Dès le lendemain, le syndicat national des professionnels infirmiers réagissait avec virulence. Voici un extrait du communiqué du SNPI, qui s’oppose à la préconisation de la HAS de réintégrer les personnels non vax des hôpitaux et des Ehpad.
« En tant que professionnels de la santé, les soignants ont un devoir envers leurs patients de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour les protéger contre les maladies et les infections. La vaccination est l’un des moyens les plus efficaces de prévenir la transmission des maladies infectieuses, y compris le COVID-19 ».
Alors que ce pseudo-vaccin ne protège ni contre la transmission ni contre la maladie, et c’est admis par les responsables de Pfizer et Moderna eux-mêmes ! Le dernier argument qu’il leur reste, c’est que l’injection protégerait des formes graves... Alors que les injections multiples produisent justement des formes graves (thromboses, AVC), souvent attribuées au « covid long » par la presse mainstream... Le merdier disparaît sous le tapis, et le tour est joué ! Heureusement pour le Big Pharma, il reste encore des provax radicalisés :
Le communiqué du syndicat infirmier montre deux choses :
1. Les infirmiers piqués ne sont pas très confraternels avec leurs ex-collègues appelés par la HAS à revenir dans les établissements de santé ;
2. Ils envoient le message sous-jacent selon lequel ils se seraient fait avoir par la politique d’injection forcée et pas les autres, les refuzniks du « vaccin ».
Traduction : on a pris des risques, on s’est fait injecter un produit douteux, et eux ils peuvent revenir sans avoir été punis ! Ce syndicat avoue par son agressivité à l’égard des soignants libres qu’il s’est fait rouler dans la farine, une farine oligarchique à la fois française et européenne.
Nous savons que beaucoup de soignants se sont fait piquer à côté, mais globalement, une majorité de soignants a accepté la punition oligarchique (selon le SNPI, sur 700.000 infirmiers, moins d’un milliers auraient été en quelque sorte objecteurs de conscience). C’est tout à leur déshonneur.
La suite du communiqué est délirante, surtout quand on sait que ce sont les multi-injectés qui commencent à tomber malades, et que le covid a quasiment disparu (un covidiot à la télé a osé parler d’une « 10e vague ») :
Par conséquent, maintenir l’obligation vaccinale COVID pour les soignants est un impératif éthique. Les soignants ont une responsabilité envers leurs patients et la société dans son ensemble de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour protéger la santé publique. Refuser de se faire vacciner va à l’encontre de cet impératif éthique et peut avoir des conséquences graves pour la santé publique.
Le résultat de cette politique de régression sanitaire et de déstabilisation des effectifs a été l’affaiblissement général de la santé de la population. ici, un élu RN évoque le problème de la désertification en Occitanie (23 mars 2023).
Désormais, le mot d’ordre en matière vaccinale est : recommander, mais pas imposer. Les antivax ont gagné, mais à quel prix !
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