Les capitaux arabes ont sauvé la banque centrale européenne fin 2017 !

De Jean-Pierre Chevallier: "Je vous invite à lire mes dernières analyses sur l'or et la BCE qui a eu des difficultés pour passer de 2017 à 2018 ! J'ai découvert à cette occasion que ce sont des capitaux arabes qui ont apporté... 355 milliards d'euros à la BCE pour qu'elle puisse boucler son bilan le 29 décembre sans faire faillite ! lire ici sur le site de JPC.

Les dérives des marioles de la BCE et des banksters que vous dénoncez sont un détail à côté de ça !

Évidemment, si ces Arabes sauvent la BCE, ils demandent en contrepartie des garanties pour la reconquête de l'Europe par les musulmans, et ça marche mieux que de faire des attentats !"

En effet, Jean-Pierre est direct, lisez bien: "Pour équilibrer leur bilan hebdomadaire, les Marioles de la BCE sont obligés d’emprunter auprès de mystérieuses et anonymes administrations publiques et auprès de non moins mystérieux et anonymes non-résidents, de plus en plus au fur et à mesure que l’€-crise se développe : de 10 à 100 milliards d’euros avant la crise dite des sub-prime, de 300 à 400 milliards maintenant ! Au total, ces mystérieuses et anonymes administrations publiques et ces non moins mystérieux et anonymes non-résidents sont obligés de prêter depuis la semaine se terminant le 22 décembre quelques… 600 milliards d’euros (!) aux Marioles de la BCE pour qu’ils ne soient pas en faillite chaque vendredi soir en essayant de boucler leur bilan !".

PS: "La BCE a fait de la planche à billets à l'envers: la semaine dernière elle a récupéré pour 8 milliards d'euros de billets !"

PS2: Vous avez été très nombreux à me parler du conseiller du pape François, Peter Sutherland, qui vient (venu en fait) de chez... Goldman Sachs. On comprend mieux pourquoi il demande à ce qu'on prenne des migrants, sans les capitaux arabes, Goldmans Sachs ne serait pas grand chose aujourd'hui. Petit rappel de 2013: "In early July, Peter Sutherland, non-executive chairman of Goldman Sachs International and the former attorney-general of Ireland, flew into Vatican City. His mission – although described by some insiders as simply a “bit part” in the wider drive for change – was an illuminating one. Sutherland, a practising Catholic and an unpaid consultant to the Vatican’s treasury, had been asked by reformers in the church to speak with the council of cardinals, the most senior advisers to the pope. His message to the men who filed into a room near Doma Santa Marta, the plain-fronted residence of Pope Francis, was respectful but direct.", lire ici le FT car une piqûre de rappel sur Goldman préserve de toutes les sales maladies.

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