Une sorte de fable de "Robinson Crusoé", du 21° siècle, survie dans la solitude ou presque sur une "île déserte" qui est ce coin de montagne séparé par un "mur invisible" (un "champ" de force ?). Le paysage est bucolique, la nature semble reine, et la femme isolée est contrainte de ré-apprendre les lois de la survie et de l'autonomie dans son petit "territoire-prison". Encore la programmation prédictive sur la "survie" après une sorte de "catastrophe", mais celle-ci est "invisible", "silencieuse" et "surnaturelle", contrairement aux daubes grand spectacle d'Hollywood.
"La narratrice (son nom n'est pas mentionné) rejoint pour un week-end sa cousine Louise et son mari dans leur pavillon de chasse. Alors que le couple, parti pour la soirée au village voisin, n'est pas revenu le lendemain matin, la narratrice, restée seule au chalet avec leur chien, part à leur recherche. Sur le chemin, elle découvre qu'un mur invisible la sépare désormais du reste du monde.
Derrière ce mur, tous les êtres vivants qu'elle aperçoit ont été pétrifiés durant la nuit. Tout en la protégeant d'un mal inconnu, ce mur l'emprisonne au cœur de cette forêt avec quelques animaux pour seule compagnie et des vivres en quantité limitée. Rapidement, elle doit prendre son destin en main et organiser sa survie ainsi que celle de son chien, Lynx, d'une vieille chatte et de sa vache gestante, Bella. Lors des chasses et explorations qu'elle effectue dans son nouvel environnement, elle découvre un lieu d'alpage pour ses animaux.
Elle doit non seulement affronter les intempéries, la faim, la maladie, faire face à un quotidien austère fait de tâches éprouvantes et répétitives, mais aussi lutter pour ne pas se laisser envahir par ses souvenirs, la peur ou la conscience de sa situation. Elle prend des notes sur sa vie quotidienne, qu'elle utilisera plus tard pour raconter son histoire, après un évènement tragique."
Voilà un film que j'ai bien envie d'aller voir.
RépondreSupprimerUne sorte de fable de "Robinson Crusoé", du 21° siècle, survie dans la solitude ou presque sur une "île déserte" qui est ce coin de montagne séparé par un "mur invisible" (un "champ" de force ?).
RépondreSupprimerLe paysage est bucolique, la nature semble reine, et la femme isolée est contrainte de ré-apprendre les lois de la survie et de l'autonomie dans son petit "territoire-prison".
Encore la programmation prédictive sur la "survie" après une sorte de "catastrophe", mais celle-ci est "invisible", "silencieuse" et "surnaturelle", contrairement aux daubes grand spectacle d'Hollywood.
"La narratrice (son nom n'est pas mentionné) rejoint pour un week-end sa cousine Louise et son mari dans leur pavillon de chasse. Alors que le couple, parti pour la soirée au village voisin, n'est pas revenu le lendemain matin, la narratrice, restée seule au chalet avec leur chien, part à leur recherche. Sur le chemin, elle découvre qu'un mur invisible la sépare désormais du reste du monde.
Derrière ce mur, tous les êtres vivants qu'elle aperçoit ont été pétrifiés durant la nuit. Tout en la protégeant d'un mal inconnu, ce mur l'emprisonne au cœur de cette forêt avec quelques animaux pour seule compagnie et des vivres en quantité limitée. Rapidement, elle doit prendre son destin en main et organiser sa survie ainsi que celle de son chien, Lynx, d'une vieille chatte et de sa vache gestante, Bella. Lors des chasses et explorations qu'elle effectue dans son nouvel environnement, elle découvre un lieu d'alpage pour ses animaux.
Elle doit non seulement affronter les intempéries, la faim, la maladie, faire face à un quotidien austère fait de tâches éprouvantes et répétitives, mais aussi lutter pour ne pas se laisser envahir par ses souvenirs, la peur ou la conscience de sa situation. Elle prend des notes sur sa vie quotidienne, qu'elle utilisera plus tard pour raconter son histoire, après un évènement tragique."
L'ami Pierrot