Gerhard Schindler, le chef du Service fédéral de renseignement allemand (BND) a reconsidéré de façon radicale ses prévisions sur la crise syrienne. Selon le BND, la position des forces fidèles au gouvernement de Damas s’est stabilisée : elles sont désormais en mesure de mener des opérations offensives efficaces… De quoi rendre furieuse la clique UMP/PS représentée par Juppé/Fabius, au service de groupes terroristes convertis en djihad démonocratique, eux-mêmes soutenus par les sunnites du groupe Arabie Saoudite et Qatar.
Face aux « découvertes » du Monde et aux commentaires péteux de L. Fabius, la réponse de S. Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, apporte des informations inédites en contrée occidentale où la censure est désormais quotidienne : « Le gouvernement Assad, comme l’opposition le dit ouvertement, a obtenu de grands succès militaires sur le terrain. Le régime Assad n’est pas le dos au mur. Quel sens cela a-t-il pour lui d’utiliser des armes chimiques de surcroît en si petite quantité ».
Alexeï Pouchkov, président du comité des affaires étrangères de la Douma (parlement russe) a, lui, coupé court : « Les données concernant l’utilisation par Assad d’armes chimiques sont fabriquées par la même entreprise qui avait fabriquée les mensonges à propos des ADM de Saddam Hussein. Obama marche sur le chemin de George W. Bush ».
En livrant des missiles S-300 à la Syrie, la Russie a voulu montrer aux pays arabes que le scénario libyen était bien terminé. La Russie entend ainsi affirmer aux monarchies arabes, financiers du printemps arabe, qu’elle n’est pas la puissance insignifiante que d’aucuns ont cru percevoir. Si le Qatar et l’Arabie saoudite ont pu jusqu’ici arroser de leurs pétrodollars les révolutionnaires du Moyen-Orient, la Russie entend désormais prouver qu’il faudra compter sur son consentement et qu’il n’est plus question d’agir dans sa zone d’influence. Si les Etats-Unis et ses Etats vassaux exigent un reformatage, dans sa globalité, de la région de la caspienne, la Russie ne l’acceptera jamais, comme l’expriment les énormes préparatifs militaires de la Russie de ces dernières années.
La mémoire qui flanche…
Les sionistes du gouvernement (Z)Ayrault pensaient faire feu de tout bois lors du G-8 avec leurs preuves à sensation contre l’armée nationale syrienne. Il n’en a rien été ! Pour rappel, ces sionistes parisiens étaient bien silencieux quand, en 2009, ceux d’Israël ne se gênaient pas pour recourir au phosphore blanc… Et que dire des munitions à l’uranium appauvri utilisées par les troupes américaines en Irak et dont plusieurs scientifiques ont démontré la nocivité extrême pour les enfants à naître, comme pour les soldats des deux camps.
Conclusion
Sale temps donc pour les prétendues démocraties et leurs alliés arabes soucieux d’ériger la charia partout où cela est possible, quitte à liquider femmes et enfants ne partageant pas leur désir de vivre dans le califat babélien du futur.
Dans ce monde barbare sans repères moraux qui s’instaure, les donneurs de leçons qui nous ponctionnent pour financer l’émergence d’un Nouvel Ordre Mondial oublient cependant que leurs desseins ne sont que des chimères pour Celui qui commande aux astres et… aux hommes.
LIESI
Face aux « découvertes » du Monde et aux commentaires péteux de L. Fabius, la réponse de S. Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, apporte des informations inédites en contrée occidentale où la censure est désormais quotidienne : « Le gouvernement Assad, comme l’opposition le dit ouvertement, a obtenu de grands succès militaires sur le terrain. Le régime Assad n’est pas le dos au mur. Quel sens cela a-t-il pour lui d’utiliser des armes chimiques de surcroît en si petite quantité ».
Alexeï Pouchkov, président du comité des affaires étrangères de la Douma (parlement russe) a, lui, coupé court : « Les données concernant l’utilisation par Assad d’armes chimiques sont fabriquées par la même entreprise qui avait fabriquée les mensonges à propos des ADM de Saddam Hussein. Obama marche sur le chemin de George W. Bush ».
En livrant des missiles S-300 à la Syrie, la Russie a voulu montrer aux pays arabes que le scénario libyen était bien terminé. La Russie entend ainsi affirmer aux monarchies arabes, financiers du printemps arabe, qu’elle n’est pas la puissance insignifiante que d’aucuns ont cru percevoir. Si le Qatar et l’Arabie saoudite ont pu jusqu’ici arroser de leurs pétrodollars les révolutionnaires du Moyen-Orient, la Russie entend désormais prouver qu’il faudra compter sur son consentement et qu’il n’est plus question d’agir dans sa zone d’influence. Si les Etats-Unis et ses Etats vassaux exigent un reformatage, dans sa globalité, de la région de la caspienne, la Russie ne l’acceptera jamais, comme l’expriment les énormes préparatifs militaires de la Russie de ces dernières années.
La mémoire qui flanche…
Les sionistes du gouvernement (Z)Ayrault pensaient faire feu de tout bois lors du G-8 avec leurs preuves à sensation contre l’armée nationale syrienne. Il n’en a rien été ! Pour rappel, ces sionistes parisiens étaient bien silencieux quand, en 2009, ceux d’Israël ne se gênaient pas pour recourir au phosphore blanc… Et que dire des munitions à l’uranium appauvri utilisées par les troupes américaines en Irak et dont plusieurs scientifiques ont démontré la nocivité extrême pour les enfants à naître, comme pour les soldats des deux camps.
Conclusion
Sale temps donc pour les prétendues démocraties et leurs alliés arabes soucieux d’ériger la charia partout où cela est possible, quitte à liquider femmes et enfants ne partageant pas leur désir de vivre dans le califat babélien du futur.
Dans ce monde barbare sans repères moraux qui s’instaure, les donneurs de leçons qui nous ponctionnent pour financer l’émergence d’un Nouvel Ordre Mondial oublient cependant que leurs desseins ne sont que des chimères pour Celui qui commande aux astres et… aux hommes.
LIESI
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