25 novembre 2012

Ça pourrait finir par devenir utile...

9 commentaires:

  1. Bon, comme le 21 Décembre se rapproche, certains se préparent au scénario de la "planète B" : une planète de survie, où il faudra savoir tuer pour survivre, dans un monde à la "mad Max".

    On peut envisager d'autres éventualités, comme une émergence de la solidarité et de l'entr'aide; par rejet de cette société minée par la corruption, l'individualisme et au bout du bout, par l'incompétence des "élites".

    Quelques indications pertinentes sur ce qui pourrait arriver (scénarii temporels se séparant prochainement) même si c'est sujet à caution venant de "Cosmic awareness" :

    http://cosmicawareness.websitetoolbox.com/post/show_single_post?pid=1275827593&postcount=3


    L'ami Pierrot

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    1. Je vote pour la solidarité et l'entr'aide. Les combats ne sont pas mon truc.
      Et si je dois mourir en me faisant attaquer, eh bien, je mourrai. De toute façon, ça m'arrivera un jour (de mourir.)
      ^^

      J'ai cru remarquer une chose (je peux me tromper dans ce que j'avance), c'est que souvent les gens qui craignent, qui ont peur, s'attirent les choses désagréables.
      Un exemple : Une de mes amies avait toujours peur qu'on lui vole sa voiture qu'elle stationnait sous un abri, mais sans porte. Eh bien, une nuit, elle se l'est fait voler. (la mienne dort dehors à quelques mètres, et n'a jamais subi aucun dommage.)

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    2. Je l'ai constaté aussi, mais ce n'est pas systématique. Ne pas confondre peur et prévoyance.

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  2. Seul les évangiles peuvent vous sauver la vie,car beaucoup de recommandations à suivre de la part de Jésus Christ,à suivre très recommandé.Sans ça,vous avez beau donner beaucoup de conseils qui ne marchent pas et vous ne pouvez survivre dans un milieu remplis de serpents,des loups, sans les recommandations de Jésus,vous n'êtes rien nus sans arme face à cette cruauté!Soyez simple comme une colombe et rusé comme un serpent dans ce monde cruel enfin cruel le mot est un peu gros pour moi je ne vois pas de cruauté pour le moment à part la télé et l'internet.

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    1. J'ai tendance à ne pas mélanger spiritualité et sens pratique, quoiqu'ils s'imbriquent.
      En milieu hostile, avec pronostique vital engagé : Une petite prière style faites la votre et un ami fidèle : un 12 et quelques Brenneke...

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    2. Vous m'avez permis de savoir ce qu'étaient des Brenneke, Paul. Je l'ignorais avant de voir ce mot écrit par vous. ^^
      Pas pour moi, ce genre de truc. Je ne saurais pas m'en servir.

      Je serais donc de ceux qui font une prière si je me retrouvais face à vous... ^^

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    3. Ce n'est pas que je sois un adepte des armes, bien au contraire, mais j'ai un instinct de survie chevillé au corps, c'est structurel et familial, je n'y peux rien. Et pourtant la mort ne m'a jamais fait peur.

      Vous n'aurez aucune prière à faire, vous ne me paraissez pas le profil à vouloir prendre la vie d'autrui. Mais dans des circonstances extrêmes nul ne se connait !!!

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    4. Vous avez raison de parler de "circonstances extrêmes" Paul, et de méconnaissance de soi. Bien des fois j'ai tenté d'imaginer ce que je ferais dans telle ou telle situation.
      Je n'ai jamais pu savoir comment je réagirais vraiment.
      Laissons donc les choses - celles qui ne sont pas de notre fait - advenir, et nous aurons l'occasion de voir comment nous y ferons face.

      Je pense que je mettrais plus de hargne à défendre quelqu'un que j'aime, qu'à me défendre moi-même...
      Et pour ce qui est de la vie, je la trouve trop précieuse pour ne pas la respecter. Même les mouches ou les moustiques, je n'aime pas les tuer (pourtant, je le fais lorsque je ne peux pas faire autrement. Peut-être que je devrais apprendre à vivre en bonne entente avec ces bestioles. ^^)
      J'ai trouvé le truc pour les araignées : je les prends avec un mouchoir papier et je les mets dehors. Elles peuvent alors aller vivre ailleurs.
      En tous les cas, j'espère ne jamais tuer, ou avoir à tuer un être humain !

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  3. Bonjour,

    Issu d'une famille de voyageurs, le hasard a voulu que je grandisse quelques années dans un pays en guerre. Je sais donc de quoi il retourne et combien il est étrange d'entendre la mélodie d'une berceuse dans la chambre et le staccato des mitraillettes dehors.
    Ce déchaînement de violence demeure incompréhensible à vie. il ne s'agit pas de la mort mais bien de ce qui précède.

    Pour autant ne nous voilons pas la face, s'il fallait défendre nos familles nous prendrions les armes. En ce qui me concerne cela ne me poserait pas de problème de conscience.
    Et je prie aussi.

    Simplement la paix.
    Edouard

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