31 janvier 2014

Sectes : Gourou du gouvernement national & socialiste et créateur de "la théorie du genre"

Premières victimes innocentes de la théorie du genre, ou Gender

John Money, le père de la "théorie du genre", l'avait testée sur des jumeaux. Récit.
Qu'est-ce que le genre, ce drôle de mot pratiqué des seuls grammairiens ? Il est un complexe outil intellectuel à double face. D'un côté, une grille de lecture pertinente qui questionne les rôles que la société impose à chaque sexe, le plus souvent au détriment des femmes. De l'autre, il abrite une réflexion militante... D'après elle, l'identité sexuelle ne saurait se résumer à notre sexe de naissance ni se restreindre à notre rôle sexuel social. Chacun doit devenir libre de son identité, se choisir, se déterminer, expérimenter... Et basta, l'humanité est arbitrairement divisée en masculin ou féminin.

Les "études de genre", terme traduit de l'anglais gender studies, ne sont pas récentes. Explorées par la fameuse universitaire américaine Judith Butler dans les années 70, elles naissent sous la plume et le bistouri d'un sexologue et psychologue néo-zélandais, John Money. C'est lui qui, en 1955, définit le genre comme la conduite sexuelle qu'on choisira d'habiter, hors de notre réalité corporelle. Or le personnage est controversé. Spécialiste de l'hermaphrodisme à l'université américaine Johns Hopkins, il y étudie les enfants naissant intersexués et s'interroge sur le sexe auquel ils pourraient appartenir. Lequel doit primer ? Celui mal défini que la nature leur a donné ? Celui dans lequel les parents choisiront de les éduquer ? Il est rarement mis en avant par les disciples des études de genre de quel drame humain et de quelle supercherie scientifique le père du genre, John Money, se rendit responsable.

"Lavage de cerveau"

En 1966, le médecin est contacté par un couple effondré, les époux Reimer. Ils sont parents de jumeaux âgés de 8 mois, qu'ils ont voulu faire circoncire. Las, la circoncision de David par cautérisation électrique a échoué, son pénis est brûlé. Brian, son jumeau, n'a, lui, pas été circoncis. Que faire de ce petit David dont la verge est carbonisée ? Money voit dans cette fatale mésaventure l'occasion de démontrer in vivo que le sexe biologique est un leurre, un arbitraire dont l'éducation peut émanciper. Il convainc les parents d'élever David comme une fille, de ne jamais lui dire - ni à son frère - qu'il est né garçon. Le médecin administre à l'enfant, rebaptisé Brenda, un traitement hormonal et, quatorze mois plus tard, lui ôte les testicules. Ses parents la vêtent de robes, lui offrent des poupées, lui parlent au féminin.

A 6 ans, les jumeaux paraissent s'être conformés au rôle sexuel qu'on leur a attribué. Ce serait donc bien l'éducation et la société qui feraient le sexe... Brian est un garçon harmonieux, Brenda une gracieuse fillette. Money les examine une fois par an. Bien qu'ils aient 6 ans, il les interroge sur leurs goûts sexuels, leur demande de se toucher. "C'était comme un lavage de cerveau", confiera Brenda-David plus tard à John Colapinto, qui, en 1998, écrira l'histoire dans Rolling Stones puis dans un livre, "As Nature Made Him : The Boy Who Was Raised As A Girl".

Combat féministe

Money est convaincu d'avoir prouvé que le sexe biologique s'efface pour peu qu'on lui inculque un autre "genre". Il publie de nombreux articles consacrés au cas "John-Joan" (c'est ainsi qu'il nomme David-Brenda), puis, en 1972, un livre, "Man - Woman, Boy - Girl". Il y affirme que seule l'éducation fait des humains des sujets masculins ou féminins. La "théorie du genre" est née.

Seulement, Brenda grandit douloureusement. A l'adolescence, elle sent sa voix devenir grave, confie être attirée par les filles, refuse la vaginoplastie que veut lui imposer Money. Brenda cesse d'avaler son traitement, se fait prescrire de la testostérone, divague, boit trop. Brenda se sent garçon engoncé dans un corps de fille. Effarés, les parents révèlent la vérité aux jumeaux. Brenda redevient David, il se marie à une femme. Mais les divagations identitaires ont ébranlé les garçons. En 2002, Brian se suicide. Le 5 mai 2004, David fait de même. De cette fin tragique Money ne fait point état. En 1997, Milton Diamond, professeur d'anatomie et de biologie reproductive à l'université de Hawaï, dénonce la falsification. Money réplique en évoquant une conspiration fomentée par des personnes "pour qui la masculinité et la féminité seraient d'origine génétique"... Est-ce si faux ?

Ce fait divers est étranger à la délicate, et bien réelle, question des personnes nées avec une identité sexuelle incertaine, dont le ressenti psychique ou physique demeure flou. Et, si cette histoire fut un drame, c'est bien parce qu'un enfant fut forcé à vivre selon une identité qui ne lui convenait pas et qu'à lui comme à son frère fut imposé un mensonge ravageur. Il importe de préciser que cette expérience ne saurait entacher les études de genre, qui d'ailleurs s'éloigneront de ces errements du champ médical pour se nourrir du combat féministe puis des travaux de l'anthropologie, interrogeant l'influence de la culture sur la nature, jusqu'à devenir un sujet transversal mêlant littérature, philosophie, sociologie...
Les doutes de la Norvège, pionnier du " genre "

La question des fondements scientifiques des études de genre se pose. En 2009, un journaliste norvégien, Harald Eia, y consacre un documentaire. Son point de départ : comment est-il possible qu'en Norvège, championne des politiques du " genre ", les infirmières soient des femmes et les ingénieurs des hommes ? Il interroge quatre sommités : le professeur américain Richard Lippa, responsable d'un sondage mondial sur les choix de métiers selon les sexes (réponse : les femmes préfèrent les professions de contacts et de soins), le Norvégien Trond Diseth, qui explore les jouets vers lesquels des nourrissons tendent les mains (réponse : tout ce qui est doux et tactile pour les filles), puis Simon Baron-Cohen, professeur de psychopathologie du développement au Trinity College de Cambridge, et l'Anglaise Anne Campbell, psychologue de l'évolution. Ces spécialistes répondent que naître homme ou femme implique des différences importantes. Et que leur inspirent les " études de genre"? Eclats de rire. L'évolution de l'espèce, le bain d'hormones dans lequel se fabrique notre cerveau font du masculin et du féminin des sexes distincts. Tout aussi intelligents, mais pas identiques. Il présente leurs réactions aux amis du "genre". Qui les accusent d'" être des forcenés du biologisme ". Soit. Eia les prie alors d'exposer leurs preuves que le sexe ne serait qu'une construction culturelle... Silence. Après la diffusion de son film, en 2010, le Nordic Gender Institute fut privé de tout financement public.

Source

Complément indispensable pour comprendre ou nous mènent ces dégénérés :

Qui connaît John Money ?

Pas grand monde, je pense.

Pourtant, c'est lui le grand théoricien de la théorie du genre*. Pas Judith Butler, qu'on présente pourtant volontiers comme la géniale inventeuse.

Quand on grattouille, on comprend assez bien pourquoi : la dame, c'est une philosophe féministe et même si, à mon humble avis, elle est chauffée de la carafe, elle reste inoffensive.

Le monsieur l'est un peu moins...


Il est pourtant beaucoup plus trapu.
Infiniment respecté par encore pas mal de monde, même s'il est mort depuis 2006.

Alors, pourquoi le cache-t-on au fond d'un tiroir ?

Lisez la suite et j'ai tout vérifié par le menu.

C'est lui qui lança l'idée d'une identité sexuelle autre que biologique.
Pourquoi pas ? Le gars est chercheur. Il cherche. C'est normal. D'ailleurs, c'est un type brillant. Un sommité dans le domaine de la psychoendocrinologie et la pédiatrie.
Les curieux trouveront le détail de ses recherches sur ce lien.

Or il semble bien que ce monsieur Money, tout brillant chercheur qu'il était, ait basculé à un moment donné dans l'excès. Rendu dans les sommets, il a sans doute cru qu'il pouvait aller encore plus loin, encore plus haut...et il a dérapé.
En 1966, alors qu'il est au zénith de sa gloire de chercheur, il s'autorise une étrange expérience.
Il opère un petit garçon, Bruce Reimer, privé de pénis par une circoncision ratée, en petite fille: ablation des testicules, traitement hormonal et un nom féminin, Brenda. L'enfant a 21 mois.
Money considéra cette expérience comme un succès.
Bruce-Brenda pensa toute autre chose, puisqu'il se fit rebaptiser David à l'adolescence, qu'il tenta désespérément de récupérer son identité masculine et accusa Money de l'avoir chosifié.


Cette expérience eut des suites, car Bruce-Brenda-David avait un frère jumeau : Brian
Celui-ci, devenu schizophrène par la suite, fit une overdose de médicament et mourut prématurément.
David se suicida deux ans après.

Malgré l'évident échec, l'éminent professeur Money s'entêta à présenter cette expérience comme un succès, et avec elle, sa théorie du genre. Il alla jusqu'à nier le désarroi puis la révolte de son jeune instrument, Bruce-Brenda-David et refusa toute sa vie de s'exprimer sur la question.

Pour finir, John Money avait des théories assez particulières sur la sexualité enfantine. Il considérait qu'une pédophilie "affectueuse", c'est-à-dire sans contrainte et mutuellement souhaitée, ne pouvait être considérée comme pathologique. Il est vrai que l'époque admettait toutes sortes d'explorations dans ce domaine, mais on peut tout de même s'étonner qu'un spécialiste en psychologie, professeur émérite de pédiatrie, se soit laissé aller à de tels égarements.

Peut-être son origine néo-zélandaise explique-t-elle sa vision des choses.
Car les relations sexuelles entre adultes et enfants y était admise jusqu'en 2005.

Ce triste portrait, me direz-vous, n'est que l'histoire d'une expérience ratée.
Certes. Mais à quel prix?
Pourquoi ne sommes-nous pas mis au courant?
Parce qu'il faut nous vendre mordicus cette théorie du genre, qui n'a rien de scientifique et qui a été crée par un savant fou, au mépris de vies humaines et de mensonges.. Jusqu'à envisager de l'imposer à nos enfants dans les écoles.

* Un petit rappel de cette théorie en passant, je vous le fais à la hache. En réalité, il faut s'envoyer des centaines de pages écrites en tout petit :
La distinction homme-femme serait fabriquée culturellement et non pas guidée par la biologie. Par conséquent, chacun élaborerait son identité sexuelle en fonction de stimuli extérieurs. Cette manière de voir les choses ouvre de multiples possibilités comme, par exemple, s'auto-déterminer homme, ou femme, ou ce qu'on veut, indépendamment de son sexe biologique.


Source

Paul : nous sommes en pleine monstruosité, et le parti National & Socialiste mis au pouvoir par les Français est devenu le chancre de la décadence, initiée par l'oligarchie apatride.
Ne plus voter, pour ne plus cautionner un tel désastre ! Légalisation de la pédophilie en ligne de mire...

2 commentaires:

  1. HORRIBLE!!!!!!!!!!!!!!!
    Cela va se terminer comme l'histoire de ces deux pauvres jumeaux.

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  2. Une théorie expérimentale/deux morts.

    Combien y a t-il d'enfants nés de sexe douteux ? Combien de personnes refusent leur sexe biologique ?
    J'aimerais savoir si la masse de ces individus, est tellement importante qu'elle nécessite une loi et des dispositions pédagogiques.
    Je ne le crois pas.
    Il s'agit de perversion, en vue de donner à l'enfant une image fortement sexuée de lui même et, possiblement de le livrer à plus "éduqué" que lui : des adultes, friands de chair toute fraîche.

    Aucun parent ne peut accepter de telles dispositions !
    L'égalité frauduleuse homme/femme dont l'éduc nat, se prévaut, ne veut rien dire. Comme l'a écrit Pierrot, relayé par Paul, il ne peut être question que "d'égalité civique."

    Il n'y pas de supériorité de l'homme sur la femme mais complémentarité. Il faut être chienne de garde du système ou frigide aigrie pour remettre en cause les données biologiques évidentes.

    Edouard


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