28 janvier 2013

Jeunes cons et vieux cons, unissez-vous !


Le Temps ne Fait Rien a  L'Affaire par popefucker

5 commentaires:

  1. La célèbre chanson de G Brassens n'a pas pris une ride. C'est bien vrai que quand on est con, on est con, et le temps ne change rien à l'affaire.

    Ceci veut dire que de tout temps, la majorité du peuple est con (ou "mouton") se faisant dévorer par quelques loups (psychopathes et tyrans) ou se faisant dérouter vers l'abattoir par quelques loups déguisés en brebis...genre syndicalistes ou grands philosophes comme BHL.

    Et aussi que dans la vie humaine, le "jeune con, le con débutant", a fort peu de chances de finir autrement que "vieux con".

    Hélas, c'est là l'humaine destinée, c'est ce qui a permis depuis des lustres et des lustres, qu'une infime minorité (0.1%) dirigée par une poignée d'individus très rusés et déterminés, dirige l'humain troupeau.

    Il semble bien éloigné le temps de l'honnête homme, celui dont parlait Montesquieu, pas de progrès voire l'inverse depuis le 17° siècle...
    http://www.universalis.fr/encyclopedie/honnete-homme/

    "Au XVIIe siècle, l’honnête homme a une culture générale étendue et les qualités sociales propres à le rendre agréable. Homme de cour et homme du monde, il se doit de se montrer humble, courtois et cultivé mais aussi de pouvoir s'adapter à son entourage. Au nom de la nature, il refuse tout excès et sait dominer ses émotions."

    J'aime aussi cette définition:
    « Homme poli et qui sait vivre » (Bussy)

    On est toujours si éloigné de cela. Pascal, la Rochefoucault, Montaigne, qui s'en soucie donc ? Les cons triomphent, surtout sous l'Arc.
    Nous sommes "impolis" et grossiers et nous ne savons plus vivre, et avons donc perdu le "savoir-vivre"...il paraît, c'est ce qu'on nous dit, que nous sommes plus libres, et que nous sommes de plus en plus égalitaires, dans tous les domaines...mais pour l'honnêteté dans les hauts sphères, c'est pas vraiment ça.

    Corruption à tous les étages. et Connerie généralisée au rez de chaussée.

    L'ami Pierrot

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    1. je pense pas qu'ils étaient mieux au 17ème image d'épinal, BRASSENS est un très grand poète et philosophe qui a écrit dans des journaux anarchistes et qui s'est essayé au surréalisme, il a vécut dans des conditions de précarité extrêmes et les plus grandes gueules de l'échelle de jacob peuvent aller se rhabiller face à lui, ses années de galères l'on conduit à écrire des bijoux comme ici, lisez les entretiens avec toussenot, voilà un mec authentique qui a vécut sa passion comme il l'entendait, au péril de sa santé souvent, il ne mangeait que très peu et vivait dans une "impasse florimont", c'était un clochard céleste en quelques sortes, qui avait du respect pour les voyous, les putes, les démunis, les exclus en quelques sortes, il chantait les petites gens, il chantait leur connerie, leur haine, également, il parle magnifiquement de l'amour, tout y passe, les princesses pauvres, les salopes, les femmes mariées, les cocus, la guerre, la haine, l'hypocrisie, l'alcool, l'amitié, le moyen-âge etc... ce type était un sauvage, ce genre d'énergumène dérange car il ne rentre dans aucunes cases!!!!!!!!

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    2. C'est un très bel hommage à Brassens que vous faites via votre commentaire, anonyme. Il le mérite amplement.
      Amitié.

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  2. Qui a dit : "nous sommes tous le c.. de quelqu'un" ?
    C'est sans doute vrai. ^^

    Merci pour la chanson, Paul.

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  3. Nous sommes souvent le c... de quelqu'un, c'est une définition de la dualité.
    Peut-être va-t-il falloir que nous franchissions le mur du çon ?

    Edouard

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