24 novembre 2015

Derrière le chaos, un Plan...


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Les occidentaux vivent en « immersion médiatique », où il leur est imposé une vision chaotique du monde, sans autre espoir que d’accepter, voir demander, le contrôle total de leur vie, seul salut proposé par les « élites dirigeantes et bien-pensantes ».

Les catastrophes climatiques, technologiques, les révoltes, guerres, crises de tous ordres, ne paraissent avoir aucune cause commune, justes des origines que des « experts patentés » décrivent à longueur d’infos : course au profit, pétrole, gaz, prosélytisme démocratique...
Les mêmes qui créent les problèmes, terrorisme, crises économiques, accidents technologiques, vous expliquent comment ils vont les résoudre…

La totalité de l’information est sous contrôle, celle des médias officiels, valets des pouvoirs en place, mais aussi celle des médias dits alternatifs, qui agissent inconsciemment en faire-valoir des premiers.
Les mensonges, vérités et contre-vérités sont tous manipulés. Tel qui crois détenir une vérité, ne fait que participer à grossir l’arbre qui cache la forêt. Notre vision est devenue trop étroite pour prendre du recul. Nous naviguons dans un brouillard où nous prenons pour vérité la moindre lueur placée sur notre chemin.


Le « Plan » élaboré pour mener ce monde n’est même pas dissimulé, il s’affiche outrageusement au vu et au sus de tous. Le décodage, de ce qui apparaît comme un chaos, passe par la perception des immenses enjeux liés au grand changement climatique en cours. Non pas celui de la nouvelle religion du « réchauffement climatique entropique », crée pour détourner les regards et occuper les bonnes volontés, mais celui, cyclique, qui remodèle les régions fertiles de notre globe et dévaste l’humanité.

Extrait du dernier livre de Pierre de Châtillon « Les derniers blancs » :

« Après de longues périodes, les constellations et les planètes qui circulent autour du soleil modifient la balance des énergies qui alimentent la terre.
Comme le flotteur à pêche qui se penche dès qu’il y a une petite tension sur la ligne à pêche, la terre réagit à ces modifications d’énergies en changeant son écliptique. En peu de temps, l’angle de l’écliptique passe de 23° à 35°, modifiant radicalement les conditions de vie sur terre. Alors que la société du moment possède un développement qui s’apparente approximativement au nôtre, ces changements soudains apportent une expérience complètement différente.
Le soleil ne se lève plus au même endroit, le Nord n’est plus au même endroit, les migrations ne se font plus aux mêmes endroits. Les vents changent de direction. Les mers varient prodigieusement. Les tempêtes sont énormes.

« Il faudrait conclure qu’il existe dans la nature un mouvement périodique, inconnu jusqu’à présent, qui fait rouler alternativement les eaux de la mer d’un pôle à l’autre. »

Le soleil monte beaucoup plus haut dans le ciel d’été et descend beaucoup plus bas dans celui d’hiver, un mouvement que les anciens avaient comparé à celui d’un serpent. Les températures sont plus extrêmes.

« Il semble que cela soit dû à un aplatissement de la terre », disait Varron. En rassemblant les débris épars d’un grand nombre de connaissances humaines, Varron a dit expressément que la Terre est d’une sphéricité oblongue, qu’il compare à celle d’un œuf.
Une croyance que partageait aussi Cassiodore le Romain. Et les conséquences sont colossales.
Avec la sécheresse, les sources se tarissent et l’eau ne suit plus. Elle manque cruellement, la nourriture manque, les matériaux manquent et la maladie règne.
Les gens arrivent de partout. Les populations quittent le centre des continents pour se regrouper au bord des affluents qui conduisent à la mer, ou ils remontent vers le nord.
Pour se protéger débordements climatiques et des attaques, les populations s’éloignaient des rives et construisaient leur cité dans la montagne, prenant grand soin de récupérer toute l’eau qu’ils pouvaient.
Mais la mémoire humaine finissait par oublier et un jour ou l’autre, ils redescendaient dans les vallées. »

Les évènements nationaux et mondiaux, hyper-médiatisés, visent à monopoliser l’attention des foules, afin de masquer cette réalité inexorable.

L’énergie et les moyens mis en œuvre par les politiques, afin d’imposer aux populations de l’Hémisphère nord « la mixité » et les « migrants », visent à combiner les gênes, afin de créer un cotât d’humains capables de supporter les rayonnements nocifs qui bombardent la terre crescendo. Il y a 20 à 30 ans, peu de gens s’enduisaient aussi copieusement de crème solaire, les cancers étaient infiniment moins nombreux…

Les élites dirigeantes de ce monde connaissent les enjeux, elles auront besoin d’humains performants et adaptés au nouveau climat, pour les servir. EIles savent très bien que, comme le dit Pierre de Châtillon dans son livre, que :

 « Jamais aucune société, ni aucune cité aux prétentions multiculturelles de l’histoire, n’a survécu plus de quelques siècles. Elles se terminent toutes dans des histoires assassines et des révolutions intestines. »

C’est donc que le temps est maintenant compté et que la fin justifie les moyens.

Regardez les évènements de ce monde à travers le filtre de l’échéance des grands changements terrestres. Vous constaterez que tout contribue à empêcher toute objectivité des populations de l’hémisphère nord, en utilisant une de leur particularité : l’hyperémotivité et les bons sentiments…

P.

Nouveau livre de Pierre de Châtillon ici

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