James GRADY vient d'écrire son dernier roman noir : "Les derniers jours du condor." Sans illusion sur son pays les US.
France Inter diffuse ce soir cet entretien quasi complotiste. Un changement majeur s'annonce.
Un propos de James Grady s'est incrusté dans ma mémoire :
"C'est comme si les gens avançaient sous la pluie de leurs propres larmes."
"C'est comme si les gens avançaient sous la pluie de leurs propres larmes."
Soyons vifs !
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