06 janvier 2022

Urgent : la DGS supprime le délai de surveillance de 15 minutes après la dose de rappel !

Dans une note (n°2022-04) du 5 janvier2022, la Direction Générale de Santé a supprimé le délai de surveillance de 15 minutes après l’injection de la dose de rappel. Alors que la vaccination des 5-11 ans vient tout juste d’être généralisée, cette directive permet « d’ajuster » le délai entre deux doses de vaccin pédiatrique.

Suppression du délai de surveillance

Dans le cadre de l’accélération de la campagne vaccinale contre la Covid-19, la Direction générale de la Santé (DGS) donne de nouvelles consignes aux professionnels de santé « permettant de faciliter l’organisation pratique de la vaccination ».

Dans son avis du 24 décembre 2021, le Conseil d’Orientation de la Stratégie Vaccinale (COSV) s’était, déjà, positionné pour la suppression du délai de surveillance de 15 minutes pour certains publics venant de recevoir une dose de rappel.

« En effet, le risque que les personnes n’ayant pas fait de réaction allergique lors de leur primo-vaccination en fassent lors de leur dose de rappel est extrêmement faible », indique la DGS.

Cette suppression doit permettre « de fluidifier l’organisation des centres de vaccination dans le cadre de la campagne de rappels ».

Cette nouvelle directive, applicable dès le 5 janvier 2022, concerne tous les lieux de vaccination (centres de vaccination, pharmacies, cabinets médicaux, d’infirmiers, de sages-femmes…).

« Par sécurité », il est toutefois nécessaire de maintenir le délai de surveillance dans les cas suivants :

  • Les personnes primo-vaccinées avec un vaccin autre que Pfizer-BioNTech ou Moderna
  • Les personnes présentant un terrain allergique connu ou ayant un risque accru de faire un choc anaphylactique
  • Les enfants de 5 à 11 ans
  • Les femmes enceintes
  • Les personnes fragilisées par des maladies chroniques ayant des difficultés éventuelles de mobilité, elles doivent disposer d’un temps de repos post-vaccination ;
  • Les personnes présentant une anxiété à la vaccination.

Une fois de plus, Jérôme Salomon et son staff ne s’embarrassent plus des « détails » techniques et encore moins de la sécurité des français.

Ajustement du délai entre deux doses de vaccin pédiatrique

Dans le cadre de la vaccination pédiatrique, dans son avis du 4 janvier 2022, le COSV rappelait que l’intervalle de 21 jours était optimal. Il estimait toutefois qu’une latitude de plus ou moins 3 jours ne compromettait ni la sécurité, ni l’efficacité du vaccin.

« Afin de faciliter l’organisation pratique de la vaccination pédiatrique et notamment la prise de rendez-vous, le délai pourra varier de 18 à 24 jours entre la première et la deuxième dose.
La modification est opérationnelle au niveau des quatre sites internet de prise de rendez-vous. »

Pourtant, l’étude randomisée en double aveugle de Pfizer sur les moins de 11 ans, publiée le 9 novembre dans le « New England Journal of Medicine » est invalidable pour autoriser une vaccination de masse, au moins pour une raison : l’échantillon de l’essai n’est absolument pas représentatif car il porte sur seulement 2268 enfants : 1517 ont reçu le vaccin et 751 un placebo.

Comment, sur cette base de résultats, autoriser un vaccin expérimental qui sera probablement administré à des dizaines de millions d’enfants dans le monde ?

Même le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm et porte-parole d’une coalition de 15.000 médecins et scientifiques, tente d’enrayer le processus injustifié de la vaccination des enfants et met en garde de l’irréversibilité à vie des dommages que pourrait engendrer leur vaccination.

A l’instar des autorités sanitaires des pays occidentaux, les autorités françaises préconisent, tous les jours un peu plus, la vaccination tous azimuts et toujours plus rapidement, sans se préoccuper du risque encouru par sa population.

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