19 octobre 2024

L'optogénétique et la découverte de nouveaux métaux lourds dans les injections

Une étude internationale de chercheurs californiens et argentins, dont les professeurs Lorena Diblasi, Martín Monteverde, David Nonis et Marcela Sangorrín, vient récemment d’apporter sa pierre à l’édifice de la composition des injections ARNm.

Bien que la formule exacte reste un mystère, des études croisées montrent des éléments troublants pouvant en toute logique se combiner avec les données connues. 

S’il est presque établi publiquement que des nanoparticules de graphène servant de véhicule à d’autres mystérieuses molécules ont été cachées aux populations.

Et que ces particules en deux dimensions sont en mesure de servir d’antennes, ou de relais, et réagir à différentes fréquences, vibrations et températures.

Cela peut rapidement nous amener à penser à l’IOT, ou Internet Des Objets, ainsi qu’à une volonté de transhumanisme à peine dissimulée.

Jusqu’alors, aucune preuve formelle n’allait encore en ce sens.

Or l’étude que voici1 prouve peut-être les théories “complotistes” fusant sur le sujet.

On y découvre notamment la présence de métaux lourds bien particuliers, tous recensés parmi les matériaux nécessaires à l’emploi de communications électroniques liés à l’optogénétique.

L’optogénétique est une récente forme de contrôle des cellules, dont les neurones, déterminée par des signaux lumineux.

Pour fonctionner cette technologie nécessite un récepteur, pouvant s’appuyer sur des technologies de nanoparticules d’oxyde de graphène, ou “points quantiques”, pour de nombreuses raisons, mais aussi un ou plusieurs des métaux découverts dans l’étude que nous venons d’évoquer. 

Indiquant la présence d’au moins cinquante-cinq métaux lourds, dont le mercure, le cadmium, l’arsenic…

Qui, en plus de leur toxicité naturelle, apportent une photosensibilité pouvant entrer en interaction avec certains signaux lumineux. 

Signaux bien particuliers que le sujet de Greg Reese, s’appuyant sur les dernières recherche de « La Quinta Colonna » suggère pouvoir être liés aux modules de reconnaissance faciale intégrés aux smartphones. 

Afin d’illustrer mes propos voici la partie la plus graphique de son reportage :

Que ces manipulations soient intentionnelles ou non, leurs interactions sur la santé n’en sont pas moins préoccupantes. 

Toutefois, à une époque telle que la nôtre, il est souvent difficile de se cacher des écrans et téléphones mobiles, la solution résidant bien naturellement dans une expulsion totale et régulière de ce cocktail de nanoparticules, pouvant, il faut le reconnaître, contaminer de nombreux environnements.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin 

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