14 juin 2013

Hollande Project : Idéologie du genre, un air de déjà vu...


On apprend la mort, le 7 juillet, du psychologue John Money. Peu connu en France, il a pourtant été la principale caution scientifique de l'idéologie du "genre", dont l'influence imprègne, via les lobbies féministes et "gay et trans", des textes d'institutions européennes. Pour faire court, cette idéologie prétend que la différenciation homme-femme est due plus à l'éducation qu'à la biologie - cet article de Jeanne Smits en dépeint les conséquences.

Le Dr Money (dont le nom pourrait être celui d'un méchant dans un film de James Bond, remarque le blog First Things) est une sorte de successeur du Dr Kinsey, le "père" de la révolution sexuelle : chez les deux, la rigueur scientifique et le respect du patient ont été cyniquement subordonnés à une idéologie mortifère.

John Money avait ainsi tragiquement appliqué ses théories dans les années 1960 au petit Bruce Reimer, dont les parents, peu éduqués, s'étaient confiés à lui à la suite de la mutilation accidentelle de leur bébé lors d'une circoncision. Après des opérations chirurgicales, Bruce, gavé d'estrogène, a été élevé comme une fille ("Brenda"). Dans les années 1970, paradant de conférence en interview, Money a abondamment cité ce cas à l'appui de ses idées, le fait que Bruce eût un frère jumeau (Brian) donnant le semblant d'un cadre expérimental : le cobaye "Brenda" était la preuve que l'identité homme/femme pouvait être reprogrammée.

Money cachait toutefois la réalité du martyre psychologique que subissait "Brenda" : dès l'âge de 2 ans, "elle" arrachait ses robes et disputait à son frère ses jouets de garçon. L'histoire se termine en tragédie : "Brenda" et Brian ont découvert la vérité à 15 ans; "Brenda" a refusé de revoir Money et exigé qu'on le reconnaisse comme le garçon qu'il était ("David", photo), opérations ou pas; Brian, traumatisé, a développé des maladies psychiques et est mort d'overdose. "David" s'est suicidé en 2004.

Requiescant in pace

Henri Védas
Vu ici

3 commentaires:

  1. Les pseudo scientifiques à tendance homosexuelle ou pédophile ont beau jeu de fournir des explications pseudo-scientifiques sur les causes "éducatives" de l'orientation sexuelle. Cela leur permet assurément de faire sensation dans les milieux scientifiques par leur "innovation" et bien sûr, de s'attirer les bonnes grâces, et les financements, de l'oligarchie qui adore les petits z'enfants et les pratiques sexuelles perverses.

    Pensons au multi-millionnaire Pierre Bergé, Pacsé avec YSL, dont il fut l'héritier en récupérant la fortune, un YSL dont la BD "la Vilaine Lulu" est proprement pédophile et satanique.

    Donc le succès de cette "théorie du genre" coïncide avec l'aboutissement du grand plan oligarchique de destruction de l'humanité, et du Nouvel Ordre Mondial.

    On pourrait préciser toutefois, que les techniques de manipulation mentale, de "Mind control" (MK Ultra, Monarque...) peuvent en effet, changer le genre sexuel d'une victime, ou bien en faire un esclave sexuel, ou un dévoyé pervers. Mais c'est un cas particulier de désorientation sexuelle...Marilyn Monroe est un exemple de Sex Kitten.

    Dans le cas très général, avec une éducation par une famille normale, sans pression psychologique abusive sur le développement psychologique des enfants, la nature, la nature biologique même, fait son oeuvre à laquelle elle est destinée.

    Nous avons des organes génitaux différents, nous avons des équilibres hormonaux différents (Testostérone, Oestrogènes, Progestérone...) et enfin nous avons des aspects morphologiques différents (musculature, pilosité, voix, poitrine...). Il y a certes des anomalies génétiques chromosomiques, ou des anomalies de développement fœtal, qui peuvent engendre ponctuellement des individus "hermaphrodites" ou à l'inverse, "hyper sexués". Mais c'est TRES RARE !

    On peut aussi se modifier le corps en ingérant des hormones sexuelles à outrance...mais c'est pathologique ou pour tricher en compétition sportive...et rien de naturel donc.

    Nous sommes très généralement attirés sexuellement par l'autre sexe et nous éprouvons des instincts maternels et paternels qui nous incitent à la procréation. Comme les animaux à sexe séparés...

    La théorie du genre a quelques décennies, la réalité naturelle a des millions d'années d'existence chez l'espèce Homo sapiens.

    Mais la "sapience" semble bien tomber en désuétude en cette époque de perversion généralisée.

    L'ami Pierrot

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  2. Je vous trouve bien un peu pessimiste, ami Pierrot (même s'il m'arrive aussi de faire des constats assez démoralisants)

    La nature reprend toujours ses "droits." Même si quelques imbéciles tentent de tous gâcher, je ne pense pas que c'est encore pour demain que nous devons nous inquiéter.

    Regardez un peu : le peuple grec était bien taxé de dérives en tous genres... Plus loin dans le temps, nous avons eu vent de Sodome et Gomorrhe.
    Certes la technique évolue, vous me direz. Mais les cycles de la nature finissent par ramener les hommes à la raison. Nous sommes si petits !

    Peut-être une catastrophe est-elle à venir qui nous remettra les pendules à l'heure et à clouer le bec - tout du moins provisoirement - aux apprentis sorciers et aux délinquants en tous genres.

    Nous-mêmes, agissons avec notre conscience en ce que nous pensons de juste. Pour le reste, nous n'y pouvons pas grand-chose hélas.

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  3. Ce ne sont pas 2% d'homosexuels dans le monde qui peuvent donner le "la" ad vitam aeternam.

    Pour l'instant ils sont mis en avant et présentés comme une norme sociétale.
    Cet excès risque de déclencher des violences et des rejets générées par la rigidité des lois.

    Les tenants de la théorie pathologique genrée, sont en dehors de toute logique naturelle et sexuée. Nous passons par une tentative de refonte de l'ordre naturel, cela tiendra un temps et se retournera contre ses fondateurs.

    C'est la loi de la nature.
    Edouard

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