Bravo Paulot, une superbe photo encore. "Rupture de fonds" si on enlève le "S" ça fait penser au Titanic. Mais si on garde le "S", alors ça fait "braquage". Et les braqués sont probablement les clients/usagers puisque qu'ils en peuvent accéder à leurs fonds...
Tout cela fait un peu peur, et c'est légitime : le petit ouvrier qui a trimé toute sa vie pour faire des économies et se sentir en sécurité au moment de la retraite aura passé une vie à se priver pour rien.
Cependant une autre réflexion me vient à l'esprit : si tout le monde ne peut accéder à son compte en banque, qui sera le plus malheureux ? L'homme qui dépense sans compter dans la semaine, client régulier des bons restaus et qui travaille dans un bureau bien au chaud, ou bien l'ouvrier qui aura été habitué à des privations et au travail pénible ?
Qui sera le plus dans le caca ? Le chef d'entreprise golfeur, ou bien celui qui a les mains calleuses et cultive la terre depuis son enfance ? Ce dernier voudra t-il échanger ses pommes de terre et ses poireaux contre des objets de luxe ou des bijoux ? C'est à voir.
A toute chose malheur est bon, dit-on. Voilà ce que m'inspire cette photo.
Bravo Paulot, une superbe photo encore. "Rupture de fonds" si on enlève le "S" ça fait penser au Titanic.
RépondreSupprimerMais si on garde le "S", alors ça fait "braquage". Et les braqués sont probablement les clients/usagers puisque qu'ils en peuvent accéder à leurs fonds...
Ah nous vivons une époque palpitante...
L'ami Pierrot
Ce n'est pas la première fois, je l'ai déjà constaté depuis plusieurs mois.
RépondreSupprimerEdouard
Tout cela fait un peu peur, et c'est légitime : le petit ouvrier qui a trimé toute sa vie pour faire des économies et se sentir en sécurité au moment de la retraite aura passé une vie à se priver pour rien.
RépondreSupprimerCependant une autre réflexion me vient à l'esprit : si tout le monde ne peut accéder à son compte en banque, qui sera le plus malheureux ? L'homme qui dépense sans compter dans la semaine, client régulier des bons restaus et qui travaille dans un bureau bien au chaud, ou bien l'ouvrier qui aura été habitué à des privations et au travail pénible ?
Qui sera le plus dans le caca ? Le chef d'entreprise golfeur, ou bien celui qui a les mains calleuses et cultive la terre depuis son enfance ? Ce dernier voudra t-il échanger ses pommes de terre et ses poireaux contre des objets de luxe ou des bijoux ? C'est à voir.
A toute chose malheur est bon, dit-on.
Voilà ce que m'inspire cette photo.
Merci elba
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