Perso j'ai arrété de vouloir toucher le fond depuis que j'ai tenté dans un lac comme un con! Et si l'impulsion tu ne peux pas la faire, à cause de la vase... C'est ce qui m'est arrivé, je suis déscendu à une dizaine de mètres au lac de Mormoiron. Mes pieds se sont enlisés dans un fond de vase, et j'ai failli y rester, j'aurais même dû. Y mettant tout mon coeur pour prendre une bonne impulsion car j'avais jugé la descente longue, je me suis retrouvé dans la boue jusqu'aux genoux. Je précise qu'on y voit rien en plus dans un lac. J'ai eu le temps de réfléchir à la meilleure façon de sortir mes jambes, en n'utilisant que mes bras, calmement, jusqu'au bout, les dernières secondes de remontée m'ont paru interminables, se retenir d'ouvrir la bouche quand on suffoque c'est super chaud! Merci les arts martiaux, sans cet enseignement je n'écrirai pas aujourd'hui.
Tout ça pour dire, que non, l'aillant vécu au sens propre, j'en ai tiré la leçon: connaître son environnement. Et l'environnement et plutôt vaseux vous ne trouvez pas?
Connaitre son environnement,c'est bien. Mais en plus, se connaitre c'est encore mieux. Et rien connaitre c'est......moderne!
Perso, expérience similaire mais en natation haute mer (ban d'eau froide +fatigue). Quel effort "surhumain" pour ne pas se laisser envahir par la panique. On se sent peut de chose après celà, mais surtout on se sent vivannnnnnnt et un peu con,... aussi.
Ps: oui, l'environnement actuel est vaseux et fortement putride.
Tu trouves ?
RépondreSupprimer...Le tout étant de ne pas mourir avant!
Et puis, la descente semble bien plus sereine et facile que la remonté.
Perso j'ai arrété de vouloir toucher le fond depuis que j'ai tenté dans un lac comme un con!
RépondreSupprimerEt si l'impulsion tu ne peux pas la faire, à cause de la vase...
C'est ce qui m'est arrivé, je suis déscendu à une dizaine de mètres au lac de Mormoiron. Mes pieds se sont enlisés dans un fond de vase, et j'ai failli y rester, j'aurais même dû. Y mettant tout mon coeur pour prendre une bonne impulsion car j'avais jugé la descente longue, je me suis retrouvé dans la boue jusqu'aux genoux. Je précise qu'on y voit rien en plus dans un lac. J'ai eu le temps de réfléchir à la meilleure façon de sortir mes jambes, en n'utilisant que mes bras, calmement, jusqu'au bout, les dernières secondes de remontée m'ont paru interminables, se retenir d'ouvrir la bouche quand on suffoque c'est super chaud! Merci les arts martiaux, sans cet enseignement je n'écrirai pas aujourd'hui.
Tout ça pour dire, que non, l'aillant vécu au sens propre, j'en ai tiré la leçon: connaître son environnement.
Et l'environnement et plutôt vaseux vous ne trouvez pas?
Voilà se qui arrive quand on veut jouet au kakou.
SupprimerConnaitre son environnement,c'est bien. Mais en plus, se connaitre c'est encore mieux.
Et rien connaitre c'est......moderne!
Perso, expérience similaire mais en natation haute mer (ban d'eau froide +fatigue). Quel effort "surhumain" pour ne pas se laisser envahir par la panique.
On se sent peut de chose après celà, mais surtout on se sent vivannnnnnnt et un peu con,... aussi.
Ps: oui, l'environnement actuel est vaseux et fortement putride.