Ce sont des prédictions optimistes que Bill Gates développe dans la lettre annuelle de sa fondation Bill & Melinda Gates, publiée le 21 janvier 2014. Le fondateur de Microsoft et homme le plus riche de la planète, met l’accent sur les raisons d’espérer en matière de lutte contre la pauvreté, mais aussi les trois mythes qui entravent les politiques de développement dans le monde.
"D’ici 2035, il n’y aura presque plus de pays pauvres dans le monde", assure Bill Gates. Il avance que la quasi-totalité des pays les plus pauvres de la planète deviendront des "pays à revenus intermédiaires inférieurs".
Premier mythe que le philanthrope souhaite démonter: les médias et les chercheurs font fausse route en estimant que les pays pauvres sont condamnés à le rester. Pour s'en sortir, ces derniers doivent miser sur les nouvelles semences agricoles ( Paul : OGM ?), les progrès de la vaccination, l’éducation ( Paul : gender ?) ou encore les nouvelles technologies numériques (Paul : puce RFID ?). "Près de 90 % [des pays] auront des revenus plus élevés que ceux de l'Inde d'aujourd'hui. Ce sera là une réalisation remarquable", affirme Bill Gates.
"L'aide au développement n'est pas une perte de temps"?
Second mythe contre lequel s'insurge le philanthrope : non, l’aide financière pour les pays pauvres n'est pas une "perte de temps" ( Paul : les occidentaux pillent les pays du tiers monde et reversent en échange une toute petite "obole" à leurs dirigeants) . Il dresse ainsi un tableau des différentes avancées en matière d’éradication des grandes maladies que sont la polio ou la tuberculose ( Paul : ces maladies disparaissent grâce à l'hygiène alimentaire et corporelle, comme en Europe, les vaccins n'y sont pour rien !). Cette dernière est l’une des infections le plus meurtrières au monde: 1,3 million de décès en 2012, d'après l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Pour conclure cette lettre, c’est au tour de son épouse Melinda Gates de tordre le cou à un troisième cliché selon lequel "sauver des vies provoque la surpopulation". Une idée fausse, à ses yeux. Elle cite l'exemple de la Thaïlande ou du Brésil, où la baisse du taux de mortalité infantile a été accompagnée par la baisse du taux de natalité. "Ce schéma du déclin des taux de mortalité suivi de celui des taux de natalité s’applique à la grande majorité des pays du monde", ajoute Melinda Gates. (Paul : ce qui stabilise la surpopulation est l'adoption du mode de vie américain : médicaments, bouffe à gogo, téléréalité, sexe à gogo, maladies psychiatriques, démoncratie...)
Néanmoins, d'après une étude des Nations Unies publiée en juin 2013, la population mondiale devrait augmenter et atteindre 9,6 milliards de personnes d'ici 2030 !
Source
Paul : les promesses n'engagent que ceux qui veulent bien y croire !
on le croit bien! avec leur projet d'exterminer les 3/4 des habitants de la planète, forcément y'aura beaucoup moins de pauvres..............
RépondreSupprimerJe croirai que Bill Gates veut aider les gens lorsqu'il aura consacré une bonne partie de sa fortune à nourrir les affamés.
RépondreSupprimerCe qui n'est pas le cas.
Il peut s'occuper des africains à qui on vole les terres pour exploiter les mines...
Et puis aussi, il pourrait se préoccuper du sort de ses compatriotes qui sont de plus en plus mal soignés.
Mais bon ! sans doute devrions-nous dire "Merci, Saint-Bill, sauveur de l'humanité."
Il va les soigner aux petits oignons, les pauvres. Dabord les vacciner ( les stériliser)en prenant des vaccins bas de gamme qui en rendra quelques uns infirmes mais bon c'est pour la bonne cause .Ensuite on leur donnera du OGM à manger ils développeront des cancers et pour les plus récalcitrants , en dernier lieu, on les pulvérisera de chemtrails . A la fin il y aura effectivement moins de pauvres sur terre.
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