17 août 2013

Christian Ferras

7 commentaires:

  1. Bonjour, tout d’abord bravo pour vos excellents choix musicaux, je suis cependant déçu par le manque de commentaires de la part du public de votre blog, bcp de grands morceaux et pas un seul com’...
    en suggestion je vous recommande de mettre le dernier album de Booba !

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    1. Les commentaires ne reflètent pas l'audience, la majorité, comme l'écoute, est silencieuse...

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  2. C’est bien cela le problème...à moins que ce ne soit les vacances?

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  3. Effectivement, après que l'on ait écouté, que dire d'important ? Que l'on admire tant les musiciens que le compositeur ? Que nous nous laissons emporter par la musique ? Tout ça c'est du déjà dit. ^^

    Dire que je suis toujours autant subjuguée par le jeu des doigts des violonistes et des pianistes ?... Je l'ai dit plusieurs fois sur ce site...
    Alors on peut juste écouter sans rien dire... :)

    Bonne nuit à tous.

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    1. Parlons-nous également pour ne rien dire? et les hommes politiques faut-il juste écouter sans rien dire? d’ailleurs faut-il écouter?

      je propose cela au lieu de bravo, ou c’est bien...

      Rattaché par son sens de la mesure et la clarté de l'orchestration au classicisme, il en dépasse les limites par la qualité et la richesse foisonnante de son inspiration mélodique pour servir avec éclat le romantisme allemand. La manière dont Mendelssohn renonce à la traditionnelle exposition orchestrale en faisant commencer le concerto par le soliste est nouvelle à cette époque. Bien des interprètes en ont fait leur morceau de prédilection. Son exécution dure entre 25 et 30 minutes, et est composée de trois mouvements enchaînés :
      Allegro molto appassionato (environ 13 minutes)
      Andante (environ 8 minutes)
      Allegretto non troppo - Allegro molto vivace (environ 6 minutes)
      Dans le premier mouvement, le contraste entre le premier thème, qui se présente comme une sorte de chanson mais vibre de ferveur (appassionato), et le second, rêveur (tranquillo), produit une impression romantique. Le second mouvement, un andante de coupe tripartite, est une typique « romance sans paroles ». Le troisième mouvement est caractérisé par des traits capricieux et pittoresques, qui adoptent un ton qui rappelle sa musique du Songe d'une nuit d'été.
      Cette œuvre compte aujourd'hui, avec les concertos de Tchaïkovsky, Beethoven, Bach, Mozart, Bruch, Paganini, Brahms, Bartók et Berg, parmi les plus belles pages pour violon.

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  4. Ecoutez le concerto de Sibélius avec Ferras c’est magique !

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  5. Bonjour et merci pour ce superbe blog ! Paul (pas prendre la grosse tete !! rire )J y vient régulièrement , et pour la recherche , l info , distraction, belle musique (Lully , ect ... bravo et sans commentaires Avec ce site la prise de conscience si elle n était pas faite ... eh bien elle se realise ....

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