous en avons un chaque sixième jour de notre vie, quand même...
un exemple de rythme d'un bébé qui vient de naître, le 1er novembre 2009 :
http://biorythm.online.fr/w/
ses "jours critiques physiques" (P) et donc "jours de pleurs inhabituels possibles" sont :
P 6 : (le 6ème jour après la naissance - jour non marqué mais situé avant son voisin suivant P7 : les deux sont à considérer comme fonctionnant par paire - c'est l'un ou l'autre et parfois les deux pour partie - cela reste à éclaircir)
P 7 : va de pair avec son voisin précédent P6 ci-dessus.
P12 ;
P18 et P19 (ce dernier non marqué mais ce "couple" fonctionne comme P6 et P7)
P 1 : après le 23ème jour du cycle, tout recommence avec à nouveau un jour P1 premier jour d'un nouveau cycle et ainsi de suite... tout au long de la vie.
un mot au sujet des jours marqués E et I (i majuscule) :
E sont des jours importants également : ce sont nos "jours critiques émotionnels" ; ils sont hebdomadaire et fontion d'un cycle psychique bet émotionnel qui induit un jour de "sensibilité émotionelle" chaque septième jour de notre vie. s'agissant d'un cycle psychique de sept jours, nous aurons tous notre "jour critique émpotionnel" toujours le jour de la semaine où nous sommes nés, en raison de ce mécanisme de pulsation de sept jours.
bébé né un mardi aura sa vie durant son jour critique émotionnel un mardi : si ce jour a des conséquences moins visibles dans la vie d'un pêtit bébé (c'est son "jour de mélancolie") il prendre de plus en plus d'importance lorsque bébé grandira.
i ou plus précisément I sont nos "jours critiques intellectuels" : il s'agit d'un cycle qui régit la pensée et qui est très subtil chez un nnouveau né... c'est de toute façon un cycle qui demande encore à être étudié, et dont je ne sais pas grand chose.
et maman, papa... et les gardiens éventuels... ?
gagnent eux aussi à connaître leurs rythmes personnels... c'est même important... pourquoi donc ? (à suivre)
brièvement :
nos rapports avec bébé : nos cycles ont une incidence sur notre humeur, notre forme physique et psychique... et il est donc compréhensible qu'ils influent dans nos relations avec notre bébé, nos enfants...
observer nos cycles nous permet de comprendre et nous maîtriser lors de nos possibles moments d'angoisse... ou de mauvaise humeur... il n'y a pas de raison d'en faire bénéficier les autres...
bébé secoué : les bébés ont tendance à être secoués lorsque le parent ou le gardien "craque" or on peut craquer lorsque l'on se trouve en jour ou période critique, surtout... plus qu'à un autre moment. il est donc, là aussi, utile de connaître ses moments critiques afin de maîtriser toutes les situations.
Mort subite du nourrisson
(à suivre)
(voir en attendant :
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2010/10/mort-subite-du-nourrisson.html
Les autres cycles
- un cycle intellectuel de 33 jours comportant un jour critique intellectuel chaque 8ème jour
- un cycle intellectuel de 33 années comportant une année critique intellectuelle tous les huit ans.
(les cycles intellectuels régissent l'action et la faculté de penser : j'ai constaté une incidence sur la rapidité de réaction (réflexes et estimations) par exemple)...
Journée chronobiologique
journée chronobiologique : la journée chronobiologique ou journée cyclique ne va pas de 0H à 0H comme notre journée officielle.
elle se déroule de 18H à 18H d'après maintes observations : l'explication que j'ai trouvée est que cette journée chronobiologique est "inscrite dans nos gènes"... et ce en raison du rythme de nos origines : à l'équateur (d'où nous venons) la journée allait, durant des millions d'années (et aujourd'hui encore :-) de 18H à 18H...
c'est ainsi que lorsque je parle de "jour critique émotionnel" ou "jour critique physique" il faut considérer que ce jour prend effet, démarre, déjà la veille au soir aux alentours de 18H.
je suis par exemple un natif du dimanche et mon jour critique émotionnel est alors toujours de samedi soir à dimanche soir : une mention ou parenthèse à cet endroit pour les pauvres natifs du samedi et du dimanche... qui ont leur vie durant leur jour de "mauvais poil" le week-end, donc au plus mauvais moment lorsqu'il s'agit de sortir ou de recevoir... d'être en famille... c'est la source de maints problèmes.
Les années de la vie
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/p/annees-trois-cycles.html
Portails de la vie
Le moment du décès a souvent un lien avec nos rythmes biologiques : jours et périodes critiques, physiques et émotionnels sont en quelque sorte des "portails" pour opérer notre "sortie". ils sont très fréquemment présents lors de notre mort, surtout si celle-ci intervient "naturellement" ou de façon inopinée, c'est à dire surtout si notre départ n'est pas décalé du fait d'interventions thérapeutiques.
nous arrivons par ces même portails puisque c'est au moment de notre naissance que démarrent les différents rythmes et cycles qui vont "pulser" jusqu'à notre mort.
ces portails sont également des espaces pour nous rapprocher de notre conscience : ils sont par excellence les jours et périodes de méditation par exemple : pas nécessaire de s'asseoir en lotus puisque les activités vivrières basiques et quotidiennes sont en général des activités paisibles et routinières permettant de "s'évader" à certains moments propices.
ce n'est pas pour rien que le septième jour a été institué "jour de repos" ou que l'année sabbatique est une septième année - on a dû en venir à cela par instinct et observation : la société, pour des raisons pratiques de gouvernance et de rentabilité a simplement institué ce jour de repos pour l'ensemble de la population au lieu de tenir compte des rythmes individuels qui comportent un "jour de réflexion" chaque septième jour de notre vie, et une "période de réflexion" chaque septième année de notre vie.
c'est pour cela aussi, que ces portails sur "l'autre monde" sont aussi aussi "portails sur l'autre qui est en nous" et se retrouvent très fréquemment présents lors de toutes sortes de manifestations ou problèmes, parfois dramatiques, psychiques et/ou "psychiatriques"...
il en est de même de nos jours critiques physiques, avec la différence cependant que ceux-ci constituent plutôt les "maillons faibles" qui vont jouer leur rôle et se rompre en cas de défaillance physique ou technique fatale...
Il s'agit d'un mécanisme endogène, c'est à dire qui se produit à l'intérieur de notre organisme, sans l'influence ou l'apport de quelque chose d'extérieur... le fonctionnement est probablement hormonal et a la curieuse mais efficace particularité d'être lié à une horloge interne très précise... notre vie durant.
(ceci étant souligné parce que l'on compare parfois ma théorie des cycles à de l'astrologie ou de la numérologie avec lesquels elle n'a rien à voir).
Quels sont ces rythmes et cycles ?
Un certain nombre de cycles existent et fonctionnent chez tous les humains. ils nous influencent tout au long de notre vie. voyons tout d'abord ceux dont les effets sont les plus remarquables, ceux dont l'existence ne fait plus de doute pour moi, après une vingtaine d'années d'observations.
Il s'agit des cycles suivants :
- un cycle psychique et émotionnel septennal (cycle long)
- un cycle émotionnel hebdomadaire (cycle court)
- un cycle physique de six jours (cycle court)
- un cycle physique et psychique sextennal (cycle long)
- un cycle intellectuel de huit jours (cycle court)
d'autres sont suspectés et je les citerai plus loin.
ces cycles accompagnent tout humain depuis le jour de sa naissance, qui est leur point de départ, jusqu'à la mort.
depuis le jour de la naissance, parce que probablement il s'agit du point de départ de notre vie aérienne autonome.
les cycles courts, physique et psychique (émotionnel) ont été découverts aux alentours de 1900 en même temps par le médecin allemand Wilhelm Fliess et un autre médecin, autrichien, Herrman Swoboda. le cycle intellectuel a été découvert plus tard par Alfred Teltscher, un professeur autrichien en génie mécanique.
j'ai trouvé entretemps qu'il existe l'équivalent en cycles longs...
Intérêt
L'observation des rythmes et cycles humains permet d'analyser certains comportements ou événements passés, de comprendre le présent et de PREVENIR ET GERER CEUX, EVENTUELS, DU FUTUR.
- cycle psychique et émotionnel septennal : nous entrons dans un "état particulier" lors de chaque "période critique septennale"...
environ six mois avant un anniversaire septennal nous "changeons d'état" et entrons dans une période qui peut prendre différents aspects : il peut ne pas se passer grand chose voire rien du tout, mais il peut survenir des situations graves comme de sérieuses dépressions, des épisodes à risques de passage aux actes très divers en raison de pulsions qui vont nous pousser à agir, alors que s'atténuent, voire disparaissent parfois, nos inhibitions : sur des sujets qui nous préoccupent autrement de façon latente, nous allons avoir le courage et l'énergie agir, bouger, démarrer, de façon consciente ou subconsciente, des actes qui nous peuvent nous être profitables mais aussi nuisibles... (séparations, suicides, crimes, et même certaines maladies, etc...)
- jour critique émotionnel : un jour de "pulsions" et de tensions chaque septième jour de notre vie.
jour de pulsions psychiques et émotionnelles : c'est notre jour à risque de blues, déprime voire dépression fulgurante ou de colère. jour de passage à l'acte des suicidaires, criminels, jour des conflits conjugaux et autres...
- jour critique physique : un jour de "pulsions" ou de "débrayage" physiques, chaque sixième jour de notre vie...
c'est un jour de "contrôle technique" de notre organisme : notre mauvais état de santé a tendance à se manifester de préférence ce jour là, mais c'est aussi un jour de pulsions pouvant entraîner certains passages aux actes ou défaillances...
- cycle physique sextennal : il est l'équivalent du cycle physique de 23 jours des biorythmes. rapporté aux années il peut induire des "années de fatigue physique" lors de nos "années critiques physiques".
Ces cycles ETANT CONNUS A L'AVANCE, leur observation va pouvoir aider à gérer notre forme et nos émotions, et parfois, à éviter des drames :
- en sachant par exemple à l'avance que l'on peut très gravement déprimer à l'arrivée d'une période critique septennale- que la majorité des difficultés conjugales graves surgissent à ce moment là (séparations se soldant parfois par un drame)
- en sachant à l'avance que notre jour critique émotionnel (hebdomadaire) est notre jour "à risque de dérapage"...- en sachant à l'avance que c'est un multiple de sixième jour que nous pouvons être physiquement mal en point...- en sachant qu'une longue période d'épuisement peut avoir un lien avec une année critique physique.
Face à un problème sérieux, pensons à vérifier si nous ne sommes pas en situation "à risque"- en observant la position de nos cycles longs et courts.
cela peut parfois expliquer - au moins en partie - la survenance du problème, mais cela peut aussi aider à le gérer voire le maîtriser.
Repérez à l'avance, préventivement, vos périodes et jours critiques et ceux de votre entourage : cela permet de s'observer et mieux se connaître... mais aussi de comprendre, parfois d'aider, et ne pas être pris au dépourvu en cas de réaction éventuelle...
CYCLE PSYCHIQUE ET EMOTIONNEL SEPTENNAL
La particularité de ce cycle est qu'il comporte ce que j'ai appelé des "périodes critiques septennales" se situant autour de nos années de vie septennales, c'est à dire nos âges de la table de sept.
Les périodes critiques septennales les plus connues sont celle de l'adolescence et celle de l'entrée dans l'âge adulte.
Ce sont donc les période critiques septennales de 14 ans et de 21 ans. Ce type de période existe cependant pour tous nos âges septennaux, c'est à dire tous nos âges de la table de sept. (7 ans, 14 ans, 21, 28, 35, 42, 49, 56, 63, 70, 77, 84, 91, 98 ans).
Ces périodes critiques démarrent environ six mois avant l'anniversaire septennal et voici donc le calendrier des périodes critiques septennales liées à notre cycle psychique et émotionnel :
- de 6 ans et demi à 8 ans (1ère période, celle des 7 ans)
- de 13 ans et demi à 15 ans (2ème période, celle des 14 ans)
- de 20 ans et demi à 22 ans (3ème période, celle des 21 ans)
- de 27 ans et demi à 29 ans (4ème période, celle des 28 ans)
- de 34 ans et demi à 36 ans (5ème période, celle des 35 ans)
- de 41 ans et demi à 43 ans (6ème période, celle des 42 ans)
- de 48 ans et demi à 50 ans (7ème période, celle des 49 ans)
- de 55 ans et demi à 57 ans (8ème période, celle des 56 ans)
- de 62 ans et demi à 64 ans (9ème période, celle des 63 ans)
- de 69 ans et demi à 71 ans (10ème période, celle des 70 ans)
- de 76 ans et demi à 78 ans (11ème période, celle des 77 ans)
- de 83 ans et demi à 85 ans (12ème période, celle des 84 ans)
- de 90 ans et demi à 92 ans (13ème période, celle des 91 ans)
- de 97 ans et demi à 99 ans (14ème période, celle des 98 ans)
les périodes critiques septennales sont des périodes de changements lors desquelles nous faisons une sorte de "saut évolutif" dans notre vie. certaines sont de véritables épisodes de métamorphose (celle de l'adolescence est la plus remarquable, par exemple) mais d'autres sont un peu plus discrètes. toutes ont cependant leur importance et un rôle différent selon la période dont il s'agit. les particularités de chacune restent à étudier.
ce sont des périodes qui vont nous faire bouger, remettre en cause, réviser notre situation, parfois nous bousculer, et cela va donner lieu à des manifestations extrêmement diverses selon les individus et les situations : elles peuvent en effet revêtir des formes et des effets très individualisés, voire elles peuvent quasiment "ne pas se faire remarquer"...
mais c'est lors de ces périodes que peuvent surgir par exemple des problèmes dans un couple en raison des perturbations psychiques et du changement de personnalité qu'elles peuvent opérer : de nombreux conflits débouchant sur des séparations, et même des drames, sont liés à l'arrivée d'une période critique septennale d'une personne (on la retrouve très souvent lors d'une séparation, d'un drame familial ou conjugal, d'un infanticide, etc...)
ce sont des périodes de grands changements et de nouvelles entreprises (travail, région, partenaires, etc...) car nous sommes à la fois bousculés, et désinhibés, (il se produit un effet momentané de pulsions/désinhibition simultanément) c'est à dire que nous aurons moins peur d'opérer un changement, nous serons plus entreprenants. pour cela les périodes critiques septennales sont, par définition, des périodes de prise de risques... c'est notamment cet effet de pulsion/désinhibition qui explique les drames de toutes sortes qui peuvent arriver lors des périodes critiques septennales, (y compris des comportements criminels, la période critique septennale étant alors notre "période Hyde").
l'une des manifestations les plus courantes est la dépression septennale : c'est une grave dépression - parce que particulièrement importante et tenace - qui peut surgir à ce moment là, et parfois conduire certaines personnes jusqu'au suicide.
j'ai remarqué aussi que l'irruption d'un certain nombre de maladies coïncide souvent avec l'arrivée d'une période critique septennale et je suis persuadé qu'il y a un lien.
CYCLE EMOTIONNEL HEBDOMADAIRE
ce cycle est aussi un cycle psychique et émotionnel fonctionnant au moyen de pulsations, chaque septième jour. il induit un "jour critique émotionnel" chaque septième jour de notre vie à partir de notre jour de naissance. cela a pour résultat mathématique que ce jour critique émotionnel est et reste notre vie durant, toujours le même jour que celui de la naissance. né un lundi notre jour critique émotionnel sera définitivement le lundi, multiple de sept oblige.
le jour critique émotionnel est l'équivalent en modèle réduit de la période critique septennale décrite plus haut : c'est notre jour de réflexion et de remise en cause, et ce de fait de possible déprime voire dépression (parfois foudroyante), jour de possible mauvaise humeur et colère. aussi jour de pulsion/désinhibition nous retrouverons souvent le jour critique émotionnel lors de nombreux comportements "à risques", voire criminels : altercations, drames conjugaux et familiaux, passages à l'acte suicidaires et criminels. c'est, dans les situations extrêmes, notre "jour d'explosion". c'est notre "jour Hyde".
période critique septennale et jour critique émotionnel sont des "éléments déclencheurs" ou "élements moteurs" souvent présents lors de passages à l'acte très divers. ils ont d'ailleurs beaucoup de ressemblances : ils s'amplifient mutuellement lorsque par exemple le jour critique émotionnel se trouve situé dans la période critique septennale.
CYCLE PHYSIQUE ET EMOTIONNEL de six jours
ce cycle fonctionne de la même manière que le cycle précédent, induisant un jour critique physique chaque sixième jour de notre vie.
le jour critique physique est un jour de "débrayage" de l'énergie physique de notre organisme : il est de ce fait jour de fatigue et d'accidents de tous ordres, pouvant avoir un lien avec la défaillance humaine
(c'est le "jour des erreurs humaines"), mais aussi sportifs et médicaux. (jour des bébés secoués parce que bébé a tendance à pleurer ce jour là, aussi, exceptionnellement, jour de la mort subite du nourrisson en raison probablement de cet effet "débrayage de l'énergie physique de l'organisme", il est enfin fréquemment le jour du décès "naturel" de l'humain, pour ces mêmes raisons).
il peut à certains moments revêtir la forme d'un jour critique émotionnel et conduire à des coups de blues et du fait de pulsions physiques à des passages à l'acte criminels (viols et agressions sexuelles par exemple).
CYCLE PHYSIQUE SEXTENNAL
le cycle physique sextennal est l'équivalent du cycle physique de 23 jours des biorythmes : il est simplement transposé sur nos années de vie et il s'agit par conséquent d'un cycle de 23 ans. (il redémarre par une année 1 après la 23ème année).
période critique sextennale : c'est la période critique du cycle physique sextennal. elle est en général d'une année et semble pouvoir induire de très longues périodes (jusqu'à une année entière) de grand fatigue, voire épuisement.
nos années de vie critique physiques sont les suivantes : 6/7 - 12 - 18/19 - 24 - 29/30 - 35 - 41/42 - 47 - 52/53 - 58 - 64/65 - 70 - 75/76 - 81
attention ce sont les ANNEES DE VIE que je cite et non les âges : par exemple l'année de vie 24 démarre après le 23ème anniversaire. l'année de vie 58 démarre après le 57ème anniversaire.
j'ai par ailleurs remarqué que périodes et années critiques peuvent "coulisser" sur le calendrier en fonction de notre état physique et émotionnel, et d'événements extérieurs qui nous perturbent. ils peuvent par exemple se déclencher prématurément s'il y a un choc psychologique, et aussi tardivement alors que l'on croit qu'il ne se passe rien on peut être rattrapé dans les mêmes conditions s'il y a par exemple un cas de décès d'un proche, ou un autre stress (emploi, séparation,etc...etc...)
il en est d'ailleurs de même pour les périodes critique septennales du cycle psychique et émotionnel de 28 ans.
en tous cas, fatigue importante ou épuisement de longue durée que l'on arrive pas à expliquer, vérifiez à tout hasard si vous n'êtes pas dans une "année critique physique" ou à l'entrée dans une telle année... songez aussi qu'une méforme physique peut "taper sur le moral" et inversement...
M odification de nos paramètres
"modification de nos paramètres" à l'arrivée et au cours d'une période critique septennale et d'un jour critique émotionnel.
l'arrivée et l'entrée dans une période critique septennale peut considérablement "modifier nos paramètres" (j'ai repris cette expression informatique car elle me semble bien correspondre à ce qui peut parfois se passer, au niveau de notre personnalité... du moins c'est ainsi que je le perçois...) cela reste individuellement très variable, et j'ai essayé de l'exprimer en regardant de plus près certains de ces "paramètres".
le jour critique émotionnel étant une réplique réduite (courte) du phénomène, on pourra retrouver ces mêmes éléments au cours du jour critique émotionnel hebdomadaire, bien sûr adaptés quand même au fait que le jour critique émotionnel est d'une durée d'environ 24 heures alors que la période critique septennale est/peut être d'une durée de quelques mois à un an, à un an et demi... la particularité importante du jour critique émotionnel est qu'il est fréquent puisque hebdomadaire, il survient chaque semaine...
+ de sensibilité : nous allons être plus sensibles que d'ordinaire, ressentir de façon plus efficace et plus ample. nous pouvons donc être plus susceptibles, plus fragiles. nous sommes aussi de ce fait plus réactifs.
+ d'irritabilité : nous sommes plus facilement plus irritables (je dis parfois pour rire et faire comprendre, qu'une méthode pour trouver le jour critique émotionnel d'une personne, c'est que si vous la taquinez, ce sera le jour où elle se met réellement en colère :-)
+ de pulsions : passages à l'acte en tous genres plus faciles et fréquents à ce moment là. on a le petit + qui nous décide à agir. qui nous aide à déclencher l'action.
nous avons là l'un des éléments importants du phénomène jour/année septennaux : l'élément "pulsions" qui va nous "pousser à l'action" plutôt à ce moment-là qu'à un autre.
associé à un effet de désinhibition, autre élément clé, la paire va bien sûr être très efficace...
- moins d'inhibitions : on n'est moins inhibé pour opérer des passages à l'acte... ce qui explique beaucoup de drames en jour ou période critique (ensemble pulsions/désinhibition) suicide aussi : on n'a plus peur de mourir et on est vraiment décidé.. nous sommes désensibilisés (criminalité)...
on a dans un autre registre moins peur de déclarer sa flamme (nous sommes plus entreprenants), ou à l'inverse, d'envoyer ballader son partenaire... ou son patron... :-)
c'est le second élément important du phénomène jour/année septennaux : nos freins sont lâchés ou ne fonctionnent quasiment plus... alors en présence d'un effet simultané de pulsions, on voit ce que çà peut donner...
je compare parfois cet effet de désinhibition à une sorte d'ivresse (ivresse du jour critique émotionnel ou de la période critique septennale) car l'effet est un peu similaire à celle de l'alcool, à cela près que nous conservons quand même notre faculté de discernement : mais là aussi tout cela reste à étudier. (la question de l'abolition du discernement serait à revoir en fonction de la situation de nos cycles, de nombreux actes criminels ayant lieu en jour ou période critique du fait d'un effet de pulsions/désinhibition présent à ce moment-là, justement...)
- énergie + ou - (selon) : les pulsions nous donnent de l'énergie mais une chute dans la dépression peut nous anihiler...
la version dynamisante fait qu'une grande partie de l'actualité est le fait de "septennaux" : les "acteurs septennaux" (entendre par là "agir en jour ou période septennaux") ont envie consciemment ou subconsciemment de bouger, se démarquer, agir...
le Net est un autre endroit très fréquenté par les "acteurs septennaux" : on crée blogs et forums, on intervient, souvent en jour/année septennale... parce que l'on a envie de se manifester, on éprouve le besoin de s'extérioriser et de communiquer, on y vient aussi parce que l'on a des problèmes dans ces moments là...
j'arrive souvent à repérer au coup d'oeil un "acteur septennal" par la description de son comportement ou ses actes, dans les faits d'actualité, ou encore par la teneur de ses messages sur le Net...
- plus de prise de risque : comme nous sommes désinhibés nous n'avons pas peur, voire pouvons devenir très imprudents (accidents, passages à l'acte criminels, ou "osés"... qu'en temps ordinaire "on n'ose pas")
- plus d'agressivité : lien avec les pulsions ; jour (jour critique) ou période (période critique) de colère plus facile, voire selon les personnes fragilisées colère "à risque" de dérapage... notre jour critique émotionnel est notre "jour de colère"...
- plus d'imagination : c'est comme un déblocage ou une ouverture plus grande - beaucoup de découvertes, inventions, prouesses, bonnes idées, durant cette période momentanément "portail" sur "d'autres espaces"... période des "illuminés" (les gourous le deviennent souvent en période septennale) mais aussi périodes particulièrement productives pour les grands découvreurs... "eurêka ! j'ai trouvé..." pourrait être une expression de jour critique émotionnel ou de période critique septennale... :-)
jours et périodes critiques sont souvent, en quelque sorte, des jours et périodes "d'hyperactivité du cerveau"
- plus d'attachement voire fixation (on tombe amoureux), voire obsesssions et déviances (pédophilie), plus de sentiments : peuvent devenir excessifs (drames conjugaux, familiaux : ce qui explique la présence fréquente d'un jour critique ou d'une période critique lors de certains drames)
- moins de "raison" : nous sommes moins raisonnables (notre Conscience est en quelque sorte "diminuée") : nos valeurs habituelles peuvent être modifiées, devenir extensibles, lorsqu'il s'agit par exemple d'actes de délinquance...
- Jeckyll et Hyde : ils sont une illustration intéressante et bien adaptée à ce qui peut se passer un jour critique émotionnel et/ou une période critique septenale : ils sont nos jours/périodes Hyde... et ce dernier va parfois prendre le relais le temps d'un jour, dans le cas du jour critique émotionnel, ou pour une durée bien plus longue, dans le cas d'une période critique septennale... : c'est ce possible "changement de personnalité" qui est à l'origine de maintes mésententes, séparations et drames conjugaux mais autres aussi...
+ sensibles et fragiles psychiquement et physiquement : çà reste à déterminer précisément mais j'ai constaté que la période critique septennale correspond d'après de nombreux témoignages au moment de démarrage de pas mal de maux physique et psychiques, un peu comme s'il s'agissait d'un moment auquel nos défenses sont fragilisées... ou encore simplement d'un moment "porte d'entrée"...
sur certains forums consacré à des maux divers la majorité des "malades" sont des "septennaux" ou sont tombés malades à l'arrivée d'une période critique septennale... or une maladie qui se déclare en période critique septennale n'est pas - à mon avis - la même chose que la même maladie qui survient à un autre moment : je pense qu'elle a un lien avec notre psychisme et/ou notre état psychique du moment, notamment... mais comme je disais c'est une piste qui reste à voir de bien plus près.
c'est là une "liste" expérimentale et provisoire...
mais attention, en général et dans la grande majorité des cas, jours et périodes critiques se passent sans trop de perturbations et nous les assumons comme faisant partie de nos préoccupations quotidiennes...
ils sont toutefois des jours et périodes où nous pouvons être "un peu différents d'humeur et d'état d'esprit" : en fait ils sont censés nous faire réfléchir, et nous mobiliser pour parfois réviser nos situations, "pour que nous réglions nos affaires" en suspens ; car c'est surtout dans ces moments-là que celles-ci ont tendance à nous revenir à l'esprit... à la faveur d'une sorte d'hyperactivité cérébrale... ils sont aussi censés nous "donner envie" d'autre chose...
il peut arriver que face à une telle "séance de rappel", nous préférons l'ignorer ou remettre à plus tard, ou encore que nous soyons désemparés, nous sentions "bousculés", et ne sachions pas quelle direction prendre ; c'est cela qui peut alors donner lieu à des perturbations momentanées...
d'où l'intérêt de comprendre le mécanisme pour bien réagir le moment venu et même être un peu "préparé à l'avance"...
Famille, couple et chronopsychologie
Chronopsychologie ?
J'appelle ainsi les phénomènes psychologiques et comportements qui sont liés à une périodicité rythmique ou cyclique, et qui dans le cas du présent sujet, ont une incidence sur la vie d'un couple, sur la vie des familles.
Si l'on s'intéresse au sujet des rythmes et cycles humains, on en découvre un certain nombre qui jouent un rôle important tout au long de nos vies quotidiennes...
on trouve notamment :
- un cycle psychique et émotionnel hebdomadaire : il est d'une grande importance dans nos rapports quotidiens avec l'autre, les autres...
- un cycle psychique et émotionnel septennal : tout aussi important que le précédent, mais il fonctionne au moyen de "pulsations septennales"... donc plus étalé dans le temps. c'est un "cycle long".
ces cycles vont avoir leur mot à dire et nous influencer tout au long de nos vie mais aussi et surtout, dans le sujet qui nous intéresse, ils vont jouer un rôle pour nous retrouver et rencontrer les uns et les autres... pour nous séparer aussi (c'est là qu'ils sont particulièrement intéressants à prendre en considération)...
Alors comment çà marche ?
1) le CYCLE PSYCHIQUE ET EMOTIONNEL SEPTENNAL :
d'après ma théorie nous arrivons chaque septième année de notre vie (donc en fait les anniversaires de la table de sept, dans ce que j'ai appelé une "période critique septennale". (les dates - car çà démarre environ six mois avant la date anniversaire - sont mentionnées dans la marge de droite et ci-dessus dans la rubrique "période critique septennale"...)
ces périodes sont importantes à retenir et observer car il peut souvent ne pas s'y passer grand chose, mais dans certains cas elles vont donner lieu à de remarquables "changements" chez une personne, donc également dans un couple, et elles peuvcent aller jusqu'à le remettre en cause...
une grande partie des séparations sont en effet liées directement ou indirectement à l'arrivée ou à la situation en période critique septennale de l'un ou l'autre des partenaires d'un couple, ou parfois des deux... (ce qui a alors pour effet d'accentuer encore les problèmes en raison de la compatibilité qui en résulte, les deux ayant alors chaque fois des périodes critiques septennales communes).
si du fait d'un effet de pulsions/désinhibition (1) nous avons tendance à nous rencontrer à l'occasion d'une période critique septennale, celle-ci, à l'inverse, peut participer également à notre séparation... pour les mêmes raisons.
la période septennale est une période durant laquelle nous sommes poussés à bouger... à remettre en cause des tas de choses, y compris, s'il y a lieu, notre vie de couple et de famille, notre vie professionnelle aussi... nous pouvons nous métamorphoser, changer de personnalité : l'arrivée d'une période critique septennale (2) peut parfois déclencher l'incompréhension, la mésentente voire les hostilités dans un couple. elle peut engendrer parfois une longue et profonde dépression (tellement typique parmi les graves dépressions que je l'ai appelée la dépression septennale) de l'un des partenaires d'un couple, dépression qui peut aller jusqu'à remettre en cause le fonctionnement de l'union.(on ne reconnaît plus l'autre, on ne se comprend plus, l'autre a changé, le dialogue devient difficile, voire impossible).
si vous en êtes là commencez par vérifier si l'un des deux n'est pas à l'entrée de l'une de ses périodes critiques septennales... ou s'il ne se situe pas déjà à l'intérieur de celle-ci... (3)
Que peut-on faire ?
Le fait d'avoir connaissance à l'avance et de comprendre le mécanisme aide déjà énormément car on comprend alors l'origine du ou d'une partie des problèmes. le reste est ensuite une question de dialogue, d'aide et de compréhension mutuelles. mais ce dialogue se fait avec bien plus de facilité si l'on comprend la raison de la mésentente qui est l'état particulier et la transformation de l'autre.
je conseille pour cela de convenir à l'avance d'un pacte d'aide et de non-agression, sachant que les échéances possibles sont précisément connues.
Ensuite... la période critique septennale est une période "à durée déterminée" ce qu'il est important de savoir, car cela veut dire que dans de bonnes conditions les problèmes sont passagers, s'arrêtent ou se solutionnent avec la fin de la période septennale. cela veut dire que la "métamorphose" ou la situation "d'étranger", la grave dépression parfois (4), dans laquelle s'est enfoncé l'autre va prendre fin avec la fin de la période critique : il s'agit donc, en quelque sorte, de tenir jusque là, au moyen de patience et de dialogue, d'attention, de compréhension et d'efforts communs. quitte à se faire aider : la période critique septennale est un test qui va permettre de savoir si le couple tient bon. et elle peut gravement le mettre à l'épreuve. pourtant il ne s'agit que d'une étape chronobiologique de notre psychisme... résultat probable d'un cycle hormonal septennal naturel... mais dont le but de de tester.... le cas échéant, de faire bouger.
la période critique septennale peut aussi faire apparaître que l'aventure commune d'un couple est terminée, puisque l'on peut "changer de personnalité" et ne plus s'entendre ou se reconnaître. comprendre ce mécanisme devrait aider cependant à se séparer en bons termes. et là aussi un pacte d'entente et de non agression préalable peut aider : si on s'assemble par amour, on peut très bien se séparer par amour et en bons termes, par consentement mutuel si l'on voit que çà ne va plus et que c'est mieux pour tout le monde. (5)
il est cependant important de s'attacher scrupuleusement à respecter un "pacte" car en période de dépression on aura tendance à jeter à l'eau toutes les bonnes résolutions.
un couple jeune remarque assez rapidement s'il fonctionne ou pas... indépendamment des périodes critiques septennales.
une première épreuve aura lieu souvent avec l'arrivée de la période critique septennale de l'un ou de l'autre des partenaires. je ne sais encore l'expliquer mais la formation d'un couple peut aussi constituer une "entité" nouvelle, qui pourra voir surgir des difficultés après une durée de sept années de vie commune... il peut être utile d'en tenir compte.
mais là où les périodes critiques septennales peuvent parfois aussi faire des dégats, c'est dans un couple qui est ensemble et a bien fonctionné de longue date, ou même dans la vieillesse : subitement, après de longues années de vie commune, ce peut être la catastrophe...
souvent on ne comprend pas pourquoi : il faut alors chercher la période critique septennale...
et c'est à ce moment là que l'on peut encore sauver la situation... en prenant conscience en amont et dès l'apparition des premiers symptômes, du fait que l'un ou l'autre des partenaires en entrant dans sa période critique commence à "changer"... commence à devenir distant, déprimé, agressif, par exemple...
un couple peut être infernal et ne rien faire voir à l'extérieur, puis casser. mais il peut aussi fonctionner de façon parfaite depuis des décennies et subitement çà ne va plus : il est alors presque certain qu'il s'agit de l'arrivée d'une période critique septennale de l'un ou de l'autre des partenaires... et c'est alors à ce niveau là qu'il faut agir.
la "bombe à retardement" que peut constituer la période critique est cependant déjà partiellement désamorcée si l'on connaît le fonctionnement du mécanisme.
2) le CYCLE PSYCHIQUE ET EMOTIONNEL HEBDOMADAIRE :
il s'agit d'un cycle psychique et émotionnel simple et court : il induit chaque septième jour à partir de notre naissance un "jour critique émotionnel" qui va être notre "jour de susceptibilité" (de colère, de mélancolie, de blues et de tristesse - c'est notre jour du "verre à moitié vide", de mauvaise humeur, de possible passage à l'acte violent aussi, lorsqu'il devient notre jour "Hyde"...).
il est simple de se rappeler de son jour critique émotionnel puisque en raison de sa cyclicité de sept jour ce sera - du fait d'une règle mathématique - toujours le jour de la semaine où nous sommes nés... né un mardi... notre "jour à prendre avec des pincettes" sera toujours le mardi. (attention dès le lundi soir dans ce cas car la journée chronobiologique va de 18H la veille à 18H le soir).
en couple ou en famille il est intéressant que chacun connaisse et tienne compte du "jour critique émotionnel" de l'autre. cela peut éviter des disputes (qui ont tendance à arriver surtout ce jour là : il peut être prudent de remettre, d'un commun accord, les discussions à un autre jour), voire des drames (eux aussi ont tendance à arriver ce jour là : violences conjugales, familiales, suicides aussi ... arrivent le jour critique émotionnel car celui-ci est notre "jour soupape", notre jour "sensible" et comme c'est jour de pulsions/désinhibition, dans les cas extrêmes, il peut devenir jour de "disjonction" ou pour parler encore plus communément, "jour de pétage de plombs"...
cet effet de pulsion/désinhibition peut nous faire mettre en retrait ou oublier notre raison et nous faire dire et faire des bêtises que nous ne dirions pas ou ne ferions pas un autre jour...
si on le sait on peut en tenir compte et considérer les choses différemment : un scénario pourra alors se dérouler de façon moins pulsionnelle.
Situations de compatibilité :
- compatibilité de jours critiques : il y a compatibilité des jours critiques émotionnels si deux personnes sont natives du même jour de la semaine. par exemple deux personnes nées le jeudi pourront être mélancoliques ... ou en colère... toujours ensemble ce jour là, le même jour par conséquent. on voit aisément ce que cela peut donner au niveau de l'ambiance d'un couple, de la situation parent enfant (conséquence de nombreux différends parent enfant - voir ci-dessous au sujet des enfants septennaux) ou encore frère/soeur, et même ... mari(gendre) et belle-mère :-)
- compatibilité de périodes critiques : il y a compatibilité des périodes critiques septennales lorsque deux personnes sont ensemble dans un âge multiple de sept : mari et femme qui ont le même âge mais aussi qui ont 35 et 28 ans par exemple...
il en résultera également des situations à risque... épisodes de tensions... toujours ensemble au même moment, tout au long de la vie du couple, ce qu'il est très utile d'avoir compris...
une autre situation à compatibilité intéressante à prendre en compte, est celle des périodes critiques septennales successives : un mari de 42 ans va être "différent" voire avoir des problèmes durant sa période critique. lorsqu'il en sort - (on peut s'y embourber dans certaines conditions, mais en principe on en sort à 43 ans) si son épouse a à ce moment là ses 42 ans à elle... elle va prendre la relève dans cette période délicate qui peut être de dépression ou autres difficultés...
le fait de le savoir peut désamorcer les effets à risque ou au moins les atténuer...
enfants septenaux : un enfant septennal est un enfant conçu et né (eh oui les pulsions/désinhibition n'y sont pas étrangères) en période critique septennale. il sera un enfant septennal c'est à dire qu'il aura ses périodes critiques septennales toujours en même temps que l'un ou l'autre ou les deux parents... attention aux étincelles lorsque l'enfant sera, en raison de la compatibilité, dans un âge septennal "délicat" (sa période critique septennale à lui) à l'âge de 7 ans, 14 ans, 21 ans... alors que la situation sera tout aussi délicate pour le parent se retrouvant lui-même et au même moment dans sa propre période septennale - situation "à risque", donc... ce dont il peut être utile de se rappeler afin de voir venir et mieux gérer...
Dépression septennale
la dépression septennale est, parmi les dépressions, l'une des dépressions graves et de longue durée très courantes. elle survient, parfois sans raison précise (puisqu'elle est liée à un cycle psychique et émotionnel à pulsations septennales, probablement d'origine hormonales, je pense) au moment de l'approche ou de l'entrée dans un âge septennal, c'est à dire plus précisément six mois avant l'arrivée d'un âge de la table de sept. ou encore elle sévit autour de cet âge septennal, se décalant parfois en fonction des individualités et des situations. il s'agit en fait d'une dépression de la "période critique septennale".
c'est ainsi qu'une personne peut sombrer dans une profonde dépression et/ou devenir "différente", aux alentours de ses 13/14 ans, 20/21 ans, 27/28 ans, 34/35 ans, 41/42 ans, 48/49 ans, 55/56 ans, 62/63 ans 69/70 ans, 76/77 ans, 82/84 ans... phénomène qui va durer de quelques semaines à quelques mois mais qui peut parfois durer des années... ce sont des dépressions longues et graves qui, si elles ne sont pas bien comprises, peuvent parfois déboucher sur des drames (violences, suicides) et dans les familles elles sont la cause de nombreuses mésententes et séparations.
si leur particularité est la proximité d'un âge septennal, les symptômes sont ceux d'une grosse dépression, l'isolement et le renfermement sur soi, un sentiment d'inutilité, disparition de toute motivation et une envie de ne rien faire, tendance à dormir souvent, envie de suicide, tristesse, anxiété, angoisse... le changement de personnalité peut faire partie, au point "qu'on ne reconnaît plus la personne" (dans un couple par exemple) : la dépression septennale peut entraîner une sorte de métamorphose momentanée : il peut naître de l'irritabilité, de l'agressivité... on peut aussi devenir provocateur et destructeur, et dans les cas extrêmes c'est la période où certains peuvent "disjoncter" comme on dit parfois communément... .
la dépression septennale est parfois diagnostiquée comme de la schizophrénie ou un trouble bipolaire : il y a de cela mais la particularité est qu'elle arrive et persiste le plus souvent à une période pouvant durer de quelques mois à deux années, le début se situant souvent assez précisément six mois avant un anniversaire septennal... (voir les dates en marge de droite).
la dépression a tendance à se dissiper après la fin de la période critique septennale, sauf si la personne reste prisonnière dans une camisole "psychique" ou ... chimique, ce qui l'empêche alors de revenir à la réalité : c'est hélas parfois le cas. cela fait alors durer la dépression bien plus longtemps qu'elle ne le devrait... parfois même jusqu'à la période critique septennale suivante... (dans sept années !)
il peut aussi y avoir "rechute" (après une longue période de rétablissement), lors de l'arrivée de la période critique septennale suivante, mais ce n'est pas très courant.
les "downs" du trouble bipolaire correspondent souvent aux périodes critiques septennales, le trouble bipolaire étant entre autre un trouble de notre cycle psychique et émotionnel.
les "incidents" liés à la schizophrénie arrivent aussi fréquemment lors des périodes critiques septennales mais aussi surtout le jour critique émotionnel, cette maladie semblant également - comme nombre d'autres - avoir un lien étroit avec nos cycles psychiques.
nous passons tous par une dizaine de périodes critiques septennales tout au long de notre vie : l'une ou l'autre peut poser des problèmes plus sérieux, (c'est individuel et fonction des éléments et événements de notre vie) mais d'ordinaire, et dans l'ensemble heureusement, elles se passent sans trop de perturbations. la dépression septennale est l'un des aspects problématiques de la période critique septennale, mais cette dernière revêt souvent des aspects largement positifs aussi, puisqu'elle est en réalité destinée à nous "pousser à" bouger, changer, évoluer... à nous transformer... (l'exemple le plus impressionnant étant les perturbations et transformations opérées au moment de la période critique septennale de l'adolescence (période critique des 14 ans) : nos autres périodes critiques septennales sont un peu pareilles, mais en moins extrême, moins visible...)
nos périodes septennales sont, pour cela, accompagnées d'un effet de pulsions (qui va nous pousser, parfois nous "bousculer", et d'une désinhibition (qui va nous faciliter nos entreprises : nous avons moins peur d'entreprendre).
la dépression septennale (elle n'est heureusement pas systématique, bien sûr) peut survenir parfois sans raison apparente, le moment venu... mais elle survient probablement aussi parce que du fait de cet effet de pulsions nous sommes bousculés alors que nous ne savons peut-être pas vers où, vers quoi aller...
la dépression peut aussi être déclenchée s'il intervient un traumatisme lors d'un moment propice ou moment à risque (par exemple un deuil, un échec, ou autre événement qui va nous toucher...) elle peut rester "en sommeil" et être latente, puis se déclencher ensuite, ce qui explique certaines graves dépressions qui arrivent avant (prématurément en quelque sorte) ou après une période critique septennale (tardivement, donc). on peut faire le lien en général en raison de la gravité et de la ténacité d'une dépression.
la dépression septennale a la particularité que l'on peut la reconnaître et surtout la voir venir A L'AVANCE puisque l'on connait les moments où elle peut survenir. c'est un élément important de prévention que de connaître à l'avance le risque et le moment du risque, car cela peut aider à parfois l'atténuer voire le désamorcer... on peut se "préparer psychologiquement" à la situation...
la dépression septennale est aussi, dans les conditions habituelles, "à durée déterminée" (puisque liée aux pulsions momentanées de la "période critique septennale" de notre cycle psychique et émotionnel).
des études seraient instructives, qui prendraient en compte le moment de l'arrivée d'une dépression, (âge précis), sa durée, puis sa "disparition", ses causes éventuelles aussi... : cela permettrait certainement de faire apparaître la cyclicité dont je parle.
Les portes du suicide
de nombreux suicides interviennent lorsque certaines conditions sont réunies. Le mal-être couve, mais va avoir besoin à un moment ou un autre d'un "déclencheur" qui va aider au passage à l'acte, qui va nous aider, voire nous pousser à nous décider.
certains de ces éléments "déclencheurs" sont simples à déterminer : ils sont mathématiques et naturellement liés à deux cycles psychiques et émotionnels. ils provoquent et régissent nos "hauts" et nos "bas" et ce sont les "bas" qui arrivent sur nous à intervalles réguliers, qui pourront avoir un rôle prédominant lors de nos envies suicidaires. Nos inhibitions face à la mort sont, dans ces moment là, réduites voire disparues (cela fait partie de la chimie de nos "bas"...) et nous sommes totalement persuadés que d'en finir est la seule solution et la plus adaptée... c'est cette conviction qui s'empare d'un dépressif à certains moments qui rend difficile la lutte contre le suicide...
on peut donc analyser un suicide en regardant si certaines données sont présentes, et on les retrouvera souvent.
à l'inverse, connaissant ces données, on les voit arriver et on peut prévenir le risque de passage à l'acte puisqu'on sait qu'il peut avoir lieu à cette occasion.
Quels sont ces éléments ?
- notre jour critique émotionnel :
il est hebdomadaire du fait d'un cycle qui fonctionne au moyen de d'une pulsation chaque septième jour de notre vie. S'agissant d'un cycle de l'émotion de sept jours, c'est toujours le même jour de la semaine, celui où on est né. On a tendance à de suicider de préférénce le jour de la semaine où on est né, ou la veille de ce jour. (la veille parce que le jour de dépression en question démarre déjà la veille au soir aux alentours de 18H, la "journée chronobiologique" allant de 18H à 18H et non pas de 0H à 0H comme nos journées "officielles" (1).
ce serait probablement facile à confirmer au moyen de quelques statistiques simples : date de naissance/date de suicide. en tous cas on le retrouve dans beaucoup de cas. ainsi une personne née un mardi et qui est suicidaire, peut avoir tendance à vouloir passer à l'acte - de préférence - dès le lundi soir et jusqu'à mardi soir.
pour ce cycle il s'agit en fait d'un cycle psychique et émotionnel de 28 jours comportant quatre "jours critiques émotionnels" (E1 - E8 - E15 et E22 indiqués sur l'agenda ici http://biorythm.online.fr/w/ - E1 le premier jour du cycle est le plus "fort" des quatre jour critiques de ce cycle).
- notre période critique septennale :
c'est un autre cycle psychique et émotionnel (en fait une réplique "longue" du précédent) et qui engendre une période longue pouvant être de grave dépression. cette période démarre environ six mois avant un anniversaire de la table de sept, et se termine avec l'anniversaire suivant. Exceptionnellement la dépression, si elle se manifeste, peut se poursuivre au-delà de cette période si certains problèmes ne sont pas résolus. Elle peut parfois chez certaines personnes, mystérieusement apparaître et disparaître "sans raison", sans que l'on ait vraiment de soucis particuliers.
Mais c'est ainsi que - par exemple - on va plus se suicider à 27 ans et demi et dans la période qui se situe depuis ce moment là et jusqu'à 29 ans. c'est la "période critique septennale des 28 ans et il en est ainsi pour toutes les autres années septennales. (voir le tableau des périodes critiques dans la marge de droite).
(ce sont d'ailleurs les suicides de cette période critique des 28 ans qui ont fait naître le club des 27... (2)
- approche de la date anniversaire je ne peux l'expliquer que par le fait qu'il s'agit d'un cycle particulier des anniversaires (donc annuel), mais je trouve souvent la date anniversaire pas loin de certains suicides, surtout dans la période précédant l'anniversaire, un peu comme si la tension montait à ce moment là. la période pré-anniversaire est effectivement une période de possible dépression, ce dont doivent tenir compte les personnes qui y sont sensibles : certains sont systématiquement déprimés à l'approche de leur anniversaire.
- antécédents avec les mêmes critères : une personne qui a fait des tentatives de suicide son jour critique émotionnel risque de récidiver, le cas échéant, le même jour, lorsqu'elle se retrouvera de nouveau dans une mauvaise passe à ce moment là. Le jour critique émotionnel c'est quand même une "journée pulsions/désinhibition" chaque semaine. l'une des particularités est que la dépression d'un jour critique émotionnel peut être "foudroyante" : une décision de mettre fin à ses jours peut alors être prise "sur le champ" (sur un coup de tête, si l'on veut) sans que rien ne l'ai laissé présager. ce qui fait parfois l'étonnement et le choc de l'entourage... idem pour les années septennales, lors desquelles on peut "rechuter", mais qui sont toutefois espacées de sept ans.
- simultanéité du jour critique émotionnel et de la période critique septennale. c'est là une situation "à risque particulier"... et elle arrive régulièrement : une personne qui se trouve dans sa période critique septennale peut avoir à faire à de longues périodes de dépression. Et là dessus va venir se greffer, chaque semaine puisque hebdomadaire, son jour critique émotionnel. cela peut former alors la goutte qui fait déborder le vase.
Par exemple né le mardi... les mardis aux alentours de 27 ans et demi, 28 ans... vont être des moments particulièrement "à risque", si une personne est gravement dépressive.
j'ai analysé pas mal de suicides, et souvent on retrouve cette "clé" qui inclut les éléments cités ou l'un de ces éléments.
plus loin on peut encore examiner deux autres cycles, moins importants en matière de suicide, mais qui peuvent parfois jouer un rôle malgré tout, chez certaines personnes plus sensibles à ces cycles là :
- le jour critique physique : c'est un jour - aussi jour "pulsions" - où l'on peut être "mal fichu" physiquement et ce jour peut venir accentuer le fait d'en "avoir marre de la vie" s'il arrive au mauvais moment (car on peut avoir des jours doublement voire triplement critiques).(ce sont les jours marqués P sur l'agenda http://biorythm.online.fr/w/ )
il s'agit d'un cycle de l'énergie physique induisant un jour de "down" physique (qui peut parfois entraîner un down moral) chaque sixième jour de notre vie.
pour être précis, le cycle est de 23 jours, comptés de 1 à 23...
les jours critiques sont les jours - par ordre d'importance - P1 - P18/P19 - P12 - P6/P7
(P6/P7 et P18/P19 ont tendance à fonctionner par paire). P6/P7)
- et son équivalent "cycle long" correspondant à une année de down physique chaque sixième année de notre vie : des travaux statistiques seraient nécessaire mais il semblerait quand même que ce cycle explique les suicides intervenant lors de nos années de vie 18 et 19, 24, 47, etc... qui semblent être des "années critiques physiques" importantes.
voir aussi
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/p/annees-de-vie_31.html
alors comment essayer de prévenir ?
il n'est pas évident d'empêcher un suicidaire déterminé, de se suicider : il trouvera toujours un moment ou un moyen car on ne peut pas l'accompagner chaque minute pour le surveiller...
c'est donc plutôt en amont que l'on peut essayer d'agir, et c'est surtout la personne elle-même qui peut infléchir la situation.
idem pour les tentatives de suicide qui sont souvent des appels au secours mais qui ont tendance, en raison de nos cycles psychiques et émotionnels, à avoir lieu aux mêmes moments décrits ci-dessus : ces fameux "portails" que constituent le jour critique émotionnel et la période critique septennale...
les personnes qui sont en contact avec des gens qui ont des problèmes peuvent déjà discerner la sévérité du risque en examinant la situation dans laquelle se trouve la personne :
- la personne fait-elle une démarche de consultation, ou lance-t-elle un appel à l'aide (crise d'angoisse ou parfois carrément une tentative de suicide) à l'occasion d'un jour déclencheur que peut être le jour critique émotionnel ? se trouve-t-elle dans une période critique septennale ? une telle période est-elle en vue prochainement, etc...
ensuite c'est dans l'esprit que "un homme prévenu en vaut deux"... que cela peut aider une personne désespérée de savoir "comment çà marche" et pourquoi elle se trouve à tel moment précis dans un pic de désespoir : elle est même prévenue à l'avance... (avec certes aussi - cela dépend des personnes - le risque de paniquer ou d'avoir peur prématurément et peut-être inutilement...)
l'entourage aussi, s'il connaît la situation à risque d'un familier, peut plus efficacement soutenir, voire intervenir...
il faut retenir en outre que la dépression d'un jour critique émotionnel ou d'une période critique septennale est en général "à durée déterminée" : elle s'arrête après le jour ou la période critique. il est rassurant de savoir que nous n'avons à faire qu'à un "passage délicat" voire un "mauvais passage", mais momentané.
il faut observer ces cycles avec attention, car il peut arriver que certaines personnes sombrent dans la dépression à l'occasion de la survenance de l'une de leur périodes critiques septennales... et soient parties pour y rester jusqu'à la période critique suivante ce qui fait quand même sept années...
les jours et périodes de dépression de nos cycles psychiques ressemblent souvent à une sorte de mirage durant lequel nos problèmes vont paraître infinis et insurmontables, alors qu'en réalité ils ne le sont pas. on peut aussi "travailler" là-dessus à l'avance : je dis parfois qu'il faut s'apprêter, s'il y a lieu, à s'attacher au mât comme l'a fait Ulysse, le temps de passer les sirènes du suicide...
(1) l'explication que j'ai trouvée est que cette journée chronobiologique (18H - 18H) est "inscrite dans nos gènes"... et ce en raison du rythme de nos origines : à l'Equateur (d'où nous venons) la journée allait, durant des millions d'années (et aujourd'hui encore :-) de 18H à 18H...
(2) http://fr.wikipedia.org/wiki/Club_des_27
Compatibilité
il y a compatibilité lorsque deux personnes ont ensemble, en même temps, leurs périodes critiques septennales et/ou leurs jours critiques émotionnels ou physiques...
et si l'on vit ensemble çà n'est pas très pratique, ni très efficace d'être fatigués, de mauvaise humeur, ou déprimé... toujours en même temps...
période critique septennale : deux personnes de 28 ans ou de 35 et 42 ans, etc... auront toujours leurs périodes critiques ensemble au même moment... si elles vivent ensemble cela va se ressentir à chaque arrivée d'une période critique septennale.
(celle-ci peut être période de dépression, par exemple, ou encore de mauvaise humeur...) c'est tous les sept ans que çà arrive... c'est d'ailleurs à ce rythme qu'ont tendance à se faire beaucoup d'associations... et de séparations, pour les mêmes raisons.
jour critique émotionnel : les natifs d'un même jour ont leur jour critique émotionnel toujours ensemble le même jour de la semaine... par exemple une maman née un mardi qui a un enfant né aussi un mardi, aura sa vie durant son jour critique émotionnel en même temps que son enfant. sachant que ce jour est un "jour sensible" il faut en tenir compte.
jour critique physique : ce cycle a une moindre incidence en cas de compatibilité, mais il est bon quand même de le connaître et le savoir. il génère en effet des jours de fatigue - par exemple - possible (pas systématique) chaque sixième jour de notre vie : si deux personnes dans une famille par exemple ont le même cycle physique, elles pourront être fatiguées ensemble le même jour, ou encore insomniaques, et autrement sensibles...
Natifs du dimanche
Les natifs du dimanche (entendez les personnes qui sont nées un dimanche) vont avoir un petit problème tout au long de leur vie (et leur entourage aussi) du fait que leur "jour de blues, de mauvaise humeur, voire de possible colère, leur jour Bernard l’Hermite", je veux parler de leur jour critique émotionnel c'est toujours et leur vie durant... le dimanche, leur jour de naissance...
dimanche est notre jour des sorties, aussi jour de la famille, jour des rencontres et des visites : c'est ce jour là que la vie familiale est commune, que l'on fait souvent la ou les fêtes, que viennent ou que l'on va voir les amis, les parents, les grands parents, etc... etc...
hé bien c'est ce jour là justement que les personnes nées un dimanche vont malgré elles choisir pour "ne pas avoir envie" de tout cela... pour être parfois de fort mauvaise humeur... de sorte que toute l'ambiance peut en être affectée. une telle journée peut même parfois tourner au drame à cause de cela. ce peut être aussi jour de cafard... assez régulièrement.
si vous avez à faire à une personne qui n'est pas "commode" le week-end, parfois, vous pouvez déjà vérifier si elle est née un dimanche (les natifs du samedi sont aussi concernés mais dans une moindre mesure puisque ce jour-là est moins fréquemment un point d'orgue des activités communes du couple ou familiales : des activités du samedi pourront par contre en être affectées...)
le remède est surtout de prendre conscience de l'effet "jour critique émotionnel" de sorte que l'on peut gérer et bien mieux maîtriser la situation. on peut aussi faire certains arrangements au moyen d'un peu de bonne volonté réciproque.
il est d'ailleurs fort possible que l'effet gênant voire parfois dévastateur, du jour critique émotionnel d'un dimanche, car natif de ce jour là, que cet effet soit "désamorcé" parce que l'on comprend les raisons et les origines de notre blues, notre manque d'enthousiasme ou de notre mauvaise humeur.
(l'explication est ce fameux cycle de l'humeur hebdomadaire : en réalité un cycle de 28 jours fonctionnant au moyen d'une "pulsation" chaque septième jour. ni astrologie ni numérologie mais pure mathématique : la semaine étant de sept jours, un natif du dimanche aura sa vie durant son jour critique émotionnel le dimanche...
pour un natif du mercredi par exemple, le jour critique émotionnel sera toujours le mercredi : cela aura toutefois moins d'incidence dans la vie quotidienne puisque ce n'est pas un jour "spécial" (jour de la famille) mais un jour "ordinaire" où tout le monde travaille, en général...
il peut cependant aussi être important qu'un natif du mercredi sache pourquoi il a parfois de gros coups de blues le mercredi.
et cette règle est valable pour chaque jour de la semaine).
Enfant septennal
un enfant septennal est un enfant né durant ou "à la faveur" de la période critique septennale d'un ou des parents : ils sont probablement plus fréquents qu'on ne l'imagine car la période critique septennale, en raison des pulsions qu'elle produit, a pour fonction de faire bouger les gens : elle va nous faire nous rencontrer, et nous rapprocher, de sorte que souvent un enfant peut être conçu à ce moment-là, qui va naître neuf mois après : ce sera ce que j'appelle un enfant septennal.
il a donc la particularité d'être venu au monde au moment de la période critique septennale de l'un ou l'autre des parents voire des deux, parfois, mais cela va avoir pour conséquence mathématique que cet enfant aura sa vie durant ses propres périodes critiques toujours en même temps que son ou ses parents...
quand il sera plus grand pourront surgir des problèmes particuliers liés à cette compatibilité... c'est ainsi qu'un enfant de sept ans va passer par sa première période critique septennale à ce moment-là. il passera par l'adolescence sept années après à l'âge de 14 ans puis entrera dans l'âge adulte lors de la période critique septennale des 21 ans... ces périodes peuvent donner lieu à certains comportements ou problèmes particuliers, et c'est ainsi qu'un enfant de sept ans sera parfois qualifiés "d'hyperactif" à ce moment là, qu'un ado sera "difficile", etc...
si la naissance a eu lieu lorsque les parents avaient autour de 21 ans ou autour de 28 ans, par exemple, ce ou ces parents auront lors des périodes critiques de leur enfant, respectivement 28 ou 35 ans et se trouveront peut-être eux-mêmes, à ce moment précis dans une période sensible voire une période à problème...
on imagine alors l'ambiance et les tensions qui peuvent en résulter... : il y a eu des drames à cause d'une telle compatibilité : là aussi la clé pour résoudre les problèmes est dans la prise de conscience du fonctionnement de nos cycles et nos périodes critiques...
Bébé et ses rythmes
importants, les rythmes biologiques des bébés...
bébé est intéressant car il est tout neuf et c'est au moment de sa naissance que démarrent les rythmes : c'est la raison pour laquelle il est toujours nécessaire de connaître la date de naissance si l'on veut calculer une situation biorythmique : il faut pouvoir compter le nombre de jours écoulés depuis le jour de naissance... (voir plus loin un graphique concernant un bébé qui vient de naître - tiré de http://biorythm.online.fr/w/ )
les biorythmes permettent d'observer bébé et de mieux comprendre certaines de ses réactions et comportements... et cela peut être important puisque par exemple les pleurs de bébé sont souvent liés au jour critique physique lorsqu'ils sont importants et inhabituels : cela est dû au fait que le jour critique physique on se sent moins à l'aise, moins bien, parfois mal... et bébé ne pouvant parler, eh bien il pleure. et les pleurs ont tendance à démarrer dès le soir la veille du jour critique, puis ils peuvent se poursuivre pour une nuit d'insomnie : l'impossibilité de dormir est aussi une particularité du jour critique physique biorythmique, et par là, une cause des pleurs de bébé.
il y a aussi ce que certains appellent les "pleurs crépusculaires" ou "pleurs de délestage", parce qu'ils ont tendance à avoir lieu en soirée, souvent... cela demanderait bien entendu à être étudié de plus près, mais je pense que les pleurs "crépusculaires" sont liés à l'entrée dans une nouvelle journée biorythmique : c'est une sorte de pic physique et émotionnel par lequel nous passons tous aux alentours de 18 heures, le soir ; la journée biorythmique semble en effet aller de 18 H à 18 H et non pas de 0H à 0H comme notre journée officielle. nous finissons et démarrons donc notre journée "biologique" chaque soir vers 18 heures... et bébé encore très "nature", le ressent particulièrement...
la raison que j'ai trouvée pour ce décalage pourrait être assez simple : un vestige qui est resté "inscrit dans nos gènes" depuis notre "enfance de l'humanité" lorsque à l'équateur - d'où nous sommes récemment issus - la journée était de 12 heures de jour suivie de 12H de nuit avec une charnière placée à 6 heures et à 18 heures... avec de l'expérience on ressent d'ailleurs parfaitement la "charnière" de 6 heures du matin aussi.
Bébés secoués :
on a remarqué que statistiquement la courbe des bébés secoués correspondait à la courbe des pleurs de bébé : bien sûr puisque souvent le bébé est secoué par un parent ou un gardien qui craque, exaspéré par les pleurs incessants et impossibles à calmer... mais ce que l'on n'a pas encore remarqué c'est que la courbe des pleurs correspond au cycle physique des biorythmes de 23 jours et à ses quatre jours critiques.
l'observation de ces rythmes permet par conséquent d'éviter le syndrôme du bébé secoué : on sait à l'avance que bébé peut beaucoup pleurer ce jour là, qu'il peut ne pas avoir envie de dormir, et on peut donc en tenir compte sans s'énerver ni paniquer, puisqu'on est prévenu...
certains bébés donnent carrément l'impression d'être malades leur jour critique physique (certains ont un peu de fièvre ce jour là car il s'agit d'un jour de "remue-ménage" de l'organisme) : le problème est alors de savoir à partir de quel moment çà devient sérieux et qu'il faut aller consulter ; mais je trouve que l'on peut mieux estimer la situation quand même, si l'on connaît les réactions aux rythmes naturels de son bébé.
Mort Subite du Nourrisson (MSN) :
un autre élément important et plus inquiétant - mais fort heureusement exceptionnel (sauf erreur environ un bébé sur mille), c'est que la MSN (mort subite du nourrisson) est également liée au jour critique physique du cycle physique de 23 jours de nos biorythmes. je l'ai remarqué en analysant un certaiun nombre de cas que j'ai pu trouver : 70 à 80 % sinon plus, c'est selon l'interprétation) des MSN sont arrivées un jour critique physique ou autour de ce jour : cela me semble compréhensible dans la mesure où le jour critique physique est un "jour de débrayage de l'énergie de notre organisme". or l'organisme d'un petit bébé est, si l'on peut dire comme çà, encore "en rodage"... c'est ainsi que le jour critique physique peut être jour de pleurs et d'insomnies, mais il peut aussi être jour de "coup de barre"...
et bébé, comme nous tous, va passer chaque sixième jour par une sorte de "jour maillon faible". c'est à la science de déterminer ce qui fait fonctionner cette sorte d'électro-cardiogramme qu'est le cycle physique de 23 jours, avec ses "downs" réguliers chaque sixième jour : cela permettrait certainement de mieux comprendre pour quelles raisons arrivent les MSN.
surveiller bébé d'un peu plus près ses jours critiques physiques peut être très utile. et il y a diverses façons de procéder :
- on peut vérifier un graphique biorythmique en cas de problème. bébé pleure beaucoup et inhabituellement aujourd'hui et il ne veut pas dormir ?
regardons si son graphique biorythmique indique un jour en P (P1 - P6/P7 - P12 - P18/P19) : dans ce cas c'est "naturel" et il faudra être patient et le dorloter un peu plus, un peu moins l'abandonner dans son berceau ou son lit et le prendre contre soi : notre pile à nous, va aider bébé à se sentir moins seul... les anciens - certains peuples le font toujours - ne se séparaient pas de leur bébé et le lien ne s'arrêtait pas brutalement après l'accouchement : bébé restait en permanence fixé à sa maman... par portage... : le contact et le rythme du bercement, le mouvement et le bruit de la vie (plus que le silence et l'immobilité d'une chambre d'enfant, qui pourrait parfois être perçu comme un signal d'abandon) est important pour un nouvel être qui n'est pas encore tout à fait autonome.
- on peut repérer à l'avance les jours critiques de bébé : on ne sera donc guère surpris le jour où il pleurera un peu plus, voire beaucoup, et sera insomniaque...
- connaître à l'avance les jours critiques ou les vérifier en cas de situation à stress (pleurs importants) permet alors de comprendre et se maîtriser : surtout ne pas secouer bébé parce qu'il pleure... cela ne le calmera pas et c'est dangereux. patience : le jour critique physique est un état cyclique naturel qui dure de quelques heures à une journée. prudence en cas d'auto-médication certaines mamans ayant tendance à vouloir calmer le bébé au moyen de médicaments... un jour critique physique est une sorte de petit "coup de barre" pour bébé alors il n'est pas prudent - mais c'est là mon avis tout à fait personnel - de donner un coup de barre supplémentaire : consultez votre médecin (le problème... et le comble... étant qu'il ne connaît pas le mécanisme des biorythmes - auxquel la médecine ne s'intéresse pas aujourd'hui - alors que c'est pourtant un de ses collègues qui l'a découvert aux alentours de 1900 un peu grâce aux bébés qui pleuraient à intervalles réguliers :-).
personnellement encore, j'aurais tendance à ne pas faire vacciner bébé un jour critique physique ou juste avant (pour éviter coup de barre sur coup de barre, justement) certaines associations allemandes disant avoir fait un rapport entre certains cas de msn et la vaccination...
- et la msn ? il est difficile de prévoir et d'éviter une mort subite du nourrisson puisqu'elle arrive "par surprise", on ne sait pas encore pourquoi ni comment. mais comme j'ai constaté qu'elle avait tendance à arriver le jour critique physique on aura compris que l'observation de bébé ce jour là, la prise en compte de ses pleurs, fatigues ou insomnies au moyen d'un peu plus d'attention peut certainement apporter quelque chose. attention aussi de ne pas en arriver à la situation inverse et trop s'inquiéter... sachant que le jour critique physique de nos cycles humains fonctionne à la manière d'un tic tac régulier puisque nous en avons un chaque sixième jour de notre vie, quand même...
un exemple de rythme d'un bébé qui vient de naître, le 1er novembre 2009 :
http://biorythm.online.fr/w/
Ses "jours critiques physiques" (P) et donc "jours de pleurs inhabituels possibles" sont :
P 6 : (le 6ème jour après la naissance - jour non marqué mais situé avant son voisin suivant P7 : les deux sont à considérer comme fonctionnant par paire - c'est l'un ou l'autre et parfois les deux pour partie - cela reste à éclaircir)
P 7 : va de pair avec son voisin précédent P6 ci-dessus.
P12 - (jour du milieu du cycle qui comprend 23 jours)
P18 et P19 (ce dernier non marqué mais ce "couple" fonctionne comme P6 et P7)
P 1 : après le 23ème jour du cycle, tout recommence avec à nouveau un jour P1 premier jour d'un nouveau cycle et ainsi de suite... tout au long de la vie.
un mot au sujet des jours marqués E et I (i majuscule) :
E sont des jours importants également : ce sont nos "jours critiques émotionnels" ; ils sont hebdomadaire et fontion d'un cycle psychique et émotionnel qui induit un jour de "sensibilité émotionelle" chaque septième jour de notre vie. s'agissant d'un cycle psychique de sept jours, nous aurons tous notre "jour critique émotionnel" toujours le jour de la semaine où nous sommes nés, en raison de ce mécanisme de pulsation de sept jours.
bébé né un mardi aura sa vie durant son jour critique émotionnel un mardi : si ce jour a des conséquences moins visibles dans la vie d'un pêtit bébé (c'est son "jour de mélancolie") il prendre de plus en plus d'importance lorsque bébé grandira.
i ou plus précisément I sont nos "jours critiques intellectuels" : il s'agit d'un cycle qui régit la pensée et qui est très subtil chez un nnouveau né... c'est de toute façon un cycle qui demande encore à être étudié, et dont je ne sais pas grand chose.
et maman, papa... et les gardiens éventuels... ?
gagnent eux aussi à connaître leurs rythmes personnels... c'est même important... pourquoi donc ? (à suivre)
brièvement :
nos rapports avec bébé : nos cycles ont une incidence sur notre humeur, notre forme physique et psychique... et il est donc compréhensible qu'ils influent dans nos relations avec notre bébé, nos enfants...
observer nos cycles nous permet de comprendre et nous maîtriser lors de nos possibles moments d'angoisse... ou de mauvaise humeur... il n'y a pas de raison d'en faire bénéficier les autres...
bébé secoué : les bébés ont tendance à être secoués lorsque le parent ou le gardien "craque" or on peut craquer lorsque l'on se trouve en jour ou période critique, surtout... plus qu'à un autre moment. il est donc, là aussi, utile de connaître ses moments critiques afin de maîtriser toutes les situations.
Bébé secoué
importants, les rythmes biologiques des bébés...
bébé est intéressant car il est tout neuf et c'est au moment de sa naissance que démarrent les rythmes : c'est la raison pour laquelle il est toujours nécessaire de connaître la date de naissance si l'on veut calculer une situation biorythmique : il faut pouvoir compter le nombre de jours écoulés depuis le jour de naissance... (voir plus loin un graphique concernant un bébé qui vient de naître - tiré de http://biorythm.online.fr/w/ )
les biorythmes permettent d'observer bébé et de mieux comprendre certaines de ses réactions et comportements... et cela peut être important puisque par exemple les pleurs de bébé sont souvent liés au jour critique physique lorsqu'ils sont importants et inhabituels : cela est dû au fait que le jour critique physique on se sent moins à l'aise, moins bien, parfois mal... et bébé ne pouvant parler, eh bien il pleure. et les pleurs ont tendance à démarrer dès le soir la veille du jour critique, puis ils peuvent se poursuivre pour une nuit d'insomnie : l'impossibilité de dormir est aussi une particularité du jour critique physique biorythmique, et par là, une cause des pleurs de bébé.
il y a aussi ce que certains appellent les "pleurs crépusculaires" ou "pleurs de délestage", parce qu'ils ont tendance à avoir lieu en soirée, souvent... cela demanderait bien entendu à être étudié de plus près, mais je pense que les pleurs "crépusculaires" sont liés à l'entrée dans une nouvelle journée biorythmique : c'est une sorte de pic physique et émotionnel par lequel nous passons tous aux alentours de 18 heures, le soir ; la journée biorythmique semble en effet aller de 18 H à 18 H et non pas de 0H à 0H comme notre journée officielle. nous finissons et démarrons donc notre journée "biologique" chaque soir vers 18 heures... et bébé encore très "nature", le ressent particulièrement...
la raison que j'ai trouvée pour ce décalage pourrait être assez simple : un vestige qui est resté "inscrit dans nos gènes" depuis notre "enfance de l'humanité" lorsque à l'équateur - d'où nous sommes récemment issus - la journée était de 12 heures de jour suivie de 12H de nuit avec une charnière placée à 6 heures et à 18 heures... avec de l'expérience on ressent d'ailleurs parfaitement la "charnière" de 6 heures du matin aussi.
Bébés secoués :
on a remarqué que statistiquement la courbe des bébés secoués correspondait à la courbe des pleurs de bébé : bien sûr puisque souvent le bébé est secoué par un parent ou un gardien qui craque, exaspéré par les pleurs incessants et impossibles à calmer... mais ce que l'on n'a pas encore remarqué c'est que la courbe des pleurs correspond au cycle physique des biorythmes de 23 jours et à ses quatre jours critiques.
l'observation de ces rythmes permet par conséquent d'éviter le syndrôme du bébé secoué : on sait à l'avance que bébé peut beaucoup pleurer ce jour là, qu'il peut ne pas avoir envie de dormir, et on peut donc en tenir compte sans s'énerver ni paniquer, puisqu'on est prévenu...
certains bébés donnent carrément l'impression d'être malades leur jour critique physique (certains ont un peu de fièvre ce jour là car il s'agit d'un jour de "remue-ménage" de l'organisme) : le problème est alors de savoir à partir de quel moment çà devient sérieux et qu'il faut aller consulter ; mais je trouve que l'on peut mieux estimer la situation quand même, si l'on connaît les réactions aux rythmes naturels de son bébé.
Mort Subite du Nourrisson (MSN) :
un autre élément important et plus inquiétant - mais fort heureusement exceptionnel (sauf erreur environ un bébé sur mille), c'est que la MSN (mort subite du nourrisson) est également liée au jour critique physique du cycle physique de 23 jours de nos biorythmes. je l'ai remarqué en analysant un certaiun nombre de cas que j'ai pu trouver : 70 à 80 % sinon plus, c'est selon l'interprétation) des MSN sont arrivées un jour critique physique ou autour de ce jour : cela me semble compréhensible dans la mesure où le jour critique physique est un "jour de débrayage de l'énergie de notre organisme". or l'organisme d'un petit bébé est, si l'on peut dire comme çà, encore "en rodage"... c'est ainsi que le jour critique physique peut être jour de pleurs et d'insomnies, mais il peut aussi être jour de "coup de barre"...
et bébé, comme nous tous, va passer chaque sixième jour par une sorte de "jour maillon faible". c'est à la science de déterminer ce qui fait fonctionner cette sorte d'électro-cardiogramme qu'est le cycle physique de 23 jours, avec ses "downs" réguliers chaque sixième jour : cela permettrait certainement de mieux comprendre pour quelles raisons arrivent les MSN.
surveiller bébé d'un peu plus près ses jours critiques physiques peut être très utile. et il y a diverses façons de procéder :
- on peut vérifier un graphique biorythmique en cas de problème. bébé pleure beaucoup et inhabituellement aujourd'hui et il ne veut pas dormir ?
regardons si son graphique biorythmique indique un jour en P (P1 - P6/P7 - P12 - P18/P19) : dans ce cas c'est "naturel" et il faudra être patient et le dorloter un peu plus, un peu moins l'abandonner dans son berceau ou son lit et le prendre contre soi : notre pile à nous, va aider bébé à se sentir moins seul... les anciens - certains peuples le font toujours - ne se séparaient pas de leur bébé et le lien ne s'arrêtait pas brutalement après l'accouchement : bébé restait en permanence fixé à sa maman... par portage... : le contact et le rythme du bercement, le mouvement et le bruit de la vie (plus que le silence et l'immobilité d'une chambre d'enfant, qui pourrait parfois être perçu comme un signal d'abandon) est important pour un nouvel être qui n'est pas encore tout à fait autonome.
- on peut repérer à l'avance les jours critiques de bébé : on ne sera donc guère surpris le jour où il pleurera un peu plus, voire beaucoup, et sera insomniaque...
- connaître à l'avance les jours critiques ou les vérifier en cas de situation à stress (pleurs importants) permet alors de comprendre et se maîtriser : surtout ne pas secouer bébé parce qu'il pleure... cela ne le calmera pas et c'est dangereux. patience : le jour critique physique est un état cyclique naturel qui dure de quelques heures à une journée. prudence en cas d'auto-médication certaines mamans ayant tendance à vouloir calmer le bébé au moyen de médicaments... un jour critique physique est une sorte de petit "coup de barre" pour bébé alors il n'est pas prudent - mais c'est là mon avis tout à fait personnel - de donner un coup de barre supplémentaire : consultez votre médecin (le problème... et le comble... étant qu'il ne connaît pas le mécanisme des biorythmes - auxquel la médecine ne s'intéresse pas aujourd'hui - alors que c'est pourtant un de ses collègues qui l'a découvert aux alentours de 1900 un peu grâce aux bébés qui pleuraient à intervalles réguliers :-).
personnellement encore, j'aurais tendance à ne pas faire vacciner bébé un jour critique physique ou juste avant (pour éviter coup de barre sur coup de barre, justement) certaines associations allemandes disant avoir fait un rapport entre certains cas de msn et la vaccination...
- et la msn ? il est difficile de prévoir et d'éviter une mort subite du nourrisson puisqu'elle arrive "par surprise", on ne sait pas encore pourquoi ni comment. mais comme j'ai constaté qu'elle avait tendance à arriver le jour critique physique on aura compris que l'observation de bébé ce jour là, la prise en compte de ses pleurs, fatigues ou insomnies au moyen d'un peu plus d'attention peut certainement apporter quelque chose. attention aussi de ne pas en arriver à la situation inverse et trop s'inquiéter... sachant que le jour critique physique de nos cycles humains fonctionne à la manière d'un tic tac régulier puisque nous en avons un chaque sixième jour de notre vie, quand même...
un exemple de rythme d'un bébé qui vient de naître, le 1er novembre 2009 :
http://biorythm.online.fr/w/
ses "jours critiques physiques" (P) et donc "jours de pleurs inhabituels possibles" sont :
P 6 : (le 6ème jour après la naissance - jour non marqué mais situé avant son voisin suivant P7 : les deux sont à considérer comme fonctionnant par paire - c'est l'un ou l'autre et parfois les deux pour partie - cela reste à éclaircir)
P 7 : va de pair avec son voisin précédent P6 ci-dessus.
P12 ;
P18 et P19 (ce dernier non marqué mais ce "couple" fonctionne comme P6 et P7)
P 1 : après le 23ème jour du cycle, tout recommence avec à nouveau un jour P1 premier jour d'un nouveau cycle et ainsi de suite... tout au long de la vie.
un mot au sujet des jours marqués E et I (i majuscule) :
E sont des jours importants également : ce sont nos "jours critiques émotionnels" ; ils sont hebdomadaire et fontion d'un cycle psychique bet émotionnel qui induit un jour de "sensibilité émotionelle" chaque septième jour de notre vie. s'agissant d'un cycle psychique de sept jours, nous aurons tous notre "jour critique émpotionnel" toujours le jour de la semaine où nous sommes nés, en raison de ce mécanisme de pulsation de sept jours.
bébé né un mardi aura sa vie durant son jour critique émotionnel un mardi : si ce jour a des conséquences moins visibles dans la vie d'un pêtit bébé (c'est son "jour de mélancolie") il prendre de plus en plus d'importance lorsque bébé grandira.
i ou plus précisément I sont nos "jours critiques intellectuels" : il s'agit d'un cycle qui régit la pensée et qui est très subtil chez un nnouveau né... c'est de toute façon un cycle qui demande encore à être étudié, et dont je ne sais pas grand chose.
et maman, papa... et les gardiens éventuels... ?
gagnent eux aussi à connaître leurs rythmes personnels... c'est même important... pourquoi donc ? (à suivre)
brièvement :
nos rapports avec bébé : nos cycles ont une incidence sur notre humeur, notre forme physique et psychique... et il est donc compréhensible qu'ils influent dans nos relations avec notre bébé, nos enfants...
observer nos cycles nous permet de comprendre et nous maîtriser lors de nos possibles moments d'angoisse... ou de mauvaise humeur... il n'y a pas de raison d'en faire bénéficier les autres...
bébé secoué : les bébés ont tendance à être secoués lorsque le parent ou le gardien "craque" or on peut craquer lorsque l'on se trouve en jour ou période critique, surtout... plus qu'à un autre moment. il est donc, là aussi, utile de connaître ses moments critiques afin de maîtriser toutes les situations.
Mort subite du nourrisson
(à suivre)
(voir en attendant :
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2010/10/mort-subite-du-nourrisson.html
Les autres cycles
- un cycle intellectuel de 33 jours comportant un jour critique intellectuel chaque 8ème jour
- un cycle intellectuel de 33 années comportant une année critique intellectuelle tous les huit ans.
(les cycles intellectuels régissent l'action et la faculté de penser : j'ai constaté une incidence sur la rapidité de réaction (réflexes et estimations) par exemple)...
Journée chronobiologique
journée chronobiologique : la journée chronobiologique ou journée cyclique ne va pas de 0H à 0H comme notre journée officielle.
elle se déroule de 18H à 18H d'après maintes observations : l'explication que j'ai trouvée est que cette journée chronobiologique est "inscrite dans nos gènes"... et ce en raison du rythme de nos origines : à l'équateur (d'où nous venons) la journée allait, durant des millions d'années (et aujourd'hui encore :-) de 18H à 18H...
c'est ainsi que lorsque je parle de "jour critique émotionnel" ou "jour critique physique" il faut considérer que ce jour prend effet, démarre, déjà la veille au soir aux alentours de 18H.
je suis par exemple un natif du dimanche et mon jour critique émotionnel est alors toujours de samedi soir à dimanche soir : une mention ou parenthèse à cet endroit pour les pauvres natifs du samedi et du dimanche... qui ont leur vie durant leur jour de "mauvais poil" le week-end, donc au plus mauvais moment lorsqu'il s'agit de sortir ou de recevoir... d'être en famille... c'est la source de maints problèmes.
Les années de la vie
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/p/annees-trois-cycles.html
Portails de la vie
Le moment du décès a souvent un lien avec nos rythmes biologiques : jours et périodes critiques, physiques et émotionnels sont en quelque sorte des "portails" pour opérer notre "sortie". ils sont très fréquemment présents lors de notre mort, surtout si celle-ci intervient "naturellement" ou de façon inopinée, c'est à dire surtout si notre départ n'est pas décalé du fait d'interventions thérapeutiques.
nous arrivons par ces même portails puisque c'est au moment de notre naissance que démarrent les différents rythmes et cycles qui vont "pulser" jusqu'à notre mort.
ces portails sont également des espaces pour nous rapprocher de notre conscience : ils sont par excellence les jours et périodes de méditation par exemple : pas nécessaire de s'asseoir en lotus puisque les activités vivrières basiques et quotidiennes sont en général des activités paisibles et routinières permettant de "s'évader" à certains moments propices.
ce n'est pas pour rien que le septième jour a été institué "jour de repos" ou que l'année sabbatique est une septième année - on a dû en venir à cela par instinct et observation : la société, pour des raisons pratiques de gouvernance et de rentabilité a simplement institué ce jour de repos pour l'ensemble de la population au lieu de tenir compte des rythmes individuels qui comportent un "jour de réflexion" chaque septième jour de notre vie, et une "période de réflexion" chaque septième année de notre vie.
c'est pour cela aussi, que ces portails sur "l'autre monde" sont aussi aussi "portails sur l'autre qui est en nous" et se retrouvent très fréquemment présents lors de toutes sortes de manifestations ou problèmes, parfois dramatiques, psychiques et/ou "psychiatriques"...
il en est de même de nos jours critiques physiques, avec la différence cependant que ceux-ci constituent plutôt les "maillons faibles" qui vont jouer leur rôle et se rompre en cas de défaillance physique ou technique fatale...
Geispe
Vu sur Incapable de se taire
Paul : Pour avoir une vision globale des rythmes humains, de la nature, il faut intégrer les données de cet excellent article aux cycles cosmiques de grande ampleur. Ces derniers potentialisent tous les autres rythmes, les inhibant ou les exacerbant. Nous sommes maintenant dans une période de très forte activité cosmique, d'où tous ces "dérèglements" humains et climatiques. C'est l'ensemble de ces évènements naturels qui est utilisé par l'oligarchie mondiale, afin de contrôler, d'asservir les peuples et de conserver leur pouvoir ancestral.
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