Des hommes, principalement des Afghans et des Soudanais qui, après avoir passé plusieurs jours sous la pluie, profitent de ces hébergements pour se reposer.
Cette tranquillité s’oppose à l’inquiétude qui se lit sur les visages des riverains. Une réunion publique a été organisée dans la soirée au sein de l’école Robespierre, situé à quelques pas du gymnase. Une centaine d’habitants ont pu faire part de leurs craintes, mais aussi de leur colère à Marjolaine Rauze, maire (PCF) et Jean-Benoît Albertini, le préfet.
« Pourquoi avoir choisi Morsang, il y a des villes bien plus riches ? Pourquoi ce gymnase alors que nos enfants vont à l’école juste à côté ? » s’agace un homme. « Un diagnostic a-t-il été fait pour savoir s’ils avaient des maladies ? » s’alarme une infirmière. « Comment pouvez-vous assurer la sécurité de nos jeunes qui vont à pied tout seul au collège », renchérit une mère de famille.
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Le Parisien
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