24 août 2014

Souvenirs de vies passées...

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Helen Wambach était une psychologue « traditionnelle et peu attirée par les sciences parallèles », jusqu’au jour où elle fit l’expérience de ce que les spécialistes appellent un « état de conscience modifié ». Un livre, dans une bibliothèque, avait eu le pouvoir de la transporter dans un autre lieu, à une autre époque. Cette expérience lui causa un véritable choc. Comment imaginer que le passé puisse se manifester de la sorte ? Etait-elle entrée en contact avec un autre aspect de la réalité, jusqu’alors insoupçonné ? Il ne lui fallut pas moins de dix ans pour répondre à ces questions. Dix années de recherche acharnée, captivante, au cours desquelles Helen Wambach a mis en état de suggestion hypnotique plus de 1000 sujets, qu’elle a fait « régresser » aux temps et lieu(x) de leur(s) vie(s) antérieure(s). Puis elle les a interrogés. Comment s’habillaient-ils ? Quels étaient leur métier, leur mode de vie, de pensée ? Elle a confronté ces données avec la réalité décrite par les historiens. Le résultat est saisissant : la plupart des récits reflètent le passé historique avec exactitude. Ainsi, 80% des hiéroglyphes dessinés par un sujet sous hypnose furent déclarés conformes à l’époque par un égyptologue.

Helen Wambach a rassemblé ses expériences les plus significatives dans cet ouvrage où elle rapporte, pas à pas, avec un grand souci d’honnêteté intellectuelle, ses doutes, ses efforts, et sa joie d’avoir éclairé un pan d’une science encore inconnue. Par sa précision, et grâce à l’insertion des données statistiques dans le corps du volume, Revivre le passé constitue un plaidoyer impressionnant en faveur de la théorie de la réincarnation.

A la page 183, Helen Wambach rapporte une régression concernant une civilisation avancée en Amérique du Sud, c’est sans doute l’un des passages les plus intéressants du livre :

« La plus fascinante des vies sud-américaines se déroula aussi dans cette région du Chili-Pérou dont la civilisation était caractérisée par l’utilisation de symboles, « à une époque avant 2000 av. J.-C. ». Ce témoignage s’écarte totalement du reste de mon échantillon.

 

Le sujet était un homme et quand il regarda ses pieds, il vit « du métal poli qui brillait« . « Je suis habillé avec une sorte de tissu doux argenté, comme une combinaison, de la tête aux pieds, dit-il. Je n’ai pas de cheveux et je porte des gants; mes doigts sont très longs. Je me trouve dans une région montagneuse au climat tempéré. » Il voyait des constructions « en pierre et en métal, très grandes. Elles ont l’air plutôt modernes« . Dans son enfance, il s’occupait avec un clavier électronique et jouait à des jeux de programmation très compliqués. Sa nourriture était composée d’ »une sorte de légume et de fruits« . Il consacra sa vie d’adulte à l’écriture et à des travaux savants « dans un très beau paysage« . Il dit qu’il était âgé quand il mourut et donna comme cause de son décès un « dysfonctionnement électro-chimique. » Il dit à propos de sa mort : « Je sens que c’est le bon moment. Je n’ai pas l’impression d’avoir reçu la moindre éducation religieuse. Quand mon esprit sort de mon corps, il y a une sensation de bien-être et de douceur. »

Au bas de son questionnaire, il a dessiné quelques constructions étonnantes, dont une qui a presque la forme d’une pyramide mais plus allongée que la plupart des pyramides. Une autre est de forme cylindrique avec une passerelle pour piétons qui va environ jusqu’à mi-hauteur de ce bâtiment. Il a aussi dessiné une chaise qui n’a qu’un seul pied, plus gros que d’habitude, sur lequel est posé le siège lui-même. Il mangeait avec un petit objet plat en forme de pointe de flèche qui ressemblait à une cuillère à glace. Avais-je le témoignage d’un habitant du continent perdu de l’Atlantide, qui serait venu en Amérique du Sud pour y établir une nouvelle civilisation ? En ce cas, la civilisation avancée décrite par mes deux autres sujets serait-elle une version décadente de celle-là ? Bien sûr, mes feuilles de données ne permettent pas de répondre à ces questions. Mais la similitude des emplacements géographiques suggère la possibilité d’un lien entre ces différents récits. »

Note :
A voir aussi le documentaire : En Écosse, un enfant se souvient de sa vie antérieure : retour sur lieux, et cette vidéo (en anglais) sur un enfant qui se souvient d’une vie de pilote de guerre contre les japonais durant la Seconde Guerre mondiale.

Vu ici


Paul : Ayant des souvenirs de vies passées, et après des années de réflexions, d'expérimentations sur le sujet, il m'est avis que la réincarnation n'existe pas comme généralement décrite : c'est à dire un cycle ou une même "âme", un même "esprit", revient cycliquement sur Terre, afin d'y vivre certaines expériences générées par son comportement dans sa, ses vies précédentes.

Je pense que nous n'existons en tant que Pierre, Paul ou Jacques qu'une seule fois. Qu'à notre mort physique nous réintégrons, selon un processus particulier, une super-conscience dont nous ne sommes qu'une infime émanation. Cette super-conscience s'auto-alimente en créant des émanations d'elle-même, composées d'un agencement savant de "vécus" terrestres qui vont lui réintégrer de nouveaux vécus, et ainsi de suite...

En tant qu'humains incarnés, nous sommes donc la résultante d'un ensemble de vécus qui font ce que nous sommes, notre caractère, nos penchants, passions, but(s), etc...

Certains souvenirs d'époques passées, qui remontent accidentellement à la surface de notre mémoire, ne sont que les bribes de vécus d'autres humains qui nous composent.

Personne n'a à s'améliorer dans l'espoir de vies futurs meilleures, mais doit accomplir ce pourquoi il a été "programmé" par la super-conscience créatrice.

Certains accomplissent le pire, d'autres le meilleur, et beaucoup un mélange entre les deux... La super-conscience créatrice ne porte aucun jugement, elle se "nourrie" simplement d'expériences à travers notre vécu terrestre. Elle crée donc des "profils" caractérologiques sensés la "nourrir" au mieux.

Il est fort probable, et peu en parlent, que nous sommes la composante de vécus qui ne sont pas tous humains : animaux, entités style reptilien, insectoïde et j'en passe. La super-conscience créatrice ne connait pas de limites dimensionnelles, voir elle crée ces dimensions comme d'autres terrains d'expérimentation...


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