Bien sûr, le Diable (possiblement une entité collective) est le "prince de ce monde"; Jésus au désert fut tenté par le Diable qui lui promit honneur, pouvoir et gloire si Jésus l'adorait, ce que Jésus refusa, le Diable étant propriétaire du monde et de tous ses royaumes.
Plus récemment, Helena Blavatsky, grande prêtresse du New Age, écrivit que Satan est le Dieu de cette planète.
Les rituels sataniques, messes noires et "cultes" comme le "Bohemian Grove" existent indubitablement, et même le Vatican est habité par le Diable. Peut-être d'ailleurs que c'est son fief !
Alors Dieu nous semble bien loin et absent, nous n'avons pas la possibilité - sauf quelques exceptions, comme les "mystiques", de pouvoir communiquer avec lui "de notre vivant".
Cela n'est pourtant pas tout à fait exact, puisque les témoignages de rescapés de la mort (mort imminente) semblent témoigner avec une assez grande constance, de l'existence d'une lumière blanche et d'un amour infini de l'autre côté. C'est parce que nous sommes dans la conscience du Mental, à l'état de veille, que nous ne pouvons plus communiquer avec Dieu.
La raison de cela est peut-être dans un grand dessein évolutif. L'expérience de la "séparation" et le règne de la "dualité", spécialité du Diable qui arrive à inverser les valeurs, est en effet une épreuve mais aussi une fantastique école pour l'esprit.
Il n'y a pas de damnation éternelle ni d'enfer, comme les religions le font croire, sauf peut-être pour des cas très spéciaux, l'enfer et la damnation étant, en fait, la séparation d'avec la source d'amour et de lumière qui entraîne tant de souffrances et d'erreurs. Les témoignages des rescapés de la mort concordent en général pour indiquer que le retour dans le corps et dans la vie n'est pas quelque chose de plaisant.
S'il y a "fin de cycle", cataclysmique ou pas, il ne s'agit pas en fait de "punition" (l'âme est immortelle) mais de séparer le bon grain de l'ivraie afin que chacun, selon son orientation, aille poursuivre son processus évolutif au mieux. Il n'est pas impossible que certaines entités choisissent d'évoluer librement vers toujours plus de "service envers soi", recherche du pouvoir et de la domination, pour s'élever dans la hiérarchie des puissances de ce qu'on appelle "'Mal".
Tout est relatif...la vérité absolue ne nous est pas connue. Le dicton dit que "du mal peut surgir un bien", lorsqu'une épreuve nous a renforcé ou a donné un résultat positif. On dit aussi qu'il y a un" moindre mal" dans certains choix difficiles.
Merci l'ami Pierroy pour ce commentaire plein de sagesse et de bon sens !
Nous sommes des alchimistes,capables de transformer le mal en bien,l'épreuve en leçon de vie.Ce monde est la projection de nos pensées insanes,la manifestation illusoire de nos croyances en la séparation qui nous piège dans le manque et l'absence.
S'éveiller de ce cauchemar c'est réaliser que l'absolu ne souffre d'aucune limite mentale .Nos esprits distordus et confus ne peuvent saisir l'insondable et appréhender La Vérité ultime à moins de tourner le regard vers l'intérieur et de s'abandonner humblement à ce qui nous dépasse et orchestre magistralement la grande oeuvre cosmique.
Nous sommes manifestations du Néant en perpétuel mouvement,parties d'un Tout venues faire l'expérience consciente de la vie en expansion.Tel est le sens de l'incarnation,chute inconsciente dans l'illusoire séparation pour un éveil conscient et un retour librement choisi à l'unité originelle.
L'erreur serait de prendre la partie pour le Tout,l'illusion pour la réalité et de passer à côté de notre pouvoir de co-créateurs car il n'y a pas plus grande souffrance que de se croire séparer même s'il faut s'éloigner pour mieux revenir...Voyage sans distance de la dualité à l'unité,de l'illusion à la réalité,de la peur à l'Amour...
Bien sûr, le Diable (possiblement une entité collective) est le "prince de ce monde"; Jésus au désert fut tenté par le Diable qui lui promit honneur, pouvoir et gloire si Jésus l'adorait, ce que Jésus refusa, le Diable étant propriétaire du monde et de tous ses royaumes.
RépondreSupprimerPlus récemment, Helena Blavatsky, grande prêtresse du New Age, écrivit que Satan est le Dieu de cette planète.
Les rituels sataniques, messes noires et "cultes" comme le "Bohemian Grove" existent indubitablement, et même le Vatican est habité par le Diable. Peut-être d'ailleurs que c'est son fief !
Alors Dieu nous semble bien loin et absent, nous n'avons pas la possibilité - sauf quelques exceptions, comme les "mystiques", de pouvoir communiquer avec lui "de notre vivant".
Cela n'est pourtant pas tout à fait exact, puisque les témoignages de rescapés de la mort (mort imminente) semblent témoigner avec une assez grande constance, de l'existence d'une lumière blanche et d'un amour infini de l'autre côté. C'est parce que nous sommes dans la conscience du Mental, à l'état de veille, que nous ne pouvons plus communiquer avec Dieu.
La raison de cela est peut-être dans un grand dessein évolutif. L'expérience de la "séparation" et le règne de la "dualité", spécialité du Diable qui arrive à inverser les valeurs, est en effet une épreuve mais aussi une fantastique école pour l'esprit.
Il n'y a pas de damnation éternelle ni d'enfer, comme les religions le font croire, sauf peut-être pour des cas très spéciaux, l'enfer et la damnation étant, en fait, la séparation d'avec la source d'amour et de lumière qui entraîne tant de souffrances et d'erreurs. Les témoignages des rescapés de la mort concordent en général pour indiquer que le retour dans le corps et dans la vie n'est pas quelque chose de plaisant.
S'il y a "fin de cycle", cataclysmique ou pas, il ne s'agit pas en fait de "punition" (l'âme est immortelle) mais de séparer le bon grain de l'ivraie afin que chacun, selon son orientation, aille poursuivre son processus évolutif au mieux. Il n'est pas impossible que certaines entités choisissent d'évoluer librement vers toujours plus de "service envers soi", recherche du pouvoir et de la domination, pour s'élever dans la hiérarchie des puissances de ce qu'on appelle "'Mal".
Tout est relatif...la vérité absolue ne nous est pas connue.
Le dicton dit que "du mal peut surgir un bien", lorsqu'une épreuve nous a renforcé ou a donné un résultat positif.
On dit aussi qu'il y a un" moindre mal" dans certains choix difficiles.
L'ami Pierrot
Merci l'ami Pierroy pour ce commentaire plein de sagesse et de bon sens !
SupprimerNous sommes des alchimistes,capables de transformer le mal en bien,l'épreuve en leçon de vie.Ce monde est la projection de nos pensées insanes,la manifestation illusoire de nos croyances en la séparation qui nous piège dans le manque et l'absence.
S'éveiller de ce cauchemar c'est réaliser que l'absolu ne souffre d'aucune limite mentale .Nos esprits distordus et confus ne peuvent saisir l'insondable et appréhender La Vérité ultime à moins de tourner le regard vers l'intérieur et de s'abandonner humblement à ce qui nous dépasse et orchestre magistralement la grande oeuvre cosmique.
Nous sommes manifestations du Néant en perpétuel mouvement,parties d'un Tout venues faire l'expérience consciente de la vie en expansion.Tel est le sens de l'incarnation,chute inconsciente dans l'illusoire séparation pour un éveil conscient et un retour librement choisi à l'unité originelle.
L'erreur serait de prendre la partie pour le Tout,l'illusion pour la réalité et de passer à côté de notre pouvoir de co-créateurs car il n'y a pas plus grande souffrance que de se croire séparer même s'il faut s'éloigner pour mieux revenir...Voyage sans distance de la dualité à l'unité,de l'illusion à la réalité,de la peur à l'Amour...
Un livre plein de force et de finesse, une belle analyse de l'évolution de l'humanité.
RépondreSupprimerSi possible, lui réserver une place sur la table de chevet.
Edouard